Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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1 VICI COMMENCE LE LIVRE DES PSAUMES ÉMENDÉ SELON LA SEPTANTE
Heureux l'homme qui ne va pas au
Vne partit pas pour le conseil des impies
qui ne se tient pas dans la voie des pécheurs
Vni dans la voie des pécheurs ne se tint
et qui ne s’assied pas dans la compagnie des moqueurs,
Vni sur la chaire de la peste ne s'assit
1 ...
2 mais qui a son plaisir dans la loi de Yhwh
et qui la médite jour et nuit.
2 ...
2 mais dans la Loi du Seigneur est sa volonté,
dans sa Loi il méditera jour et nuit !
3 Il est comme un arbre planté près des cours d'eaux
qui donne son fruit en son temps
et dont le feuillage ne se flétrit pas :
tout ce qu’il fait réussit.
3 ...
3 Il sera comme le bois
qu'on a planté près d'un cours d'eau
qui portera son fruit en son temps
et sa feuille ne pendille pas.
4 Il n’en est pas ainsi des impies
ils sont comme la paille que le vent emporte.
4 ...
4 Ils ne seront pas comme ça, les impies ÷pas comme ça:
mais comme la poussière que projette le vent ÷à la face de la terre:
5 Ainsi
SCar ceci : les méchants ne se relèveront pas au jugement
ni les pécheurs au rassemblement
Sà l'assemblée des justes
5 C’est pourquoi les impies ne se relèveront pas au jugement
ni les pécheurs au conseil des justes
5 ainsi les impies ne ressusciteront pas au jugement
ni les pécheurs au conseil des justes
6 car YHWH connaît
Vpuisque le Seigneur a reconnu la voie des justes
et le chemin pécheurs mène à la ruine.
Vla route des impies s'en est allée.
6 ...
2,1 VPSAUME DE DAVID
Pourquoi des nations s’agitent-elles
Vhennirent-elles
et des peuples méditent-ils de vains projets ?
Vméditèrent-ils l'inanité ?
1 ...
2,2 Les rois de la terre se soulèvent
Vse tinrent en arrêt
et les princes tiennent conseil ensemble
Vconvergèrent au même point
contre YHWH
V le Seigneur et contre son Oint :
Vchrist :
VDIAPSALMA
2 ...
2,3 — Rompons leurs liens
et balançons leurs entraves loin de nous !
3 ...
2,4 Celui qui est assis
Vhabite dans les cieux sourit
V s'en gaussera
le Seigneur se moque d'eux
Vles raillera ;
4 ...
2,5 alors il leur parlera dans sa colère
et dans sa fureur les épouvantera :
5 ...
2,6 Et moi, j’ai établi mon roi
sur Sion, ma montagne sainte.
6 ...
6 — Et moi qui ai été constitué roi par lui
sur Sion sa montagne sainte,
publiant son précepte :
2,7 Je publierai le décret : YHWH m’a dit :
— Tu es mon Fils
je t’ai engendré aujourd’hui.
7 ...
7 — Le Seigneur m’a dit : — Tu es mon fils
moi, aujourd'hui, je t'ai engendré.
2,8 Demande
VDemande-moi et je te donnerai les nations pour héritage
pour domaine les extrémités de la terre :
8 ...
2,9 tu les briseras avec un sceptre de fer
comme vase de potier tu les mettras en pièces.
9 ...
9 tu les régiras d'une verge de fer
comme vase de potier les fracasseras !
2,10 Et maintenant, rois, comprenez
instruisez-vous, juges de
Vvous qui jugez la terre :
10 ...
2,11 servez YHWH
Vle Seigneur avec crainte
exultez Vpour lui avec tremblement
11 ...
2,12 Baisez le Fils
de peur qu’il ne s’irrite
et que vous périssiez en chemin
Car bientôt s’allumerait sa colère
heureux tous ceux qui s'abritent en lui.
12 ...
12 prenez la discipline !
