Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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1 VALLELUIA
Célébrez YHWH
VConfessez le Seigneur car il est bon
puisque éternelle
Vpour les siècles est sa miséricorde
1 ...
2 Qu’Israël dise :
— Éternelle est sa miséricorde !
2 ...
2 que maintenant le dise Israël : — Il est bon :
pour les siècles est sa miséricorde !
3 Que le dise la maison d’Aaron :
— Éternelle est sa miséricorde !
3 ...
3 que maintenant le dise la maison d'Aaron puisque pour les siècles est sa miséricorde
4 Que le disent ceux qui craignent YHWH :
— Éternelle est sa miséricorde !
4 ...
4 que maintenant le disent ceux qui craignent le Seigneur puisque pour les siècles est sa miséricorde :
1–29 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est le siixème du Hallel, suite de psaumes de louange chantée les matins des fêtes et des néoménies (Ros ḥōdeš) (voir Ps 113). LEs quatre premiers versets sont répétés chacun par l'assemblée après le ministre-officiant. 5-29 sont chantés en choeur par l'assemblée sur un air apparenté à celui du Cantique de Mo¨ise.
113,1–118,29 Hallelujah
Hallelujah, qui signifie en hébreu Hallelou « Rendez louange » Yah, Yahweh « à Dieu », est une chanson écrite par Leonard 2S 11,2), mais alors il perd sa puissance comme Samson à cause de Dalila (Jg 16,1-31). L'amour l'a laissé seul sur un chemin de douleurs et de souffrances malgré des moments d'intimité, et dans un verset final faisant allusion à la mort d'Urie (2S 11,6-17), il nous dit qu'il n'a rien appris de l'amour si ce n'est comment se protéger de potentiels rivaux.
. Elle a été enregistrée pour la première fois sur son album de 1984 intitulé . Avec une dramatique ironie, ce psaume des jours modernes pose en contraste d'une part l'adoration des Psaumes de David pour le Seigneur qui s'est plu à écouter son harpe mystique, et d'autre part l'adoration du narrateur pour son amante qui ne s'est jamais plu à écouter sa musique. Il est comme David captivé par la beauté de Bethsabée quand il la voit dans son bain (1 V—IUXTA HEBR.
1.19.21.28s Confessez | je confesserai (V) Confitemini | confitebor Saint Augustin explique le véritable sens du terme « confesser » à ses auditeurs qui le plus souvent ne retiennent que le sens d' « aveu » au détriment de la « louange ». Dès qu'ils entendent le mot confiteor, ils se frappent la poitrine.
1.19.21.28.29 Confessez | je confesserai (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Un terme merveilleusement ambivalent En français courant (comme dans celui de fidèles dès le 4e s. : Tradition chrétienne Ps 118,1.29 !), les mots « confession » ou « confesser » évoquent surtout le sentiment de culpabilité, l'auto-accusation, ou le ... confessionnal ! Mais ces significations devenus habituelles ne sont que dérivées. Dans l'Écriture, et particulièrement dans le psautier latin, le verbe confiteor traduit le verbe grec exomologeô qui signifie « promettre, consentir, avouer, confesser, glorifier, rendre grâce » ; le sens dominant de l'acte de parole désigné par le verbe est celui de la confessio laudis.
Pour évoquer toute la richesse de ce mouvement de l'âme si profond, la traduction gardera autant que possible les mots « confession » ou « confesser ».
113,1–118,29 Béni soit le Nom du Seigneur. Le grand Hallel. Ce psaume est le premier du Hallel, suite de psaumes de louange (113-118) chantée les matins des fêtes et des néoménies (Ros ḥōdeš, Liturgie Nb 28,11–15). Le Hallel complet se dit aux Cabanes, les huits jours de Hanoukka (Liturgie 1M 4,36–60), les deux premiers jours de Pâque, les deux jours de Pentecôte. Il est abrégé les six derniers jours de Pâque et les néoménies.