Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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84,1–13 Du maître de chœur. Liturgie juive (rite séphardi) Ce psaume ouvre l'office de l'après-midi (Offrande ou מִנחַה).
133,3 Sion Sion,colline de Jérusalem "Sion" est le nom ancien de la colline entre les vallées du Cédron à l'Est et les vallées du Tyropéon à l'Ouest de Jérusalem.
133,3 “donne” verbe au présent Dans la V,au contraire de la S(le verbe est à l'aoriste) et de la M(le verbe est à l'accompli),le verbe du verset 3 est au présent:"mandavit Dominus";ce qui intensifie l'éternité de l'acte de Dieu qui donne la bénédiction.
133,1ss poème lyrique C'est un poème lyrique qui exprime la joie,l'exaltation par des exclammations("Voici!"),par un rythme rapide(qui manifeste un certain élan),par des allitérations et des répétitions(cf procédés littéraires).
133,1 la joie de la vie fraternelle La première communauté dans les Actes des Apotres(2,42-46)rappelle le premier verset du psaume:"Tous les croyants vivaient ensemble(...)ils prenaient leur repas avec allégresse et simplicité de coeur".La joie de la vie fraternelle bénie par Dieu se retrouve dans la première communauté chrétienne avec la meme insistance sur le fait que tous les membres de la communauté vivent ensemble.
133,1 la septante commence par une question Au contraire de la M et de la V,le psaume de la S commence par une question,ce qui donne plus de vivacité au poème et qui implique encore davantage celui qui écoute le psaume car le psalmiste s'adresse plus directement à lui ainsi:une question implique plus qu'une affirmation car elle implique une réponse de la part de l'interlocuteur.
133,2 l’huile 11Q5,psaume 151 de la Septante:
"Il a envoyé son ange me prendre derrière les brebis de mon père, et il m'a oint de son huile."
133,3 “ a établi” verbe au Piel
çwh est un verbe au Piel. Le Piel exprime l'intensité de l'acte posé. C'est bien "pour toujours" qui Dieu a établi ses paroles de bénédictions.
133,1 “tous” conjonction
gam est une conjonction qui a pour finalité de donner plus d'énergie à l'expression. Ce qui a permi de traduire "tous ensemble" pour intensifier l'idée de communion fraternelle.
133,3 Montagnes de Sion Montagnes de Sion,demeure de Dieu Les montagnes de Sion peuvent évoquer tout Jérusalem et sa population, mais elles sont surtout associées au temple, car c'est là que David batit un autel et Salomon le Temple. Les montagnes de Sion sont donc la demeure de Dieu, et en même temps elles sont le symbole de la Cité de Dieu à venir.
133,1ss structure en chandelier Structure en chandelier
On voit une structure en chandelier(ABCCBA) avec la reprise de thèmes ou de mots similaires:
dans la version latine, le verset 1 et le verset 3 avec les mots bonum et benedictionem font référence à ce qui est bon, et à la bénédiction,deux choses qui vont ensemble. Puis, le début du verset 2 et la fin du verset 2 ont tous deux quod descendit(qui descend), et le mot qui est écrit 2 fois au centre du poème, est barbam ,"barbe", ce qui fait de ce mot le coeur du poème.
en version hébraïque,la srtucture est la meme,avec en plus al qui est répété au début du verset 2, au milieu et à la fin du verset 2 et au verset 3. Avec également la répétition en structure parallèle également de la lettre k au verset 2 et 3. Ce qui donne aussi une structure parallèle en ABCDEEDCBA. Ce qui met aussi en relief le coeur du poème qui est la barbe d'Aaron.
133,1ss la barbe d’Aaron l’accentuation L'accentuation du psaume hébraique met en valeur le coeur du psaume qu'est la barbe d'Aaron. En effet,au verset 2, juste après zaqan-Aaron, il y a une large pause
qui est imposée par l'atnah(accent disjonctif qui sépare le mot avec celui qui suit et accentue le mot en question).
133,3 l’Hermon emplacement du Mont Hermon
Le Mont Hermon se situe à la frontière entre la Syrie et le Liban; il borde la source du Jourdain.
133,1 “Voici” Interjection
Dans la version grecque, le mot idou est une interjection qui a pour fonction d'annoncer.
105,1–15 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Le début de ce psaume constitue l'introduction de l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
99,9 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 105 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
94,1s LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 105 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
85,8 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 105 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
81,11 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 105 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
100,1–5 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Psaume récité dans l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin, uniquement les jours ouvrables et non le samedi ou les jours de fête.
104,31 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Premier verset du centon yehi kebod récité dans l'office des zemirot dans la prière journalière du matin.
113,2ss LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 104-31 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
135,1–13 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 104-31 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
103,19 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 104-31 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
132,13 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 104-31 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
135,4 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 104-31 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
94,14 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 104-31 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
84,5 LITURGIE JUIVE (rite portugais) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 104-31 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
84,5 LITURGIE JUIVE (rite portugais) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 104-31 ainsi que dans celui commençant par Ps 105 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
Il forme, avec Ps 144-15, l'introduction à la récitiation du psaume 145 dans la prière du matin et de l'après-midi.
115,18 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est lu après chaque occurrence liturgique du Ps 145.
89,53 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset se lit dans l'office des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin, immédiatement après le Ps 150.
135,1–21 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset se lit dans l'office des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin, immédiatement après Ps 89,53.
104,24 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est cité dans la bénédiction du Yoṣer, lors de l'office journalier du matin.
136,7 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est cité dans le paragraphe Léèl Baroukh de la prière dite Yoser.
143,1–12 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans Ma nomar, un centon constituant une prière d'indulgence lue dans l'office journalier du matin ainsi que lors des fêtes d'expiation.
84,13 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 105 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin. Il est également inclus dans Ma nomar, centon constituant une prière d'indulgence lue dans l'office journalier du matin ainsi que lors des fêtes d'expiation.
78,38 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 104-31 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
Il ouvre également le centon vehu raḥum, prière d'indulgence lue dans l'office journalier du matin ainsi que lors des fêtes d'expiation.
106,47 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon vehu raḥum (qui commence par Ps 78,38), prière d'indulgence lue dans l'office journalier du matin ainsi que lors des fêtes d'expiation.
103,10 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon vehu raḥum (qui commence par Ps 78,38), prière d'indulgence lue dans l'office journalier du matin ainsi que lors des fêtes d'expiation.
130,8 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est cité dans la prière de Nephilat apaïm qui fait partie des rogations des prières du matin et de l'après-midi des jours ouvrés.
124,8 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est cité dans la prière de Abinou Malquenou qui fait partie des rogations des prières du matin et de l'après-midi des jours ouvrés.
123,3 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est cité dans la prière de Abinou Malquenou qui fait partie des rogations des prières du matin et de l'après-midi des jours ouvrés.
103,14 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est cité dans la prière de Abinou Malquenou qui fait partie des rogations des prières du matin et de l'après-midi des jours ouvrés.
103,1–22 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Psaume récité dans l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin. Il n'est génralement pas récité dans les communautés israélites non françaises.
79,9 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) C'est par ce verset que se clôt la prière de Abinou Malquenou qui fait partie des rogations des prières du matin et de l'après-midi des jours ouvrés.
99,5 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 105 qui introduit ll'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.Il est également inclus dans le centon dit Gadélou, qui est chanté en grande cérémonie au commencement du rituel de la sortie des rouleaux de la Loi.
86,5 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans Ma nomar, un centon constituant une prière d'indulgence lue dans l'office journalier du matin ainsi que lors des fêtes d'expiation. Il est également cité dans la Keduša desidra, prière de sanctification lue dans l'office du matin de la semaine et de l'après-midi du samedi et des fêtes.
119,1–176 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est cité dans la Keduša desidra, prière de sanctification lue dans l'office du matin de la semaine et de l'après-midi du samedi et des fêtes.
86,8 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est dit après Dt 4,39 lors de la rentrée de la loi pendant l'office du matin le lundi et le jeudi, et l'après-midi du samedi et des fêtes.
86,1–17 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume se dit à la fin de l'office journalier du matin, les jours ouvrables où l'on dit les rogations.
106,47s LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ces deux versets se disent dans l'office journalier du matin après le psaume du jour, dans les parties conclusives.
72,18s LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ces deux versets se disent dans l'office des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin, immédiatement après Ps 135,21. Ils se disent aussi dans l'office journalier du matin après le psaume du jour, dans les parties conclusives.
135,1–21 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset se dit dans l'office journalier du matin après le psaume du jour, dans les parties conclusives.
82,1–8 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume se dit dans la partie conclusive de l'office journalier du matin, le mardi, en souvenir du fait que les Lévites chanteaient ce psaume au temple en ce jour.
94,1–23 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume se dit dans la partie conclusive de l'office journalier du matin, le mercredi, en souvenir du fait que les Lévites chanteaient ce psaume au temple en ce jour.
81,1–17 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume se dit dans la partie conclusive de l'office journalier du matin, le jeudi, en souvenir du fait que les Lévites chanteaient ce psaume au temple en ce jour.
93,1–5 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume se dit dans la partie conclusive de l'office journalier du matin, le vendredi, en souvenir du fait que les Lévites chanteaient ce psaume au temple en ce jour. Il se dit également à la fin de l'office de l'après-midi du vendredi à la place du psaume ordinaire (Ps 67). Il se chante aussi le vendredi soir dans l'office d'entrée du sabbat, après le Ps 92 et sur un mode mélodique particulièrement orné. Enfin, il est récité dans l'office des Zemirot du samedi matin après le Ps 92.
102,14 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset se dit dans la partie conclusive de l'office journalier du matin, après le poème liturgique En kelohenu.
122,7ss LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ces versets sont inclus dans la prière Amar rabbi elegnazar, qui se dit dans la partie conclusive de l'office journalier du matin ainsi que le vendredi soir.
128,6 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans la prière Amar rabbi elegnazar, qui se dit dans la partie conclusive de l'office journalier du matin ainsi que le vendredi soir.
119,165 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon dit Gadélou, qui est chanté en grande cérémonie au commencement du rituel de la sortie des rouleaux de la Loi. Il est aussi nclus dans la prière Amar rabbi elegnazar, qui se dit dans la partie conclusive de l'office journalier du matin ainsi que le vendredi soir.
67,1–8 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est chanté à la fin de l'office de l'après-midi, tous les jours, sauf le vendredi, le samedi et les fêtes. Entre Pâque et Pentecôte, il est chanté sur un air particulier après le décompte des jours du Gnomer. Il est également chanté le samedi soir avant l'office de clôture du sabbat.
134,1ss LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce court psaume introduit l'office du soir de la semaine.
78,30 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est cité dans la Keduša desidra, prière de sanctification lue dans l'office du matin de la semaine et de l'après-midi du samedi et des fêtes. Il est également dit dans les parties introductives de l'office du soir de la semaine.
130,1–8 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume fait partie des prières d'indulgence récitées après la prière journalière les soirs de la lune d'Elul.
92,1–16 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume se dit le vendredi soir dans l'office d'entrée du sabbat, avant le Ps 93 et sur un mode mélodique particulièrement orné. Il est aussi récité dans l'office des Zemirot du samedi matin et lors de la rentrée de la Loi le samedi après-midi.
136,25 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est cité dans les prières d'actions de grâces après le repas.
115,15 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est cité dans les prières d'actions de grâces après le repas.
116,13 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est cité dans les prières d'actions de grâces après le repas.
90,1–17 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est chanté dans les Zemirot du samedi matin et des fêtes.
98,1–9 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est chanté dans les Zemirot du samedi matin et des fêtes.
121,1–8 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est chanté dans les Zemirot du samedi matin et des fêtes.
122,1–9 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est chanté dans les Zemirot du samedi matin et des fêtes.
123,1–4 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est chanté dans les Zemirot du samedi matin et des fêtes.
135,1–21 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est chanté dans les Zemirot du samedi matin et des fêtes.
69,14 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est répété deux fois au cours de l'office du samedi après-midi.
71,19 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset se dit à la fin de l'oraison silencieuse (amida) de l'office de l'après-midi du samedi.
119,1–176 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset se dit à la fin de l'oraison silencieuse (amida) de l'office de l'après-midi du samedi.
75,1–11 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume se chante en introduction à l'office de sortie de sabbat, le samedi soir. Chaque verset est dit tour à tour par un fidèle.
144,1–15 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume se chante en introduction à l'office de sortie de sabbat, le samedi soir. Il est chanté en choeur sur un air rythmé, dont une tradition prétend qu'il remonterait à l'Antiquité. s'est fait l'écho de cette tradition qui existait donc déjà à Venise en son temps.
90,13–17 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) La fin de ce psaume se chante en conclusion à l'office de sortie de sabbat, le samedi soir, sauf quand il y a une fête solennelle dans la semaine suivante.
91,1–16 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est chanté dans les Zemirot du samedi matin et des fêtes. Il est également inclus dans les parties conclusives de l'office du samedi soir après Ps 90,13-17 (sauf quand il y a une fête solennelle dans la semaine suivanteà et dans le service funèbre.
104,1–35 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est chanté en ouverture de l'office du soir des néoménies (Ros ḥōdeš).
113,1–9 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est le premier du Hallel, suite de psaumes de louange chantée les matins des fêtes et des néoménies (Ros ḥōdeš). Le Hallel complet se dit aux Cabanes, les huits jours de ḥanuka, les deux premiers jours de Pâque, les deux jours de Pentecôte. Il est abrégé les six derniers jours de Pâque et les néoménies.
114,1–8 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est le deuxième du Hallel, suite de psaumes de louange chantée les matins des fêtes et des néoménies (Ros ḥōdeš) (voir Ps 113)
115,1–18 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est le troisième du Hallel, suite de psaumes de louange chantée les matins des fêtes. On l'omet lors des néoménies (Ros ḥōdeš) et autres jours où se dit le demi-Hallel (voir Ps 113)
116,1–19 Ce psaume est le quatrième du Hallel, suite de psaumes de louange chantée les matins des fêtes. On omet la première partie (jusqu Ps 116,11 inclus) les néoménies (Ros ḥōdeš) et les six derniers jours de P^aque. (voir Ps 113)
117,1s LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est le cinquième du Hallel, suite de psaumes de louange chantée les matins des fêtes et des néoménies (Ros ḥōdeš) (voir Ps 113).
124,1–8 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume se dit dans la partie conclusive de l'office du matin des jours ouvrables, ainsi que dans les Zemirot du samedi matin et des fêtes. Il est également chanté en conclusion de l'office du soir de Pourim.
102,1–29 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume était récité par les fidèles s'imposant un jeûne particulier ou volontaire (usage partiellement tombé en désuétude aujourd'hui).
111,1–10 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume se dit après l'oraison silencieuse (amida) de l'office de l'après-midi du samedi. Il est également chanté lors de la cérémonie de la circoncision.
128,1–6 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est chanté à la fin de la cérémonie de la circoncision.
78,42 de sa puissance V littéralement : de sa main (hébraïsme)
78,62 il asservit son peuple par l'épée V cf. Blaise. Littéralement : il enferma son peuple dans le glaive = il livra son peuple au glaive (Vigouroux, Fillion)
78,72 avec des mains prudentes V littéralement : dans la prudence de ses mains
85,5 Fais-nous revenir V littéralement : convertis-nous (hébraïsme)
91,3 de la mort des embuscades V = des embuscades mortelles
94,20 le mal V littéralement : douleur, souffrance, peine, affliction
100,2 dans la louange V = en le louant
103,5 ta gloire V littéralement : ton ornement, ton honneur
104,5 fondé = créé
104,14 pour les animaux au service des hommes V littéralement : pour la servitude des hommes (hébraïsme)
105,1 pensées V = projets
105,11 part de ton héritage V littéralement : cordeau de ton héritage
105,19 vint sa parole = s'accomplit sa parole
105,36 les prémices de tout sein maternel V ou : les prémices de tout enfantement
107,9 l'âme vide V l'âme épuisée
107,18 leur âme = leur gosier
108,5 ciel V littéralement : éther
109,20 contre mon âme V = contre moi
112,1 en ses commandements il mettra toutes ses délices V littéralement : il voudra extrêmement = il mettra toutes ses volontés (désirs) dans ses commandements
119,20 tes jugements V = tes préceptes
119,24 ma volonté V = mon désir, mon choix
119,30 je proposais V ou : j'annonçais
119,33 à travers le cours [de ma vie] ou encore : pas à pas ?
119,1–176 témoignages V = enseignements, préceptes
119,123 parole de ta justice V = promesse de ta justice
120,6 a beaucoup voyagé V = a séjourné longtemps en terre étrangère
122,1 Cantique des montées = psaume graduel
137,6 au principe V = au premier rang
139,8 enfer V = les régions inférieures
139,16 il n'y a pas un seul en eux V = quand aucun d'eux n'existait encore
133,3 l’Hermon dans l’Ancien Testament
Dt 3,8:"Ainsi, dans ce temps-là, nous prîmes aux deux rois des Amorrhéens le pays qui est au-delà du Jourdain, depuis le torrent de l’Arnon jusqu’à la montagne d’Hermon."
Dans les psaumes:42,7:" aussi je pense à toi, du pays du Jourdain, de l’Hermon, de la montagne de Misar"
Dans Si24;13,l'Hermon,dont le cèdre grandissant est comparé à la sagesse qui fait son propre éloge,est lieu de croissance,et donc de bénédiction:"Je me suis élevée comme le cèdre sur le Liban, et comme le cyprès sur la montagne d’Hermon".
