Notre traduction de la Bible est entièrement disposée en « vers », ou plutôt en « cola et commata », c’est-à-dire : « par membres et césures » (cola translittère le pluriel du terme grec kôlon, signifiant membre d’un corps ; comma vient du grec kómma signifiant coupure, césure ; le mot « comma » existe en français→). Nous disposons le texte comme dans l’édition de référence de la →Vulgate de saint Jérôme.* Elle se reconnaît d’emblée à l’alternance de lignes inégales, les unes en saillie, les autres rentrées : cela ressemble bien à la succession des vers d'un poème. En fait, le texte est divisé en petites sections correspondant à une phrase ou à un membre de phrase, dont la longueur ne dépasse guère deux ou trois lignes et peut même se réduire à une seule, voire à un seul mot, et chacune de ces sections débute sur une nouvelle ligne. Les autres lignes de la section, s'il y en a, commencent un peu en retrait vers la droite.
Voici un des plus beaux spécimens anciens de la division du texte biblique per cola et commata (le texte reproduit est celui de Jn 4,35-5,1) :
Petite digression sur le codex Amiatinus
L’un des codices les plus importants au monde, gros de 1 030 folios mesurant environ 50,5 x 34 cm (chaque bifolium ayant nécessité la production d'une peau de veau entière), le Codex Amiatinus est le plus ancien manuscrit connu de la Vulgate latine complète, considéré comme la copie la plus fidèle de la traduction originale de saint Jérôme. Il fut la base de la révision de la Vulgate par le pape Sixte Quint dans les années 1585-90. →, rapporte que le moine bénédictin Ceolfrid (642-716), abbé de Wearmouth et Jarrow et professeur de Bède, commanda trois grandes bibles au scriptorium de l'abbaye de Wearmouth-Jarrow, dont deux furent placées dans chacune des églises jumelles de Wearmouth et Jarrow et la troisième était destinée à être offerte au pape. Les bibles furent copiées à partir du Codex Grandior de Cassiodore, du 6e s. aujourd'hui perdu. Ce qu’on appelle aujourd’hui le « Codex Amiatinus » (du fait qu’il fut conservé pendant des siècles à l'abbaye du Saint-Sauveur à Monte Amiata en Toscane avant d'arriver à la Bibliothèque Laurentienne à la fin du 18e s.) est cette troisième copie. Réalisée par sept scribes différents, il fut présenté à Grégoire II par des associés de Ceolfrid, qui est mort sur le chemin de Rome en 716. Le manuscrit présente de nombreuses influences byzantines, en particulier dans les enluminures, et on a longtemps pensé qu'il était d'origine italo-byzantine plutôt qu'anglaise. Hist. eccl.
C’est saint Jérôme de Stridon (ca 347-420), le saint patron des traducteurs, qui inventa cette disposition du texte biblique. Le choix de disposer le texte de toutes les Écritures per cola et commata en affecte la lecture, par la forme littéraire qu’il leur reconnaît. Voici un bref historique de cette présentation du texte, et un aperçu de ses principales motivations et des effets de sens qu'elle peut produire.
HISTOIRE
Avant Jérôme
Les textes de la littérature gréco-romaine
étaient transmis en « stiques » (du mot grec stichos signifiant ligne).
Les Grecs segmentent le texte en lignes correspondant à une longueur de seize syllabes, soit la longueur d'un vers chez Homère (environ 36 lettres). Cette division stichométrique avait une double fonction, commerciale et éditoriale. Elle servait dans la production des livres à évaluer la longueur du texte et le paiement dû au copiste, et dans leur édition à se repérer en vue de leur étude critique
Au départ liée à la poésie, la division fut étendue aux œuvres en prose, sans doute pour en faciliter la lecture (elles aussi étaient lues à haute voix)
Dès le 1er s. →18 donne des explications sur les méthodes employées pour découper le texte de Démosthène en cola et en périodes. Comp.
, Commentaire sur le Peri ideôn d’Hermogène 1,63 (11e s., cf. Walz, Rh. Gr. 6, 127) affirme que l'écriture per cola et commata fut l'invention des rhéteurs à l'imitation de la poésie.