Que le Seigneur n'aille se mettre en colère et que vous disparaissiez loin de la voie juste
13. quand se sera enflammée (tout bientôt !) sa colère.
Heureux tous ceux qui ont confiance en lui !
1,3a arbre De l’arbre de vie à l’arbre de la croix
Selon son sens premier en hébreu ‘ēç signifie « bois », matière de l’arbre. De même xulon en grec et lignum en latin. Mais tandis que ‘ēç est pratiquement le seul substantif pour désigner un arbre, le grec et le latin ont en plus un terme plus spécifique, respectivement dendron (30 fois AT, 25 fois NT) et arbor (38 fois AT, 31 fois NT).
Concentrons-nous sur l'expression « arbre de vie », une spécification que la tradition juive et chrétienne s'est permise dans la relecture du v.3a. Comparaison des versions Ps 2,3a ; Tradition chrétienne Ps 2,3a
Les quatre occurrences de xulon zôês se trouvent toutes dans l'Apocalypse, en lien avec l'image du paradis et de la Jérusalem céleste (Ap 2,7 ; 22,2.14.19). Au volet tragique des temps primordiaux (Urzeit ; cf. Gn 2,9 ; 3,22.24) correspond par antithèse le volet radieux de l'au-delà du temps (Endzeit) où le drame initial est définitivement dénoué.
De l'arbre de vie du mythe primordial au bois/arbre (xulon) de la croix du drame évangélique, il n'y a qu'un pas, vite franchi dans l'interprétation chrétienne de notre psaume (Tradition chrétienne Ps 2,3a). Cette transposition théologique devenait obvie à la lumière de quelques textes de l'AT qui parlent de pendaison sur un bois (kremannumi epi xulou ; Gn 40,19 ; Dt 21,22-23 ; Jos 8,24 ; 10,26 ; Est 5,14 ; 6,4 ; 7,10 ; 8,7 ; voire →1 Esd. 6,31). Trois textes du NT reprennent telle quelle l'expression verbale pour l'appliquer à la crucifixion de Jésus (Ac 5,30 ; 10,39 ; Ga 3,13). Tout cela permet de tisser des relations intertextuelles associant l’arbre de vie symbolique à l’arbre réel de la croix.
2,1–12 Pourquoi les nations s'agitent-elles?
Warum toben die Heiden, und die Leute reden so vergeblich? — Die Könige im Lande lehnen sich auf, und die HERREN ratschlagen miteinander wider den HERRN und seinen Gesalbten : — Lasset uns zerreißen ihre Bande und von uns werfen ihre Seile ! — Aber der im Himmel wohnet, lachet ihrer, und der HERR spottet ihrer. — Er wird einst mit ihnen reden in seinem Zorn, und mit seinem Grimm wird er sie schrecken. — Aber ich habe meinen König eingesetzt auf meinem heiligen Berg Zion. — Ich will von einer solchen Weise predigen, daß der HERR zu mir gesagt hat: Du bist mein Sohn, heute hab ich dich gezeuget. — Heische von mir, so will ich dir die Heiden zum Erbe geben und der Welt Ende zum Eigentum. — Du sollst sie mit einem eisernen Zepter zerschlagen; wie Töpfe sollst du sie zerschmeißen. — So laßt euch nun weisen, ihr Könige, und laßt euch züchtigen, ihr Richter auf Erden ! — Dienet dem HERRN mit Furcht und freuet euch mit Zittern ! — Küsset den Sohn, daß er nicht zürne und ihr umkommet auf dem Wege ; denn sein Zorn wird bald anbrennen. Aber wohl allen, die auf ihn trauen! (Ps 2,1-12)
Why do the nations so furiously rage together, and why do the people imagine a vain thing? The kings of the earth rise up, and the rulers take counsel together against the Lord, and against His anointed. (Ps 2,1-2)
Let us break their bonds asunder, and cast away their yokes from us. (Ps 2,3)
He that dwelleth in Heav'n shall laugh them to scorn; The Lord shall have them in derision. (Ps 2,4)
Thou shalt break them with a rod of iron; thou shalt dash them in pieces like a potter's vessel. (Ps 2,9)