133,2 la barbe L’importance de la barbe dans la Bible
La barbe embrassée,signe de trahison en 2 Sa 20,9-10:"Et Joab dit à Amasa ; « Te portes-tu bien, mon frère ? » Et la main droite de Joab saisit la barbe d’Amasa pour le baiser.Amasa ne prit pas garde à l’épée qui était dans la main de Joab ; et Joab l’en frappa au ventre et répandit ses entrailles à terre et, sans qu’on lui portât un second coup, Amasa mourut. Joab et son frère Abisaï se mirent à la poursuite de Séba, fils de Bochri."Ce qui peut faire penser au baiser de Juda.
La barbe rasée est déshonorant:2S 10,4:"Alors Hanon, ayant saisi les serviteurs de David, leur rasa la moitié de la barbe et coupa leurs habits à mi-hauteur, jusqu’aux fesses, et il les renvoya.";Is 7,20"En ce jour-là, le Seigneur rasera avec un rasoir qu’il aura loué au delà du Fleuve — avec le roi d’Assyrie, — la tête et le poil des pieds, et il enlèvera aussi la barbe."; Jr 48,37:"Car toute tête est rasée et toute barbe coupée ; Sur toutes les mains il y a des incisions Et sur les reins des sacs."
La barbe n'est rasée qu'en deuil ou rite pénitentiel:Is 15,2:"On monte au temple de Charrias et à Dibon ; aux hauts-lieux. pour pleurer ; sur Nebo et Médéba, Moab se lamente, Toute tête est rasée, toute barbe est coupée.";Jr 41,5:"il arriva de Sichem, de Silo et de Samarie quatre-vingts hommes, la barbe rasée, les vêtements déchirés et le corps couvert d’incisions ; ils portaient des offrandes et de l’encens, pour les présenter à la maison de Yahweh."
Ainsi,la barbe est un élément essentiel et significatif pour l'homme dans l'Ancien Testament.
133,2 L’huile l’huile d’Aaron,préfiguration de l’huile que reçoit Jésus Dans Mt 26,6 et Mc 14,3,une femme verse un parfum d'un flacon d'albatre sur la tête du Christ.Dans Lc7,Marie-Madeleine verse du parfum sur les pieds de Jésus.Comme dans le psaume,il s'agit d'un parfum précieux,et on peut se demander si Jésus qui est le Prêtre,n'est pas comme un nouvel Aaron,qui se trouve ici au centre du psaume,par l'huile qui descend sur sa tête comme Jésus.
L'huile était répandue sur les cadavres pour éviter la mauvaise odeur de se répandre,en cela le geste de la femme qui a mis du parfum sur Jésus est annonce de la résurrection du Christ,et donc de la résurrection de tout homme dans le Royaume des Cieux.Peut-être en est-il de même pour le psaume qui parle de la joie du Ciel(qui est la communion fraternelle et la bénédiction éternelle de Dieu),du Royaume de Dieu.
133,2 la barbe signe de virilité et de dignité
La barbe était un signe de virilité et de dignité chez les peuples sémitiques.
En effet, le mot zaqandérive de zaqen,"ancien".
Ainsi, raser la barbe était déshonnorant(2S 10,4;Is 7,20;Jr 48,37), et l'arracher à quelqun était une injure(Is 50,6).
On se rasait cependant la barbe en situation de deuil ou lors d'un rite pénitentiel (Is 15,2;Jr 41,5; 48,37).
133,2 L’huile l’huile d’Aaron,préfiguration de l’huile que reçoit Jésus Dans Mt 26,6 et Mc 14,3, une femme verse un parfum d'un flacon d'albatre sur la tête du Christ. Dans Lc 7,38, Marie-Madeleine verse du parfum sur les pieds de Jésus. Comme dans le psaume, il s'agit d'un parfum précieux, et on peut se demander si Jésus qui est le Prêtre, n'est pas comme un nouvel Aaron, qui se trouve ici au centre du psaume, par l'huile qui descend sur sa tête comme Jésus.
L'huile était répandue sur les cadavres pour éviter la mauvaise odeur de se répandre, en cela le geste de la femme qui a mis du parfum sur Jésus est annonce de la résurrection du Christ, et donc de la résurrection de tout homme dans le Royaume des Cieux. Peut-être en est-il de même pour le psaume qui parle de la joie du Ciel(qui est la communion fraternelle et la bénédiction éternelle de Dieu), du Royaume de Dieu.
133,3 Sion demeure de Dieu Sion se retrouve dans l'Ancien Testament comme un lieu consacré, choisi par le Seigneur,et qui est habité par la joie:psaume 2,6("Sur Sion ma montagne sainte"), psaume 48,12("Le mont Sion jubile"), psaume 132,13(Car le Seigneur a fait choix de Sion")et Is 18,7: "ou réside le nom du Seigneur,au mont Sion".
101,1–8 Ps 101 Structure Le psaume est composé de deux parties :
130,1 Sixième sens Sixième sens, film de sorti en 1999, raconte l'histoire d'un jeune garçon, nommé Cole, en proie à des visions effrayantes de personnes décédées. A la douzième minute du film, Cole se réfugie dans une église. En écoutant attentivement, on peut l'entendre murmurer par deux fois le permier verset du psaume 130 en latin : « De profundis clamo ad te Domine ».
78,18 selon leurs convoitises V Littéralement : pour soutenir leurs âmes
78,51 le premier de l'enfantement V = l'aîné qui occasionne les premières douleurs de l'enfantement
78,61 parure V beauté, honneur
80,6 de trois manières V = abondamment
83,4 ton trésor V littéralement : secret, mystère. Le mot peut signifier aussi la partie secrète du temple, les richesses cachées dans l'arche, trésor caché, etc. (cf. )
82,2 jugerez-vous l'iniquité V = jugerez-vous injustement, rendrez-vous des jugements iniques
84,3 soupire V Le terme latin desiderare a aussi le sens de : soupirer après (cf. Blaise)
86,14 a cherché mon âme V = en veulent à ma vie
89,20 saints V = fidèles
94,21 âme V = vie
102,1 parole V = prière
105,12 peu de choses V = pauvres, de modeste condition
106,35 ils apprirent leurs oeuvres = ils apprirent leur façon d'agir
110,6 la tête V singulier collectif = les têtes
119,122 ne me calomnient pas V peut signifier aussi : ne m'oppriment pas (cf. )
139,13 Homme façonné et pétri par Dieu
139,3 et tous mes chemins te sont familiers Connaissance parfaite des actes de l'homme
139,4 Parole dévoilée à Dieu avant de l'être à l'homme
139,8 Dieu présent aux cieux et au séjour des morts
139,9 Élévation cherchée par l'homme pour atteindre le bout du monde
139,11 Enveloppé par les ténèbres
76,9 Le sens de la création : la réalisation de la Tora
104,1 Bénis, mon âme, l'Éternel
104,1–35 Psaume du monde achevé
104,2 Lumière de Dieu comme un manteau
104,5 La terre fondée sur des colonnes
104,6 Les flots comme un vêtement sur la Terre
104,9 La limite des eaux
104,20 Nuit où circulent les bêtes sauvages
→ « Tu amènes les ténèbres et c'est la nuit [...] Sacré ; la nuit où circulent tous les hôtes de la forêt » (32, d'après b. B. Meṣ. 83b).
104,20 La nuit des fauves, un mode d'existence de l'humain
104,22 Début de la journée
104,22 Retour du juste dans sa demeure
104,22 Société où chacun a sa demeure
104,23 Journée de labeur
139,7 Impossibilité de se dérober à la présence de Dieu
139,12 L'obscurité est clarté pour le Seigneur
139,1b Seigneur, tu me scrutes et tu me connais Connaissance parfaite du coeur de l'homme
139,1–14 Investi par Dieu et responsable de l'autre
139,1–10 Élection de celui qui vit en présence de Dieu
139,5 Dieu toujours présent
139,10 Là encore ta main me conduira Toujours la main de Dieu guide
139,14a Je te louerai d'avoir fait de moi une créature si merveilleuse Homme distingué par l'amour de Dieu
89,13 Tabor Repères historiques et géographiques Jg 4,6
39,7 c'est en image que chemine l'homme (G) Importance d'une discipline des images intérieures Origène lit très littéralement la formulation du psaume en grec et l'amplifie : rien de ce qui vient impressionner l'âme n'est sans conséquence.
78,4 qui ont raconté V: variante
Il semble que le pluriel soit préférable.
79,11 fils de la mort V SÉMITISME hébraïsme = condamnés à mort
87,3 Des choses glorieuses ont été dites sur toi = On dit de toi des choses glorieuses
101,1 je jouerai V certains traduisent encore : je chanterai au son des instruments, je chanterai sur le psaltérion.
101,2 m'instruirai V ou : me formerai
104,25 la grande mer aux vastes mains V MÉTAPHORE les mains de la mer que sont ses golfes
105,3 exultez V bondissez de joie
105,45 coutumes V cérémonies, rites
119,23 siégeant V = tenant séance
119,37 dans ta voie = en suivant ta voie
119,20 a désiré de désirer V SÉMITISME hébraïsme = a désiré ardemment
121,1 des montées V littéralement : des degrés
123,2 Voyez Le terme latin est Ecce = Voici, voilà. Il peut se traduire aussi par Vois ou voyez (cf. )
132,16 te loueront de louange V SÉMITISME hébraïsme = te loueront immensément
106,9 la mer Rouge Repères historiques et géographiques Ex 15,4
106,22 la mer Rouge Repères historiques et géographiques Ex 15,4
136,13 la mer Rouge Repères historiques et géographiques Ex 15,4
27,1–14 Insurrexerunt
Ténèbres du Golgotha - 1° Nocturne: Antienne et Psaume 26 " Insurrexerunt", (cd, 2005), Traditionnel, Dom Jean Claire, Choeur Des Moines de L'Abbaye De Solesme, Ténèbres, Abbaye de Solesmes, © Abbaye de Solesmes, 2018, Ps 27
22,20s Puzzle Hierogliphique
Thomas →, (Impression au plomb et gravure sur bois, 1794), Bibles hiéroglyphiques, 14 cm x 9 cm et New Hieroglyphical Bible
(1753-1828); Rowland (1744-1833),Thomas Fisher Rare Book Library, Toronto, © Public Domain - Photo : Dr. Ralph F. Wilson
139,12 Quand le noir irradie la lumière
Pierre
(1919-), Peinture 181 x 244 cm, 2 mai 2011, (Acrylique sur toile), 3 éléments de 81 x 181 cm superposés, TriptyqueColl. part. Courtesy Galerie Alice Pauli, Lausanne, D.R. © Pierre et Colette Soulages © 2016, ProLitteris, Zurich Photo : Vincent Cunillère,
Depuis un dessin d'enfant de paysage enneigé à l'encre de chine, Pierre Soulages explore sans se lasser les potentialités picturales du noir, pour en révéler les infinies variations et intensités. Chaque création s’inscrit dans une unité dont la temporalité est soulignée par son titre, dévoilant son format et sa date d’achèvement. Appréhendées comme des objets, ces peintures explorent la matérialité du médium, sans se soucier d’exprimer les états d’âme de l’artiste et en évacuant toute interprétation du geste. C’est en 1979, à l’occasion de l’exposition Soulages, peintures récentes au Centre Pompidou, qu’il dévoile au public ses premières toiles « outrenoires→ », terme employé par l’artiste lui-même à partir de 1990 et désignant « un espace 'autre', devant la toile même ». « Couleur de lumière » selon Soulages, le noir est sublimé par l’observation active du regardeur qui modifie la perception du pigment à mesure qu’il se déplace en contemplant la toile. (Source : www.centrepompidou-metz.fr/phares#onglet-1).
103,11s Grâce de Dieu, qui rapproche les hommes
128,3 Bible hiéroglyphique
; (1744-1833), → (impression au plomb et gravure sur bois, 1794), 14 x 9 cm et New Hieroglyphical Bible
(1753-1828)Thomas Fisher Rare Book Library, Toronto
© Domaine public, photo : Dr. Ralph F. Wilson
135,15–19 RELIGION Idoles dans la Mésopotamie ancienne
, idole aux yeux (sculpture sur albâtre de gypse, ca. 3700–3500 av. J.-C., Uruk moyen : idole ? offrande ?) 6.5 x 4.2 x 0.6 cm, Tell Brak, Syrie
Met Fifth Avenue, Gallery 402
Public Domain © Metropolitan Museum→, New York
Des milliers de figurines de ce type, connu sous le nom d'« idole aux yeux », en pierre avec des yeux incisés, ont été découvertes à Tell Brak, dans un bâtiment qui s'appelle maintenant le Temple de l'œil. Elles y ont probablement été dédiées comme offrandes. Beaucoup sont incisés avec plusieurs jeux d'yeux, d'autres avec des bijoux, et d'autres encore avec des représentations d'enfants — des yeux et un corps plus petits gravés sur le corps de la plus grande idole.
, Stèle de victoire de Narâm-Sin, roi d'Akkad (calcaire gréseux, ca. 2350-2000 av. J.-C.), 200 x 105 cm
Musée du Louvre→, Département des antiquités orientales, © CC BY-SA 3.0 FR→
La plaque Burney appelée aussi La Reine de la Nuit, est un relief en terre cuite daté de la période paléo-babylonienne (sous le règne du roi Hammurabi).
, Reine de la nuit (terre cuite, découverte à Babylone, ca.1800-1750 av. J.-C.), 49,5 x 37 x 4,8 cm
British Museum→, Londres © CC BY 2.5→
Les chromatismes reconstitués suggèrent le pouvoir de fascination qu'exerçaient de telle figures :
, Reine de la nuit (terre cuite), 49,5 x 37 x 4,8 cm
British Museum→, Londres, © CC BY-SA 2.0 FR→
104,18s Bible hiéroglyphique
→New Hieroglyphical Bible (impression au plomb et gravure sur bois, 1794), 14 x 9 cm
(1753-1828) & (1744-1833),Thomas Fisher Rare Book Library, Toronto
© Domaine public - Photo : Dr. Ralph F. Wilson
104,23 Responsabilité du juste tout au long du jour
78,31 les mieux repus V Littéralement : les gras d'entre eux
89,13 Tabor M : Tābôr | G : Thabôr | V : Thabor
91,1–16 Sainte Thérèse et les anges du Seigneur
George
(1861-1950), Sainte Thérèse d’Avila et les anges, (Huile et essence sur papier, ca. 1929), 80 x 62 cmCollection particulière, Paris, consulté sur internet→, © SEBERT.
En 1927, le projet d’illustration de sainte Thérèse d’Avila de Louis Bertrand (CR 1991) est envisagé et l’artiste compose et expose alors un cycle sur la sainte mystique. Ce grand panneau, dont on ne connait pas de petit format, représente l’illustration de la sentence mystique : « Tu ne parleras plus qu’aux anges », (Garreau, 1942, p. 145).
Louis Bertrand précise la phrase du Christ entendue par la sainte carmélite : « Je ne veux plus que tu converses avec les hommes, mais avec les anges », parole qui effraie tout d’abord la carmélite avant la grande consolation qui l’envahit quand elle avoue : « Jamais plus je n’ai pu me fixer en amitié, ni avoir consolation, ni amour particulier, si ce n’est avec des personnes qui de toute certitude pour moi, ont elles-mêmes l’amour de Dieu et sont zélées pour le servir... » (Bertrand, p. 171-172).
Le peintre, imprégné de la lecture de ce livre depuis qu’il songe à son illustration, compose, dans un camaïeu de lumière, sous les traits de sœur Marie de la Grâce, sa fille Sabine, clarisse, cet émerveillement de la carmélite au milieu des anges qui conversent avec elle. Une reproduction de la scène illustre l’article écrit par le père Couturier en fin d’année 1933, en hommage à son maître, publié dans L’Artisan Liturgique.
103,20 Faire avant d'entendre : un secret angélique
b. Šabb. 88b « Rabbi Éliézer a dit : ‘Lorsque les Israélites se sont engagés à ‘faire’ avant ‘d’entendre’ (Tradition juive Ex 33,6) - une voix du ciel s’écria : ‘Qui a révélé à mes enfants ce secret dont se servent les anges, car il est écrit (Ps 103,20)' » ( Lectures 98).
→ « Ils exécutent avant d’entendre ( LecturesTradition juive Ct 2,3) ! Il s’agit d’un secret d’anges et non pas de la conscience enfantine. Israël aurait donc été un autre Prométhée. Il aurait ravi le secret des intelligences pures, des intelligences séparées. ‘Nous ferons et nous entendrons’, qui nous parut contraire à l’ordre logique, est l’ordre de l’existence angélique. [...] Le oui du 'nous ferons' ne peut être un engagement d'un faire en tant que faire, d'une je ne sais quelle praxis merveilleuse, antérieure à la pensée et dont l'aveuglement, fût-il celui de la confiance, mènerait à la catastrophe. Il s'agit au contraire d'une lucidité avertie comme le doute, mais engagée comme le faire — d'un savoir d'ange dont tout savoir ultérieur ne fera que le commentaire ; il s'agit d'une lucidité sans tâtonnement, non précédée d'un savoir-hypothèse, d'une idée, d'un savoir-essai (Philosophie Pr 11,3). Mais un tel savoir est celui dont le messager est, à la fois, le message même » (98-99, 104).
110,1 l'escabeau de tes pieds Les obstacles à penser Dieu
119,13 j'ai raconté V = j'ai fait connaître
137,1–9 Traduction poétique at temps de la Réforme. Dans d'admirables motets, la mélodie officielle de Genève fut utilisée par Goudimel soit comme un cantus firmus, soit comme un motif donnant lieu à des imitations.