La division en lignes acquit aussi une dimension sémantique et l’on inventa une autre type de division, selon le sens :
(258-180 av. J.-C.) mesure la longueur des vers de la poésie lyrique y compris au théâtre, en les divisant selon le sens en kola (l’hexamètre grec est composé de quatre kôla) et en revenant à la ligne (stichos) à chaque kôlon.
Lorsqu’elles seraient appliquées à la traduction de textes déjà poétiques (avec leur propre prosodie, dans leur langue originelle) ces divisions pourraient y créer de nombreux effets de sens.
La littérature hébraïque
avait ses propres lois prosodiques.
→ 2,16,4) et David en vers de trois ou cinq pied ( A.J.→ 7,12,3). A.J.
, par exemple, affirme que Moïse a composé en vers de six pieds (Saint Jérôme lui-même reconnaît plusieurs sortes de pieds dans les psaumes (→ 30,3,1, CSEL 54,245,1) et plusieurs mètres dans la prophétie de Jérémie ( Ep.→ 63,8,16 : CSEL 54,460,16). Ep.
Il est probable qu’un effort d’édition, et donc d’organisation minutieuse du texte qui aboutirait à la quête d’exactitude du système massorétique fixé entre le 7e et le 10e s., se déployait au moins depuis la fin de la période hasmonéenne et la fixation d’un texte dit « protomassorétique » (cf. →MASSORÉTIQUE (Texte —, ou : M) ; les fières affirmations de →1,8 « Après tant de siècles écoulés, personne ne s’est permis aucune addition, aucune coupure, aucun changement » au texte biblique C. Ap. ; ou encore les attestations des manuscrits de la mer Morte, en particulier ceux de →Qumrân).
Les Écritures en grec et en latin
étaient transmises en scriptio continua (sans séparation entre les mots, ce qui en fait surtout les aide-mémoire d’une transmission surtout orale), sur des lignes de longueur arbitraire, déterminée par la largeur prédéfinie des colonnes.
Dès le 2e s. av. J.-C. les scribes s’étaient mis à mobiliser la mise en page pour indiquer les unités de base que sont le paragraphe et le capitulum, afin de clarifier les principales étapes d'une argumentation ou d'un récit.
Les grands manuscrits du 4e s. avaient commencé à abandonner la disposition quantitative en stiques alexandrins : les codices Sinaiticus et Vaticanus éditent non seulement les livres dits « poétiques », mais aussi Job, la Sagesse et le Siracide en deux colonnes au lieu de trois ou quatre, pour donner assez d’ampleur au lignes de sens sans trop les briser.
Jérôme innova
Faisant œuvre littéraire autant que scientifique, Jérôme appliqua au texte de la Vulgate le découpage per cola et commata en divisant chaque période en parties formant des unités de sens, et en commençant une nouvelle ligne pour chacune. Lorsque l'unité de sens est trop longue pour tenir sur une ligne (environ 30 signes), le reste est reporté à la ligne suivante avec un léger retrait par rapport à la marge. En cela il innovait littérairement en s’inspirant de la littérature profane :
Il divise le texte des « livres historiques » en cola et vers (Prologue à Josué : distinctiones per membra divisas ; Prologue aux Paralipomènes (Chroniques) : per versuum cola) ;
Il divise celui des livres prophétiques en cola et commata (Prologue à Ezéchiel : « per cola scriptus et commata manifestiorem legentibus sensum tribuit »).
Il invitait à ne pas confondre les mètres et les vers qu’il créait ainsi avec la prosodie hébraïque des psaumes ou des livres attribués à Salomon. Il indique appliquer un usage commun pour les œuvres de Démosthène et de Cicéron divisées en sentences longues et courtes, cola et commata, quoi qu’ils aient écrit en prose et affirme procéder ainsi pour la commodité du lecteur en faisant apparaître plus clairement le sens. Il insiste pour que l’on conserve toutes ses divisions :
Prologue à Isaïe « Nemo cum Prophetas versibus viderit esse descriptos metro eos aestimet apud Hebraeos ligari, et aliquid simile habere de Psalmis vel operibus Salomonis : sed quod in Demosthene et Tullio solet fieri, ut per cola scribantur et commata, qui utique prosa et non versibus conscripserunt, nos quoque utilitati legentium providentes, interpretationem novam novo scribendi genere distinximus. »
Il fut ensuite imité jusqu’au 9e s. dans les scriptoria qui transmettent la Bible :
Le ms de Cheltelham (Ms 12 266 de la Collection Phillips) dit parfois liste de Mommsen, présente un catalogue stichométrique livre par livre, arrondi en chiffres élégants. Il date du10e s. mais copie un matériel du milieu 4e s. La comparaison avec les coupures per cola et commata de l’Amiatinus montre une correspondance très remarquable (
, 505).Cf. William ; cf. Theodor , « Zur lateinischen Stichometrie », dans Hermès 21 (1886) 142-156.
