Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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17 Toutes les nations sont M Vdevant lui comme rien
G Vsi elles n'étaient pas
elles sont
Gont été comptées par lui pour néant et vanité.
Grien.
17 ...
18 À qui donc comparerez-vous YHWH
VÀ la ressemblance de qui avez-vous fait le Seigneur et quelle image lui préparerez-vous ?
18 À qui avez-vous fait ressembler le Seigneur ? À quelle ressemblance l'avez-vous fait ressembler ?
18 ...
19 L'artisan coule l'idole, le fondeur la plaque d’or et fond des chaînettes d’argent.
19 Est-ce que l'image qu'un artisan a fabriquée ou qu'un orfèvre, ayant fondu l'or, a moulée ne reproduit pas leur ressemblance ?
19 L'artisan n'a-t-il pas coulé la statue ou le doreur façonnée en or et l'argenteur en plaques d'argent ?
20 Celui qui est pauvre choisit comme offrande un bois qui ne pourrit pas
et il se cherche un artisan habile pour préparer une idole qui ne branlera pas.
20 L'artisan choisit un bois imputrescible et cherche avec sagesse le moyen de dresser son image afin qu'elle demeure stable.
20 L'artisan sage choisit un bois fort et imputrescible. Il cherche comment il fixera son simulacre pour qu'il ne bouge pas.
1–26 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Haftara du sabbat Vaëtrhanan (45)
Dans les rites d'Italie et de Provence, ce samedi est dénommé naḥamu ("consolez"), du premier mot de son haftara. Celle-ci se chante, en Italie, sur un air spécifique dont les accents joyeux évoquent la consolation que ce samedi inaugure après la période de deuil du début de la lune d'Ab. Dans le rite séphardi, l'on chante, dans l'office de l'après-midi du 9 Ab, qui tombe généralement quelques jours avant ce sabbat, plusieurs poèmes de facture médiévale commençant par le mot naḥamu.
40,1–55,13 Le « livre de la consolation d’Israël » L'incipit de ce chapitre et le thème des premiers versets inspire le titre souvent donné à cette deuxième partie du livre d'Isaïe : Is 40-55. En contraste avec les oracles pleins de menace d'Is 1-39, c'est la consolation qui est ici annoncée, par le prophète anonyme de la fin de l'Exil qu'on appelle le « Deuxième Isaïe ».