Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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7 Le jus de la vigne est en deuil, le cep languit
GLe vin pleurera, la vigne pleurera
VElle a pris le deuil, la vendange, elle est étiolée, la vigne
tous ceux qui avaient la joie au cœur gémissent ;
Gtous ceux qui se réjouissent l'âme gémiront ;
Vil se sont mis à geindre, tous ceux se réjouissaient en leur cœur ;
7 ...
8 il a cessé, le son joyeux
Velle a cessé, la gaieté des tambourins
le bruit des plaisirs a pris fin,
Gla suffisance a pris fin, et la richesse des impies
Vil s'est calmé, le son des réjouissances le son joyeux de la harpe a cessé ;
Velle s'est tue, la douceur de la cithare ;
8 ...
9 On ne boit plus de vin au bruit des chansons, la liqueur enivrante est amère au buveur !
GOn a honte !
VCe n'est plus en chantant qu'on boit le vin, la potion est amère pour ceux qui la boiront !
9 ...
9 On ne boit plus de vin au bruit des chansons, la liqueur enivrante est amère au buveur !
GOn a honte !
VCe n'est plus en chantant qu'on boit le vin, la potion est amère pour ceux qui la boiront !
9 ...
7ss Chant sur la ville détruite
La Bible moralisée est un genre qui fleurit entre le 13e et le 15e siècles. Ce genre d'ouvrage s'attache à illustrer la plupart des chapitres de l'Ancien Testament, et à leur donner un sens allégorique ou typologique.
Dans cette enluminure conçue pour illustrer Is 24,7-9, on aperçoit quatre personnages se tenant debout ; à leurs pieds se trouvent une cithare et une harpe.
1–23 Sion, tu seras renouvelée - Antienne
Antienne chantée aux vêpres du mercredi après le deuxième Dimanche de l'Avent.
Sion, tu seras renouvelée, et tu verras ton juste qui va venir en toi.
8s La fin de la musique : écho paradoxal dans le Hit Parade de l'opéra italien ? La musique désertée de cette lamentation se fait entendre dans le célébrissime « chœur des esclaves » de Giuseppe , Nabucco qui évoque la détresse des juifs dans le chœur de la troisième partie, le Va, pensiero des Hébreux auxquels s'identifiait la population milanaise alors sous occupation autrichienne. Cet air célébrissime est tiré du troisième acte : sur les bords de l'Euphrate, les Hébreux, vaincus et prisonniers, se rappellent avec nostalgie et douleur leur chère patrie perdue.