Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
Pour nous apporter votre aide, cliquer ici
13 Ne nous jugeons donc plus les uns les autres
mais jugez plutôt ceci :
de ne pas mettre
Vque vous ne mettiez pas une pierre d’achoppement ou une occasion de chute devant votre frère.
13 ...
14 Je sais et je suis persuadé
Vcrois fermement dans le Seigneur Jésus
que rien n’est souillé par soi-même
Byz Vlui-même ;
si ce n'est pour celui qui estime qu’une chose est souillée, pour celui-là, elle est souillée.
14 ...
14–23 tout genou fléchira devant moi Le Nom au-dessus de tout nom
Iesus, Hominum Salvator ». Il s'agit plutôt des trois premières lettres grecques du nom de Jésus (« Ιησους », ou « IHΣOYΣ » en majuscules), translittérées imparfaitement mais néanmoins traditionnellement : iota, êta, sigma. C'est le nom de Jésus qui sauve, comme cela foisonne dans les Actes des apôtres. En bas à gauche, des hommes se prosternent devant le nom de Jésus. Parmi eux, on reconnait le roi d'Espagne Philippe II (au centre, vêtu de noir), le Doge Alvise Mocenigo vêtu d'une chape doré et le pape Pie V qui leur fait face. La présence de ces trois personnages suggère la Sainte Ligue, alliance ayant pour objectif de contrer la progression turque durant la guerre entre Venise et la puissance ottomane au début des années 1570. En bas à droite, la gueule béante d'un monstre laisse entrevoir les damnés gisant dans les feux de l'enfer.
offre à ce verset de Paul une parfaite illustration. Dans la partie supérieure du tableau, le nom de Jésus figure, auréolé de lumière et surmonté d'une croix, adoré par des myriades d'anges en prière dans le ciel. Ce nom n'est ni un sigle, ni un acronyme, comme on le croit trop souvent dans le monde latin, en interprétant les trois lettres comme indiquant «