Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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10 De fait tous ceux qui existent en vertu des œuvres de la Loi
sont sous la malédiction,
car il a été écrit :
« Maudit quiconque ne persévère pas
Vne sera pas demeuré dans toutes les choses écrites dans le livre de la Loi pour les faire ! »
10 ...
11 Et que par la Loi personne n'est justifié devant Dieu,
c'est évident
puisque « le juste vivra
Vvit en vertu de la foi. »
11 ...
12 Or la Loi n'existe pas en vertu de la foi
mais « Byz TRl'homme qui aura accompli ces choses vivra par elles. »
12 ...
13 Le Christ nous a rachetés de la malédiction de la Loi,
étant devenu
Vayant été fait pour nous malédiction,
V Nespuisqu'il est écrit Byz TRen effet : « Maudit quiconque est suspendu au bois »,
13 ...
14 afin que pour les nations la bénédiction d'Abraham se réalisât en Jésus Christ | Christ Jésus
Byz V TRdans le Christ Jésus
pour que nous recevions la promesse de l’Esprit au moyen de la foi.
14 ...
13–29 Le Christ nous a rachetés de la malédiction de la Loi Allégorie de l'Ancien et du Nouveau Testament
Au centre de cette peinture didactique, l'Homme livré à lui-même hésite entre deux personnages symboliques, un prophète de l’Ancien Testament et Jean le Baptiste à l'aube du Nouveau.
Tous deux pointent vers la croix, source de salut : seule la foi en Jésus qui a triomphé de la mort par la résurrection permettra à l’homme d'être sauvé. Elle domine de haut le serpent de bronze au milieu du campement des Israélites, à gauche en arrière plan, qui ne faisait que l'annoncer.
La partie gauche du tableau retrace le péché originel et le don de la Loi à Moïse sur le mont Sinaï ; la partie droite figure le le Christ debout devant son tombeau, et face au couple pécheur de gauche, l'Agneau innocent, et enfin Marie sur le mont Sion recevant le divin Enfant du Ciel, pure grâce à accueillir. (Cf. le commentaire de Matthew D. Rosebrock→).