106,2 Les enseignants de la Thora
106,2
122,2
122,1
122,3
122,2 Jérusalem, lieu du grand réveil de la conscience
122,3 La Jérusalem terrestre, vestibule de la Jérusalem céleste
101,1 Gratitude en tout temps
116,3 j'avais trouvé détresse et affliction
116,4a Et j'ai invoqué le nom de Yahweh
116,13
119,19
137,5s Si je t'oublie, Jérusalem Représentation de la Jérusalem terrestre
, La Jérusalem terrestre (peinture murale, 20e s.)
mur de la synagogue Yohanan ben Zakkaï, quartier juif de la vieille ville de Jérusalem
© Wikimedia Commons CC BY-SA 3.0→, Ps 137 ; Ps 128 ; Is 44 ; 1R 11
Cette peinture murale représente Jérusalem entourée de versets bibliques qui parlent de Jérusalem :
128,5s Que le Seigneur te bénisse de Sion ! Représentation de la Jérusalem terrestre
, La Jérusalem terrestre (peinture murale, 20e s.)
mur de la synagogue Yohanan ben Zakkaï, quartier juif de la vieille ville de Jérusalem
© Wikimedia Commons CC BY-SA 3.0→, Ps 137 ; Ps 128 ; Is 44 ; 1R 11
Cette peinture murale représente Jérusalem entourée de versets bibliques qui parlent de Jérusalem :
34,18 Monde matériel et monde spirituel
Subodh (1964- ), God hungry (Acier inoxydable), 2007, Eglise Sainte-Marie-Madeleine, Lille
© artwiki →
Cette cascade de vaisselle courant sur le sol de l’édifice religieux, converti pour l’occasion en espace d’exposition, est l’œuvre du célèbre plasticien hindou Gupta. Peu après le tsunami qui a ravagé l’Inde en 2004, elle manifeste la toute-puissance de la nature qui reprend ses droits quand il lui chante ; laissant une population dévastée, privée de sa culture populaire ritualisée autour du quotidien, d’objets d’usage qui participent à l’exaltation du réel. Car le parfum de Dieu se diffuse jusqu’à la tradition culinaire considérée par Gupta comme hautement spirituelle. C’est pourquoi ce sont des ustensiles de cuisine qu’il choisit de déverser au milieu de l’église pour exprimer un cosmos souverain — matériau qui brille de mille éclats, signifiant que même dans les moments plus sombres d’une existence, le divin n’est jamais loin. L’on peut aussi lire en creux une critique de l’abondance occidentale, de l’accumulation de richesses à laquelle elle se livre quand d’autres meurent de faim.
119,105 La lueur divine revisitée
Flora (1985- ), La lumière vient du sol (peinture murale, pigments et eau de chaux), 2016, Chapelle de la Trinité, Bieuzy
En 2016, Flora Moscovici a investi les murs de la chapelle de la Sainte-Trinité (Bieuzy) pour en raviver les couleurs et faire que l’endroit réfléchisse, à nouveau, toute sa luminosité d’antan. Conformément à sa pratique in situe, l’artiste s’est d’abord imprégnée du lieu de dévotion (une première, puisqu’elle n’a jamais expérimenté d’espace sacré) avant d’amorcer un travail lyrique sur la transparence — sa recherche plastique se focalise ici sur la dilution des teintes à l’eau de chaux, qui répandent une chaleur nouvelle au chœur de cette chapelle, spécialement le mélange vibrant de jaune et de rouge. Flora Moscovici réussit à transfigurer avec beaucoup de finesse l’obscurité du lieu ; ses murs devenant des lampes où venir s’éclairer comme se recueillir.
54,6 Un socle pixelisé
Miguel (1959- ), Magic Carpet, 2014, Eglise du Sacré-Coeur, Casablanca
© Droits réservés blogspot.→
C’est un véritable univers psychédélique qui a élu domicile en 2014 dans l’ancienne église du Sacré Cœur de Casablanca, sous l’impulsion de l’artiste français Miguel Chevalier qui expose ici, une nouvelle fois, les nombreuses facettes de sa palette créative. Sous les pas des visiteurs, son tapis de lumière artificielle s’anime et se métamorphose, réinvestissant la tradition artisanale des broderies et mosaïques orientales à l’heure du numérique. Nous voilà plongés dans une atmosphère virtuelle qui n’est pas sans charme : le sol s’accorde à nos mouvements, évoquant l’idée d’enracinement spirituel, de constant devenir sur le chemin de Dieu. Quant aux murs sobres de l’édifice, ils reçoivent eux aussi un peu de cette lueur magique qui célèbre leur symbolique sacrée et les dote d’une puissance envoûtante. Un bel exemple que nous donne ici Miguel Chevalier, sur ce que peut être le dialogue fécond de l’art contemporain avec l’Eglise.
92,1–16 Les murmures du désert...
Hans Op (1969- ), Jardin des Murmures, 2016
Couvent des Jacobins, Toulouse
C’est un dispositif un peu particulier qui a élu domicile dans le réfectoire du Couvent des Jacobins en hiver 2016, à Toulouse. Le lieu, transformé en un gigantesque désert de sable, évoque les communautés et ermites qui ont choisi de vivre leur foi en Christ de manière radicale — les fameux « Pères du désert » tels Cyrille d’Alexandrie et Grégoire de Naziance qui peuplèrent les dunes d’Egypte. Si ce décor convoque les superbes paroles de sagesse qu’ils nous ont transmises, il incite aussi le spectateur à connaître l’expérience de la traversée contemplative et introspective — en agissant sur nos sens par des procédés auditifs (chuchotements sonores qui envahissent le lieu puis s’évanouissent, laissant derrière eux un silence de plomb) comme olfactifs (odeur du sable chaud et des arbres)…
Au bout du chemin, un campement de fortune est dressé ; il invite à la beauté d’une rencontre avec l’altérité en même temps qu’il donne le sentiment salutaire de ne pas être seul sur le chemin de Dieu. Cet espace méditatif, imaginé par l’artiste belge Hans Op de Beeck, convertit ainsi le vide qu’il expose en une terre habitée par la présence divine, pour qui sait l'éprouver.
89,16 Les trompettes du combat
25,8s Doux et droit Graduel
, Graduel - Dulcis et rectus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
25,17s Les tribulations Graduel
, Graduel - Tribulationes
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
27,1–14 Je crois que je verrai la bonté du Seigneur Antienne
, Samedi Saint - 2° Nocturne: Antienne "Credo videre" et Psaume 26
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeur Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
27,1–14 Ils s'avancent contre moi Antienne
, Vendredi Saint - 1° Nocturne: Antienne " Insurrexerunt" et Psaume 26
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeur Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
27,1ss Le Seigneur est ma lumière Introït
, Introït - Dominus illuminatio
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
27,14.1 Espère le Seigneur Introït
, Introït - Exspecta Dominum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
30,1–13 Seigneur tu m'as relevé Antienne
, Samedi Saint - 2° Nocturne: Antienne "Domine, abstraxisti" et Psaume 29
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeur Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
30,11.2s Le Seigneur a entendu Introït
, Introït - Audivit Dominus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
31,2ss ; 71,3.1s Sois pour moi un protecteur Introït
, Introït - Esto mihi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
31,2s En toi Seigneur Alleluia
, Alleluia - In te Domine
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
31,7s Moi j'ai mis mon espoir dans le Seigneur Introït
, Introït - Ego autem in Domino speravi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
31,8 J'exulterai et me réjouirai Alleluia
, Alleluia - Exsultabo et laetabor
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
31,15s En toi j'ai espéré Offertoire
, Offertoire- In te speravi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
32,6 La Parole du Seigneur Alleluia
, Alleluia Verbo Domini
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
33,5s.1 La miséricorde du Seigneur Introït
, Introït - Misericordia Domini
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
33,11.19.1 Les pensées de son coeur Introït
, Introït - Cogitationes
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
33,18ss Voici les yeux Introït
, Introït - Ecce oculi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
33,20s Il est notre secours Introït
, Introït - Adjutor
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
34,2 Quand j'aurai manifesté en vous ma sainteté Introït
, Introït - Dum sanctificatus fuero
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
34,8s Il envoie un Ange Offertoire
, Offertoire - Immitet Angelus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
34,10s Craignez le Seigneur Graduel
, Graduel - Timete Dominum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
34,18.2 Ils ont crié Introït
, Introït - Clamaverunt
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
34,20s.2 Les nombreuses tribulations Introït
, Introït - Multae tribulationes
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
35,1ss Juge, Seigneur Introït
, Introït - Judica Domine
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
35,13.1s Et moi Graduel
, Graduel - Ego autem
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
35,23.3 Éveille-toi et lève-toi Graduel
, Graduel - Exsurge... et intende
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
37,24.26 Si le juste tombe Graduel
, Graduel - Justus cum ceciderit
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
37,30s La bouche du juste Introït et Graduel
, Introït - Os justi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Graduel - Os justi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
37,39 Le salut vient du Seigneur Introït
, Introït - Salus autem
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
38,1–23 Ceux qui en veulent à ma vie tendent des pièges Antienne
, Vendredi Saint - 2° Nocturne: Antienne " Vim faciebant'' et Psaume 37
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeur Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
40,2ss J'attendais Offertoire
, Offertoire - Expectans
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
40,7ss Ni sacrifice ni oblation Offertoire
, Offertoire - Holocaustum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
41,5.2 Moi, j'ai dit Graduel
, Graduel - Ego dixi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
41,8s J'étais comme l'agneau Répons
, Jeudi Saint - 3° Nocturne: Répons "Eram quasi agnus"
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeurs Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
Nouveau contraste, et très accusé, entre la douceur de l’Agneau immolé et la violence des méchants dans leur complot ; sans aucune transition, ni dans la pensée, ni dans la mélodie, un bond rapide de quinte, en style quasi syllabique, et très animé, aboutissant à la décision violente, quasi brutale, de eradámus eum, si expressif, avec, sur eum, une cascade de neumes descendants, tous appuyés et lourds.
Eram quasi agnus est le quatrième répons pour la Semaine Sainte. Dans ce chant, Notre-Seigneur réfléchit à la manière dont lui, l'incarnation de l'innocence, était entouré d'ennemi, et injustement conduit à sa mort comme un agneau sacrificiel au massacre. Voyant la méchanceté des hommes Notre-Seigneur médite sur la manière dont ses ennemis ont comploté sa mort et proféré des diffamations contre Lui. L'humanité a reçu le véritable Fils de Dieu lui-même avec mépris, trahison, intrigues et mensonges. Les ennemis de Dieu complotent pour la mort de son Fils.
43,1.3 Sépare ma cause Graduel
, Graduel - Discerne causam meam
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
44,8s Tu nous as libéré Graduel
, Graduel - Liberasti nos
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
45,2s Plus splendide en beauté Graduel
, Graduel - Speciosus forma
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Chant du commun de la Sainte Vierge Marie.
45,2 Salut, Sainte Mère Introït
, Introït - Salve Sancta parens
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Chant du commun de la Sainte Vierge Marie.
45,3.5 La grâce est répandue sur tes lèvres Graduel
, Graduel - Diffusa est
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Chant du commun de la Sainte Vierge Marie.
45,5.11s En raison de la vérité Graduel
, Graduel - Propter veritatem
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Chant du commun de la Sainte Vierge Marie.
45,5 Dans votre éclat Alleluia et Graduel
, Alleluia - Specie tua
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Graduel - Specie tua
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Chants du commun de la Sainte Vierge Marie.
45,2 Réjouissons-nous Introït
, Introït - Gaudeamus... Mariae
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Chant du commun de la Sainte Vierge Marie.
45,8.2 Tu as aimé la justice Introït
, Introït - Dilexisti
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
45,13.15s Ton visage Introït
, Introït - Vultum tuum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Chant du commun de la Sainte Vierge Marie.
45,15s Elle est conduite Alleluia
, Alleluia - Adducentur
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
45,17s Tu les établiras Graduel, Alleluia et Offertoire
, Graduel - Constitues eos
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Alleluia - Constitues eos
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Offertoire - Constitues eos
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
46,9 Le Seigneur règne Alleluia
, Alleluia Regnavit Dominus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
47,2s Tous les peuples Introït
, Introït - Omnes gentes
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
47,6 Dieu monte parmi les acclamations Alleluia et Offertoire
, Alleluia - Ascendit Deus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Offertoire - Ascendit Deus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
48,10s Nous avons reçu, Dieu, ta miséricorde Introït
, Introït - Suscepimus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
51,3.6 Tu seras justifié Antienne
, Jeudi Saint - Laudes: Antienne " Iustificeris" et Psaume 50
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeurs Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
Miserere Mei Deus est une interprétation musicale du Psaume 51 à chanter le Jeudi Saint de la Semaine Sainte. Ici, le roi David, reconnaissant son péché, se lamente et pleure son péché. Humble et contrit, le grand roi d'Israël implore le pardon de Dieu, admettant ouvertement sa faute. Dieu aime le pécheur repentant, et c'est le cœur contrit qui trouve le salut.
51,21 Tu accepteras Communion
, Communion - Acceptabis
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
54,1–9 Des étrangers se sont levés contre moi Antienne
, Vendredi Saint - 2° Nocturne: Antienne "Alieni" et Psaume 53
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeur Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
54,1–9 Dieu est mon secours Antienne
, Samedi Saint - 3° Nocturne: Antienne "Deus adiuvat" et Psaume 53
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeur Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
54,3s O Dieu écoute ma prière Graduel
, Graduel - Deus exaudi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
55,2ss Dieu, prête l'oreille à ma prière Introït
, Introït - Exaudi Deus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
55,23.17ss Dépose sur le Seigneur ton fardeau Graduel
, Graduel - Jacta cogitatum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
59,1–18 Contre mes agresseurs protège-moi Antienne
, Vendredi Saint - 3° Nocturne: Antienne " Ab insurgentibus" et Psaume 58
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeur Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
63,2.5 Ô Dieu, tu es mon Dieu Offertoire
, Offertoire - Deus Deus meus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
66,1ss Poussez vers Dieu des cris de joie Introït
, Introït - Jubilate Deo
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
66,8.9.20 Peuples, bénissez notre Dieu Offertoire
, Offertoire - Benedicite gentes
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
68,4 Que les justes se réjouissent Alleluia
, Alleluia - Justi epulentur
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
68,6s.36 Dieu dans sa sainte demeure Introït
, Introït - Deus in loco sancto
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
68,8s.2 Ô Dieu, quand tu sortais... Introït
, Introït - Deus dum egredererit
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
68,18s Le Seigneur vient du Sinaï Alleluia
, Alleluia - Dominus in Sina
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Dominus in Sina in sancto, ascendens in altum, captivam duxit captivitatem.
Le Seigneur est venu au Sinaï, au lieu saint, montant sur les hauteurs, il a rendu captive la captivité.
68,29s Commande, ô Dieu, à ta puissance Offertoire
, Offertoire - Confirma
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
68,33 Jouez pour le Seigneur Communion
, Communion - Psallite Domino
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
68,36 Dieu redoutable Alleluia et Offertoire
, Alleluia - Mirabilis Dominus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Offertoire - Mirabilis Deus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
69,1–37 Tous mes amis Répons
, Vendredi Saint - 1° Nocturne: répons " Omnes amici mei"
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeur Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
69,2.3.10 Le zèle de ta maison Antienne
, Jeudi Saint - 1° Nocturne: Antienne " Zelus Domus" et Psaume 68
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeur des Moines De L'Abbaye De Saint-Pierre De Solesmes
"Zelus Domus tuae" est la première antienne de l'Office des Ténèbres du Jeudi Saint. Le Psalmiste, dont Absalom complotait le meurtre, écrit d'une manière prophétique pour prédire la souffrance et l'abandon de Notre-Seigneur pendant son agonie dans le jardin des Oliviers. Ici, Notre Seigneur Jésus-Christ appelle Son Père à l'aide.
69,21 Mon cœur a attendu l’humiliation Offertoire
, Offertoire - Improperium expectavit
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
70,2ss Qu'ils aient honte... Antienne
, Jeudi Saint - 1° Nocturne: Antienne et Psaume 69 « Avertantur »
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeur des Moines De L'Abbaye De Saint-Pierre De Solesmes
"Avertantur" est la deuxième antienne de l'Office des Ténèbres du Jeudi Saint. Comme la première, c'est une prédiction prophétique des souffrances à endurer par Notre Seigneur dans Son agonie au Jardin des Oliviers. Il voit les outrages à venir qui seront faits contre Lui et implore l'aide de Dieu.
71,1.2.4 Mon Dieu Antienne
, Jeudi Saint - 1° Nocturne: Antienne « Deus meus » et Psaume 70
(CD 2005) Dom Jean Claire, Choeur des Moines De L'Abbaye De Saint-Pierre De Solesmes
« Deus meus eripe me » est la troisième antienne de l'Office des Ténèbres du Jeudi Saint. Elle se réfère à la période de la vie du roi David où celui-ci a été persécuté par Saul. Au milieu des dangers, il avait une confiance inébranlable en Dieu. Ainsi, Notre Seigneur, même au plus profond de Son angoisse, se confie à l'aide de Son Père.
72,2.12 Il libérera Antienne
, Jeudi Saint - 2° Nocturne: Antienne « Liberavit » et Psaume 71
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeurs Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
© Abbaye de Solesmes→, 2018, Ps 72
Ce psaume prône la gloire de Notre-Seigneur. À première vue, il peut être utilisé pour l'atmosphère sombre de la Semaine Sainte. Cependant, l'Église a choisi ce psaume spécifiquement pour rappeler aux fidèles que notre Seigneur subit ses épreuves pour la délivrance de l'homme. Nous sommes les pauvres et Satan est le puissant, mais c'est notre Seigneur qui est sur le point de nous délivrer et de conquérir Satan à travers la valeur rédemptrice de Sa Passion.
