Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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1 Qui est celui-là qui vient d'Édom en habits écarlates,
Vteints, de Bosra
lui ! magnifique en son vêtement, se courbant
Vs'avançant dans l'abondance de sa force ?
— Je suis celui qui parle avec
Vdis la justice, abondant,
V, je suis un combattant, mais pour sauver !
1 Quel est celui qui vient d'Édom, une rougeur de vêtement qui vient de Bosra,
si beau dans sa robe, avec vigueur et puissance ?
C'est moi qui parle de justice et du jugement du salut.
1 Qui est celui-là qui vient d'Idumée, de Bosra en habits teints ?
Il est magnifique dans son vêtement, il s'avance dans la grandeur de sa force.
C’est moi, qui parle avec justice et qui suis un défenseur pour sauver.
2 Pourquoi
VAlors pourquoi My a-t-il du rouge à ton vêtement Vest-il rouge et tes habits sont-ils comme ceux du fouleur
Vdes fouleurs au pressoir ?
2 ...
3 La cuve
VLe pressoir, je l'ai foulée
Vfoulé seul : d'entre les peuples
Vnations, il n'y a pas un homme avec moi
je les ai foulés dans ma fureur, je les ai piétinés dans ma colère
leur jus
Vsang a fait une aspersion sur mes habits et j’ai profané
Vsouillé tous mes vêtements.
3 plein de la vigne foulée aux pieds, et aucun homme des nations n'a été avec moi,
je les ai foulés dans ma colère, je les ai broyés comme de la poussière
et j'ai fait couler leur sang sur la terre ;
3 ...
4 Oui ! jour de vengeance dans mon cœur, l’année de ma rédemption est arrivée.
4 Car un jour de châtiment arrive pour eux, et une année de rédemption est là !
4 ...
5 J’ai regardé autour : personne qui vienne en aide !
Gaucune aide !
Vil n'y avait aucun auxiliaire, j’étais effondré
Gj'ai observé
Vj'ai cherché : Vil n'y eut personne qui soutienne !
Alors, c'est mon bras qui m’a sauvé
Gles a sauvés et mon indignation elle-même qui est venue à mon aide !
Gma colère qui est survenue !
5 ...
6 J’ai piétiné des peuples dans ma fureur et les ai enivrés dans mon indignation
j’ai fait descendre à terre leur jus !
Vforce !
6 Je les ai foulés aux pieds dans ma colère
et j'ai fait couler leur sang à terre.
6 ...
7 Je ferai mémoire des miséricordes de YHWH
Vdu Seigneur : louange de YHWH
Vdu Seigneur pour tout ce que YHWH
Vle Seigneur nous a rendu
et pour la grande bonté
Vmultitude des bontés envers la maison d’Israël qu’il leur a rendue
Vprodiguées
selon ses compassions
Vson indulgence et selon la grandeur
Vmultitude de ses miséricordes.
7 Je rapellerai la pitié du Seigneur, les qualités du Seigneur dans toutes les choses par lesquelles le Seigneur se montre généreux : le Seigneur est un bon juge pour la maison d'Israël, il fournit pour nous selon sa pitié et selon l'abondance de sa justice.
7 ...
8 Il avait dit : — Vraiment, c'est mon peuple, eux, des fils, ils ne tromperont pas.
Et il fut pour eux un Sauveur.
8 ...
9 En toute leur angoisse, c'est lui qui était
Vil n'a pas été angoissé
et l'ange au-devant de lui
Vde sa face les a sauvés.
Dans son amour et son indulgence, il les a rachetés lui-même
et les a soutenus et portés durant tous les jours d’autrefois.
Vdu siècle.
9 de toute leur oppression.
Ce n'est pas un ambassadeur ni un ange mais le Seigneur lui-même les a sauvés
parce qu'il les aime et les épargne. Il les a rachetés lui-même
et il les a soulevés et il les a élevés pendant tous les jours d’autrefois.
9 ...
10 Mais eux furent rebelles
Gdésobéirent
Vle provoquèrent à la colère et attristèrent
Girritèrent l'esprit de son Saint
alors il se changea pour
Gtourna vers eux en ennemi,
Gdans l'inimitié, lui-même leur fit la guerre
Gles combattit
10 ...
