Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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12 Est-ce qu'un figuier, mes frères, pourrait produire des olives, ou une vigne des figues ?
Ainsi aucune source
Vune [source] salée ne peut pas non plus produire de l’eau douce.
12 Ou est-ce qu'un figuier, mes frères, peut produire des olives, ou une vigne des figues ?
Ainsi des eaux salées ne peuvent pas être rendues douces.
12 Est-ce qu'un figuier, mes frères, peut produire des olives, ou une vigne des figues ?
Une eau salée [ne peut pas] non plus produire du doux.
1–12 Si quelqu'un ne trébuche pas en parole La langue, « fléau sans repos » et offrent une illustration saisissante des ravages d'une langue indomptée que saint Jacques détaille dans sa lettre.
L'envie est représentée sous les traits d'une vieille femme laide marchant à tâtons dans un berceau de flammes. Cherchant une proie de sa main droite crispée, elle tient fermement une bourse à sa main gauche. De sa bouche jaillit un serpent tordu en arrière, comme pour lui crever les yeux : la médisance se retourne toujours contre son auteur ... La queue du serpent entoure les grandes oreilles de la figure. Ouvertes aux vilenies de tout poil, elles rappellent celles des diablotins. L'envie et la médisance sont intimement liées.
Un homme — le menteur ? — tient dans ses bras un immense coquillage dont jaillit un homme nu. À la fois coupable et victime, ce dernier est aux prises avec un serpent qui l'enlace. Le mensonge échappe à son auteur, impossible à contrôler et à rattraper, et frappe ici un innocent pèlerin. Le piédestal sur lequel il se tient porte le nom du peintre.
Pour une fois, le mensonge n'est pas représenté sous les traits d'une femme !