Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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5 Car unique est Dieu
unique aussi le médiateur entre Dieu et les hommes,
un homme : Christ Jésus
5 ...
6 qui s’est livré lui-même en rédemption pour tous,
en témoignage pour ses Byz TR Nespropres temps,
6 ...
7 en vue duquel j’ai été établi, moi, prédicateur et apôtre,
— je dis la véritéByz TR dans le Christ, je ne mens pas —
enseignant des nations dans la foi et la vérité.
7 ...
8 Je veux donc que les hommes prient en tout lieu
levant des mains pures
sans colère ni dissension,
8 ...
1,1–6,21 Introduction →Timothée et Tite
1,1–6,21 Jésus-Christ notre espérance
Ce motet du compositeur hollandais Jan Pieterszoon
reprend les paroles du Psaume 31. Il convient particulièrement à la permière lettre de Saint Paul à Timothée, car l'Apôtre place celle-ci dès son commencement sous l'adresse de « Jésus-Christ notre espérance ». Les cinq voix se répondent allègrement pour montrer la joie naissante de la parole pleine de foi du psalmiste: « En toi Seigneur j'ai mis mon espoir ».1–5 Prière pour le roi
Domine, salvum fac regem est un motet qui servit de facto d'hymne national et royal à la France, lors de la célébration de la messe durant l'Ancien Régime. Il répond à la demande de Saint Paul de prier pour les rois. François Couperin composa ce motet comme organiste à la Chapelle Royale de Versailles.
Domine, salvum fac regem et exaudi nos in die qua invocaverimus te.
Éternel, sauve le roi ! Réponds-nous au jour de notre appel.
1–15 Ce n'est pas Adam qui a été séduit. La faute d'Eve. Selon la tradition rabbinique, le récit de la Genèse fonde l'idée que la femme doit être soumise à l'homme :