72,10s Les rois de Tharsis Offertoire
, Offertoire - Reges Tharsis
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
73,1.2.8 Les impies ont pensé Antienne
, Jeudi Saint - 2° Nocturne : Antienne « Cogitaverunt » et Psaume 72
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeurs Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
Antienne chantée pour le deuxième psaume du deuxième nocturne du Jeudi Saint : « Les impies ont pensé et ils ont dit le mal : ils ont proféré en haut lieu l’iniquité ». Cette accusation, ici pleine de douceur par sa mélodie, est toute tournée vers la justice finale qui sera rendue au Jugement dernier. Le juste la chante dans la confiance en Dieu, son refuge et son espérance.
73,24.1ss Tu m'as tenu la main droite Graduel
, Graduel - « Tenuisti »
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
75,2.3.5.6 Je dis aux arrogants Antienne
, Jeudi Saint - 3° Nocturne : Antienne « dixi iniquis » et Psaume 74
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeurs Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
76,1–13 Dans la paix Antienne
, Samedi Saint - 3° Nocturne : Antienne "In pace" et Psaume 75
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeur Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
76,2.3.9.10 La terre a tremblé Antienne et Offertoire
, Jeudi Saint - 3° Nocturne: Antienne " Terra tremuit" et Psaume 75
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeurs Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
Terra Tremuit - 'La Terre a Tremblé' - est une antienne du Jeudi Saint et de l'Offertoire de Pâques. A Pâques, l'Alléluia finale est ajoutée à l'antienne. Il est chanté le Jeudi Saint comme une prévision de ce qui se passera le Vendredi Saint et Pâques. Ce Psaume prédit le tremblement de terre qui s'est produit quand Notre-Seigneur est mort, qui était une préfiguration du Jugement Final. À la fin des temps, quand l'humanité méchante se considérera sûre et ne sera pas consciente de la colère de Dieu, Notre Seigneur reviendra. En ce jour terrible, les fondements mêmes de la terre seront ébranlés, et le Christ, dans la majesté solennelle, jugera la méchanceté des hommes.
, Offertoire - Terra tremuit
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
77,2s Au jour de la tribulation Antienne
, Jeudi Saint - 3° Nocturne : Antienne « In die tribulationis » et Psaume 76
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeur Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
77,15s Tu es Dieu Graduel
, Graduel - « Tu es Deus »
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
77,19 ; 84,2s Les éclairs illuminèrent le monde Introït
, Introït - Illuxerunt
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
78,23ss Les portes du ciel Offertoire
, Offertoire - Portas caeli
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
79,9s Sois propice Alleluia et Graduel
, Alleluia - Propitius esto
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Graduel - Propitius esto
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
80,20.3 Seigneur Dieu Graduel
, Graduel - Domine Deus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
81,2–6 Acclamez Dieu Introït
, Introït - Exultate Deo
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
86,1–4 Prête l'oreille, Seigneur Introït
, Introït - Inclina Domine
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
86,3.5.1 Aie pitié de moi Introït
, Introït - Miserere mihi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
86,12.5 Je te louerai Offertoire
, Offertoire - Confitebor Deus meus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
88,1–19 Tu as éloigné de moi Antienne
, Vendredi Saint - 3° Nocturne: Antienne "Longe fecisti" et Psaume 87
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeur Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
Longe Fecisti est l'un des répons du Vendredi Saint, et médite sur l'abandon de Notre-Seigneur alors qu'il est laissé par ses disciples pour être pris en captivité. Ici Notre-Seigneur réfléchit à sa remise entre les mains de son ennemi. Ayant prié dans le jardin des Oliviers, il se trouve seul en compagnie de ceux qui veulent prendre sa vie. Avec cette souffrance de l'âme, l'agonie de la Passion commence et ne finira que par la mort atroce de la Croix.
88,1–19 Je suis devenu comme un homme sans secours Antienne
, Samedi Saint - 3° Nocturne: Antienne "Factus sum" et Psaume 87
(CD, 2005) Choeur Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
88,2s Seigneur, Dieu de mon salut Alleluia et Offertoire
, Alleluia - Domine Deus salutis
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Offertoire - Domine Deus salutis
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
88,5s Je suis compté parmi ceux qui descendent dans la fosse Répons
, Samedi Saint - 3° Nocturne: Répons "Aestimatus sum"
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeur Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
Aestimatus Sum est le dix-septième Responsorio pour la Semaine Sainte. Ici, le Christ se lamente de sa propre mort. Ayant versé sa dernière goutte de sang, il est enterré et compté parmi les morts. Les principaux prêtres et les pharisiens voulaient enterrer sa mémoire pour toujours dans l'oubli général. Ils se sont trompés parce que la mort honteuse de Christ parmi les criminels sans l'aide de ses disciples serait suivie de sa résurrection la plus glorieuse. Le répons Æstimátus sum est de nouveau un 4e mode, avec peut-être encore une nuance plus accentuée de douceur et d’intériorité. Mis sur les lèvres du Seigneur durant son séjour dans les limbes, il évoque pour la dernière fois dans les répons et de manière émouvante toute la suavité et l’inaltérable paix de son âme, qui l’accompagnèrent jusque dans la tombe.
90,1s Le Seigneur comme une brebis Antienne
, Jeudi Saint - Laudes : Antienne « Dominus tamquam » et Psaume 89
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Choeurs Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
Soupir de tristesse et de solitude devant Notre Seigneur conduit comme une brebis à l'abattoir, cette antienne des Laudes du Jeudi Saint est bouleversante d'intériorité et de compassion.
92,13s.3 Le juste fleurira comme le palmier Introït, Graduel et Offertoire
, Introït - Justus ut palma
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Graduel - Justus ut palma
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Offertoire - Justus ut palma
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
104,30–33 Envoie ton Esprit Alleluia
, Alleluia Emitte Spiritum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
107,20s.8.27.31 Qu'ils célèbrent le Seigneur Graduel
, Graduel - Exaltent eum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
107,20s.8.27.31 Le Seigneur envoya sa parole Graduel
, Graduel - Misit Dominus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
110,1–7 La Rédemption Alleluia
, Alleluia Redemptionem
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
112,1 Heureux l'homme qui craint le Seigneur Alleluia
, Alleluia Beatus vir qui timet
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
122,1 Réjouis-toi Jérusalem Introït
, Introït - Laetare Jerusalem
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
122,6s Demandez la paix Graduel
, Graduel - Rogate
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
124,7 Notre âme Offertoire
, Offertoire - Anima nostra
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
130,1–4 Si tu observes les iniquités Introït
, Introït - Si iniquitates
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
132,8 L'Assomption de la Vierge Alleluia
, Alleluia - Assumpta est Maria
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Chant de l'Alleluia pour la Messe de l'Assomption de la Sainte Vierge Marie.
132,16s Je revêtirai ses prêtres de salut Graduel
, Graduel - Sacerdotes ejus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
133,1s Qu'il est bon pour des frères Graduel
, Graduel - Ecce quam bonum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
137,1 Au bord des fleuves de Babylone Offertoire
, Offertoire - Super flumina
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
138,2 J'adorerai dans ton saint temple Alleluia
, Alleluia - Adorabo ad templum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
138,7 Si je marche en pleine détresse Offertoire
, Offertoire - Si ambulavero
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
139,17 Vos amis sont encore et encore en honneur Alleluia
, Alleluia - Nimis honorati
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
139,17.2 Et à mes yeux, vos amis sont en honneur Introït
, Introït - Mihi autem nimis
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Offertoire - Mihi autem nimis
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
140,5 Garde-moi Seigneur Offertoire
, Offertoire - Custodi me
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
91,1–16 Reste avec moi, Dieu mon abri
Henry Francis
(1793-1847), Abide With Me, 1861Stephen Cleobury (dir.), King's College Choir, Cambridge
1. Abide with me; fast falls the eventide; the darkness deepens; Lord, with me abide. When other helpers fail and comforts flee, Help of the helpless, O abide with me. 2. Swift to its close ebbs out life's little day; earth's joys grow dim; its glories pass away; change and decay in all around I see; O thou who changest not, abide with me. 3. I need thy presence every passing hour. What but thy grace can foil the tempter's power? Who, like thyself, my guide and stay can be? Through cloud and sunshine, Lord, abide with me. 4. I fear no foe, with thee at hand to bless; ills have no weight, and tears not bitterness. Where is death's sting? Where, grave, thy victory? I triumph still, if thou abide with me. 5. Hold thou thy cross before my closing eyes; shine through the gloom and point me to the skies. Heaven's morning breaks, and earth's vain shadows flee; in life, in death, O Lord, abide with me.
Reste avec moi, le soir tombe vite ; l'obscurité s'épaissit ; Seigneur, reste avec moi. Quand nos autres aides s'évanouissent et que le réconfort nous fuit, Secours de ceux qui sont sans secours, oh reste avec moi. Le petit jour de la vie reflue rapidement vers sa fin ; les joies de la terre deviennent ternes, ses gloires passent. Je vois le changement et la dégradation dans tout ce qui m'entoure. Ô toi qui ne changes pas, reste avec moi. J'ai besoin de ta présence à chaque heure qui passe. Qu'est-ce qui peut contrecarrer le pouvoir du tentateur, si ce n'est ta grâce ? Qui, autant que toi, peut être mon guide et mon abri ? À travers les nuages et le soleil, Seigneur, reste avec moi. Je ne crains aucun ennemi, avec toi près de moi pour me bénir ; les mauvais n'ont aucun poids, et les larmes aucune amertume. Où est l'aiguillon de la mort ? Où est, tombeau, ta victoire ? Je triomphe encore, si tu restes avec moi. Tiens ta croix devant ems yeux qui se ferment ; brille à travers l'obscurité, et montre-moi le ciel. Le matin du paradis se lève, et les ombres vaines de la terre s'enfuient. Dans la vie, dans la mort, ô Seigneur, reste avec moi.
Abide with Me est une hymne chrétienne écrite par l'anglican Henry Francis ; il mourut trois semaines après avoir achevé son chant. L'hymne est utilisée pour des cérémonies religieuses et militaires dans tout le Commonwealth, et par des supporters, notamment dans la Coupe d'Angleterre de football et la Coupe d'Angleterre de rugby à XIII. Elle figure également dans de nombreux films et cérémonies officielles telles que la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques d'été de 2012. Il existe une version française écrite par Jacques-François « Francis » Chaponnière en 1881.
en 1847, et le plus souvent chantée sur la musique d'Eventide par William Henry composée en 1861. a écrit le poème sur son lit de mort, gravement atteint par la tuberculose86,13 Prophétie de la résurrection du Christ
, Vitrail de la rédemption, (vitrail, mi 12e s.), 178 x 200 cm en 9 panneaux, Cathédrale Saint-Étienne, Châlons, France,
Public Domain © Wikicommons→, Os 13,14 ; Ps 86,13 ; Gn 22
Dans la cathédrale Saint-Étienne de Châlons-sur-Marne (France), le vitrail de la Rédemption→ , un vitrail représentant la crucifixion (première moitié du 12e s.), montre à gauche David tenant un phylactère disant : ERUISTI.ANIMAm meam EX INFERNO INFErioris (Ps 86,13 = V-85,13) et Osée tenant un autre phylactère avec O MORS.ERo mors tua.MORSus.TUus ero inferne :
, Vitrail de la rédemption, détail : le sacrifice d'Abraham, (vitrail, mi 12e s.), Cathédrale Saint-Étienne, Châlons, France
CC BY-SA 3.0 © Wikicommons→, Os 13,14 ; Ps 86,13 ; Gn 22
143,10 Ton bon esprit me conduira
Pavel
(1877-1944), Let Thy Good Spirit (Duh Tvoy blagiy), 1912Dr. David Rhyne (dir.), SC Governor’s School Cantus Chamber Choir
Que ton bon esprit me conduise sur un chemin droit ! Alléluia, alléluia, alléluia!
Pavel Grigorievitch
est un compositeur, chef de chœur et professeur de musique russe. Il est l'auteur de plus de cinq cents œuvres chorales, dont plus de quatre cents œuvres de musique sacrée. L'œuvre de est influencée par son maître Sergueï . Ce dernier était non seulement compositeur, mais aussi un historien de la musique russe qui étudia notamment l'apparition, au XVIIe siècle, du chant polyphonique dans la musique liturgique russe. En effet depuis les débuts de la christianisation de la Russie en 988, et pendant les six siècles suivants, la musique sacrée avait été uniquement monophonique. Pavel cherche à conserver les qualités de ce style musical traditionnel, tout en lui ajoutant celles de la polyphonie.142,1–8 Je considérais à ma droite... Antienne
, Samedi Saint - Vêpres: Antienne "Considerabam" et Psaume 141
(CD, 2005) Dom Jean Claire, chœur des moines de l'abbaye de Solesmes
141,1–10 Garde-moi Seigneur Antienne
, Samedi Saint — Vêpres: Antienne "Custodi me" et Psaume 140
(CD, 2005) Dom Jean Claire, chœur des moines de l'abbaye de Solesmes
140,1–14 Délivre-moi de l'homme méchant Antienne
, Samedi Saint — Vêpres : Antienne "Ab hominibus" et Psaume 139
(CD, 2005) Dom Jean Claire, chœur des moines de l'abbaye de Solesmes
138,1–8 en présence des anges je te chanterai Composant entouré d'anges
Sainte Cécile entourée d'anges compose.
Nicolas
(1594-1665), Sainte Cécile, (huile sur toile, 1635), 117,7 × 89 cmMusée du Prado, Madrid
137,4–7 Comment chanterons-nous le cantique du Seigneur
William
(c.1540-1623), Quomodo cantabimus, 1584Ross W. Duffin (dir.), Quire Cleveland
4 Quomodo cantabimus canticum Domini in terra aliena ? 5 Si oblitus fuero tui, Jerusalem, oblivioni detur dextera mea. 6 Adhaereat lingua mea faucibus meis, si non meminero tui ; si non proposuero Jerusalem in principio laetitiae meae. 7 Memor esto, Domine, filiorum Edom, in die Jerusalem : qui dicunt : Exinanite, exinanite usque ad fundamentum in ea. (Ps 137,4-7)
William ; pourtant certaines autres, comme le Short Service, ont été chantées sans interruption dans les cathédrales anglaises au cours des quatre derniers siècles.
est un compositeur et organiste anglais de la Renaissance. Son œuvre pour clavier, remarquablement construite, marque le début du style baroque pour l'orgue et le virginal. Leur importance pour la musique anglaise est aussi grande que la musique d'orgue de pour la musique italienne. De la même manière, peut être considéré comme un musicien de cour anglican, quoiqu'il se soit converti et ait consacré ses dernières années à la liturgie catholique et qu'il soit mort dans une relative obscurité. Lors du déchaînement anti-catholique qui suivit l'attentat catholique contre Jacques Ier, en 1605, certaines de ses œuvres ont été interdites en Angleterre sous peine d'emprisonnement130,1–8 De profundis
Paul
(1975-), De Profundis (Korniev), 2005St. Petersburg Chamber Choir ft. Tim Storms
1 Out of the depths have I cried unto thee, O Lord. 2 Lord, hear my voice: let thine ears be attentive to the voice of my supplications. 7 Let Israel hope in the Lord: for with the Lord there is mercy, and with him is plenteous redemption. (Ps 130,1s.7)
Paul
est un compositeur gallois. Une grande partie de sa production est pour chœur, à la fois a cappella et accompagné. Il devint plus connu quand son motet Ubi Caritas et Amor fut interprété lors du mariage du Prince William et de Catherine Middleton en 2011. 'De Profundis' est un morceau de musique chorale puissant, paisible et parfaitement harmonieux chanté ici par le Choeur de chambre de Saint-Pétersbourg couplé avec la voix principale de Tim Storms qui enregistre également la note la plus basse jamais écrite en musique chorale dans cette chanson.Arvo
(1935-), De profundis psalm 130, 1980Chamberchoir Doulce Memoire
De profundis clamavi ad te, Domine; Domine, exaudi vocem meam. Fiant aures tuae intendentes in vocem deprecationis meae. Si iniquitates observaveris, Domine, Domine, quis sustinebit? Quia apud te propitiatio est propter legem tuam sustinui te Domine, ut timeamus te. Sustinui te, Domine, sustinuit anima mea in verbo eius; speravit anima mea in Domino A custodia matutina usque ad noctem speret Israel in Domino, quia apud Dominum misericordia, et copiosa apud eum redemptio. Et ipse redimet Israel ex omnibus iniquitatibus eius. (Ps 130,1-8)
Arvo
né le 11 septembre 1935 à Paide, en Estonie, est un compositeur estonien de musique contemporaine vivant à Tallinn. Il est souvent associé au mouvement de musique minimaliste qui s'est formé à partir des années 1960. Créateur d'une musique épurée, d'inspiration profondément religieuse — il est de confession chrétienne orthodoxe, et les chants orthodoxes ainsi que les chants grégoriens ont influencé son style sur la modulation lente des sons—, associée par certains à la musique postmoderne, Arvo creuse à présent le sillon de son style tintinnabuli. Ses œuvres ont été jouées dans le monde entier et ont donné lieu à plus de 80 enregistrements, ainsi qu'à de très nombreuses utilisations pour l'illustration sonore de films et de spectacles de danse.Cette œuvre de Pärt a été composée lors de l'année suivant son départ de l'Estonie, pour Vienne puis Berlin. Elle peut être analysée sous cet aspect très personnel d'un Pärt fuyant l'URSS. Basée sur les paroles du psaume 130 (ou 129 selon la numérotation), le De profundis du Livre des psaumes a une dramatique liturgique épurée, inspirée pour une pièce dans son style tintinnabuli, utilisant simplement l'écriture musicale. De profundis est dédié au compositeur autrichien Gottfried von Einem. C'est est une œuvre en un mouvement unique, conçue pour un chœur d'hommes à quatre parties, orgue et percussions. Son écriture est bâtie sous la forme d'une phrase mélodique simple allant de manière croissante vers un point paroxystique. Les sons et les chœurs s'élevant progressivement vers un moment d'unisson des quatre parties, avant de revenir vers le silence, marqué par une note finale de cloche.
