Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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1 Quant à ce que vous avez écrit
il est beau
Vbon pour l’homme de ne pas toucher de femme.
1 ...
2 Toutefois, par crainte de la fornication, que chacun ait sa femme
Vson épouse
et que chacune ait son propre mari.
Vson mari.
2 ...
3 Envers la femme que le mari s'acquitte de son devoir
Byz TRde la due bienveillance
et pareillement aussi la femme envers le mari.
3 ...
4 La femme n’a pas le pouvoir sur son Byz TR Nespropre corps mais le mari
et pareillement le mari n’a pas le pouvoir sur son Byz TR Nespropre corps mais la femme.
4 ...
5 Ne vous privez pas l’un de l’autre
si ce n'est d’un commun accord pour un temps,
afin de vaquer à la prière
etNes d'être de nouveau VrevenezByz TRd'être réunis ensemble
de peur que le Satan ne vous tente à cause de votre incontinence.
5 ...
6 Or je dis cela par indulgence
non par un commandement.
6 ...
7 Or je veux bien que tous les hommes soient comme moi-même ;
mais chacun tient de Dieu son propre don
l’un d’une manière et l’autre d’une autre.
7 ...
8 Je le dis cependant aux non-mariés et aux veuves :
il Byz V TRest beau
Vbon pour eux qu'ils demeurent Vainsi comme je suis moi.
8 ...
9 Mais
VQue s'ils ne peuvent être continents qu’ils se marient
car mieux vaut se marier que de brûler.
9 ...
10 Mais à ceux qui sont mariés
Vunis par le mariage j’ordonne, non pas moi, mais le Seigneur
que la femme ne se sépare pas de son mari
10 ...
11 mais
Vque si elle s'en sépare, qu’elle reste sans se marier
ou qu’elle se réconcilie avec son mari
et que le mari ne renvoie pas sa femme.
11 ...
12 Mais aux autres, je leur dis, moi, non le Seigneur :
— Si quelque frère a une femme incroyante
et que celle-ci consente à habiter avec lui
qu’il ne la renvoie pas
12 ...
13 et toute
Vsi une femme Byz TR Nesqui a un mari incroyant
et qu’il consente à habiter avec elle
qu’elle ne renvoie pas son mari.
13 ...
14 Car le mari incroyant est sanctifié dans la femme
Vdans la femme croyante
et la femme incroyante est sanctifiée dans le frère
Byz TRdans le mari
Vpar le mari croyant ;
autrement vos enfants seraient impurs
or maintenant ils sont saints.
14 ...
15 Mais
VQue si l'incroyant se sépare, qu’il se sépare
le
Vcar le frère ou la sœur ne sont pas asservis
Vréduits en esclavage en ce cas ;
mais Dieu vous
Byz V TRnous a appelés à la paix.
15 ...
16 En effet que sais-tu, femme, si tu sauveras ton mari ?
Ou que sais-tu, mari, si tu sauveras ta femme ?
16 ...
17 Par ailleurs, comme le Seigneur
Byz TRDieu a attribué à chacun,
comme Dieu
Byz TRle Seigneur a appelé chacun, qu'il marche ainsi.
Et c'est ainsi que dans toutes les Églises je l'ordonne.
Vje l'enseigne.
17 ...
18 Quelqu’un a-t-il été appelé étant circoncis ?
Qu’il ne se fasse pas de prépuce.
Quelqu’un a-t-il été appelé étant dans l'incirconcision
Vavec un prépuce ?
Qu’il ne se fasse pas circoncire.
18 ...
19 La circoncision n’est rien
et l’incirconcision n’est rien
mais c'est l’observation des commandements de Dieu qui compte.
19 ...
19 La circoncision n'est rien La circoncision, image difficile Le rite de la circoncision, si intime et pourtant devenu le signe le plus visible de la différence entre juifs et chrétiens, n'a jamais été oublié de ces derniers. C'est au point que que l'Église célébra tous les 1er janvier la fête de la Circoncision de Jésus, remplacée par Paul VI en 1974 par la fête plus ancienne de Sainte Marie, Mère de Dieu — archéologisme liturgique, paradoxal à une époque où l'Église voulait redécouvrir les sources juives de sa foi (cf. →4) ! Les artistes en ont donné des représentations fort différentes. NA
Certaines sont d'une beauté et d'une paix marmoréennes :
D'autres représentent la cérémonie dans un cadre très rituel :
D'autres encore sont d'une précision chirurgicale :
Le couteau et l'autel finissent par évoquer un véritable sacrifice dont on se demande où il s'arrêtera : prémonition de la croix ?
, qui a peut-être assisté à des circoncisions dans la communauté juive, représente l'inquiétude et la douleur de la mère :
Marc
a représenté le rite juif lui-même, sans référence au Christ :Marc
s'est beaucoup inspiré de la tradition juive et du folklore. En 1930, son marchand d'art et ami Ambroise Vollard lui commanda une série d'illustrations sur la Bible. , qui décrivait le texte sacré comme « la plus grande source de poésie de tous les temps », peignit alors une quarantaine de gouaches, avant d'entamer une série d'eaux-fortes qui furent insérées au sein de la Bible de Genève : 105 gravures, toutes rehaussées de gouache par l'artiste, représentent les scènes-clés de l'Ancien Testament.