La Bible en ses Traditions

Jean 5,2–18

Byz V S TR Nes

Or il y a à Jérusalem près de la [porte] des Brebis

VProbatique une piscine

qui s’appelle en hébreu « Bêthzatha »

S TR« Bêthesda »

V« Bethsaïde »

qui a

Vayant cinq portiques.

Sous ceux-ci gisaient nombre

Byz TRun grand nombre

Vune grande multitude de malades :

aveugles, boiteux, décharnés...

Byz V S TRattendant le mouvement de l’eau.

Byz V S TR
Nes

Car un ange Vdu Seigneur descendait à certains moments dans la piscine et agitait l'eau.

Et celui qui y descendait le premier après l’agitation de l’eau était guéri de quelque mal qu'il fût atteint.

Ø

Byz V S TR Nes

Se trouvait là un homme qui était dans son infirmité depuis trente-huit ans.

Jésus, le voyant étendu

Vcomme il l'avait vu gisant 

et connaissant qu'il avait déjà passé beaucoup de temps,

Vavait compris que cela fait très longtemps, lui dit :

— Veux-tu être guéri ?

Le malade lui répondit :

— Seigneur, je n’ai personne

pour me jeter dans la piscine dès que l’eau est agitée

et le temps que moi, j’y aille, un autre descend avant moi.

Jésus lui dit :

— Lève-toi, prends ton grabat et marche !

Et à l’instant l'homme fut guéri :

il Sse leva, prit son grabat et il marchait.

Or ce jour-là était un sabbat.

10 Les Juifs disaient donc à celui qui avait été guéri :

— C’est le sabbat, il ne t’est pas permis de porter ton grabat.

11  Mais il

Byz V S TRIl leur répondit Sen disant  :

— Celui qui m’a guéri

c'est lui qui m’a dit : « — Prends ton grabat et marche ! »

12 Ils lui demandèrent V TRdonc  :

— Qui est l’

V TRcet  homme qui t’a dit : « — Prends -le

Byz V S TR ton grabat et marche » ?

13 Mais celui qui avait été guéri ne savait pas qui c’était.

Jésus en effet s’était dérobé : il y avait foule en cet endroit.

14 Plus tard Jésus le trouve dans le Temple et il lui dit :

— Te voilà guéri :

ne pèche plus de peur qu’il ne t’arrive quelque chose de pireS qu'avant.

15  L'

VCet  homme s’en alla et annonça

Sdit aux Juifs que c’était Jésus qui l’avait

Vl’a guéri.

16 C’est pourquoi les Juifs persécutaient Jésus Byz S TRet cherchaient à le tuer parce qu’il faisait ces choses-là un sabbat.

17 Mais Jésus leur répondit

Sdit :

— Mon Père travaille jusqu’à présent et moi aussi je travaille.

Byz S TR Nes
V

18 Voilà donc pourquoi les Juifs cherchaient d'autant plus à le faire mourir

parce que non seulement il violait le sabbat

mais encore il appelait Dieu son propre « Père »,

se faisant l'égal de Dieu.

 

18 Voilà donc pourquoi les Juifs cherchaient d'autant plus à le faire mourir

parce que non seulement il violait le sabbat

mais encore il appelait Dieu « son Père »

se faisant l'égal de Dieu.

Jésus prit donc la parole et leur dit :