Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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24 Maintenant je
V TRmoi qui maintenant me réjouis dans mes
Byz V Nesdes souffrances pour vous
et achève ce qui manque aux souffrances du Christ en ma chair
pour son corps qui est l’Église.
24 ...
25 J’en ai été fait serviteur
Vministre
selon la charge
Vdispensation de Dieu qui m’a été donnée à votre égard
afin que j'accomplisse la parole
Vle verbe de Dieu :
25 ...
26 le mystère caché depuis des siècles et des générations
qui est cependant maintenant manifesté à ses saints,
26 ...
27 auxquels Dieu a voulu faire connaître les richesses de la gloire de ce mystère parmi les nations,
à savoir le Christ en vous, l’espérance de la gloire.
27 ...
28 C’est lui que nous annonçons
admonestant tout homme
instruisant tout homme en toute sagesse
afin que nous présentions tout homme parfait dans le ChristByz V TR Jésus.
28 ...
29 Ce à quoi je travaille en combattant
selon sa force qui est accomplie
Vl'œuvre qu'il accomplit en moi avec puissance.
29 ...
2,1 Je veux en effet que vous sachiez quels grands combats
Vquel tourment j'ai à votre sujet
V Nespour vous
et pour ceux qui sont à Laodicée
et pour tous ceux qui n’ont pas vu mon visage dans la chair
1 ...
2,2 pour que soient consolés leurs cœurs, étroitement unis
Vinstruits eux-mêmes dans la charité
et en vue de toutes les richesses de la plénitude de l’intelligence
et de la connaissance du mystère du Dieu et Père, et du Christ
Nesde Dieu le Christ
Vde Dieu le Père du Christ Jésus
2 ...
2,2–23 la connaissance du mystère de Dieu La sagesse, triomphe de la foi À la demande de l'archiduchesse Isabelle d'Autriche, réalisa entre 1625 et 1627 un cycle de vingt-et-un cartons de tapisserie sur le thème du Triomphe de l'Eucharistie. La richesse de la composition baroque, les mouvements et contrastes de lumière mettent en scène de manière allégorique le triomphe de la foi sur la science, la philosophie et la nature.
Au centre, sous un cartouche portant l'inscription latine « Fides Catholica », une jeune femme auréolée de lumière symbolise la foi : debout sur un char orné d'or et tiré par des anges, elle brandit un calice qui laisse paraître une hostie lumineuse. À ses pieds, un globe terrestre symbolise l'universalité de la foi catholique, tandis qu'à sa droite une jeune femme porte en gloire une croix de bois qui tranche avec la richesse des décors. Deux angelots la précèdent en portant les instruments de la passion, les clous et la couronne d'épines.
À gauche, sous un ciel encore enténébré, un homme portant des instruments d'astronomie représente la science : il semble contempler avec humilité la foi comme un nouvel astre. Derrière lui, on reconnaît en ce vieillard chenu appuyé sur une canne l'allégorie de la philosophie. Il est suivi par la Nature, symbolisée par une femme à cinq seins marchant mains liées et tête inclinée, telle une prisonnière. Au-dessus d'eux, un ange dans le ciel porte une torche tout en désignant la foi de sa main gauche, comme lumière d'une sagesse divine « qui n'est pas celle de ce siècle » (1Co 2).