J.S.
(1685-1750), Aus der Tiefen rufe ich, Herr, zu dir, BWV 131, 1707Philippe Herreweghe (dir.), Chorus & Orchestra of Collegium Vocale Gent
1. Aus der Tiefen rufe ich, Herr, zu dir (Chorus)
2. So du willst, Herr, Sünde zurechnen, Herr (Arioso: B & Chorale: S)
3. Ich harre des Herrn (Chorus)
4. Meine Seele wartet auf den Herrn (Aria: T & Chorale: A)
5. Israel hoffe auf den Herrn (Chorus) 17:53
Aus der Tiefen rufe ich, Herr, zu dir (Des profondeurs, je crie vers toi, Seigneur), (BWV 131), est une cantate religieuse de Johann Sebastian
composée à Mühlhausen en 1707. Le texte ne contient pas de poésie libre mais est tiré du Psaume 130 (129) et des versets 2 et 5 du choral « Herr Jesu Christ, du höchstes Gut » de Bartholomäus (1588). Ces deux textes sont des suppliques pour le pardon des péchés. On en a donc inféré que Bach a écrit cette cantate comme une actions de grâces, peut-être en relation avec un incendie qui détruisit une grande partie du centre ville de Mülhausen peu avant son arrivée dans la ville. Quoi qu'il en soit, aucune documentation d'époque ne mentionne ce service. Il n'est pas exclu qu'il s'agisse d'une composition pour des funérailles comme dans le cas de l'« Actus Tragicus » (BWV 106). Cette cantate est l'une des toutes premières que ait écrites, sinon la première.Josquin
(ca. 1440-1521), De profundis clamavi, 1515Hilliard Ensemble
Josquin
né peut-être à Beaurevoir vers 1450 et mort à Condé-sur-l'Escaut le 27 août 1521, souvent désigné simplement sous le nom de , est un compositeur franco-flamand de la Renaissance. Il est largement considéré par les spécialistes comme le premier grand maître dans le domaine de la polyphonie vocale des débuts de la Renaissance, style qui allait poursuivre son développement au cours de sa vie.128,1–6 Heureux tout homme qui craint le Seigneur
Henry
(1659-1695), Blessed is the man that feareth the Lord, 1688Edward Barbieri (dir.), Consortium Choir
a écrit cette pièce en 1688 pour être jouée le 12 décembre de cette année dans le cadre des célébrations de la Founders Day à l'école Charterhouse. Cette fête était un événement important et la commission est probablement venue à la suggestion de John , le poète et ecclésiastique qui était prédicateur de cette année pour l'occasion et qui a composé les paroles d'au moins neuf 'devotional songs' de . L'hymne a connu un vif succès dans tout le pays et a été découverte dans des manuscrits et des collections imprimées disséminées dans toute la Grande-Bretagne.
126,1–6 In convertendo
Jean-Philippe
(1683-1764), In convertendo Dominus RCT 14Bruno Procopio (dir.), The Centuries Choir and Orchestra
1 In convertendo Dominus captivitatem Sion, facti sumus sicut consolati. 2 Tunc repletum est gaudio os nostrum, et lingua nostra exsultatione. Tunc dicent inter gentes: Magnificavit Dominus facere cum eis. 3 Magnificavit Dominus facere nobiscum; facti sumus laetantes. 4 Converte, Domine, captivitatem nostram, sicut torrens in austro. 5 Qui seminant in lacrimis, in exsultatione metent. 6 Euntes ibant et flebant, mittentes semina sua. Venientes autem venient cum exsultatione, portantes manipulos suos. (Ps 126,1-6)
Jean-Philippe
, né le 25 septembre 1683 à Dijon et mort le 12 septembre 1764 à Paris (paroisse Saint-Eustache), est un compositeur français et théoricien de la musique. L'œuvre lyrique de forme la plus grande partie de sa contribution musicale et marque l'apogée du classicisme français, dont les canons s'opposèrent avec force à ceux de la musique italienne jusque tard au cours du 18e siècle.122,1–7 J'ai été dans la joie
John
(1649-1708), Symphony Anthems - I was glad, 1697Choir of New College, Oxford
1 I was glad when they said unto me: We will go into the house of the Lord. 2 Our feet shall stand in thy gates: O Jerusalem. 3 Jerusalem is built as a city: that is at unity in itself. 6 O pray for the peace of Jerusalem: they shall prosper that love thee. 7 Peace be within thy walls: and plenteousness within thy palaces. (Ps 122,1-7)
John
est un organiste et compositeur anglais de musique baroque, né en février 1649 et mort le 1er octobre 1708. Il a été organiste de l'abbaye de Westminster à partir de 1668, et plus tard, aumônier et maître de chapelle de la cathédrale Saint-Paul de Londres. Il fut aussi nommé à la Chapelle Royale par Jacques II.122,1–7 I was glad
Sir Charles Hubert Hastings
(1848-1918), I Was Glad, 1902Choir of King's College, Cambridge, Cambridge University Musical Society Chorus, Band of the Royal Military School of Music, New Philharmonia Orchestra
1 I was glad when they said unto me: We will go into the house of the Lord. 2 Our feet shall stand in thy gates: O Jerusalem. 3 Jerusalem is built as a city: that is at unity in itself. 6 O pray for the peace of Jerusalem: they shall prosper that love thee. 7 Peace be within thy walls: and plenteousness within thy palaces. (Ps 122,1-7)
Sir Charles Hubert Hastings
est un compositeur anglais, enseignant et historien de la musique. "I was glad" est un introït couramment utilisé dans l' anglicanisme , et aussi utilisé comme un hymne traditionnellement chanté au couronnement du monarque britannique . Ce fut la pièce de procession au début de la cérémonie de mariage du prince William et Kate Middleton à l'abbaye de Westminster le vendredi 29 avril 2011.121,3 Il ne laissera pas ton pied trébucher
(1861-1950), Sainte Thérèse dans le manteau du Christ (huile et essence sur papier marouflé, ca. 1941), 150 x 133 cm
Collection particulière, Paris→
© Succession Desvallières
Malgré la guerre, l’artiste continue son cycle sur sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus commencé en 1938. Il présente au Salon d’automne une oeuvre printanière sur la bonté du Christ qui enveloppe la sainte dans son manteau de tendresse. On repense au Christ entourant de la même façon le Soldat et l’Infirmière à la chapelle de Saint-Privat (CR 1640) ou encore au Sacré-Cœur aux enfants (CR 1719) et Sacré-Cœur protecteur des familles (CR 1772). Le tableau sera repris dans une aquarelle pour la gravure de l’illustration page 72, « Il m’a prise sous ses ailes comme l’aigle protège ses petits » CR 2654, du livre Thérèse Martin de Louis Chaigne (1948).
119,12.121s.42 Tu es béni et tu ne nous livres pas Offertoire
, Offertoire — Benedictus es et non tradas
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
119,12s Bénis sois-tu Seigneur Offertoire
, Offertoire — Benedictus es... in labiis
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
119,18.26.73 Je lèverai les yeux Offertoire
, Offertoire — Levabo oculos
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
119,46s Je parlerai de tes enseignements Introït
, Introït — Loquebar de testimoniis
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
119,47s Je méditerai Offertoire
, Offertoire — Meditabor
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
119,95s Les méchants m'attendent Introït
, Introït — Me expectaverunt
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
119,105 Variation de Lumières
Paul
(1863-1935), Mont Saint Michel. Brume et soleil, (Huile sur toile), 46,7 x 55,5 cmCollection privée, Fondation de l’Hermitage, Lausanne.
Ce paysage exprime une poésie quasi abstraite, quasi musicale, la composition rythmée par d’amples arabesques d’un chemin sablonneux à marée basse. Le Mont Saint-Michel apparaît dans un morcellement de formes où le sujet semble secondaire mais permet un traitement inédit de la lumière.
Signac, avec Seurat, engage l’impressionnisme sur la voie de nouvelles recherches, inspirées des travaux scientifiques sur l’optique. Ils instaurent la technique visuelle qui fut appelé le « pointillisme ». La touche divisée confère à la toile un effet de vibrations délicates et se prête à l’analyse des variations lumineuses. C’est à l’esprit de recomposer cette dislocation des formes.
Le peintre nous interroge sur notre manière de regarder le monde. L’œuvre d’art tient en éveil notre esprit pour que nous apprenions à voir autrement, pour nous permettre de redécouvrir ce que nous croyons connaître. L’esprit devient le maître du regard ! Il nous faut consentir à la lumière au cœur de nos émotions et déposer notre propre vision… La Merveille se donne à contempler à travers une autre façon de rentre compte du visible : une effervescence de couleurs qui sont pure lumière. Et cette vibration qui semble voiler ce lieu où trône saint Michel archange, révèle ce qu’il est : les pierres ne sont plus, sublimées en prière, en louange, transfigurées. La lumière se donne à voir mais, pour aller à sa rencontre, il faut traverser les eaux : « Ta Parole est lumière pour mes pas… »
119,33–38 Enseigne-moi, Seigneur
William
(ca. 1540-1623), Teach me, O LordBarry Rose (dir.), Guildford Cathedral Choir
33 Teach me, O Lord, the way of thy statutes : and I shall keep it unto the end. 34 Give me understanding, and I shall keep thy law : yea, I shall keep it with my whole heart. 35 Make me to go in the path of thy commandments : for therein is my desire. 36 Incline my heart unto thy testimonies : and not to covetousness. 37 O turn away mine eyes, lest they behold vanity : and quicken thou me in thy way. 38 O stablish thy word in thy servant : that I may fear thee. (Ps 119,33-38)
William ; pourtant certaines autres, comme le Short Service, ont été chantées sans interruption dans les cathédrales anglaises au cours des quatre derniers siècles.
est un compositeur et organiste anglais de la Renaissance. Son œuvre pour clavier, remarquablement construite, marque le début du style baroque pour l'orgue et le virginal. Leur importance pour la musique anglaise est aussi grande que la musique d'orgue de pour la musique italienne. De la même manière, peut être considéré comme un musicien de cour anglican, quoiqu'il se soit converti et ait consacré ses dernières années à la liturgie catholique et qu'il soit mort dans une relative obscurité. Lors du déchaînement anti-catholique qui suivit l'attentat catholique contre Jacques Ier, en 1605, certaines de ses œuvres ont été interdites en Angleterre sous peine d'emprisonnement119,105–111 Ta Parole est une lampe
Henry
(1659-1695), Thy Word is a Lantern Z.61Horst Buchholz (dir.), Trinity Cathedral (Episcopal) in Cleveland, Ohio
105 Thy word is a lantern unto my feet : and a light unto my paths. 106 I have sworn, and am stedfastly purposed : to keep thy righteous judgements. 107 I am troubled above measure : quicken me, O Lord, according to thy word. 108 Let the free-will offerings of my mouth please thee, O Lord : and teach me thy judgements. 110 The ungodly have laid a snare for me : but yet I swerved not from thy commandments. 111 Thy testimonies have I claimed as mine heritage for ever : and why? they are the very joy of my heart. (Ps 119,105-111)
Henry
est un musicien et compositeur anglais, né et mort à Londres dans le quartier de Westminster. compte parmi les plus grands compositeurs anglais. Il a incorporé à sa musique des éléments des styles baroques français et italien, mais a développé un style anglais particulier.118,8s Il est bon d'espérer dans le Seigneur Graduel
, Graduel — Bonum est confidere
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
118,26s Béni soit celui qui vient Offertoire
, Offertoire — Benedictus qui venit
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
85,10 ; 118,19 Dona nobis pacem
Ralph Vaughan
(1872-1958), Dona Nobis Pacem, 1936Richard Hickox (dir.), London Symphony Orchestra & Chorus
© Licence YouTube standard→, Lv 26,6 Ex 12,23 Jr 8,15-22 Dn 10,19 Ag 2,9 Mi 4,3 Ps 85,10.118,19 Is 43,9.66,18-22 Lc 2,13
Solistes: Bryn Terfel (bariton), Yvonne Kenny (soprano), Philip Langridge (ténor)
00:00 - I. 'Agnus Dei' (Lento)
03:59 - II. 'Beat! beat! drums!' (Allegro moderato)
07:55 - III. Reconciliation (Allegro moderato)
15:05 - IV. Dirge for Two Veterans (Moderato alla marcia)
26:42 - V. 'The Angel of Death has been abroad' (L'istesso tempo)
30:10 - VI. 'O man greatly beloved'
Cette œuvre a été commandée à l'occasion du centenaire de la Huddersfield Choral Society. Ses textes ont été extraits de la messe, trois poèmes de
, un discours politique et des passages de la Bible. L'expression Dona nobis pacem (« Donne-nous la paix »), dans différents contextes, ponctue la pièce entière.113,1–118,29 Hallelujah
Leonard Cohen (1934-2016), Hallelujah, 1984
Hallelujah, qui signifie en hébreu Hallelou « Rendez louange » Yah, Yahweh « à Dieu », est une chanson écrite par Leonard 2S 11,2), mais alors il perd sa puissance comme Samson à cause de Dalila (Jg 16,1-31). L'amour l'a laissé seul sur un chemin de douleurs et de souffrances malgré des moments d'intimité, et dans un verset final faisant allusion à la mort d'Urie (2S 11,6-17), il nous dit qu'il n'a rien appris de l'amour si ce n'est comment se protéger de potentiels rivaux.
. Elle a été enregistrée pour la première fois sur son album de 1984 intitulé . Avec une dramatique ironie, ce psaume des jours modernes pose en contraste d'une part l'adoration des Psaumes de David pour le Seigneur qui s'est plu à écouter son harpe mystique, et d'autre part l'adoration du narrateur pour son amante qui ne s'est jamais plu à écouter sa musique. Il est comme David captivé par la beauté de Bethsabée quand il la voit dans son bain (118,6s Le Seigneur est pour moi
Dieterich
(1637/1639-1707), Der Herr ist mit mir, BuxWV 15, 1687Jos van Immerseel, Orchestra Anima Aeterna Collegium Vocale
Der Herr ist mit mir, darum fürchte ich mich nicht, was können mir Menschen tun? Der Herr ist mit mir, mir zu helfen, und ich will meine Lust sehen an meinen Feinden. Alleluia (Ps 118,6s)
Der Herr ist mit mir (Le Seigneur est avec moi), BuxWV 15, est un concert spirituel de Dietrich Ps 118,6-7 se conclut par un Alleluia traité en chaconne.
, pour quatre voix (SATB) et un petit ensemble de deux violons, viole et basse continue. Le texte issu du25,6s Souviens-toi Seigneur
Richard
(c.1530-1580), Call to the remembranceTimothy Brown (dir.), Clare College Chapel Choir
143,1.6–10 ; 31,16 ; 88,2 ; 67,7 ; 34,8 Heureux l'homme
Henryk
(1933-2010), Beatus Vir: Psalm for baritone, large mixed chorus and grand orchestra Op.38, 1979John Nelson (dir.), Czech Philharmonic Orchestra
© Licence YouTube standard→, Ps 143,1.6-10.31,16.88,2.67,7.34,8
Cette pièce a été commandée en 1977 par le cardinal Karol Wojtyla (futur Jean-Paul II à qui elle est dédiée) afin de célébrer les 900 ans de la mort du martyr catholique polonais Stanislas de Szczepanów, évêque de Cracovie. Elle est composée par
du 2 avril au 19 mai 1979 à Katowice. La première de l'œuvre a eu lieu le 9 juin 1979 à Cracovie sous la baguette du compositeur dirigeant Jerzy Mechlinski et l'orchestre philharmonique de Cracovie à l'occasion de la première visite en Pologne du pape nouvellement élu l'année précédente et en sa présence.33,21s Voici notre Dieu
Samuel Sebastian
(1810-1876), O Thou art Lord my God, 1839David Crown (dir.), The Choir of Somerville College, Oxford
© Licence YouTube standard→, Is 25,1.4.8s Ps 33,21s 1Co 15,34.52s
Samuel Sebastian
(14 août 1810 - 19 avril 1876) était un organiste et compositeur anglais. De son vivant comme organiste et chef de chœur, il composa presque exclusivement pour l'Église d'Angleterre, qui continue de chérir sa mémoire. Ses hymnes mieux connus incluent “Thou wilt keep him in perfect peace” et “Wash me thoroughly”.Is 25,1 O Lord, Thou art my God; I will exalt you, I will praise Thy name;Thy counsels of old are faithfulness and truth. Thou hast done wonderful things, Thy counsels of old are truth. Is 25,4 For Thou hast been a strength to the poor and needy in his distress. O Lord, Thou art my God and I will praise Thy name. Ps 33,21 For our heart shall rejoice in him, because we have trusted in his holy name. Ps 33,22 Let thy mercy, O Lord, be upon us according as we hope in thee. Is 25,8 He will swallow up death in victory; and the Lord God will wipe tears from off all faces; the rebuke of his people shall he take away from off all the earth for the Lord hath spoken it. 1Co 15,53 For this mortal must put on immortality. 1Co 15,34 Awake to righteousness, awake and sin not; for some have not the knowledge of God: Sg 3,9 They that put their trust in him shall understand the truth. 1Co 15,51 We shall not all sleep but we shall all be changed 1Co 15,52 in a moment, in a twinkling of an eye, at the last trumpet. Is 25,9 And in that day it shall be said: this is our God, we have waited for him and he will save us. This is the Lord and he will save us: we will be glad, we will rejoice in his salvation.
