La Bible en ses Traditions

Esther 1,6–8

M S
G
V

MCe n'était qu'étoffes blanches de lin et de poupre violette tenues par des cordes de byssus, étoffes pourpres sur des anneaux d'argent et des colonnes d'albâtre; lits d'or et d'argent sur un pavage de pierres précieuses, d'albâtre, de nacre et de mosaïques.

 

SEt des voiles de lin et de poupre violette étaient déployés, étendus par des cordes de byssus et de pourpre à des anneaux d'argent et à des colonnes de buis; et des lits d'or et d'argent étaient posés sur des pavés d'albâtre, et les draps étaient de byssus et de soie.

décorée de lin et de gaze fine tendus sur des cordes de lin et de pourpre, sur des chevilles d’or et d’argent, sur des colonnes de marbre et de pierres ; il y avait des lits d’or et d’argent sur un pavement de pierres semblable à de l’émeraude, à de la nacre et à de la pierre de marbre, et des couvertures translucides et tissées de couleurs variées, des roses éparpillées tout autour ;

De tous côtés avaient été dressées des tentes de couleur azur, lin et hyacinthe,

maintenues par des cordes de lin et de pourpre,

lesquelles étaient passées dans des anneaux d'ivoire et fixées à des colonnes de marbres.

Des divans d'or et d'argent étaient disposés sur un sol pavé d'émeraude et de marbre de Paros,

qu'ornaient des motifs merveilleusement bigarrés.

Pour boire, il y avait des coupes d’or, chaque coupe étant différente l’une de l’autre, avec un vin royal abondant à main de roi.

et le vin royal était abondant, selon la puissance du roi.

des coupes d'or et d'argent et un petit gobelet garni d'escarboucle établi à trente mille talents ; du vin abondant et doux, que le roi en personne buvait.

Les invités buvaient dans des coupes d'or,

et les plats étaient apportés dans des vaisselles toujours diverses ;

le vin aussi, comme il était digne de la magnificence royale,

était servi en abondance et de la meilleure qualité.

Mais la règle était de boire sans contrainte, car ainsi avait assigné le roi à toute son abondante maisonnée

Schaque grand en sa maison : faire selon le bon plaisir de chacun.

Et cette réception fut sans restriction, car ainsi avait voulu le roi et il avait ordonné aux maîtres de maison de faire sa volonté et celle de chacun.

Et il n'y avait personne pour forcer à boire qui ne le voulait pas,

mais le roi avait décidé de faire présider les tables par un seul de ses princes,

pour que chacun se servît comme il voulait.