Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
Pour nous apporter votre aide, cliquer ici
18 Ø
18 C’est dans ta crainte, et non pour suivre ma passion, que j’ai consenti à prendre un mari.
18 ...
19 Ø
19 Ou bien je n’étais pas digne d’eux, ou bien peut-être n’étaient-ils pas dignes de moi
car il se pourrait que tu m'aies conservée pour un autre époux.
19 ...
20 Ø
20 Ton dessein n'est pas dans le pouvoir des hommes.
20 ...
21 Ø
21 Mais quiconque t'honore
tient pour assuré que sa vie, si elle a été dans l’épreuve, sera couronnée
que s’il a été dans la tribulation, il sera délivré
et que si le châtiment est venu sur lui, il pourra obtenir ta miséricorde.
21 ...
22 Ø
22 Car tu ne prends pas plaisir à notre perte
mais après la tempête fais le calme
et après les pleurs et les larmes tu répands la joie.
22 ...
23 Ø
23 Que ton nom, Dieu d’Israël, soit béni dans les siècles !
23 ...
24 Ø
24 Ces deux supplications furent exaucées en même temps devant la gloire du Dieu souverain
24 ...
25 Ø
25 et le saint ange du Seigneur, Raphaël, fut envoyé pour soigner les deux
dont la prière avait été prononcée en même temps en présence du Seigneur.
25 ...
1,1–10,1 Va! Tobie... Oratorio de Charles Gounod
Introduit par des harmonies cristallines et alertes des bois, le récitatif de l’Ange — presque un arioso qui pourrait être celui d’un Page d’opéra — annonce au vieux Tobie que son fils va lui rendre la vue et, comme il sent quelque défiance, Raphaël insiste : « Quand c’est Dieu qui promet le doute est-il permis ? » avant de se lancer dans un air presque galant de ton, avec des arabesques de violons rebondissant sur le soutien des cors : « Va ! Tobie et sois sans crainte ». Tobie y répond symétriquement puis le père, la mère, le fils et l’ange se rassemblent pour une nouvelle reprise.
(France Musique © 2018)