Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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1 V= V—Ps 113 a. ALLELUIA
Dans la sortie d'Israël d’Égypte,
de la maison de Jacob du milieu d’un peuple barbare
1 ...
2 Juda devint son lieu saint
Israël son domaine.
2 ...
2 Juda devint son lieu de sanctification
Israël sa puissance,
3 La mer [le] vit et s’enfuit
le Jourdain retourna en arrière
3 ...
3 la mer vit et s'enfuit
le Jourdain retourna en arrière
4 les montagnes bondirent comme des béliers
les collines comme des agneaux :
Vles petits du troupeau :
4 ...
5 qu’as-tu, mer, à t’enfuir ?
Jourdain, à retourner en arrière ?
5 ...
5 qu'as-tu, mer, à t'enfuir
et toi, Jourdain, à retourner en arrière ?
6 montagnes, à bondir comme des béliers
collines, comme des agneaux ?
6 ...
6 montagnes, à bondir commes béliers
et collines, comme agneaux de brebis ?
1–8 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est le deuxième du Hallel, suite de psaumes de louange chantée les matins des fêtes et des néoménies (Ros ḥōdeš) (voir Ps 113)
113,1–118,29 Hallelujah
Hallelujah, qui signifie en hébreu Hallelou « Rendez louange » Yah, Yahweh « à Dieu », est une chanson écrite par Leonard 2S 11,2), mais alors il perd sa puissance comme Samson à cause de Dalila (Jg 16,1-31). L'amour l'a laissé seul sur un chemin de douleurs et de souffrances malgré des moments d'intimité, et dans un verset final faisant allusion à la mort d'Urie (2S 11,6-17), il nous dit qu'il n'a rien appris de l'amour si ce n'est comment se protéger de potentiels rivaux.
. Elle a été enregistrée pour la première fois sur son album de 1984 intitulé . Avec une dramatique ironie, ce psaume des jours modernes pose en contraste d'une part l'adoration des Psaumes de David pour le Seigneur qui s'est plu à écouter son harpe mystique, et d'autre part l'adoration du narrateur pour son amante qui ne s'est jamais plu à écouter sa musique. Il est comme David captivé par la beauté de Bethsabée quand il la voit dans son bain (1–8 Quand Israël sortit d'Egypte
Alleluja! Kijövén Izrael Egyiptomból, Jákob háza az idegen nép közől, lőn Judea az ő szenthelyévé, Izrael az ő birodalmává. A tenger látta ezt, és futott; a Jordán visszafordúlt. A hegyek szökdeltek, mint a kosok, és a halmok, mint a juhok bárányai. Mi lelt téged, tenger, hogy futottál? és téged, Jordán, hogy visszafordúltál? és titeket hegyek, hogy szökdeltetek, mint a kosok, ti halmok, mint a juhok bárányai? az Úr színe előtt megrendűlt a föld, Jákob Istene előtt, Ki a sziklát tavakká változtatta, és a kőszirtet vízforrásokká. (Ps 114,1-8)
Zoltán
est un compositeur, ethnomusicologue et pédagogue en musique. Il a notamment donné son nom à une méthode d'enseignement de la musique, codifiée par des disciples de sa pensée pédagogique nommée plus tard la méthode Kodály. a créé une œuvre chorale très importante. Il utilise notamment des chansons, des contes, des ballades et des mélodies populaires. Celles-ci reprennent des scènes de vie paysanne, des thèmes bibliques ou héroïques avec l'accent magyar. Il développera de nombreuses méthodes d'enseignement de la musique, dont on parle encore aujourd'hui sous le terme de méthode Kodály, initiant les jeunes enfants au chant et à la tradition chorale.1 In exitu Israël de Aegypto, domus Jacob de populo barbaro, 2 facta est Judaea sanctificatio ejus; Israël potestas ejus. 3 Mare vidit, et fugit; Jordanis conversus est retrorsum. 4 Montes exsultaverunt ut arietes, et colles sicut agni ovium. 5 Quid est tibi, mare, quod fugisti? et tu, Jordanis, quia conversus es retrorsum? 6 montes, exsultastis sicut arietes? et colles, sicut agni ovium? 7 A facie Domini mota est terra, a facie Dei Jacob: 8 qui convertit petram in stagna aquarum, et rupem in fontes aquarum. (Ps 114,1-8)
Felix
, né le 3 février 1809 à Hambourg et mort le 4 novembre 1847 à Leipzig, est un chef d'orchestre, pianiste et compositeur allemand du début de la période romantique. Contemporain de , et , il laisse une œuvre très féconde pour sa courte vie de 38 ans (symphonies, concerti, oratorios, œuvres pour piano seul, musique de chambre…). Il a participé à la redécouverte de la musique baroque et surtout de Jean-Sébastien et Georg Friedrich . Il est notamment l'un des premiers compositeurs de son temps à renouveler l'art du contrepoint, ce qui lui vaut parfois d'être considéré comme « le classique des romantiques ».1 In exitu Israël de Aegypto, domus Jacob de populo barbaro, 2 facta est Judaea sanctificatio ejus; Israël potestas ejus. 3 Mare vidit, et fugit; Jordanis conversus est retrorsum. (Ps 114,1ss)
Samuel Sebastian
(14 août 1810-19 avril 1876) est un organiste, chef de chœur et compositeur anglais. De son vivant, il composa presque exclusivement pour l'Église d'Angleterre, qui continue de chérir sa mémoire. Ses hymnes mieux connus incluent “Thou wilt keep him in perfect peace” et “Wash me throughly”.1 Quand Israël sortit d'Égypte Alleluia
« Le texte de cet alleluia reprend le tout premier verset du psaume. Le contexte pascal de ce chant nous plonge dans la propre histoire de nos âmes. Israël en effet, ce n'est pas seulement l'Église, c'est aussi chacun de nous. Notre âme est invitée par Dieu à sortir d'Égypte, à s'extraire du peuple barbare (barbare ici signifie bredouillant, c'est-à-dire un peuple étranger qui ne parle pas la même langue) pour émigrer vers la cité de Dieu.
Au niveau musical, il s'agit plutôt d'une pièce contemplative de rumination de la parole de Dieu. La mélodie répond parfaitement à cette nécessité contemplative. Le jubilus de l'alléluia est long, très beau, très progressif. Le verset se compose quant à lui de deux phrases mélodiques correspondant aux deux phrases du texte. Le 2ème mode rend très bien ce mélange de nostalgie et d'espérance qui caractérise la vie sur terre, dans l'attente de la béatitude éternelle ».
Commentaire rédigé par un moine le 29 septembre 2018 dans l'Homme Nouveau→.
1 V—IUXTA HEBR. ALLELUIA | Quand Israël sortit d'Égypte | la maison de Jacob d'un peuple barbare
2 V—IUXTA HEBR.
3 V—IUXTA HEBR.
5 V—IUXTA HEBR.
4 V—IUXTA G
4 V—IUXTA HEBR.
6 V—IUXTA HEBR.
113,1–118,29 Béni soit le Nom du Seigneur. Le grand Hallel. Ce psaume est le premier du Hallel, suite de psaumes de louange (113-118) chantée les matins des fêtes et des néoménies (Ros ḥōdeš, Liturgie Nb 28,11–15). Le Hallel complet se dit aux Cabanes, les huits jours de Hanoukka (Liturgie 1M 4,36–60), les deux premiers jours de Pâque, les deux jours de Pentecôte. Il est abrégé les six derniers jours de Pâque et les néoménies.