Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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1 Celui qui habite au secret du Très-Haut
repose à l’ombre du Tout-Puissant.
1 ...
1 LOUANGE DE CANTIQUE DE DAVID
Qui habite dans le secours du Très-Haut
demeurera sous la protection du Dieu du ciel
2 Je dis à YHWH : — Mon refuge et ma forteresse
mon Dieu, en lui je me confierai.
2 il dira au Seigneur : — Tu es mon protecteur
Vsoutien
et mon refuge, mon Dieu ! J'espérerai en lui
2 ...
1–16 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est chanté dans les Zemirot du samedi matin et des fêtes. Il est également inclus dans les parties conclusives de l'office du samedi soir après Ps 90,13-17 (sauf quand il y a une fête solennelle dans la semaine suivanteà et dans le service funèbre.
1–16 Sainte Thérèse et les anges du Seigneur
En 1927, le projet d’illustration de sainte Thérèse d’Avila de Louis Bertrand (CR 1991) est envisagé et l’artiste compose et expose alors un cycle sur la sainte mystique. Ce grand panneau, dont on ne connait pas de petit format, représente l’illustration de la sentence mystique : « Tu ne parleras plus qu’aux anges », (Garreau, 1942, p. 145).
Louis Bertrand précise la phrase du Christ entendue par la sainte carmélite : « Je ne veux plus que tu converses avec les hommes, mais avec les anges », parole qui effraie tout d’abord la carmélite avant la grande consolation qui l’envahit quand elle avoue : « Jamais plus je n’ai pu me fixer en amitié, ni avoir consolation, ni amour particulier, si ce n’est avec des personnes qui de toute certitude pour moi, ont elles-mêmes l’amour de Dieu et sont zélées pour le servir... » (Bertrand, p. 171-172).
Le peintre, imprégné de la lecture de ce livre depuis qu’il songe à son illustration, compose, dans un camaïeu de lumière, sous les traits de sœur Marie de la Grâce, sa fille Sabine, clarisse, cet émerveillement de la carmélite au milieu des anges qui conversent avec elle. Une reproduction de la scène illustre l’article écrit par le père Couturier en fin d’année 1933, en hommage à son maître, publié dans L’Artisan Liturgique.
1–7.11–16 Qui habite dans le secret du Très-Haut Trait
15s.1 Il m'invoquera Introït
1–16 Reste avec moi, Dieu mon abri
1. Abide with me; fast falls the eventide; the darkness deepens; Lord, with me abide. When other helpers fail and comforts flee, Help of the helpless, O abide with me. 2. Swift to its close ebbs out life's little day; earth's joys grow dim; its glories pass away; change and decay in all around I see; O thou who changest not, abide with me. 3. I need thy presence every passing hour. What but thy grace can foil the tempter's power? Who, like thyself, my guide and stay can be? Through cloud and sunshine, Lord, abide with me. 4. I fear no foe, with thee at hand to bless; ills have no weight, and tears not bitterness. Where is death's sting? Where, grave, thy victory? I triumph still, if thou abide with me. 5. Hold thou thy cross before my closing eyes; shine through the gloom and point me to the skies. Heaven's morning breaks, and earth's vain shadows flee; in life, in death, O Lord, abide with me.
Reste avec moi, le soir tombe vite ; l'obscurité s'épaissit ; Seigneur, reste avec moi. Quand nos autres aides s'évanouissent et que le réconfort nous fuit, Secours de ceux qui sont sans secours, oh reste avec moi. Le petit jour de la vie reflue rapidement vers sa fin ; les joies de la terre deviennent ternes, ses gloires passent. Je vois le changement et la dégradation dans tout ce qui m'entoure. Ô toi qui ne changes pas, reste avec moi. J'ai besoin de ta présence à chaque heure qui passe. Qu'est-ce qui peut contrecarrer le pouvoir du tentateur, si ce n'est ta grâce ? Qui, autant que toi, peut être mon guide et mon abri ? À travers les nuages et le soleil, Seigneur, reste avec moi. Je ne crains aucun ennemi, avec toi près de moi pour me bénir ; les mauvais n'ont aucun poids, et les larmes aucune amertume. Où est l'aiguillon de la mort ? Où est, tombeau, ta victoire ? Je triomphe encore, si tu restes avec moi. Tiens ta croix devant ems yeux qui se ferment ; brille à travers l'obscurité, et montre-moi le ciel. Le matin du paradis se lève, et les ombres vaines de la terre s'enfuient. Dans la vie, dans la mort, ô Seigneur, reste avec moi.
Abide with Me est une hymne chrétienne écrite par l'anglican Henry Francis ; il mourut trois semaines après avoir achevé son chant. L'hymne est utilisée pour des cérémonies religieuses et militaires dans tout le Commonwealth, et par des supporters, notamment dans la Coupe d'Angleterre de football et la Coupe d'Angleterre de rugby à XIII. Elle figure également dans de nombreux films et cérémonies officielles telles que la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques d'été de 2012. Il existe une version française écrite par Jacques-François « Francis » Chaponnière en 1881.
en 1847, et le plus souvent chantée sur la musique d'Eventide par William Henry composée en 1861. a écrit le poème sur son lit de mort, gravement atteint par la tuberculose1 V—IUXTA HEBR.
1 Louange de cantique V—IUXTA G = louange sous forme de cantique.
2 V—IUXTA HEBR.