11 et son peuple
Vil se souvint des jours d'autrefois,
Vdu siècle, de MoïseV, de son peuple :
– Où est celui qui les fit monter
Vsortir de la mer avec les pasteurs de son troupeau ?
Où est celui qui a mis en son milieu l'esprit de son Saint
11 Alors celui qui fit sortir du pays le berger des moutons se souvint des jours d'autrefois.
Où est celui qui mit en eux l'Esprit saint ?
11 ...
12 qui fit avancer à la
Vsortir à droite Mde Moïse Vpar le bras de sa majesté
qui fendit les eaux devant eux pour se faire un nom éternel
12 Où est celui qui a fait marcher par sa droite Moïse, le bras de sa gloire ?
Il a soumis l'eau devant sa face pour se faire un nom éternel.
12 ...
13 qui
GIls les fit marcher
G Va conduits à travers les abîmes
Gl'abîme, comme un cheval qui dans
Gà travers le désert ne trébuche pas ?
Get ils n'ont pas fatigué.
13 ...
14 Comme une bête
Gdes troupeaux descend dans
Gà travers
Vdescendant dans la plaine, l'Esprit de YHWH l'a conduit au repos.
Gdu Seigneur est descendu et les a guidés.
Vdu Seigneur a été son guide.
C'est ainsi que tu as conduit ton peuple, pour te faire un nom de gloire.
14 ...
15 Prête attention depuis le ciel et regarde, de l'
Vta sainte habitation Mde ta sainteté et de ta splendeur :
Vgloire :
— Où est ton zèle et ta puissance
le frémissement
Vla multitude de tes entrailles et tes miséricordes ? Pour moi, elles se sont rétrécies.
15 Du ciel retourne toi et vois de ta maison sainte et de ta gloire.
Où est ton zèle et ta force ?
Où est l'abondance de ta pitié et de tes compassions... ?
15 ...
16 Car c'est toi notre père puisqu'
Vet Abraham ne nous a pas connus et Israël ne nous a pas reconnus.
Vnous a ignorés.
Toi, YHWH,
VSeigneur, tu es notre père ; « notre rédempteur » : c’est ton nom depuis l'éternité !
16 Car toi tu es notre père parce qu'Abraham nous nous a pas connus et Israël ne nous a pas reconnus
mais toi, Seigneur, notre père délivre-nous, ton nom est sur nous depuis le commencement.
16 ...
17 Pourquoi, ô YHWH,
VSeigneur, nous as-tu fait errer loin de tes voies
as-tu endurci notre cœur loin de ta crainte ?
Vpour que nous n'ayons plus crainte de toi ?
Reviens, à cause de tes serviteurs, tribus de ton héritage !
17 Pourquoi nous as-tu égarés, Seigneur, loin de ton chemin ? Pourquoi as-tu endurci nos cœurs au point que nous n'avons plus peur de toi ?
Reviens pour tes serviteurs et pour des tribus de ton héritage,
17 ...
18 En peu
Vun rien de temps, ils ont pris possession du peuple de ta sainteté. Nos
Vde ton peuple saint, nos ennemisV ;
Mils ont foulé aux pieds ton sanctuaire.
18 ...
19 Nous sommes devenus depuis longtemps ceux sur qui tu ne gouvernes pas, ceux sur qui ton nom n'est pas appelé.
19 Nous sommes devenus ce que nous étions au commencement, lorsque tu ne nous gouvernais pas, et que ton nom n'était pas invoqué pour nous. Si tu ouvrais le ciel,
19 Nous sommes redevenus comme au commencement, lorsque tu ne nous gouvernais pas et que ton nom n'était pas invoqué sur nous.
61,10–63,9 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Haftara du sabbat Nitsabim (51)
19 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Verset lu dans les récitatifs d'introduction à la prière journalière du matin.
19 si vous déchiriez les cieux, si vous descendiez L'icône comme intention de l'invisible : le regard de l'icône déchire les cieux
9 Adoucissement de sa propre souffrance dans la souffrance de Dieu
16 tu es notre père TEXTE Incipit d'une des plus célèbres prières de la Synagogue : « Avinou Malkenou »
Cette prière est chantée durant les dix jours de repentance entre Rosh Hashana et Yom Kippour, incluse dans les prières du matin (Shaharit) et du soir (Minha). Depuis le 17e s., la plupart des communautés ashkénazes orientales le récitent aussi tous les jours de jeûne.
