Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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16 Le calice de bénédiction que nous bénissons
n’est-il pas communion au sang du Christ ?
Et le pain que nous rompons
n’est-il pas communion
Vparticipation au corps du Christ
VSeigneur ?
16 ...
17 Car, à plusieurs, nous sommes un seul pain, un seul corps, tous ceux qui participent à un seul pain.
17 ...
18 Voyez Israël selon la chair,
ceux qui mangent les victimes ne sont-ils pas en communion avec
Vparticipent-ils pas à l'autel ?
18 ...
19 Qu'est-ce donc que je dis ?
Que la viande sacrifiée
Vce qui a été sacrifié aux idoles est
Vsoit quelque chose ?
Ou qu’une idole
Byz TRla viande sacrifiée aux idoles est
Vsoit quelque chose ?
19 ...
20 Mais ce qu'ils
Byz V TRque les nations immolent
c'est à des démons et non à Dieu qu'ils l'immolent,
or je ne veux pas que vous entriez en communion avec les
Vsoyez associés aux démons.
VVous ne pouvez boire le calice du Seigneur et le calice des démons.
20 ...
21 Vous ne pouvez boire le calice du Seigneur et le calice des démons.
VVous ne pouvez participer à la table du Seigneur et à la table des démons.
21 ...
22 Ou bien voulons-nous provoquer la jalousie du Seigneur ?
Est-ce que nous sommes plus forts que lui ?
VTout est permis, mais tout n'est pas utile.
22 ...
21–33 la table du Seigneur Sainte table La table est importante pour les chrétiens, qui n'oublient pas que le Christ s'est fait leur commensal, notamment lors de son dernier repas la veille de sa mort. La pratique chrétienne du bénédicité (premier mot de la prière latine Benedicite Deo, etc., « Bénissez le Seigneur », etc.) et des grâces (premier mot de la prière latine Gratias agimus tibi Deo, etc. « Nous te rendons grâce, ô Dieu », etc.) sanctifie ainsi le moment des repas.