Le Messie (Messiah, HWV 56) est un oratorio de
des plus populaires, avec ses suites Water Music (Musique sur l'eau) et Music for the Royal Fireworks (Musique pour les feux d'artifice royaux). Messiah est désormais considéré comme le chef-d'œuvre du genre oratorio. L'œuvre est écrite pour orchestre et chœur, avec cinq solistes (soprano, mezzo-soprano, contralto, ténor et basse), elle comprend une ouverture, une sinfonia pastorale et 51 récitatifs, airs et chœurs.1. Why fumeth in fight : the Gentils spite, In fury raging stout ? Why taketh in hond : the people fond, Uayne thinges to bring about ? 2. The kinges arise : the lordes deuise, in counsayles mett therto, agaynst the Lord, with false accord, against his Christ they go. (Ps 2,1s)
Thomas
est un compositeur et organiste anglais de la Renaissance.2,9 "When Jesus Our Lord"
1,1abc Heureux l'homme qui ne s'en est pas allé dans le conseil des impies (V) Inscription médiévale Le Psautier est le livre biblique le plus connu dans sa diversité dans les inscriptions du Moyen Âge occidental, avec 142 versets différents. Appris par cœur dans les écoles, récités dans la liturgie des Heures de l’office divin et les chants de l’ordinaire à la messe, les psaumes sont présents dans les matériaux durs tout autant que dans les manuscrits et les mémoires. Le Musée d’Évreux conserve une brique provenant de l’abbaye de Pénal (Eure) et portant inscrit le v.1 du Ps 1 (→CIFM 22,148) :
1,1 V—IUXTA HEBR.
1,4 V—IUXTA HEBR.
Il n’en est pas ainsi des impies | ils sont comme la poussière que le vent emporte.
2,1 V— IUXTA HEBR.
2,2 V— IUXTA HEBR.
2,6 V— IUXTA HEBR.
2,9 V— IUXTA HEBR.
2,12 V— IUXTA HEBR.
1,1–6 L'homme juste et l'arbre. L'homme juste est comparé à un arbre dans ce psaume. Cette comparaison a été diversement interprétée dans les arts visuels.
Le chêne suffit ici à traduire la vertu du roi Louis IX : le corps du monarque prolonge visuellement le tronc de l'arbre. Le peintre souligne ainsi la vertu affermie du roi, gage d'une justice droite.
L'homme juste a aussi été représenté sous la forme d'un arbre : le comparé et le comparant ne forment plus qu'un !
Le peintre Roberto Mc 8,24 et le rapprochement ne lui a pas échappé, pour un résultat saisissant :
a lu« Heureux l’Homme qui ne marche pas selon le conseil des méchants... il est comme un arbre planté à la rupture des eaux ». Ps 1 « J’aperçois les hommes, mais j’en vois comme des arbres et qui marchent » (Mc 8,24)
1,3 L'arbre. Un motif judéo-chrétien de portée universelle.
L'abre constitue un motif universel dans les arts visuels. Motif central ou secondaire dans les compositions artistiques, les arbres apparaissent dès les premiers versets de la Genèse (Gn 1,29). Parmi ces eux, se trouve l'arbre de vie, auquel les traditions juive et chrétienne ont rattaché l'arbre du v.3a (Comparaison des versions Ps 1,3a ; Tradition chrétienne Ps 1,3a).
L’arbre du paradis originel des Écritures, dont les fruits devaient assurer l'immortalité, peut aussi se rapprocher de l’arbre mythologique décoratif présent dans les croyances de nombreux peuples, depuis l'époque préhistorique en Mésopotamie et dans l'Antiquité, entre autres en Égypte, en Grèce, en Babylonie, en Perse et en Inde, avec des symboliques variées. Au Moyen-Orient, l’arbre de vie symbolise l’immortalité ; en Chine et en Inde, le centre de l’univers. Dans le Bouddhisme, il est nommé « le Bodhi » : Bouddha a eu l’éveil sous cet arbre, lieu de ses enseignements premiers.
