Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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30 Tu joindras au
M Gplaceras sur le pectoral
Vrational du jugement l’Urim et le Tummim
Gla manifestation et la vérité
V« doctrine » et « vérité »
et ils
Get ce
Vqui seront
Gsera sur le cœur
G Vla poitrine d’Aaron lorsqu’il entrera Gdans le saint devant YHWH
G Vle Seigneur
et Aaron
Vil portera le jugement
Gles jugements des fils
Venfants d’Israël sur son cœur,
Gla poitrine,
Vsa poitrine, devant G Vle Seigneur, M Gpour toujours.
30 ...
1,11 ; 3,18 ; 4,1–33 ; 5,1–23 ; 7,1–25 ; 8,1–32 ; 9,1–17 ; 10,1–29,13 Let my people go
Go Down Moses est un negro-spiritual, inspiré par l'Ancien Testament de la Bible, (Exode 5:1 et 8:1). Israël représente les esclaves africains d'Amérique alors que l'Égypte et le Pharaon représentent les maîtres esclavagistes. Cette chanson a été popularisée par Paul
. Le 7 février 1958, elle est enregistrée à New York par Louis avec Sy Oliver's Orchestra.Go down, Moses, way down in Egypt land, tell old Pharaoh to let my people go. Now when Israel was in Egypt land (Let my people go) oppressed so hard they could not stand (Let my people go), so the Lord said : go down, Moses way down in Egypt land, tell old Pharaoh to let my people go. So Moses went to Egypt land (Let my people go), he made old Pharaoh understand (Let my people go), yes the Lord said : go down, Moses way down in Egypt land, tell old Pharaoh to let my people go. Thus spoke the Lord, bold Moses said, (Let my people go), if not I'll smite your firstborn dead (Let my people go), 'cause the Lord said : go down Moses way down in Egypt land, tell old Pharaoh to let my people go, tell old Pharaoh to let my people go.
19,1–34,35 Emplacement du mont Sinaï
Le mont Sinaï sur cette carte est associé au djebel Musa au sud de la péninsule du Sinaï, où se trouve le monastère Sainte-Catherine. D'autres localisations ont été proposées au nord de la pénisule ou encore au Negeb par ceux qui adoptent un autre itinéraire pour les Hébreux. Toponymie Sinaï, Horeb.
2–39 LITURGIE Ornements du grand prêtre La tenue liturgique du grand prêtre, telle qu'elle est connue par des sources bibliques : Ex 28,4-40 ; 29,8-9 ; 39,27-30 et extrabibliques : par exemple, →3,172-178 A.J. ; →Let. Aris. 96-99) semble correspondre à une époque où le culte fut pleinement établi et développé, pas avant l'époque post-exilique, plus qu'aux temps de l'errance au désert.
En voici une reconstitution contemporaine.
En une seule image, voici un essai de visualisation de l'ensemble des ornements décrits en Ex 28,2-39 ; voir aussi les descriptions plus détaillées de l'éphod (Milieux de vie Ex 28,6–14), du pectoral (Milieux de vie Ex 28,15–30), et du (ou des ?) mystérieux Umim et Thummim (Milieux de vie Ex 28,29s).
29s « doctrine » et « vérité » RELIGION Le Urim et le Thummim Cet objet (ou ces objets) constituent une des énigmes les plus populaires de la Bible, au point d'avoir été repris dans les légendes fondatrices des Rosicruciens, des Mormons, ou dans des romans d'initiation comme L'alchimiste de Paulo , et peut-être même dans la devise de l'Université de Yale (« Light and Truth », cf. infra).
Les mots sont au pluriel, mais le contexte suggère qu'il s'agit d'un pluriel intensif, visant à rehausser la majesté des référents qu'ils visent (un peu comme le voussoiement pour s'adresser à une seule personne).
Le Urim et le Thummim servent (sert ?) à déterminer la volonté divine dans des domaines qui dépassaient la connaissance humaine, en une divination qui peut être espèce de loterie ou de tirage au sort sacrée, ou la lecture d'un signe (lumineux) sur ou dans l'objet ou les objets en question.
Flavius Josèphe transmet la croyance antique selon laquelle des phénomènes lumineux dans le Urim et le Thummim signalaient la présence de Dieu :
Même si Josèphe les assimile aux deux pierres des épaulettes du pectoral (Ex 28,9-12), en contradiction avec Ex 28,30, on n'a aucune documentation sur leur taille, leur forme ni le matériau dont ils étaient faits, bien qu'ils soient décrits comme des objets familiers pour Moïse.
Ces cristaux ne sont ici rien d'autre qu'une évocation de l'énigmatique « Urim et Tummim » biblique, qui pourraient avoir relevé de la pséphomancie, ou divination par les pierres.
olise peut-être l'autorité divine qui inspire la procédure.