55,1–7 Prête l'oreille à ma prière
Felix
(1809-1847), William (1793–1867), Hear my prayer/O for the wings of a dove WoO15, 1844Hear My Prayer (allemand: Hör 'mein Bitten) est un hymne chrétien pour soprano solo, choeur (SATB) et orgue ou orchestre composé par Felix
en Allemagne en 1844. La première représentation a eu lieu à Crosby Hall, Londres, le 8 janvier. 1845. L'accompagnatrice à cette occasion était l'organiste, compositeur et professeur Ann (1811-1891). Plus tard, elle a épousé le librettiste de l'œuvre, William (1793-1867), qui a également collaboré avec sur son oratorio Elijah (allemand: Elias). L'hymne est particulièrement connu grâce à l'enregistrement réalisé en 1927 par le jeune soprano Ernest .Hear my prayer, O God, incline Thine ear! Thyself from my petition do not hide. Take heed to me! Hear how in prayer I mourn to Thee, Without Thee all is dark, I have no guide. The enemy shouteth, the godless come fast! Iniquity, hatred, upon me they cast! The wicked oppress me, Ah where shall I fly? Perplexed and bewildered, O God, hear my cry! My heart is sorely pained within my breast, my soul with deathly terror is oppressed, trembling and fearfulness upon me fall, with horror overwhelmed, Lord, hear me call! O for the wings, for the wings of a dove! Far away, far away would I rove! In the wilderness build me a nest, and remain there for ever at rest.
Écoute ma prière, ô Dieu, incline ton oreille! Toi-même de ma pétition ne te cache pas. Prends garde à moi! Écoute comment, dans la prière, je me pleure à toi, Sans toi tout est sombre, je n'ai pas de guide. L'ennemi crie, les impies viennent vite! L'iniquité, la haine, ils ont jeté sur moi! Les méchants m'oppressent, Ah, où vais-je voler? Perplexe et désorienté, O Dieu, entends mon cri! Mon coeur est douloureusement peiné dans ma poitrine, mon âme avec la terreur mortelle est opprimée, tremblant et craintif sur moi tombent, avec horreur accablé, Seigneur, écoute-moi! O pour les ailes, pour les ailes d'une colombe! Au loin, au loin, j'irais! Dans le désert, construis-moi un nid, et reste là pour toujours au repos.
69,20 Le Messie
George Frideric
(1685-1759), The Messiah, Thy rebuke hath broken His heart HWV56-14, 1741St Matthews Choir
© Public Domain Ps 69,20
Le Messie (Messiah, HWV 56) est un oratorio composé en 1741 par Georg Friedrich
. C'est une de ses œuvres les plus populaires avec les suites Water Music (Musique sur l'eau) et Music for the Royal Fireworks (Musique pour les feux d'artifice royaux). Messiah est désormais considéré comme le chef-d'œuvre du genre oratorio. L'œuvre est écrite pour orchestre et chœur, avec cinq solistes (soprano, mezzo-soprano, contralto, ténor et basse), elle comprend une ouverture, une sinfonia pastorale et 51 récitatifs, airs et chœurs.Reproach hath broken my heart; and I am full of heaviness: and I looked for some to take pity, but there was none; and for comforters, but I found none.
118,24 Haec dies
William
(ca. 1540-1623), Haec dies, 1591Richard Marlow, Choir of Trinity College, Cambridge
Haec dies quam fecit Dominus: exultemus et laetemur in ea, alleluya. (Ps 118,24)
William ; pourtant certaines autres, comme le Short Service, ont été chantées sans interruption dans les cathédrales anglaises au cours des quatre derniers siècles.
est un compositeur et organiste anglais de la Renaissance. Il peut être considéré comme un musicien de cour anglican, quoiqu'il se soit converti et ait consacré ses dernières années à la liturgie catholique et qu'il soit mort dans une relative obscurité. Lors du déchaînement anti-catholique qui suivit l'attentat catholique contre Jacques Ier, en 1605, certaines de ses œuvres ont été interdites en Angleterre sous peine d'emprisonnement117,1s Louez le Seigneur toutes les nations
Johann Sebastian
(1685-1750), Lobet den Herrn, alle Heiden BWV 230, 1821Winnender Kantorei & Collegium Musicum an der Schlosskirche Winnenden
1 Lobet den HERRN, alle Heiden; preiset ihn, alle Völker! 2 Denn seine Gnade und Wahrheit waltet über uns in Ewigkeit. Halleluja! (Ps 117,1s)
Jean-Sébastien
est un musicien, notamment organiste, et compositeur allemand. À la croisée des principales traditions musicales européennes (pays germaniques, France et Italie), il en a opéré une synthèse très novatrice pour son temps. Bien qu'il n’ait pas créé de forme musicales nouvelles, il pratiqua tous les genres existant à son époque à l’exception de l’opéra : dans tous ces domaines, ses compositions, dont seules une dizaine ont été imprimées de son vivant, montrent une qualité exceptionnelle en invention mélodique, en développement contrapuntique, en science harmonique, en lyrisme inspiré d’une profonde foi chrétienne. La musique de Bach réalise l'équilibre parfait entre le contrepoint et l'harmonie avant que cette dernière prenne le pas à partir du milieu du XVIIIe siècle. Il est en particulier le grand maître de la fugue, du prélude de choral, de la cantate religieuse et de la suite qu’il a portés au plus haut degré d’achèvement.117,1s Laudate Dominum
Wolfgang Amadeus
(1756-1791), Laudate Dominum Vesperae, Solennes de Confessore K.339, 1780Gächinger Kantorei Stuttgart
Laudate Dominum, omnes gentes; laudate eum, omnes populi. Quoniam confirmata est super nos misericordia ejus, et veritas Domini manet. (Ps 117,1s)
Wolfgang Amadeus
laisse une œuvre impressionnante (626 œuvres sont répertoriées dans le catalogue Köchel), qui embrasse tous les genres musicaux de son époque. Selon le témoignage de ses contemporains, il était, au piano comme au violon, un virtuose. On reconnaît généralement qu'il a porté à un point de perfection le concerto, la symphonie, et la sonate, qui devinrent après lui les principales formes de la musique classique, et qu'il fut l'un des plus grands maîtres de l'opéra. Son succès ne s'est jamais démenti. Son nom est passé dans le langage courant comme synonyme de génie, de virtuosité et de maîtrise parfaite.116,1–19 Aujourd'hui je suis affligé Antienne
, Samedi Saint — Vêpres: Antienne "Hodie afflictus" et Psaume 115
(CD, 2005) Dom Jean Claire, chœur des moines de l'abbaye de Solesmes
96,2–10 ; 115,3–15 Attribuez au Seigneur
Samuel Sebastian
(1810-1876), Ascribe Unto the Lord, O Ye Kindreds of the People, 1853Ascribe unto the Lord, O ye kindreds of the people : ascribe unto the Lord worship and power. Ascribe unto the Lord the honour due unto his Name. Let the whole earth stand in awe of him. Tell it out among the heathen that the Lord is King : and that he shall judge the people righteously. Let the whole earth stand in awe of him. O worship the Lord in the beauty of holiness. Sing to the Lord, and praise his Name : be telling of his salvation from day to day, and his wonders unto all people. As for the gods of the heathen, they are but idols. Their idols are silver and gold : even the work of men's hands. They have mouths, and speak not : eyes have they, and see not. They have ears, and hear not : noses have they, and smell not. They have hands, and handle not; feet have they, and walk not : neither speak they through their throat. They that make them are like unto them : and so are all such as put their trust in them. As for our God, he is in heaven : he hath done whatsoever pleased him. The Lord hath been mindful of us, and he shall bless us : he shall bless the house of Israel, he shall bless the house of Aaron. He shall bless them that fear the Lord : both small and great. Ye are the blessed of the Lord : you and your children. Ye are the blessed of the Lord : who made heaven and earth.
Rendez au Seigneur, famille des peuples, rendez au Seigneur gloire et puissance. Rendez au Seigneur la gloire due à son nom. Que toute la terre tremble devant lui. Dites parmi les nations que le Seigneur est roi, qu'il jugera les peuples avec droiture. Que toute la terre tremble devant lui. Adorez le Seigneur dans la beauté du sanctuaire. Chantez pour le Seigneur, et bénissez son nom : annoncez de jour en jour son salut, et ses merveilles à tout les peuples. Les dieux des nations ne sont que des idoles. Les idoles des nations sont de l'argent et de l'or, œuvre de mains d'hommes. Elles ont une bouche, et ne parlent pas ; elles ont des yeux, et ne voient pas. Elles ont des oreilles, et n'entendent pas ; elles ont des narines, et ne sentent pas. Elles ont des mains, et ne palpent pas ; elles ont des pieds, et ne marchent pas ; elles ne rendent pas non plus de son avec leur gosier. Ceux qui les font leur ressemblent, et quiconque se confie en elles. Notre Dieu, quant à lui, est au ciel ; tout ce qu'il a voulu, il l'a fait. Le Seigneur s'est souvenu de nous, et il nous bénira ; il bénira la maison d'Israël, il bénira la maison d'Aaron. Il bénira ceux qui craignent le Seigneur, les petits et les grands. Soyez bénis du Seigneur, vous et vos enfants. Soyez bénis du Seigneur, qui a fait le ciel et la terre.
Samuel Sebastian
(14 août 1810-19 avril 1876) est un organiste, chef de chœur et compositeur anglais. De son vivant, il composa presque exclusivement pour l'Église d'Angleterre, qui continue de chérir sa mémoire. Ses hymnes mieux connus incluent “Thou wilt keep him in perfect peace” et “Wash me throughly”. Cette hymne est chantée dans l'église Saint Thomas de New-York, par "Seabury Academy, Choristers, Norwalk, CT, St. Paul's on the Green, Episcopal Church, Norwalk" par 100 choristes.114,1–8 Quand Israël sortit d'Egypte
Zoltán
(1882-1967), Psalm 114: When Israel went out of Egypt, 1952József Maklári (dir.), Vox Humana Choir of Vác (HUN)
Alleluja! Kijövén Izrael Egyiptomból, Jákob háza az idegen nép közől, lőn Judea az ő szenthelyévé, Izrael az ő birodalmává. A tenger látta ezt, és futott; a Jordán visszafordúlt. A hegyek szökdeltek, mint a kosok, és a halmok, mint a juhok bárányai. Mi lelt téged, tenger, hogy futottál? és téged, Jordán, hogy visszafordúltál? és titeket hegyek, hogy szökdeltetek, mint a kosok, ti halmok, mint a juhok bárányai? az Úr színe előtt megrendűlt a föld, Jákob Istene előtt, Ki a sziklát tavakká változtatta, és a kőszirtet vízforrásokká. (Ps 114,1-8)
Zoltán
est un compositeur, ethnomusicologue et pédagogue en musique. Il a notamment donné son nom à une méthode d'enseignement de la musique, codifiée par des disciples de sa pensée pédagogique nommée plus tard la méthode Kodály. a créé une œuvre chorale très importante. Il utilise notamment des chansons, des contes, des ballades et des mélodies populaires. Celles-ci reprennent des scènes de vie paysanne, des thèmes bibliques ou héroïques avec l'accent magyar. Il développera de nombreuses méthodes d'enseignement de la musique, dont on parle encore aujourd'hui sous le terme de méthode Kodály, initiant les jeunes enfants au chant et à la tradition chorale.Felix
(1809-1847), Da Israel aus Aegypten zog op.51, 1840Chamber Choir of Europe, Nicol Matt & Württembergische Philharmonie Reutlingen
1 In exitu Israël de Aegypto, domus Jacob de populo barbaro, 2 facta est Judaea sanctificatio ejus; Israël potestas ejus. 3 Mare vidit, et fugit; Jordanis conversus est retrorsum. 4 Montes exsultaverunt ut arietes, et colles sicut agni ovium. 5 Quid est tibi, mare, quod fugisti? et tu, Jordanis, quia conversus es retrorsum? 6 montes, exsultastis sicut arietes? et colles, sicut agni ovium? 7 A facie Domini mota est terra, a facie Dei Jacob: 8 qui convertit petram in stagna aquarum, et rupem in fontes aquarum. (Ps 114,1-8)
Felix
, né le 3 février 1809 à Hambourg et mort le 4 novembre 1847 à Leipzig, est un chef d'orchestre, pianiste et compositeur allemand du début de la période romantique. Contemporain de , et , il laisse une œuvre très féconde pour sa courte vie de 38 ans (symphonies, concerti, oratorios, œuvres pour piano seul, musique de chambre…). Il a participé à la redécouverte de la musique baroque et surtout de Jean-Sébastien et Georg Friedrich . Il est notamment l'un des premiers compositeurs de son temps à renouveler l'art du contrepoint, ce qui lui vaut parfois d'être considéré comme « le classique des romantiques ».Samuel Sebastian
(1810-1876), In exitu IsraelSt. Matthew's Choir
1 In exitu Israël de Aegypto, domus Jacob de populo barbaro, 2 facta est Judaea sanctificatio ejus; Israël potestas ejus. 3 Mare vidit, et fugit; Jordanis conversus est retrorsum. (Ps 114,1ss)
Samuel Sebastian
(14 août 1810-19 avril 1876) est un organiste, chef de chœur et compositeur anglais. De son vivant, il composa presque exclusivement pour l'Église d'Angleterre, qui continue de chérir sa mémoire. Ses hymnes mieux connus incluent “Thou wilt keep him in perfect peace” et “Wash me throughly”.107,2 ; 113,1 Le Royaume
Edward
(1857-1934), The Kingdom op.51 - Prelude & scène I. The Upper Room, 1906Sir Andrew Davies (dir.), BBC Radio Three from the Royal Albert Hall, London
© Licence YouTube standard→, 1Ch 12,18 Is 63,8 Si 25,2 Sg 18,15 Ps 107,2.113,1 Jl 2,26 Ac 1,16.20.24.26 2Ch 29,11 Ml 2,1.3,1
'The Kingdom' est un oratorio en 5 scènes pour quatre solistes, chœur mixte et orchestre, composé par le chef d'orchestre britannique Edward 1Ch 12,18 Is 63,8 Si 25,2 Sg 18,15 Ps 107,2.113,1 Jl 2,26 Ac 1,16.20.24.26 2Ch 29,11 Ml 2,1.3,1 ).
. Après le prélude orchestral décrivant Jérusalem, la scène I s'ouvre avec Pierre, Jean, les deux saintes femmes, la Sainte Vierge Marie et Marie-Madeleine citant les mots de Jésus, à partir de l'Évangile et d'autres textes (113,1–9 Laudate pueri
Wolfgang Amadeus
(1756-1791), Laudate Pueri (Vesperae solennes de confessore) K.339, 1780Choir of the Poznan Philharmonic & Sinfonia Varsovia
1 Laudate, pueri Domini, laudate nomen Domini. 2 Sit nomen Domini benedictum ex hoc nunc et usque in saeculum. 3 A solis ortu usque ad occasum laudabile nomen Domini. 4 Excelsus super omnes gentes Dominus, super caelos gloria ejus. 5 Quis sicut Dominus Deus noster, qui in altis habitat 6 et humilia respicit in coelo et in terra? 7 Suscitans de terra inopem, de stercore erigens pauperem, 8 ut collocet eum cum principibus, cum principibus populi sui. 9 Qui habitare facit sterilem in domo, matrem filiorum laetantem. (Ps 113,1-9)
Les Vesperæ solennes de confessore ( Vêpres solennelles d'un confesseur) en do majeur, KV. 339, ont été composées par Wolfgang Amadeus
en 1780 alors qu'il occupait le poste de compositeur de la cour du prince-archevêque de Salzbourg, Hieronymus von Colloredo. Le nom « d'un confesseur » indique que l'œuvre a été composée pour la fête d'un confesseur de la foi. D'autre part, le mot « solennelles » indique que l'œuvre a été écrite pour un orchestre important, comprenant des timbales et des trompettes.113,1ss Louez le nom du Seigneur
Christopher
(ca. 1505-av. 1573), Laudate Nomen Domini, 1553Grenville Hancox (dir.), The Cantata Choir of Canterbury Christ Church University
Laudate nomen Domini, vos servi Domini; ab ortu solis usque ad occasum ejus. Decreta Dei justa sunt, et cor exhilarant: laudate Deum principes et omnes populi.
Louez le nom du Seigneur, serviteurs du Seigneur ; du lever du soleil jusqu'à son couchant. Les lois du Seigneur sont justes, et réjouissent le cœur : louez le Seigneur, vous les princes et tous les gens du peuple.
Christopher
est un compositeur et organiste anglais de la Renaissance, contemporain de Thomas . Il a fait ses études à Cambridge et fut formé avant la réfome. On ignore quels furent ses maîtres et s'il a voyagé. Seul un petit nombre de ses compositions est parvenu jusqu'à nous, ce qui peut expliquer le relatif oubli d'une figure pourtant si riche de son langage polyphonique et de ses innovations. Il contribue à établir le modèle de l'hymne.112,1s Heureux l'homme qui craint le Seigneur Graduel
, Graduel — Beatus vir
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
112,3 Gloire et richesses Offertoire
, Offertoire — Gloria et divitiae
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
112,7 Requiem Graduel
, Graduel — Requiem
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
112,9 Laurent le Lévite Alleluia
, Alleluia — Levita Laurentius
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Ce verset décrit la vertu de Saint Laurent, « semant l'aumône et donnant aux pauvres ».