Dans l'art chrétien médiéval, ces symbolismes naturels ne sont pas oubliés :
Le manuscrit Carmina Burana compile 318 chants profanes latins (quelques-uns sont en moyen-haut allemand) en 112 feuillets et contient aussi deux pièces sur la Nativité et sur la Passion. Il s'agit ici de l'une des huit illustrations apparaissant à la fin de chaque groupe de chants de thème similaire.
Jusque dans l'art islamique, il symbolise la renaissance éternelle de la nature et la fugacité de la condition humaine.
Ce pommier ombrageant des gazelles paissant tranquillement à gauche et chassées par un lion à droite, pourrait symboliser l'existence humaine oscillant entre répit et danger.
Au 20e s. encore, il inspire de grands plasticiens. L'un des plus célèbres « arbres de vie » du siècle passé est celui de Klimt :
Les trois parties du triptyque sont intitulées : L’Attente, L’Arbre de Vie et L’Accomplissement. L'œuvre achevée n'est pas publique : elle a été réalisée à fresque par l'atelier de la Wiener Werkstätte, chargé de la réalisation de la décoration du Palais Stoclet du nom du belge Adolphe Stoclet, commanditaire de Klimt.
L’arbre de vie est un sujet extrêmement ancien. On trouve deux arbres dans le Jardin d’Eden : l’Arbre de vie et l’Arbre de la Connaissance, actant principal du péché originel. L’Arbre de Klimt concentre le cycle de la vie : les feuilles d'automne et les bourgeons de printemps, l'ensemble du cosmos (oiseau et fleurs), le monde sous-terrain des racines, le monde humain du tronc et le monde céleste des branches. Il est structuré en 7 branches (symboles des caractères et humeurs humains) démultipliées en ramifications finissant en spirales (suggérant la répétition cyclique de la vie). Les deux panneaux qui l'encadrent présentent à gauche une danseuse, « L’attente » et à droite « L’accomplissement » avec un couple d’amoureux rappelant le tableau du Baiser du même artiste.
Dans le christianisme, les deux arbres du paradis, l’arbre de la connaissance du bien et du mal et l’arbre de l’immortalité, sont des types du Messie crucifié : l’arbre de la croix est le lieu où la mort est devenue le début de la vie. La typologie de la croix comme arbre culmine au 13e s. dans le traité de →. , Lignum
Dans les arts visuels, cette analogie se déploie dans le motif des « crucifix ramifiés » : la croix-Arbre de Vie devient tronc feuillu à branches, fruits et nœuds.
Le motif est à la fois protologique et eschatologique, renvoyant à la fois à la Genèse et à l'Apocalypse, à l'Éden et au Golgotha, à Ève et à Marie, à Adam et au Christ, nouvel Adam.
L'arbre de vie scinde le médaillon en deux espaces symétriques. À droite, Ève prend du fruit de l'arbre et le donne à un homme derrière elle ; la Mort l'accompagne au second plan. Au-dessus d'elle, le feuillage de l'arbre supporte le crâne d'Adam. La Chute d'Ève, et par elle, de l'Humanité, conduit à la mort. À gauche, Marie fait face à Ève et offre une hostie à un homme derrière elle. Le Christ en croix surplombe sa mère, dans les feuilles de l'arbre. Cette partie du médaillon met en évidence les correspondances typologiques entre le Christ et Adam ainsi qu'entre Marie et Ève. L'arbre est ainsi porteur de vie et de mort.
Un médaillon émaillé avec une représentation de l'arbre de vie conjugue à la fois une citation du Ps 24,10 et d'Ap 2,7 confortant les lectures typologiques entre l'Ancien et le Nouveau testament.
