Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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1 Ainsi parle YHWH
Vle Seigneur à son oint
Vmon christ, Cyrus
que j’ai pris par la main droite
pour soumettre
Vque je soumette devant lui
Vsa face des nations et que je desserre les reins des rois,
Vque je retourne le dos des rois, que j'ouvre devant lui les portails et que les portes ne se ferment pas.
1 ...
1–7 Cyrus Étendard de Cyrus le Grand Son emblème se trouve sur une plaque de Persépolis, la capitale de l'empire perse achéménide :
L'étendard appelé Derafsh-e Shahbaz-e-Talayi (« le faucon doré » ; persan : درفش شاهباز طلایی) est décrit en ces termes par →7,1,4 : « L'étendard était un aigle royal, aux ailes déployées, porté sur un long manche de lance, et tel est encore l'étendard du roi de Perse. » ( il s'agit de l'étendard d'Artaxerxès II à Cunax). Cyr.
40,1–55,13 Le « livre de la consolation d’Israël » L'incipit de ce chapitre et le thème des premiers versets inspire le titre souvent donné à cette deuxième partie du livre d'Isaïe : Is 40-55. En contraste avec les oracles pleins de menace d'Is 1-39, c'est la consolation qui est ici annoncée, par le prophète anonyme de la fin de l'Exil qu'on appelle le « Deuxième Isaïe ».