Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
Pour nous apporter votre aide, cliquer ici
8 Mais si quelqu’un ne s’occupe pas des siens et en particulier de sa maisonnée
il a renié la foi
et il est pire qu’un infidèle.
1,1–6,21 Introduction →Timothée et Tite
1,1–6,21 Jésus-Christ notre espérance
Jan Pieterszoon
(1562-1621), In te Domine speravi, 1619Timothy Brown (dir.), The Choir of Clare College, Cambridge
Ce motet du compositeur hollandais Jan Pieterszoon
reprend les paroles du Psaume 31. Il convient particulièrement à la permière lettre de Saint Paul à Timothée, car l'Apôtre place celle-ci dès son commencement sous l'adresse de « Jésus-Christ notre espérance ». Les cinq voix se répondent allègrement pour montrer la joie naissante de la parole pleine de foi du psalmiste: « En toi Seigneur j'ai mis mon espoir ».4–16 L'orphelin
Modeste
(1839-1881), The Orphan, 1868Sergei Leiferkus
Modeste
déploie dans ce chant tout le drame et la profondeur du romantisme russe pour décrire la peine et l'espoir d'un jeune orphelin. Saint Paul invite à prendre soin de la veuve et de l'orphelin dans ces versets, allant jusqu'à dire: « si quelqu'un ne s'occupe pas des siens, il a renié sa foi ».3–16 Honore les veuves Consolation et édification des veuves Le titre du tableau de renvoie à ce « système social » enraciné dans l'eucharistie que les premières Églises instaurent pour subvenir aux besoins de tous leurs membres, à commencer par la « veuve et l'orphelin ».
Jean-Baptiste
(1725-1805), La veuve et son prêtre (huile sur toile, entre 1750 et 1800), 128 x 160 cmMusée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg (Russie) © Domaine Public→