La prière est interprétée à plusieurs voix, selon des arrangements différents selon les traditions, certaines alternant intonation des versets par un soliste et répons par la communauté, par exemple.
Dans le rite ashkénaze oriental, l'Arche est ouverte pendant Avinu Malkenu, et refermée à la fin ; dans le rite ashkénaze occidental, l'Arche n'est ouverte que le matin du jour de Rosh Hashana et durant toutes les prières de Yom Kippour, mais pas l'après-midi de Rosh Hashana ni le reste des dix jours de repentance. Dans la tradition séfarade, l'Arche n'est pas ouverte.
La reconstitution médiévale ci-dessus interprète les versets suivants :
« Notre Père, notre Roi, écoutez notre voix, ayez pitié et compassion de nous. — Notre Père, notre Roi, faites-le pour vous, sinon pour nous — Notre Père, notre Roi, accepte avec miséricorde et faveur notre prière — Notre Père, notre Roi, nous vous en supplions, ne nous renvoyez pas les mains vides loin de vous ! »
Sur la base de l'anaphore isaïenne, la supplication semble s'être développée librement, jusqu'à des séquences assez longues. Aujourd'hui, la tradition séfarade présente 29 versets ; dans la tradition mizrahi, la version syrienne présente 31 ou 32 versets, la yéménite 27, la salonicienne 53, la tradition ashkénaze a 38 versets, la version polonaise 44, tous avec des séquences différentes.
Le rite hashkenaze→ propose des variantes selon les jours :
La prière, célèbre, a donné lieu à bien des interprétations populaires.
אבינו מלכנו — מלכנו כתבנו —בספר חיים טובים, בספר חיים —אבינו מלכנו — מלכנו כתבנו — בספר גאולה וישועה, בספר גאולה וישועה —— אבינו מלכנו — כתבנו, חתמנו — בספר חיים טובים — אבינו מלכנו — כתבנו, חתמנו — בספר גאולה וישועה —— אבינו מלכנו — מלכנו כתבנו — בספר חיים טובים, בספר חיים טובים — אבינו מלכנו — כתבנו, חתמנו— בספר חיים טובים —— אבינו מלכנו — כתבנו, חתמנו — בספר גאולה וישועה — אבינו מלכנו — כתבנו, חתמנו — בספר חיים טובים — אבינו מלכנו — כתבנו, חתמנו — גאולה וישועה... —— אבינו מלכנו — כתבנו, חתמנו — בספר חיים טובים — אבינו מלכנו — כתבנו, חתמנו — בספר גאולה וישועה— כתבנו, חתמנו — בספר גאולה וישועה —— אבינו מלכנו — כתבנו, חתמנו — בספר חיים טובים — אבינו מלכנו — כתבנו, חתמנו — בספר גאולה וישועה — אבינו מלכנו — כתבנו, חתמנו — בספר חיים טובים — אבינו מלכנו — בספר גאולה וישועה
« Notre père, notre roi — Notre roi, inscris-nous — dans le livre de vie, dans le livre de vie — Notre père, inscris-nous, scelle-nous — dans le livre de vie —— Notre père, notre roi — inscris-nous, scelle-nous — dans le livre de la rédemption et du salut —— Notre père notre roi — inscris-nous, scelle-nous—dans le livre de vie —— notre père notre roi — inscris-nous, scelle-nous — Rédemption et Salut ... —— Notre père, notre roi — notre roi, inscris-nous — dans le livre de vie, dans le livre de vie — Notre père, inscris-nous, scelle-nous — dans le livre de la rédemption et du Salut — notre père notre roi — inscris-nous, scelle-nous — dans le livre de vie —— Notre père notre roi — dans le livre de la rédemption et du salut. »
15 Ô Seigneur, regarde du ciel
Look down from heaven, and behold from the habitation of thy holiness and of thy glory: where is thy zeal and thy strength, the sounding of thy bowels and of thy mercies toward me? are they restrained? (Is 63,15)
Jonathan
(mai 1738-10 décembre 1801) était un compositeur anglais, un claviériste et un ténor de concert. Il a commencé sa carrière en tant que compositeur en écrivant de la musique de théâtre, mais s'est ensuite consacré à travailler comme organiste et compositeur pour l'Église d'Angleterre. Il est considéré comme l'un des grands compositeurs anglais de musique sacrée du XVIIIe siècle et on se souvient surtout aujourd'hui de son hymne en sept parties Call to Remembrance, qui a longtemps survécu dans les répertoires des chœurs de la cathédrale.2 Pourquoi ton vêtement est-il rouge ?
