Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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1 Non pas à nous, YHWH, non pas à nous
mais à ton nom donne gloire
à cause de ta bonté, à cause de ta fidélité !
1 ...
1 = V—Ps 113b.
Non pas à nous, Seigneur, non pas à nous
mais à ton nom donne gloire
2 Pourquoi les nations diraient-elles : — Où donc est leur Dieu ?
2 ...
2 à cause de ta miséricorde et de ta vérité
de peur que les nations ne disent : — Où est leur Dieu ?
1–18 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est le troisième du Hallel, suite de psaumes de louange chantée les matins des fêtes. On l'omet lors des néoménies (Ros ḥōdeš) et autres jours où se dit le demi-Hallel (voir Ps 113)
113,1–118,29 Hallelujah
Hallelujah, qui signifie en hébreu Hallelou « Rendez louange » Yah, Yahweh « à Dieu », est une chanson écrite par Leonard 2S 11,2), mais alors il perd sa puissance comme Samson à cause de Dalila (Jg 16,1-31). L'amour l'a laissé seul sur un chemin de douleurs et de souffrances malgré des moments d'intimité, et dans un verset final faisant allusion à la mort d'Urie (2S 11,6-17), il nous dit qu'il n'a rien appris de l'amour si ce n'est comment se protéger de potentiels rivaux.
. Elle a été enregistrée pour la première fois sur son album de 1984 intitulé . Avec une dramatique ironie, ce psaume des jours modernes pose en contraste d'une part l'adoration des Psaumes de David pour le Seigneur qui s'est plu à écouter son harpe mystique, et d'autre part l'adoration du narrateur pour son amante qui ne s'est jamais plu à écouter sa musique. Il est comme David captivé par la beauté de Bethsabée quand il la voit dans son bain (1–18 Dieu est au ciel et toi sur la terre
Antonio Vivaldi met en musique le texte du Psaume 114 d'une manière très dense et rapide par un style d'accompagnement très varié. Par la virtuosité de prononciation et le débordement de notes le compositeur laisse entrevoir la gravité de la phrase « Deus autem noster in cælo » que l'on retrouve dans l'Ecclésiaste pour inviter l'homme au silence.
113,1–118,29 Béni soit le Nom du Seigneur. Le grand Hallel. Ce psaume est le premier du Hallel, suite de psaumes de louange (113-118) chantée les matins des fêtes et des néoménies (Ros ḥōdeš, Liturgie Nb 28,11–15). Le Hallel complet se dit aux Cabanes, les huits jours de Hanoukka (Liturgie 1M 4,36–60), les deux premiers jours de Pâque, les deux jours de Pentecôte. Il est abrégé les six derniers jours de Pâque et les néoménies.
2–8 Les paîens et leurs idoles : Daniel, Cyrus et l'idole de Bel
Daniel, en retrait dans l'ombre, dévoile peu à peu au roi Cyrus sa crédulité. Est-ce le premier passage, où le roi, montrant de son sceptre les récipients vides, demande à Daniel : « Bel ne te semble-t-il pas être un dieu vivant ? Ne vois-tu pas tout ce qu’il mange et boit chaque jour ? » (Dn 14,5) ou bien le retour dans le temple après la nuit qui est ici représenté ? La signature de Rembrandt, comme tracée dans la cendre déposée sur le sol sous la table d'offrandes pour exposer la tromperie des prêtres de Bel, et le visage effrayé de ces derniers à l’arrière-plan laissent supposer qu’il s’agit plutôt de la fin de l’épisode.