Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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1 Au maître de chant. Sur la Gitthienne.
Des fils de Coré. Psaume
1 ...
1 POUR LA FIN POUR LES PRESSOIRS AUX FILS DE CORE PSAUME
2 Que tes demeures sont aimables, YHWH
VSeigneur des armées !
2 ...
3 Mon âme languit jusqu'à se consumer après les parvis de YHWH
mon cœur et ma chair tressaillent vers le Dieu vivant.
3 ...
3 Mon âme désire et se languit des parvis du Seigneur
mon cœur et ma chair ont exulté pour le Dieu vivant
4 Le passereau même trouve une maison
et l’hirondelle un nid
où elle dépose ses petits :
tes autels, YHWH des armées
mon roi et mon Dieu !
4 ...
4 car le passereau ÷ se : trouve une maison
et la tourterelle le nid où elle va poser ses petits :
tes autels, Seigneur des armées, mon roi et mon Dieu !
5 Heureux ceux qui habitent dans ta maison
ils peuvent te louer encore.
Vpour les siècles des siècles il te loueront
Séla.
VDIAPSALMA
5 ...
6 Heureux les hommes dont la force est en toi
à qui les montées sont à cœur.
6 ...
6 Heureux l'homme à qui le secours vient de toi
il a disposé dans son cœur des moyens pour s'élever
7 Traversant la vallée du micocoulier
GDans la vallée des pleurs
ils en font une source
Gvers le lieu qu'il a fixé
la pluie
Get le législateur aussi la couvre de
Gdonnera des bénédictions.
7 dans la vallée des larmes
dans le lieu qu'il a fixé
7 ...
8 Ils marchent avec une vigueur croissante
et ils paraissent devant Dieu dans Sion :
8 ...
8 car le législateur donnera les bénédictions
ils iront de vertu en vertu
il sera vu le Dieu des dieux en Sion
9 YHWH
VSeigneur, Dieu des armées, écoute ma prière
prête l’oreille, Dieu de Jacob.
Séla
VDIAPSALMA
9 ...
10 ô Dieu, notre bouclier, vois
et regarde la face de ton Oint !
10 Dieu notre protecteur regarde
et considère la face de ton christ !
11 Car un jour dans tes parvis vaut mieux que mille
je préfère me tenir sur le seuil de la maison de mon Dieu
plutôt que d’habiter sous les tentes des méchants.
11 Car un jour dans tes parvis vaut mieux que mille
je préfère être banal dans la maison de mon Dieu
plutôt qu'habiter sous les tentes des pécheurs
12 Car YHWH Dieu est un soleil et un bouclier
YHWH donne la grâce et la gloire
il ne refuse aucun bien à ceux qui marchent dans la perfection.
12 ...
12 Car Dieu ÷ aime : la miséricorde et la vérité
le Seigneur donnera grâce et gloire
13 YHWH des armées, heureux celui qui se confie en toi !
13 ...
13 il ne privera pas de biens ceux qui marchent dans l'innocence...
Seigneur des armées,
heureux l'homme qui espère en toi !
1–13 Du maître de chœur. Liturgie juive (rite séphardi) Ce psaume ouvre l'office de l'après-midi (Offrande ou מִנחַה).
5 LITURGIE JUIVE (rite portugais) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 104-31 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
5 LITURGIE JUIVE (rite portugais) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 104-31 ainsi que dans celui commençant par Ps 105 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
Il forme, avec Ps 144-15, l'introduction à la récitiation du psaume 145 dans la prière du matin et de l'après-midi.
13 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 105 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin. Il est également inclus dans Ma nomar, centon constituant une prière d'indulgence lue dans l'office journalier du matin ainsi que lors des fêtes d'expiation.
3 soupire V Le terme latin desiderare a aussi le sens de : soupirer après (cf. Blaise)
77,19 ; 84,2s Les éclairs illuminèrent le monde Introït
1ss L'âme qui soupire après son Dieu : Marie-Madeleine
4s Le passereau trouve une maison - Communion
10s.2s Notre protecteur
3 V—IUXTA HEBR.
Mon âme soupire et languit après les parvis du Seigneur | mon cœur et ma chair loueront le Dieu vivant.
6 V—IUXTA HEBR.
Heureux l'homme dont la force est en toi | [tes] sentiers sont dans son coeur.
7 V—IUXTA HEBR.
8 V—IUXTA HEBR.
1–13 Jérusalem céleste
And did those feet in ancient times — Walk upon England’s mountains green? — And was the Holy Lamb of God On England’s pleasant pastures seen? — And did the Countenance Divine —Shine forth upon our clouded hills? — And was Jerusalem builded here — Among those dark Satanic Mills? — Bring me my Bow of Burning Gold; — Bring me my Arrows of Desire; — Bring me my Spear; O clouds Unfold! Bring me my Chariot of Fire! — I will not cease from Mental Fight, — Nor shall my Sword sleep in my hand, — Till we have built Jerusalem — In England’s green and pleasant Land.
Dans les temps anciens, ces pieds ont-ils — Foulé les vertes montagnes d'Angleterre ? — Et le saint Agneau de Dieu a-t-il été — Vu sur les prairies agréables de l'Angleterre ? — Et la Face Divine a-t-elle — Brillé sur nos collines couvertes de nuages ? — Et Jérusalem a-t-elle été bâtie iciParmi ces usines sombres et sataniques ? — Apportez-moi mon arc d'or flamboyant ; — Apportez-moi mes flèches de désir ; — Apportez-moi ma lance ; — O nuées déployées !Apportez-moi mon chariot de feu ! — Je ne cesserai jamais mon combat intérieur, — Et jamais mon épée ne dormira dans ma main, — Jusqu'à ce que que nous ayons bâti Jérusalem — Sur les terres vertes et plaisantes d'Angleterre.