Le théologien italien du 12e s., Is 63,2)
(ca. 1135-1202) se tient devant une ville et regarde un groupe d'anges tenant une bannière avec le visage de Jésus. Au-dessous de ce visage se trouve la phrase latine QUARE RUBRUM EST INDUMENTUM TUUM, qui signifie « Pourquoi tes vêtements sont-ils rouges? » (cf.3 Le pressoir, je l'ai foulé seul. Battle Hymn of the Republic
Mine eyes have seen the glory of the coming of the Lord; He is trampling out the vintage where the grapes of wrath are stored; He hath loosed the fateful lightning of His terrible swift sword; His truth is marching on. Glory! Glory! Hallelujah! Glory! Glory! Hallelujah! Glory! Glory! Hallelujah! His truth is marching on. I have seen Him in the watch-fires of a hundred circling camps; They have builded Him an altar in the evening dews and damps; I can read His righteous sentence by the dim and flaring lamps, His day is marching on. I have read His fiery gospel writ in rows of burnished steel! "As ye deal with my condemners, so with you My grace shall deal! Let the Hero, born of woman, crush the serpent with his heel", Since God is marching on. He has sounded forth the trumpet that shall never call retreat; He is sifting out the hearts of men before His judgment seat; Oh, be swift, my soul, to answer Him; be jubilant, my feet! Our God is marching on. In the beauty of the lilies Christ was born across the sea, With a glory in His bosom that transfigures you and me; As He died to make men holy, let us die to make men free! While God is marching on.
Mes yeux ont vu l'arrivée du Seigneur dans sa gloire ; il foule la cuve où se trouvent les raisins de la colère ; il a laissé aller l'éclair fatal de son glaive terriblement rapide ; sa vérité marche triomphalement. Gloire ! Gloire ! Alléluia ! Gloire ! Gloire ! Alléluia ! Gloire ! Gloire ! Alléuia ! Je l'ai vu dans les feux de veillée d'une centaine de camps tout autour ; il lui ont construit un autel dans la fraîcheur et l'humidité la nuit ; je peux lire sa juste sentence dans les lampes vives et lointaines ; son jour de gloire arrive. Je peux lire
The Battle Hymn of the Republic (L'Hymne de Bataille de la République) est un chant patriotique et ecclésiastique américain écrit par Julia Ward
en novembre 1861 et publié pour la première fois en février 1862 pendant la guerre de Sécession. Il était surtout chanté dans le Nord parce qu'il demandait la libération des esclaves du Sud. Il fut d'abord publié dans la revue Atlantic Monthly. Parfois, il est dit que cette chanson prône des valeurs contraires à Dixie, la chanson du Sud. Cet hymne fut d'abord composé en tant que variante à la marche John Brown's Body. Il a beaucoup été joué aux funérailles, celles de Winston Churchill et de Ronald Reagan par exemple, car il évoque des sentiments patriotiques et religieux à la mémoire d'un individu.8 C'est mon peuple. Le Royaume
'The Kingdom' est un oratorio en 5 scènes pour quatre solistes, chœur mixte et orchestre, composé par le chef d'orchestre britannique Edward 1Ch 12,18 Is 63,8 Si 25,2 Sg 18,15 Ps 107,2.113,1 Jl 2,26 Ac 1,16.20.24.26 2Ch 29,11 Ml 2,1.3,1 ).
. Après le prélude orchestral décrivant Jérusalem, la scène I s'ouvre avec Pierre, Jean, les deux saintes femmes, la Sainte Vierge Marie et Marie-Madeleine citant les mots de Jésus, à partir de l'Evangile et d'autres textes (