, « The Cheltenham List of the Canonical Books of the New Testament and of the Writings of Cyprian », Studia Biblica et Ecclesiastica III (Oxford, 1891), 217-325 : la liste est « réimprimée à partir de l'article de Mommsen », dans lequel « la latinité et les erreurs d'écriture du manuscrit sont reproduites telles quelles » (222)Les premiers copistes de la Vulgate semblent avoir respecté les intentions de son auteur, même si la répartition du texte entre les lignes à l'intérieur des petites sections comporte des variations d'un manuscrit à l'autre, allant d'une copie très matérielle jusqu'à l'art consommé du scribe du codex Amiatinus (cf. supra), qui non seulement tient compte du sens du texte qu'il transcrit, mais se préoccupe aussi de l'esthétique de la mise en page.
La comparaison entre la dispositio du texte dans des codices comme l’Amiatinus, avec la ponctuation dans des codices comme le Cavensis (9e s.), montre que les coupures hiéronymiennes se sont bien transmises (
, 497-499).Vers le 8e s., les ateliers anglais inventent l’abréviation « K » (peut-être pour kôlon ou pour komma)afin de signaler les fautes de copistes dans la division des lignes, avec une double fonction: signaler l'endroit où une division a été omise, et réclameraux copistes postérieurs qu'ils commencent une nouvelle ligne.
MOTIVATIONS et effets
Jérôme accomplit son œuvre alors que la rhétorique, conçue comme médiatrice entre la sagesse et les mots, est la science reine des savoirs. Il faut comprendre son initiative dans le contexte de l’anthropo-théologie du langage qu’elle véhicule.
Déclamatoire : entre hésitation et maîtrise
La première motivation de Jérôme était physique, liée à l’actio ou performance orale. Il voulait faciliter la déclamation de sa traduction.
, Mémoire (référence complète en fin de note), 99 « Il n’y a dans la disposition de la Vulgate per cola et per commata qu’un seul genre de division matérielle : c’est une coupure du texte, tantôt plus long et tantôt plus courte, mais toujours apte à être lu d’une seule émission de voix »
, 495 « Jérôme fit jouer à ce système de coupures un rôle utilitaire. La lecture et surtout la lecture publique sur des manuscrits où phrases et mots défilaient en séries ininterrompues de lettres d'égale hauteur et à peine séparées les unes des autres, devait être un art fort difficile à son époque : Jérôme voulut que les plus simples eux-mêmes pussent remplir l'office de lecteur dans l'assemblée des Frères. A nouvelle traduction il donna, comme lui-même l'écrit, disposition nouvelle, et il coupa son texte par petites sections en allant à la ligne non seulement à la fin de chaque période, mais aussi à la fin de chaque membre secondaire, si bien que quiconque articule à haute voix les mots des phrases ainsi disposées, en prenant soin seulement de s'arrêter à chaque coupure, fait une lecture correcte et intelligible. »
Sémantique : entre science et nescience
La disposition colométrique du texte obéit donc aussi à un critère sémantique : elle regroupe les mots qui doivent être unis dans la lecture, sans pourtant imposer une seule lecture comme la ponctuation moderne tend à le faire :
, 495 : « Une pareille disposition offre, pour l'éditeur d'un texte ancien, un très grand avantage, car elle le dispense de cette perpétuelle intrusion dans la pensée de l'auteur qu'est notre ponctuation moderne. Cet avantage est accru encore lorsqu'il s'agit du texte biblique, car l'interprétation en est ainsi laissée à saint Jérôme lui-même. »
En mettant en relief le langage pour lui-même, sans le réduire à n’être qu’un signe transparent d’une « information », d’un « sens » qui seul importerait, cette disposition du texte écrit accompagne un idéal de connaissance modulée par la sagesse, une science dont la pierre de touche reste la docte ignorance : face qu mystère du monde, de l’homme et de Dieu « je ne sais qu’une chose c’est que je ne sais rien » ( → 21d Apologie de Socrate. ; Ménon 80d 1-3 ; Hippias mineur 372b-372d).
