Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
Pour nous apporter votre aide, cliquer ici
24 à peine sont-ils plantés, à peine sont-ils semés, à peine leur tronc a-t-il pris racine en terre
qu'il souffle sur eux et ils sèchent et l’ouragan les emporte comme la paille.
24 Ils ne sèmeront pas, ils ne planteront pas, leurs racines mêmes ne prendront pas.
À peine a-t-il soufflé sur eux qu'ils se dessèchent et que la tempête les emporte comme des broussailles
24 ...
1–26 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Haftara du sabbat Vaëtrhanan (45)
Dans les rites d'Italie et de Provence, ce samedi est dénommé naḥamu ("consolez"), du premier mot de son haftara. Celle-ci se chante, en Italie, sur un air spécifique dont les accents joyeux évoquent la consolation que ce samedi inaugure après la période de deuil du début de la lune d'Ab. Dans le rite séphardi, l'on chante, dans l'office de l'après-midi du 9 Ab, qui tombe généralement quelques jours avant ce sabbat, plusieurs poèmes de facture médiévale commençant par le mot naḥamu.
40,1–55,13 Le « livre de la consolation d’Israël » L'incipit de ce chapitre et le thème des premiers versets inspire le titre souvent donné à cette deuxième partie du livre d'Isaïe : Is 40-55. En contraste avec les oracles pleins de menace d'Is 1-39, c'est la consolation qui est ici annoncée, par le prophète anonyme de la fin de l'Exil qu'on appelle le « Deuxième Isaïe ».