Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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14 Ne formez pas d'attelage Byz TR Nesdisparate avec des infidèles.
Quelle association en effet entre justice et iniquité ?
Ou quelle communion
Vsociété entre lumière et ténèbres ?
14 ...
15 Quel accord
Vpacte du
Byz TRpour le Christ avec Béliar
TR| Béliar | Belial |
VBélial ?
Quelle part pour le fidèle avec l’infidèle ?
15 ...
16 Quel rapport pour le temple de Dieu avec les idoles ?
Car nous sommes, nous,
Byz V TRvous êtes, vous, le temple du Dieu vivant
selon que Dieu a dit :
« J’habiterai au milieu d'eux et j’y marcherai
et je serai leur Dieu, et ils seront mon
Byz V TRà moi un peuple. »
16 ...
17 C’est pourquoi « sortez du milieu d’eux et soyez séparés », dit le Seigneur
et « ne touchez pas à ce qui est impur ; Byz TR Neset moi, je vous accueillerai.
17 ...
18 Vet moi je vous accueillerai
et je serai pour vous un père et vous serez pour moi des fils et des filles, dit le Seigneur tout-puissant. »
18 ...
7–18 les armes de la justice La constance dans les tribulations, fruit du combat spirituel
Selon la Légende Dorée de
(13e s.), au 4e s., saint Georges aurait délivré la ville libyenne de Silène d'un effrayant dragon. Ce dernier réclamait chaque jour un tribut de deux brebis. Lorsque les brebis vinrent à manquer, on offrit à la bête un animal et un jeune homme ou une jeune fille tiré au sort.Revêtu d'une armure rappelant les « armes de la justice », saint Georges monte un cheval blanc cabré. Ce mouvement s'oppose à celui du dragon qui, gueule béante et sanguinolente, fléchit sous l'assaut du saint. La lance se situe dans le prolongement de l'œil d'une tempête, en haut à droite de la composition, suggérant une intervention divine.
Saint Georges vient sauver la princesse de Silène, désignée par le sort. Celle-ci ne semble pas craindre le monstre. La Légende dorée raconte qu'usant de sa ceinture comme d'une laisse elle conduit par la suite le dragon rendu inoffensif dans la ville. Georges promet de le tuer à condition que les habitants de Silène se convertissent au christianisme.
Les deux personnages, au visage lumineux et paisible, tiennent en respect le dragon : l'une par la laisse, l'autre par la lance, incarnant ainsi deux voies de la victoire du bien sur le mal, fruit du combat spirituel.