Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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17 Or de Milet ayant envoyé à Ephèse
VÉphèse
il appela les anciens de l'église.
17 ...
18 Lorsqu’ils furent arrivés près de lui
VLorsqu’ils furent arrivés près de lui et qu'ils furent ensemble il leur dit :
— Vous, vous savez comment depuis le premier jour où je suis entré en Asie
je me suis comporté avec vous en tout temps
18 ...
19 servant le Seigneur en toute humilité et avec larmes
tandis que des épreuves m'arrivaient du fait des
Vtentations m'ont été infligées par les embûches des Juifs
19 ...
20 comment je n’ai rien négligé de ce qui était avantageux
pour vous annoncer et de vous enseigner publiquement et dans les maisons
20 ...
21 attestant aux Juifs et aux Grecs
VGentils la pénitence envers Dieu et la foi en notre Seigneur Jésus.
VJésus-Christ.
21 ...
22 Et maintenant voici que moi, contraint
Vlié par l'esprit
Vl'Esprit je vais à Jérusalem
en ignorant ce qui m’y arrivera
22 ...
23 si ce n’est que dans toutes les cités l’Esprit-Saint affirme en me disant
que des chaînes et des tribulations m’attendent.
23 ...
2,38 ; 20,21 faites pénitence Contemplation
L’acrobate est, étymologiquement, celui qui « marche vers le ciel ». Il est tendu entre deux colonnes, entre deux mondes ; mystère de nos déchirements intérieurs qui deviennent tentations et entraînent la chute. Ce corps transcrit la démarche qui s’accomplit en lui : il opère une conversion, un retournement, il cherche « l’équilibre » en Celui qui est l’unique colonne. Se retourner, c’est se retrouver en Christ, lui qui nous relève. Cet acrobate dit ce chemin vers le ciel qui ne peut s’ouvrir que par la prière, Lumière intérieure qui passe par notre corps, signe de la Présence divine. (Cf. P. J.-M. Nicolas)