La dispositio per cola et commata s’avère en fait riche de nombreux effets de sens : c’est ainsi qu’elle peut être motivée spirituellement.
Spirituelle : entre direction et suggestion
La disposition per cola et commata produit aussi des effets rythmiques d’accélération ou de ralentissement dans les récits comme dans les discours. Cela imprime un rythme de lecture, en permettant de s'attarder sur certains mots et d’accélérer sur d'autres. En voici quelques exemples
Dans le NT les malices et péchés à éviter sont souvent listés en cola et commata brefs (Ga 5,19-21), formant diptyque avec des listes analogues d'actions bonnes ou de fruits de l’Esprit Ga 5,22-23).
- En Mc 7,21-22 : toutes les pensées mauvaises regroupées en trois par lignes en fort contraste avec par exemple la fructification du bon grain dans la bonne terre Mc 4,8 : une par ligne
La célèbre envolée de Paul sur le thème « tout est à vous et vous êtes au Christ... » est disposée en un mot par ligne : 1Co 3,21-22 ; il en est de même pour les signes de la venue du messie à annoncer à Jean en Mt 11,4-5 ou encore pour les dons de l’Esprit selon Paul en 1Co 12,5.
La disposition per cola et commata permet aussi de mettre en valeur de nombreux passages en style direct, proches du théâtre, en revenant à la ligne à chaque fois qu’une nouvelle prise de parole commence. En soulignant graphiquement la marquetterie des voix qui s'entendent, les retours à la ligne font des Écritures un grand opéra avec de nombreuses voix.
- Cela rend particulièrement vives certaines argumentations où la parole est donnée tour à tour à divers points de vue, évoquant une véritable stichomythie théâtrale : 1Co 1,12.
Plus généralement, en réduisant au strict minimum la ponctuation, la disposition per cola et commata permet de retrouver dans la langue cible certaines étrangetés produites par des constructions grammaticales de la langue-source inexistantes dans la langue-cible mais que les traducteurs, par respect pour la révélation, choisissent de préserver. Appliquée aux psaumes, qui sont régis en hébreu par une autre prosodie, elle aboutit à plusieurs reprises à rendre possibles des enjambements étrangement modernes.
ANNEXE : le plus ancien manuscrit de la Vulgate
La division per cola apparaît dans la plus ancienne copie conservée des évangiles de la Vulgate, dont voici une page :
Dispositio du texte
- Le texte se présente sur deux colonnes, écrites en semi-onciale en scriptio continua : dans les limites d'un capitule, les divers composantes ne sont pas distinguées, les pauses nécessaires étaient laissées à la discrétion du lecteur
- Chaque page présente 24 à 25 lignes, avec des titres de colonnes au milieu de la marge haute pour indiquer le début des livres.
- Les fins de lignes correspondent soit à la fin d'un mot, soit à la fin d'une syllabe.
- Chaque periode ou capitulum (comme l'appelle l'annotateur f.95, cf. ill. suivante), sorte d’équivalent du verset moderne, commence à une nouvelle ligne avec une littera notabilior placée à gauche dans la marge.
- Les chiffres en marge facilitent l'utilisation du texte avec les tables canoniques qui indiquent les passages parallèles dans les autres Evangiles.
Caractéristiques remarquables du ms Σ
Le Codex Sangallensis 1395, épais de 473 feuilles de parchemin (24 x 18,5 cm) disposées in quarto compile des fragments rassemblés au 19e s. Il recèle un précieux manuscrit latin du Nouveau Testament datant du 5e s., désigné par Σ. C’est le plus ancien manuscrit latin conservé de la traduction du Nouveau Testament de Jérôme, qui fut chargé par le pape Damase en 382 de réviser les anciennes traductions latines (Vetus Latina).