112,1–10 Beatus vir
Claudio
(1567-1643), Beatus Vir, 1650Andrew Parrott (dir.), The Taverner Choir and Consort
1 Beatus vir qui timet Dominum: in mandatis ejus volet nimis. 2 Potens in terra erit semen ejus; generatio rectorum benedicetur. 3 Gloria et divitiae in domo ejus: et justitia ejus manet in saeculum saeculi. 4 Exortum est in tenebris lumen rectis: misericors, et miserator, et justus. 5 Jucundus homo qui miseretur et commodat; disponet sermones suos in judicio: 6 quia in aeternum non commovebitur. 7 In memoria aeterna erit justus; ab auditione mala non timebit. Paratum cor ejus sperare in Domino, 8 confirmatum est cor ejus; non commovebitur donec despiciat inimicos suos. 9 Dispersit, dedit pauperibus; justitia ejus manet in saeculum saeculi: cornu ejus exaltabitur in gloria. 10 Peccator videbit, et irascetur; dentibus suis fremet et tabescet: desiderium peccatorum peribit. (Ps 112,1-10)
Claudio
, baptisé le 15 mai 1567 à Crémone et mort le 29 novembre 1643 à Venise, est un compositeur italien. Ses œuvres, essentiellement vocales, se situent à la charnière de la Renaissance et de la musique baroque.111,10 Le principe de la sagesse est la crainte du Seigneur Maxime célèbre Elle apparaît en frontispice dans les livres d'édification, en inscriptions aux portails d'institutions éducatives, en emblèmes à l'époque où ce genre est florissant.
, Initium sapientiae timor domini, (inscription sur pierre, 12e s.), façade de l'évêché d'Ourense, Galice (Espagne)
Theodoor
(graveur), Emblème 1 : Initium Sapientiae Timor Domini, (gravure sur bois), illustration, dans Jan (ca.1545–1613), Christeliicken waerseggher, Antwerp: Jan Moretus et Presses Plantin, 1603, p.t 01Public Domain © D.R. Digitale Bibliotheek voor de Nederlandse Letteren→ (DBNL)
Sous l'image est imprimée cette triple prière :
Quod sibi principium posuit Sapientia vera ? Numinis, infixum summisso in corde, Timorem.
Welck is d'oprecht beghin: om tot Wysheyt te comen ? De Vreese Godts; met sin: Sonder dies te beromen.
Diuine Sagesse, Donne moy addresse, Pour aller a vous ? Commenc' a refraindre, Ton coeur, et a craindre, De Dieu le courroux.
111,1–10 Confitebor Domini
Jan Dismas
(1679-1745), Confitebor tibi Domine ZWV 71, (2013), 1729Marek Stryncl (dir.), Visegrad Baroque Orchestra, Ars Brunensis Chorus
I) Confitebor tibi domine in toto corde meo: in consilio justorum, et congregatione. Confessio et magnificentia opus eius: et justitia ejus manet in saeculum saeculi. (Ps 111,1.3) II) Memoriam fecit mirabilium suorum, misericors et miserator Dominus. Escam dedit timentibus se ; memor erit in sæculum testamenti sui. Virtutem operum suorum annuntiabit populo suo, ut det illis hæreditatem gentium. Opera manuum ejus veritas et judicium. Fidelia omnia mandata ejus, confirmata in sæculum sæculi, facta in veritate et æquitate. Redemptionem misit populo suo ; mandavit in æternum testamentum suum. Sanctum et terribile nomen ejus. Initium sapientiæ timor Domini ; intellectus bonus omnibus facientibus eum : laudatio ejus manet in sæculum sæculi. (Ps 111,4-10) III) DOXOLOGIA MAJOR + REPETITION (R) OF THE 1ST PHRASE/ MUSIC: Gloria patri, et Filio, et Spiritui Sancto, sicut erat in principio, et nunc, et semper, et in saecula saeculorum, amen. R) Confitebor tibi domine in toto corde meo.
Jan Dismas
est un compositeur bohémien de l'époque baroque. Avec le Père , il est considéré comme le plus important compositeur tchèque de la période baroque. Jean-Sébastien l'estimait et le connaissait personnellement. Bien que son œuvre soit proche de celle de par la forme, son inspiration est tout de même fondamentalement différente. Si le grand maître luthérien de Leipzig embrasse le monde de sa sérénité, son homologue catholique de Dresde navigue dans des eaux plus introspectives et passionnées, d'un grand génie dans l'expression émotionnelle.110,5 Tournez-vous vers le Seigneur
Thomas
(1572-1656), Turn unto the Lord, 1622Turn unto the Lord your God: his mercy is everlasting; and his truth endureth to all generations.
Tournez-vous vers le Seigneur votre Dieu : sa miséricorde est éternelle, et sa vérité persiste à travers tous les âges.
Thomas
est un compositeur gallois de la fin du 16e siècle et au début du 17e siècle (transition entre les dynasties des Tudor et des Stuart en Angleterre). a composé des madrigaux, de la musique sacrée et de la musique instrumentale pour virginal et orgue, ainsi que pour ensemble instrumental.109,30s Je célébrerai le Seigneur Offertoire
, Offertoire — Confitebor Domino
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
16,7s Je bénirai le Seigneur Offertoire
, Offertoire — Benedicam Dominum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
16,1–11 Ma chair Antienne
, Samedi Saint — 1° Nocturne: Antienne et Psaume 15 "Caro mea"
(CD, 2005) Dom Jean Claire, chœur des moines de l'abbaye de Solesmes
17,5ss Soutiens mes pas Offertoire
, Offertoire — Perfice gressus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
18,3 Seigneur mon roc Communion
, Communion — Dominus firmamentum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
18,7.2s Il entendra ma voix Introït
, Introït — Exaudivit
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
19,6s Le soleil Graduel
, Graduel — In sole
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
19,5.2 Sur toute la terre Graduel
, Graduel — In omnem terram
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
19,9–12 La justice du Seigneur Offertoire
, Offertoire — Justitiae Domini
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
107,23–30 Descendus en mer sur des vaisseaux...
Herbert
(1899-1995), They that go down to the sea, 1979Rintje te Wies (dir.), Roden Boys Choir (NL)
23 They that go down to the sea in ships: and occupy their business in great waters; 24 These men see the works of the Lord: and his wonders in the deep. 25 For at his word the stormy wind ariseth: which lifteth up the waves thereof. 26 They are carried up to the heaven, and down again to the deep: their soul melteth away because of the trouble. 27 They reel to and fro, and stagger like a drunken man: and are at their wits' end. 28 So when they cry unto the Lord in their trouble: he delivereth them out of their distress. 29 For he maketh the storm to cease: so that the waves thereof are still. 30 Then are they glad, because they are at rest: and so he bringeth them unto the haven where they would be. (Ps 107,23-30)
Herbert Whitton
est un musicien anglais qui a été organiste de la cathédrale de Gloucester de 1928 à 1967. Par son rôle de leadership avec le Festival Three Choirs, a entretenu des liens étroits avec les principaux acteurs de la renaissance musicale anglaise du 20ème siècle. Gerald et Ralph Vaughan . Bien que soit principalement connu comme musicien de cathédrale, sa carrière professionnelle s'étend sur plus de 60 ans et comprend la composition, la direction, l'interprétation, l'accompagnement et l'enseignement. Ses compositions comprennent des œuvres pour chœur et orgue, ainsi que des œuvres de chambre et d'orchestre moins connues.21,2 Le Seigneur se réjouira dans ta force Alleluia
, Alleluia — Domine in virtute
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
21,4s Seigneur, tu l'as prévenu de bénédictions Graduel
, Graduel — Domine praevenisti
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
22,1–32 Ils se partagent mes vêtements Antienne
, Vendredi Saint — 1° Nocturne: Antienne " Diviserunt" et Psaume 21
(CD, 2005) Dom Jean Claire, chœur des moines de l'abbaye de Solesmes
Diviserunt sibi est le deuxième psaume chanté lors de la cérémonie du vendredi saint. Il est basé sur le Psaume 21. Le premier verset s'ouvre sur les paroles de Notre Seigneur alors qu'il déplore son abandon aux mains des hommes cruels. Élevé dans l'agonie sur la Croix, il semble que Dieu le Père lui-même a abandonné son Fils. Les soldats tirent au sort sur ses vêtements, mais à partir de cette désolation, notre Seigneur s'approche du moment où son sacrifice atteindra la rédemption de toute l'humanité.
22,20.22.2 Seigneur, loin de mon salut Introït
, Introït — Domine ne longe
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
105,1 Célébrez le Seigneur Alleluia
, Alleluia — Confitemini Domino... et invocate
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
105,43.1 Le Seigneur fit sortir son peuple Introït
, Introït — Eduxit Dominus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
103,10 ; 79,8s Seigneur ne nous traite pas selon nos péchés Trait
, Trait — Domine non secundum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
103,20.1 Bénissez le Seigneur Introït
, Introït — Benedicite
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
120,1–7 Parmi ceux qui haïssent la paix Antienne
, Samedi Saint — Vêpres : Antienne « Cum his » et Psaume 119
(CD, 2005) Dom Jean Claire, chœur des moines de l'abbaye de Solesmes
119,175 ; 139,12 Vous assurez la paix
Samuel Sebastian
(1810-1876), Thou Wilt Keep Him in Perfect Peace, 1850Consortium
© Licence YouTube standard→, Is 26,3 Ps 139,12 1Jn 1,5 Ps 119,175 Mt 6,13
Thou wilt keep him in perfect peace whose mind is stayed on Thee, [because he trusteth in Thee]. (Is 26,3) The darkness is no darkness with Thee, but the night is as clear as the day: The darkness and the light to Thee are both alike. (Ps 139,11) God is light and with Him is no darkness at all. (1Jn 1,5b) Oh let my soul live and it shall praise Thee. (Ps 119,175a) Variante 1 For Thine is the Kingdom, the power and the glory, for evermore. (Mt 6,13)
Samuel Sebastian
(14 août 1810-19 avril 1876) est un organiste, chef de chœur et compositeur anglais. De son vivant, il composa presque exclusivement pour l'Église d'Angleterre, qui continue de chérir sa mémoire. Ses hymnes mieux connus incluent “Thou wilt keep him in perfect peace” et “Wash me thoroughly”.117,1s Louez le Seigneur Trait
, Trait — Laudate Dominum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
115,11 Ceux qui craignent le Seigneur Alleluia
, Alleluia — Qui timent Dominum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
100,1–5 Jubilate Deo
Georg Friedrich
(1685-1759), Jubilate, HWV 279 (Music for the Peace of Utrecht), 1713Jos Van Veldhoven (dir.), Netherlands Bach Society
Jubilate (Utrecht), cantique pour solistes, chœur et orchestre, HWV 279, écrit en 1713.
00:00 - I. O réjouis-toi dans le Seigneur, tous les pays
01:57 - II. Servez le Seigneur avec joie
03:54 - III. Soyez sûrs que le Seigneur est Dieu
06:35 - IV. O va ton chemin dans ses portes
10:09 - V. Pour le Seigneur est gracieux
13:06 - VI. Gloire soit au Père
14:30 - VII. Comme c'était au début
Paroles: 2 Jubilate Deo, omnis terra; servite Domino in laetitia. Introite in conspectu ejus in exsultatione. 3 Scitote quoniam Dominus ipse est Deus; ipse fecit nos, et non ipsi nos: populus ejus, et oves pascuae ejus. 4 Introite portas ejus in confessione; atria ejus in hymnis: confitemini illi. Laudate nomen ejus, 5 quoniam suavis est Dominus: in aeternum misericordia ejus, et usque in generationem et generationem veritas ejus. (Ps 100,2-5)
Henry
(1659-1695), Jubilate Deo in D major, Z. 232, 1694The Choir of Clare College, Cambridge
Jubilate Deo, omnis terra; servite Domino in lætitia. Intrate in conspectu eius in exsultatione, quia Dominus ipse est Deus. (Ps 100,1-2)
Henry
est un musicien et compositeur anglais, né et mort à Londres dans le quartier de Westminster. compte parmi les plus grands compositeurs anglais. Il a incorporé à sa musique des éléments des styles baroques français et italien, mais a développé un style anglais particulier.96,1s ; 98,1–5 Cantate Domino
Claudio
(1567-1643), Cantate Domino, SV 293 a 6, 1620John Eliot Gardiner (dir.), The Monteverdi Choir & Andrew Davis
Claudio
, baptisé le 15 mai 1567 à Crémone et mort le 29 novembre 1643 à Venise, est un compositeur italien. Ses œuvres, essentiellement vocales, se situent à la charnière de la Renaissance et de la musique baroque.97:1a Cantate Domino canticum novum, 95:2a Cantate et benedicite nomini ejus: 97:1b Quia mirabilia fecit. 97:4b Cantate et exultate et psallite 97:5b in cythara et voce psalmi: 97:1b Quia mirabilia fecit.
96,1–13 Cantate Domino
John
(b. 1945), Cantate Domino, 1991Brady Allred (dir.), University of Utah Singers
John
est né à Londres en 1945 et a étudié la musique au Clare College de Cambridge. Ses compositions embrassent la musique chorale, orchestrale et instrumentale, et il a édité ou co-édité diverses anthologies chorales, y compris quatre volumes de Carols for Choirs avec Sir David Willcocks et la série Oxford Choral Classics. De 1975 à 1979, il a été directeur de la musique au Clare College et, en 1981, il a formé sa propre chorale, les Cambridge Singers. Il partage maintenant son temps entre la composition et la direction et est recherché comme chef invité pour les plus grands chœurs et orchestres du monde.97:1a Cantate Domino canticum novum, 95:2a Cantate et benedicite nomini ejus: 97:1b Quia mirabilia fecit. 97:4b Cantate et exultate et psallite 97:5b in cythara et voce psalmi: 97:1b Quia mirabilia fecit.
105,1–4 Que soit joyeux le coeur de ceux qui cherchent le Seigneur
Introït - Laetetur cor
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
19,8.2 La loi du Seigneur
Introït - Lex Domini
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
73,28.1 Mais pour moi m'approcher de Dieu est bon
Introït - Mihi autem adhaerere
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
85,9.2 J'écouterai ce que dira le Seigneur
Introït - Loquetur Dominus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
21,2 Ne crains pas
Introït - Ne timeas
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
19,15.2 La méditation de mon coeur
Introït - Meditatio
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
18,5s Le triomphe de la mort ?
, Le triomphe de la mort, (huile sur bois, 1562), 117 x 162 cm, P001393
Musée du Prado, Madrid (Espagne)
Domaine public © Wikicommons→
18,32–43 Dieu arme son envoyé pour le combat
(1780-1867), Jeanne d'arc au sacre du roi Charles VII, (huile sur toile, 1854), 234 x 163 cm
MI 667, Musée du Louvres, Paris
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20,1–7 Geste de bénédiction et de salut
, Christ Pantocrator (Déesis), (Mosaïque, ca. 1261)
Troisième panneau de la loge impériale de la galerie supérieure, Basilique sainte Sophie, Istanbul
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21,1–8 Couronnement et consécration royale
(1790-1871), Sacre de Pépin le Bref à Saint-Denis le 28 juillet 754, (huile sur toile, 1837)
Domaine public © Wikicommons→
23,1–6 Le Seigneur est mon pasteur La figure du Bon Pasteur
, Le Bon Pasteur, (mosaïque, ca. 430)
Lunette nord, Mausolée de Galla Placidia, Ravenne
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Cette mosaïque aux motifs tardo-antiques, dont la syntaxe picturale dérive du répertoire hellénistique, montre le Bon Pasteur entouré de rochers et de buissons verts. La scène présente des éléments byzantins comme la répartition symétrique, la stylisation des traits et les tracés rigoureux. La représentation du Christ sous l'aspect d'un pasteur donne un aspect très naturaliste ; habillé d'un manteau d'or, il revêt un caractère royal tout en évoquant la pastorale chrétienne.
25,4–22 Voie droite
(1775-1851), Rain, Steam and Speed, (huile sur toile, 1844), 91 x 121 cm
National Gallery, Londres
Domaine public © Wikicommons→
26,6–12 J'aime la beauté de ta maison, et je la défendrai
di Bondone (1267-1337), Le Christ chassant les marchands du Temple, (fresque, ca. 1303-1305), 160 x 267 cm
Chapelle Scrovegni, dite aussi de l'Arena, Padoue
Domaine Public © Wikicommons→, Mc11 ; Mt21 ; Lc19 ; Jn2
(1609-1640), Le Christ chassant les marchands du temple, (huile sur toile, ca. 1645-1655), 100 x 124 cm
Collection de Louis XV (INV. 241), Musée du Louvre, Paris
Domaine Public © Wikicommons→, Mc11 ; Mt21 ; Lc19 ; Jn2
27,1ss Remparts et forteresses
, Krak de Montréal, (12e s.)
Mur Est, Shaubak, Jordanie
Domaine public © Wikicommons→
, Forteresse de Nemrod (1229)
Plateau du Golan
Domaine public © Wikicommons→
29,5 L'arbre comme un roseau au vent
Vincent
, Arbre fouetté par le vent, (huile sur toile, 1883), 35 x 47 cmF 10 / JH 384, La Haye, Collection privée
Domaine public © Wikicommons→
30,12 ma lamentation en danse Danse divine
Jean-Baptiste
(1796-1875), La danse des Nymphes, (huile sur toile, 1850), 97 x 132 cmRF 1783, Musée d'Orsay
Domaine public © Wikicommons→
32,1–11 La grâce du repentir
Paul
(1577-1640), Le Fils prodigue, (huile sur toile, ca. 1618), 107 × 155 cmMusée royal des beaux-arts d'Anvers
Domaine public © Wikicommons→
(1606–1669), Le retour du fils prodigue, (huile sur toile, ca. 1668), 262 × 205 cm
Amsterdam, Musée de l'Hermitage, Saint Petersbourg
Domaine public © Wikicommons→, Lc 15
L'une des deux mains posées sur les épaules du fils est plus fine que l'autre, c'est une main de femme : celle de la mère. Le Père des cieux nous aime comme un père et comme une mère.
