Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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1 Voici déjà, mes bien-aimés,
Vtrès chers, la seconde lettre que je vous écris
dans l’une et dans l’autre j'éveille votre esprit sincère en faisant appel à vos souvenirs
1 ...
2 pour que vous gardiez mémoire des propos que j'ai avancés à partir des saints prophètes
et des préceptes des apôtres du Seigneur et Sauveur
2 ...
3 en sachant avant tout
que viendront dans les derniers temps des moqueurs
V Nesdes moqueurs dans la tromperie
cheminant selon leurs propres convoitises
3 ...
4 et disant :
V disant : — Où est la promesse ? ou son avènement ?
Car depuis que nos pères sont endormis
tout demeure comme au commencement de la création.
4 ...
5 En effet, ils ignorent, le voulant bien,
qu'autrefois existaient des cieux, et une terre qui subsistait par le verbe de Dieu hors de l'eau et à travers l'eau,
5 ...
6 et que par là même le monde d’alors, submergé par l'eau, périt.
6 ...
7 Quant aux cieux et à la terre d'à présent, le même verbe les a restaurés,
mis en réserve pour le feu au jour du jugement et de la perdition des hommes impies.
7 ...
7–12 mis en réserve pour le feu Le Christ juge Le feu du jugement entoure le « Fils de l'homme » lors de son retour glorieux comme souverain juge.
Œuvre d'un célèbre artiste polonais aux origines juives et chrétiennes, cette image colossale ne laisse personne indifférent. Moqué par les uns comme un Jésus bodybuildé, rapproché par les autres de l'art soviétique officiel du milieu du 20e s., cette mosaïque est aussi pour d'autres l'occasion de redécouvrir dans les Écritures l'image du Christ souverain juge, et pas seulement doux agneau, qu'elles recèlent aussi.