Inscription sur le pourtour : « Universæ viæ Domini, misericordia et veritas » (Ps 24,10), dans le phylactère : « qui vicerit dabo illi edere de ligno vitæ » (Ap 2,7). Conservé dans le Trésor de la Collégiale de Notre-Dame de Huy, le médaillon qui pourrait avoir fait partie d’un triptyque. Voir →Stavelot Triptych 1980,28 n°6.
La tradition mystique juive (Kabbale) elle-même déploie sa méditation de l’unipluralité divine sous forme d'un Arbre de Vie, l’« arbre séphirotique » :
Les séphiroth sont les dix puissances créatrices émanées de l'énergie du Créateur et faisant rayonner le Sans-fin (En Sof) dans le monde fini. En voici une traduction possible :
Dans l’architecture sacrée, tant juive que chrétienne, le motif de l'arbre de vie apparaît fréquemment, diversement stylisé.
2,2 Les rois de la terre. En contrepoint des rois païens rebelles à Dieu, les rois mages adorateurs du Messie.
2,1–12 Accomplissement des Écritures.
Sur une stèle que Moïse invite à lire de son index pointé, sont gravés les versets de prophéties accomplies dans le Nouveau Testament. En haut, Moïse tournant le dos à une idole brisée contemple les rois mages apportant leurs présents à l'Enfant. Les citations mises en exergue aux pieds du groupe inférieur sont : Gn 3 ; Ps 2 ; Is 2 ; Jos 11 ; Is 11; Is 46; Ps 110.
1,3 Comme le bois Offertoire pour la Saint-Benoît
Offertoire chanté pour la fête de saint Benoît le 11 juillet.
2,7 Le Seigneur m'a dit : tu es mon fils Chant grégorien : la voix du Père à son Fils pendant la messe de Noêl Ce passage du Ps 2 est repris deux fois pendant la messe de la nuit de Noël.
Dominus dixit ad me : Filius meus es tu; ego hodie genui te.
Le Seigneur m'a dit : Tu es mon Fils ; moi aujourd'hui je t'ai engendré.
Alléluia chanté pour la Messe de la nuit de Noël.
2,1s Pourquoi les nations TYPOLOGIE Chant grégorien des Ténèbres du Golgotha : rassemblement des méchants contre le Christ en sa passion
La méditation se concentre sur la haine du monde pour le Christ. Ceux qui sont forts en vertu de la puissance terrestre complotent ensemble contre lui, le rejetant ainsi que Dieu le Père qui l'a envoyé. Partout les nations rugissent contre Dieu, car l'homme est désireux d'embrasser les incohérences du monde au lieu de son vrai Sauveur.
Astiterunt Reges est le seizième répons pour la Semaine Sainte. Cette méditation se concentre sur la haine du monde pour Notre-Seigneur. Ceux qui sont forts dans la puissance terrestre complotent ensemble contre le Christ, le rejetant et Dieu le Père, qui l'a envoyé. Partout les nations rugissent contre Dieu, car l'homme est désireux d'embrasser les incohérences du monde au lieu de son vrai Sauveur. Par exception en cet office du Samedi Saint, ce répons n’a trait qu’aux complots des méchants ; la mélodie y emprunte leur violence. Tout est fort, dans un mouvement décidé, sans grandes nuances, sur les formules ordinaires du 8e mode, sans que rien soit spécialement mis en relief.
2,8 Demande-moi Chant grégorien : la voix du Père à son Fils pendant la messe du Christ-Roi
Offertoire chanté pour la fête du Christ-Roi.
2,11s servez le Seigneur Chant grégorien : invitation à la fidélité après la communion
Servite Domino in timore, et exsultate ei cum tremore : apprehendite disciplinam, ne pereatis de via iusta.
Servez le Seigneur dans la crainte : et tressaillez de d’allégresse pour lui, avec tremblement : embrassez son enseignement, de peur que vous ne périssiez hors de la voie juste.