Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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12 Et il attendit encore
Vnéanmoins sept autres jours et il lâcha la colombe
et elle ne revint
Vqui ne [s'en] retourna plus vers lui.
13 Et il arriva, l’an six cent un, au premier [mois], le premier [jour] du mois
que les eaux avaient séché au dessus
S[au dessus] de la terre.
Et Noé ôta le toit de l’arche et regarda,
et voici : la face de la terre avait séché.
13 Et il arriva, l’an six cent un, au premier mois, le premier jour du mois,
que l'eau avait laissé la terre.
Et Noé découvrit le toit de l’arche qu'il avait faite
et vit que l'eau avait laissé la face de la terre.
13 Alors, l’an six cent un, au premier mois, le premier jour du mois
les eaux diminuèrent sur la terre.
Et Noé ouvrant le toit de l’arche regarda et vit que la surface de la terre avait séché.
14 Et au
VAu second mois, le vingt-septième jour du mois, la terre fut mise à sec.
6,5–9,29 Le déluge biblique et l'épopée d'Atrahasis ou de Gilgamesh
Dans une barque en roseau, dans une attitude de prière, un prêtre se tient devant un taureau portant sur son dos un autel, lui-même portant les symboles d’Inanna, deux hampes bouclées...
L'épopée de Guilgamesh connue par un document assyrien du 7e s. av. J.-C., s'inspire du mythe babylonien d'Atrahasis encore plus ancien. La séquence narrative du déluge biblique est parallèle au récit de Guilgamesh.