La Bible en ses Traditions

Apocalypse 3,11.15

Byz V S TR Nes

11 Voici que je

Byz V S NesJe viens bientôt :

tiens ferme ce que tu as, pour que personne ne ravisse ta couronne !

Vreçoive la couronne qui est à toi !

15 — Je connais tes œuvres :

tu n’es ni froid ni chaud.

Si seulement tu étais froid ou chaud !

Réception

Cinéma

1,1–22,21 Allusions à l'Apocalypse

  • Ingmar Bergman, Det sjunde inseglet [« le septième sceau »] (1957).
  • Vincente Minnelli, The Four Horsemen of the Apocalypse (1961).
  • Andrei Tarkovski, Offret [« le sacrifice »] (1985).
  • Peter Jackson, The Lord of the Rings (en particulier le 3e film, 2003).

Musique

11.15 Tiens ferme ce que tu as

18e s.

Georg Philipp Telemann (1681-1767), Halt, was du hast TWV 8,9

Magdeburg Baroque Orchestra & Chamber Choir Magdeburg

© Licence YouTube standard→, Ap 3,11.15

Paroles

Halt, was du hast, daß niemand deine Krone nehme, halt, was du hast, Jesu, meine Freude halt, was du hast, meines Herzens Weide, daß niemand deine Krone nehme, Jesu, meine Zier — halt, was du hast, ach, wie lange — halt, was du hast, ist dem Herzen bange — daß niemand deine Krone nehme, und verlangt nach dir. daß niemand deine Krone nehme, Gottes Lamm, mein Bräutigam, und sei getreu bis in den Tod, außer dir soll mir auf Erden und sei getreu bis in den Tod, nichts sonst lieber werden. So wirst du empfahen ein herrliches Reich und eine schöne Krone von der Hand des Herren. Weg mit allen Schätzen! Drum sei getreu bis in den Tod, Du bist mein Ergötzen, und sei getreu bis in den Tod, Jesu, meine Lust. so wirst du empfahen ein herrliches Reich und eine schöne Krone von der Hand des Herren. Weg, ihr eitlen Ehren! so wirst du empfahen Ich mag euch nicht hören, ein herrliches Reich bleibt mir unbewußt! so wirst du empfahen ein herrliches Reich und eine schöne Krone von der Hand des Herren. Elend, Not, Kreuz, Schmach und Tod so wirst du empfahen soll mich, wenn ich schon muß leiden, ein herrliches Reich nicht von Jesu scheiden. und eine schöne Krone von der Hand des Herren. Gute Nacht, o Wesen, das die Welt erlesen, mir gefällst du nicht, Gute Nacht, ihr Sünden, bleibet weit dahinten, kommt nicht mehr ans Licht! Gute Nacht, du stolze Pracht! Dir sei ganz, o Lasterleben, gute Nacht gegeben.

Garde ce que tu as, que nul ne prenne ta couronne. Garde ce que tu as, Jésus, ma joie, garde ce que tu as, repos de mon cœur, — Que nul ne prenne ta couronne, Jésus, mon trésor, garde ce que tu as, — Ah, depuis longtemps  — garde ce que tu as — mon cœur est angoissé — que nul ne prenne ta couronne — et se languit de toi. Que nul ne prenne ta couronne, Agneau de Dieu, mon fiancé, et sois fidèle jusqu’à la mort, — Que rien d’autre sur terre – et sois fidèle jusqu’à la mort — ne me soit plus cher que toi — Ainsi tu recevras un royaume splendide et une belle couronne des mains du Seigneur. Loin de moi tous les trésors ! C’est pourquoi sois fidèle jusqu’à la mort, — Tu es ma réjouissance — et sois fidèle jusqu’à la mort — Jésus, mon plaisir ! Ainsi tu recevras un royaume splendide et une belle couronne des mains du Seigneur — Loin de moi, vains honneurs — Ainsi tu recevras — Je ne veux pas vous écouter — Un royaume splendide — Restez-moi étrangers ! Ainsi tu recevras un royaume splendide et une belle couronne des mains du Seigneur — La misère, la détresse, le calvaire, l’opprobre et la mort — Ainsi tu recevras — Ne sauraient, quoi que j’endure — Un royaume splendide — Me détourner de toi. — et une belle couronne des mains duSeigneur — Bonne nuit, ô créature — Qui a choisi le monde. Tu ne saurais me convenir — Bonne nuit, ô péchés, — Restez loin derrière — Ne venez plus à la lumière — Bonne nuit, ô orgueil et splendeur — Et que te soit, ô existence de vices, — Accordée une bonne nuit !

L'auteur

Georg Philipp Telemann fut l'un des plus célèbres compositeurs allemands de l'âge baroque. Son ami Haendel disait de lui qu'il était capable de composer une musique religieuse à huit voix aussi naturellement que s'il s'agissait d'écrire une lettre. Par les impulsions novatrices qu'il a données tant à l'art de la composition qu'à la sensibilité musicale, il a puissamment marqué la musique de la première moitié du 18e siècle. Particulièrement prolifique, il jouait de plusieurs instruments et son œuvre immense touche à tous les genres reconnus de la musique de son temps. Sont particulièrement remarquables ses mélodies vocales, son utilisation imaginative des timbres ainsi que, surtout dans ses dernières œuvres, l'originalité de ses effets harmoniques.