Le compositeur adapte en hymne le poème de
, « And did those feet in ancient time » (extrait de la préface à Milton: A Poem in Two Books, 1804-1811), plus connu sous le simple nom de « Jerusalem ». Il en fit ainsi l'un des plus fameux airs patriotiques anglais, au même titre que Rule Britannia et Land of Hope and Glory. Ce sont les trois chants qui sont entonnés par l'assistance lors de la « Last Night of the Proms » et qui, en certaines occasions, comblent l'absence d'un hymne national officiel.« Cette prose est due au célèbre hymnographe parisien Adam de Saint-Victor (c. 1112 † c. 1192), préchantre de la cathédrale de Paris, principal auteur du répertoire parisien des séquences dont il a renouvelé le genre en leur conférant une ampleur musicale et une richesse spirituelle par les images théologiques abordées. Ce répertoire victorin s’est très vite diffusé dans toute l’Europe Occidentale, on en chantait les séquences dès le XIIIème siècle à Palerme, Zagreb, Aix-la-Chapelle ou Dublin. Les livres parisiens modernes contiennent deux chants pour cette prose, celui d’Adam de Saint-Victor, et celui recomposé au XVIIIème siècle par l’Abbé d’Haudimont, maître de chapelle de la cathédrale de Châlons-sur-Saône puis de Notre-Dame de Paris et de Saint-Germain L’Auxerrois (avant 1790). La mélodie d’Haudimont, quoique récente, est, avouons-le d’une grande réussite musicale et fut immédiatement très populaire à Paris ». (Schola Sainte Cécile→)
Filles de Jérusalem et de Sion, saints habitants des demeures célestes, chantez de concert un cantique de joie. Alléluia.
C’est en ce jour que Jésus-Christ, le modèle de toute justice, prend pour épouse l’Eglise notre mère, qu’il a tirée de l’abîme de misère où elle était plongée.
C’est du côté ouvert de l’Homme-Dieu attaché sur la Croix qu’elle est sortie ; le sang précieux, & l’eau mystérieuse qui coulèrent de cette source sacrée, lui furent donnés alors pour la laver et la sanctifier.
La formation de l’Eglise par Jésus-Christ avait été figurée par celle d’Eve, cette mère commune du genre humain, qui fut tirée d’une des côtes d’Adam notre premier père.
Ève a donné la mort à ses enfants ; mais l’Eglise est une mère qui donne la vie aux siens : elle est pour eux un port de salut : elle est leur asile, et leur solide appui.
Elle est cette barque sur laquelle nous voguons sûrement à travers les écueils du siècle ; cette bergerie où nous sommes à l’abri des attaques de l’ennemi : elle est la colonne de vérité, sur laquelle nous sommes appuyés comme sur un fondement inébranlable.
Quelle doit être notre joie et notre reconnaissance dans cette auguste solennité, où nous célébrons l’union de Jésus-Christ avec son Eglise, union sainte par laquelle s’opère le grand ouvrage de notre salut !
Par cette union mystérieuse les justes entrent en possession des récompenses éternelles, les pécheurs obtiennent le pardon de leurs crimes, les Anges même sentent augmenter leur joie.
Ces merveilles sont l’effet de la sagesse suprême de Dieu, qui par le seul motif de sa miséricorde, en a prévu l’accomplissement de toute éternité.
Que Jésus-Christ notre Sauveur, dont nous devenons les enfants par l’union qu’il contracte avec l’Eglise notre mère, nous fasse goûter les vraies délices, et participer dans le ciel aux joies éternelles des Elus. Amen.
4 V—IUXTA HEBR.
10 V—IUXTA HEBR.
11 V—IUXTA HEBR.
13 V—IUXTA HEBR.
9 V—IUXTA HEBR.
1 V—IUXTA HEBR.
5 V—IUXTA HEBR.
Heureux ceux qui habitent ta maison. Ils te loueront encore. | TOUJOURS.
12 V—IUXTA HEBR.
2ss Que tes demeures sont aimables, Seigneur
Ein deutsches Requiem, nach Worten der heiligen Schrift für Soli, Chor und Orchester (Orgel ad lib.), op. 45 – « Un Requiem allemand, sur des textes de l'Écriture sainte, pour solistes, chœur et orchestre (avec orgue ad libitum) » – est une œuvre sacrée (mais pas liturgique) en sept parties (ou mouvements) composée par Johannes
et achevée en 1868. Elle dure de 70 à 80 minutes, ce qui en fait la plus longue composition de Brahms. Les deux solistes n'interviennent qu'exceptionnellement, le baryton pour faire entendre l'appel angoissé de l'homme face à son destin, la soprano pour annoncer le caractère maternel des consolations futures. L'orchestre reste toujours d'une clarté exemplaire, même lorsqu'il passe au second plan. La conclusion résume la promesse du sermon sur la montagne. Les épisodes centraux du sixième morceau pourraient être considérés comme une version protestante du Dies iræ. L'œuvre, de conception humaniste, que l'auteur aurait désiré rendre œcuménique, lui assura la célébrité.Wie lieblich sind deine Wohnungen, Herr Zebaoth! Meine Seele verlanget und sehnet sich nach den Vorhöfen des Herrn; mein Leib und Seele freuen sich in dem lebendigen Gott. Wohl denen, die in deinem Hause wohnen, die loben dich immerdar.