- Σ présente le texte des quatre évangiles (Mt 6,21-Jn 17,18) avec de nombreuses lacunes ;
- il présente les →nomina sacra en abréviations (ainsi que les mots en fin de ligne) ;
- il contient des formes dialectales comme clodos (claudos), dispurgumeni (dispergimini).
- Les translittérations grecques de noms hébreux tels que Ααρων, Ισαακ, Αβραμ, Βεθλεεμ sont latinisées par suppression des voyelles répétées ou intercalation de la lettre « h » (mais des formes standard de la Vetus Latina comme Aron et Isac y apparaissent en concurrence avec Aharon et Isahac, Bethlem et Bethlehem).
Des autographes de saint Jérôme ?
Le codex Sangallensis contient des marginalia présentant les notes d’un scribe contemporain du texte qui a été identifié de manière plausible avec saint Jérôme lui-même !
1,101-111), et par un second érudit inconnu. Le premier annotateur compare deux exemplaires latins et un texte grec. .Ce folio présente Lc 23,5-16, avec en marge en lettres noires les de I à MMLI les portions de la concordance des quatre Évangiles et leurs paragraphes ; en rouge de I à X les Canons d’Eusèbe. Dans la marge inférieure apparaît une des deux notes de ce manuscrit écrites en onciale romaine ancienne.
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* Notre disposition suit celle de la →Vulgate Weber-Gryson, à deux différences près : pour la commodité du lecteur, nous y ajoutons des signes de ponctuation, et pour des raisons technologie numérique la division en versets (très postérieure au 4e s., puisqu'elle ne fut étendue à toute la Bible qu'à partir de Robert Estienne en 1555) force certains retours à la ligne qui ne sont pas dans les manuscrits anciens de la Vulgate.
Pour aller plus loin :
, Bernhard, Mittelalterliche Studien: ausgewählte Aufsätze zur Schriftkunde und Literaturgeschichte, 3 vols, vol. 1, Stuttgart : Hiersemann, 1966.
, James Rendel, Stichométrie, Londres : Clay, 1893.
, Elias Avery (et Roger Aubrey Baskerville Mynors, Bernhard Bischoff), CLA (Codices Latini Antiquiores. A palaeographical guide to Latin manuscripts prior to the ninth century), Oxford : Clarendon Press, 1934-1971 (12 vols.), puis index et addenda.
, Patrick, Latin Gospel Books from A. D. 400 to A. D. 800., Paris-Bruxelles : Erasme, 1961, 12-13 et 113-17 : sur les capitules.
, Eberhardt, « Die eusebianische Evangelien-Synopse », Neue kirchliche Zeitschrift, 19 (1908), 40-51, 93-114, 219- 232.
, Malcom Beckwith, Scribes, Scripts and Readers. Studies in the Communication, Presentation and Dissemination of Medieval Texts, Londres : The Hambledon Press, 1991.
, Malcom Beckwith, Pause and Effect: An Introduction to the History of Punctuation in the West, Berkeley-Los Angeles : University of California Press, 1993.
, Dom Henri, Mémoire sur l'établissement du texte de la Vulgate, Ie partie, Octateuque, « Collectanea Biblica Latina VI », Rome-Paris : Desclées-Gabalda 1922, 4e part., c.3 « De la disposition du texte per cola et commata, 495-505.
, William J. (éd.), Aristophanis Byzantii Fragmenta, « Sammlung griechischer und lateinischer Grammatiker » 6, Berlin et New York : Walter de Gruyter, 1989.
, Cuthbert Hamilton, The Oldest Manuscript of the Vulgate Gospels, Oxford : Clarendon press, 1931.
, Jean, « La division en paragraphes dans manuscrits de la basse Antiquité et du haut Moyen Âge », in La Notion du paragraphe, Paris : ed du CNRS, 1985, 41-51
, Christian, Rhetores graeci... Emendatiores et auctiores edidit, suis aliorumque annotationibus instruxit indices locupletissimos, 7 vol., Stuttgart : J.G. Cottae, 1832 (vol. 3).
, Robert, « La lettre grecque K employée comme signe de correction dans les manuscrits bibliques latins écrits ‘per cola et commata’ », Scriptorium 9/1 (1955), 57-63.