33,6–9 Création divine
(ca. 1450-1516), La création du monde, (huile sur panneau, ca. 1480-1490), 220 x 195 cm, extérieur du Jardin des délices
P02823, Musée du Prado, Madrid (Espagne)
Domaine public © Wikicommons→
51,2 Lorsque Nathan le prophète vint le trouver Un roi réprimandé
James
(1836-1902), Nathan réprimande David, aquarelle (ca. 1896-1902)Domaine public © Wikicommons→
139,1–10.24 L'homme guidé par Dieu
Filippino
(1457-1504), Tobie et l'ange, (huile et tempera sur panneau, ca. 1475-1480), 32,7 × 23,5 cmNational Gallery of Art, Washington, domaine public © Wikimedia commons→, Tb 6
140,1–6 Les calomnies des méchants
(1267-1337), Invidia, vers 1305-1306, fresque
Padoue, chapelle des Scrovegni, mur sud, tiers inférieur
Domaine public © Wikimedia commons→
L'envie est représentée sous les traits d'une vieille femme laide marchant à tâtons dans un berceau de flammes. Cherchant une proie de sa main droite crispée, elle tient fermement une bourse à sa main gauche. De sa bouche jaillit un serpent tordu en arrière, comme pour lui crever les yeux : la médisance se retourne toujours contre son auteur... La queue du serpent entoure les grandes oreilles de la figure. Ouvertes aux vilenies de tout poil, elles rappellent celles des diablotins. L'envie et la médisance sont intimement liées.
Giovanni
(vers 1425-1433 - 1516), Le Mensonge, 1490, huile sur panneau de bois, 32 x 22 cmGallerie dell'Accademia, Venise, Italie
Domaine public © Wikimedia commons→
Un homme — le menteur ? — tient dans ses bras un immense coquillage dont jaillit un homme nu. A la fois coupable et victime, ce dernier est aux prises avec un serpent qui l'enlace. Le mensonge échappe à son auteur, impossible à contrôler et à rattraper, et frappe ici un innocent pèlerin. Le piédestal sur lequel il se tient porte le nom du peintre.
Pour une fois, le mensonge n'est pas représenté sous les traits d'une femme !
140,11 Les méchants précipités dans le feu
Pierre Paul
(1577-1640), La Chute des anges rebelles, (huile sur toile, 1620), 291 x 448 cmAlte Pinakothek, Munich, Allemagne © Domaine Public→, 2P 2
141,3s La parole mauvaise
(1267-1337), Invidia, vers 1305-1306, fresque
Padoue, chapelle des Scrovegni, mur sud, tiers inférieur
Domaine public © Wikimedia commons→
L'envie est représentée sous les traits d'une vieille femme laide marchant à tâtons dans un berceau de flammes. Cherchant une proie de sa main droite crispée, elle tient fermement une bourse à sa main gauche. De sa bouche jaillit un serpent tordu en arrière, comme pour lui crever les yeux : la médisance se retourne toujours contre son auteur... La queue du serpent entoure les grandes oreilles de la figure. Ouvertes aux vilenies de tout poil, elles rappellent celles des diablotins. L'envie et la médisance sont intimement liées.
Giovanni
(vers 1425-1433 - 1516), Le Mensonge, 1490, huile sur panneau de bois, 32 x 22 cmGallerie dell'Accademia, Venise, Italie
Domaine public © Wikimedia commons→
Un homme — le menteur ? — tient dans ses bras un immense coquillage dont jaillit un homme nu. A la fois coupable et victime, ce dernier est aux prises avec un serpent qui l'enlace. Le mensonge échappe à son auteur, impossible à contrôler et à rattraper, et frappe ici un innocent pèlerin. Le piédestal sur lequel il se tient porte le nom du peintre.
Pour une fois, le mensonge n'est pas représenté sous les traits d'une femme !
143,1–12 L'homme éprouvé : le cas de Job
Léon
(1833-1922), Job (huile sur toile, 1880), 161 × 129 cmMusée d'Orsay, Paris, domaine public © Wikimedia commons→
141,1–10 La vocation d'Isaïe
(1738-1820), Les lèvres d'Isaïe purifiées par le feu (huile sur toile, ca. 1782)
Bob Jones University Art Gallery and Museum, Greenville, États-Unis
Domaine public © Wikimedia commons→
Ce tableau illustre la vocation d'Isaïe ; le prophète lève la tête et la main droite en direction d'un séraphin, et tient de sa main gauche un phylactère.
Il eut la vision de Dieu, assis sur un trône céleste en compagnie de six séraphins. Isaïe fut terrifié par cette apparition car il était un homme impur. Mais un séraphin prit une braise sur l’autel avec des pincettes et purifia les lèvres du prophète. Sur ordre de Dieu, Isaïe prophétisa alors la ruine d’Israël à cause du relâchement moral des Hébreux.
115,16 Séparation irréductible entre la terre et les cieux
115,16
113,4–7 Sommets de l'exaltation dans les abaissements de Dieu
144,1–15 La louange de David
(ca. 1627 Haarlem - 1697, Amsterdam), David jouant de la harpe, (huile sur toile, 1670), 142 x 154 cm
Collection privée, Karlsruhe (Allemagne), Domaine public © Wikimedia commons→, Ne 12
139,7–12 Le Christ descend jusqu'aux Enfers
(ca. 1395-1455), Le Christ aux Enfers, (fresque, 1441-1442), 183 x 166 cm
cellule 31, Couvent San Marco, Florence, Domaine public © Wikimedia commons→, Ps 139
137,1–9
Eugène
(1798-1863), Les Juifs en exil à Babylone, (huile sur toile, 1838-1847), 221 × 292 cmPeinture dans la coupole consacrée à la Théologie, bibliothèque du Palais Bourbon, Paris
Domaine public © Wikimedia commons→
135,8s La mort des premiers-nés
(1851-1914), Lamentations sur la mort des premiers-nés (huile sur toile, 1877), 97,7 x 130,8 cm
Smithsonian American Art Museum, Washington (États-Unis), n° INV. 1985.28
Domaine public © Wikimedia commons→, Sg 18 ; Ex 11
134,1ss Rendez grâce dans le Temple
, Aaron officiant (fresque, ca. 244-245), mur occidental
Synagogue de Doura Europos, Musée national de Damas, Domaine public © Wikimedia commons→
La synagogue de Doura Europos est un édifice de culte juif situé dans la ville hellénistique et romaine de Doura Europos dans la province de Syrie. C'est l'un des monuments les plus importants pour l'étude de l'art juif dans l'Antiquité. Succédant à un premier édifice datant de la seconde moitié du 2e s., la synagogue fut reconstruite vers 244-245 et surtout dotée d'un ensemble de fresques figuratives unique à ce jour pour une synagogue antique. Sur la fresque ci-dessus, Aaron est représenté en habit de grand prêtre, son nom est écrit en grec au dessus de lui. Autour de lui sont placés les animaux nécessaires à la consécration du Temple.
133,1ss Les retrouvailles de Joseph avec ses frères
(1832-1883), Joseph se fait connaître de ses frères (gravure sur bois, 1866)
Illustration de la → Bible de Tours
Domaine public © Wikimedia Commons→
132,17 Représentations de l'arbre de Jessé
La représentation de la généalogie du Christ par l'arbre de Jessé est un motif récurent dans les vitraux :
L'enfance du Christ et l'arbre de Jessé (vitrail, ca. 1144)
chapelle de la Vierge, Basilique Saint-Denis→ © CC BY-SA 3.0→
, L'Arbre de Jessé (vitrail, 1145-1155), côté ouest orienté nord
Cathédrale de Chartres→ © Domaine public
, L'Arbre de Jessé (vitrail, 1522-1524)
Église Saint-Étienne de Beauvais→ © Wikicommons
L'Arbre de Jessé (bois, 17e s.)
Église Saint-François, Porto © CC BY 2.0
Cf. Arts visuels Mt 1,16.
129,1–4
George
(1861-1950), Christ à la colonne, (Huile sur toile, 1910), 161 x 149 cmMusée d'Orsay, Paris, © RMN Martine Beck→, Jn 19,1-6; Mt 27,26-31; Mc 15,15-20
« Sur mon dos labouraient des laboureurs
ils ont tracé de longs sillons.
Le Seigneur est juste :
il coupera les cordes des impies. » (Ps 129,3-4)
Folle justice de Dieu, qui de la flagellation et de la mort de son fils tire le salut des pécheurs.
127,3ss Les enfants : bénédiction de Dieu
van Rijn (1606-1669), Jacob bénissant les enfants de Joseph, (huile sur toile, 1656), 173x209 cm
Gemäldegalerie Alte Meister, Dresde, Domaine public © Wikicommons→, Gn 48,1-21
Ce tableau de Rembrandt présente les qualités du maître hollandais. Le clair-obscur attire l'attention sur Jacob et ses descendants, tandis que la présence d'Asnath, la mère des enfants, vient équilibrer la composition. Le peintre choisit de ne pas représenter la protestation de Joseph qui viendrait rompre l'harmonie de la scène. Les riches vêtements des personnages et les teintures qui entourent le lit, peints dans des tonalités chaudes, contribuent à créer une atmosphère paisible.
126,5s Le semeur
Jean-François
(1814-1875), Le Semeur, (pastel et crayon Conté sur papier vélin monté sur panneau, ca. 1865), 47,1 x 37,5 cmClark Art Institute, Williamstown, Massachusetts, États-Unis, Domaine public © Wikimedia commons→, Ps 126
125,1s Représentation de la Jérusalem terrestre
, La Jérusalem terrestre (peinture murale, 20e s.)
mur de la synagogue Yohanan ben Zakkaï, quartier juif de la vieille ville de Jérusalem
© Wikimedia Commons CC BY-SA 3.0→, Ps 137 ; Ps 128 ; Is 44 ; 1R 11
Cette peinture murale représente Jérusalem entourée de versets bibliques qui parlent de Jérusalem :
117,1s Glorifiez le Seigneur
(1832-1883), La fille de Jephté vient rencontrer son père (gravure sur bois, 1866)
Illustration de la → Bible de Tours
Domaine public © Wikimedia Commons→
100,3 La figure du Bon Pasteur
, Le Bon Pasteur, (mosaïque, ca. 430)
Lunette nord, Mausolée de Galla Placidia, Ravenne
Domaine public © Wikicommons→
Cette mosaïque aux motifs tardo-antiques, dont la syntaxe picturale dérive du répertoire hellénistique, montre le Bon Pasteur entouré de rochers et de buissons verts. La scène présente des éléments byzantins comme la répartition symétrique, la stylisation des traits et les tracés rigoureux. Le Christ, sous l'aspect d'un pasteur habillé d'un manteau d'or, revêt un caractère royal tout en évoquant la pastorale chrétienne.
102,1–29 Prière d'un malheureux à bout de force : Job
Georges-Auguste
(1863-1942), Job et ses amis, (huile sur toile, 1892)École nationale supérieure des Beaux-Arts, Paris, CC © Wikimedia commons→, Jb 2-6
105,30 La plaie des grenouilles
(?-1683), La Saincte Bible, Contenant le Vieil and la Nouveau Testament, Enrichie de plusieurs belles figures/Sacra Biblia, nouo et vetere testamento constantia eximiis que sculpturis et imaginibus illustrata, De Limprimerie de Gerard Jollain, (gravure, 1655), La Plaie des grenouilles,
BNF, Paris
Domaine public © Wikicommons→, Ex 7,26-29 Ex 8,1-11
105,28 La neuvième plaie d'Égypte : le pays noyé dans la nuit
, Obscurité d'Égypte (enluminure, ca. 1250), 13,2 x 9,5 cm
Walters Art Museum, Baltimore (États-Unis), n° inv. W.106.8R
Domaine public © Wikimedia commons→, Sg 17 ; Ex 10
Ex 10,21-29) dans laquelle Dieu a fait pleuvoir des plaies sur l’Égypte. Le Seigneur a dit à Moïse d'étendre sa main pour qu'une obscurité puisse être placée sur l'Égypte, une obscurité qui pourrait être ressentie. Moïse a agi de la sorte et des ténèbres se sont abattues sur le pays pendant trois jours, mais tous les habitants d'Israël avaient la lumière là où ils habitaient. Pourtant, le pharaon ne se résout pas à laisser partir les Israélites.
est un enlumineur anglais, actif à Oxford entre 1230 et 1260. Plusieurs documents d'archives mentionnent son activité, deux manuscrits sont signés de sa main et plusieurs autres lui sont attribués. C'est le seul enlumineur anglais du 13e s. dont on connaisse le nom avec . Cette page décrit une scène de l'Exode ((1832-1883), La plaie des ténèbres (gravure sur bois, 1866)
illustration de la → Bible de Tours
Domaine public © Wikimedia Commons→
105,36 La mort des premiers-nés
(1851-1914), Lamentations sur la mort des premiers-nés (huile sur toile, 1877), 97,7 x 130,8 cm
Smithsonian American Art Museum, Washington (États-Unis), n° INV. 1985.28
Domaine public © Wikimedia commons→, Sg 18 ; Ex 11
105,41 Le miracle de l'eau
(1594-1665), Moïse faisant jaillir l'eau du rocher ou Le Frappement du rocher (huile sur toile, ca. 1633-1635), 97 × 133 cm
National Gallery of Scotland, Édimbourg, n° inv. NGL 066.46
Domaine public © Wikimedia commons→
(1832-1883), Moïse frappant le rocher à Horeb (gravure sur bois, 1866)
Illustration de la → Bible de Tours
Domaine public © Wikimedia Commons→
105,40 La manne
(1519-1594), Les Juifs dans le désert (huile sur toile, ca. 1593), 377 × 576 cm
Basilique San Giorgo Maggiore de Venise, domaine public © Wikicommons→
106,8–12 Le passage de la mer
, Le passage de la Mer Rouge, (enluminure sur parchemin, 1266), No. 2027
Jerusalem, Armenian Patriarchate Library, Domaine public © Wikimedia commons→, Sg 19,1-9
Not Found
Nicolas
(1594-1665), Le Passage de la mer rouge, (huile sur toile, 1634), 155,6 × 215,3 cm, Collection dal PozzoNational Gallery of Victoria, Melbourne, Domaine public © Wikicommons→
Gustave
(1832-1883), Les Egyptiens se sont noyés dans la mer Rouge, (Gravure sur bois, 1866),Illustration de la grande → Bible de Tours
Domaine public © Wikicommons→
107,23–31 La tempête sur le lac de Tibériade
Jan
(1568-1625), Le Christ dans la tempête sur la mer de Galilée, (huile sur toile, 1596)Domaine public © Wikimedia commons→, Mc 4
108,13s Cavalier céleste envoyé à l'aide d'Israêl
Julius Veit Hans Schnorr von →Die Bibel in Bildern, 1860
(1794-1872), Cavalier céleste, (gravure sur bois, 1851-1860),Domaine public © Wikimedia commons→, 2M 11
(1832-1883), L'Ange est envoyé pour délivrer Israël (gravure sur bois, 1866)
illustration de la → Bible de Tours
Domaine public © Wikimedia commons→
109,1–8 Le juste encerclé par les méchants
, David fuit Jérusalem après le complot d'Absalom (enluminure, ca. 1240)
in Bible de Maciejowski, Ms M. 638, f. 45, Morgan Library and Museum (New-York)
Domaine public © Wikicommons→
La Bible de Maciejowski, aussi connue sous les noms de Morgan Bible of Louis IXdans le monde anglo-saxon,Livre des Rois et Bible des Croisades, est une bible illustrée composée de 44 folios. C'est un chef-d'oeuvre d'art gothique. Cette enluminure est tirée du folio 45 : le serviteur de David, Siba, est représenté dans le coin inférieur droit de l'enluminure, arrivant avec deux ânes portant des vivres et du vin.
113,9 Dieu rend féconde la femme stérile
Alexandre
(1806-1858), Sara allaitant Isaac, (ca. 1850-1857), esquisse, Scènes de l'Histoire sainteMusée russe, Saint-Pétersbourg, Domaine public © Wikimedia commons→, Is 51,2
Cette esquisse fait partie de l'ensemble des scènes de l'Histoire sainte ; elle représente Sara, femme d'Abraham et mère d'Isaac en train d'allaiter ce dernier. L'Église la considère comme une figure de la Vierge Marie.
110,6 Les vallées de cadavres : la prise de Jéricho
Gustave
(1832-1883), Joshua libère Rahab (gravure sur bois, 1866)Illustration de la → Bible de Tours
Domaine public © Wikimedia Commons→
120,1–7 L'homme injustement accusé : Jésus devant le Sanhédrin
di Bondone (?-13337), Scènes de la vie du Christ : le Christ devant Caïphe, (fresque, 1304-1306), 200 x 185 cm
chapelle des Scrovegni, Padoue, Italie, Domaine public © Wikimedia commons→, Mt 26 ; Ps 120
114,8 Le miracle de l'eau
(1594-1665), Moïse faisant jaillir l'eau du rocher ou Le Frappement du rocher (huile sur toile, ca. 1633-1635), 97 × 133 cm
National Gallery of Scotland, Édimbourg, n° inv. NGL 066.46
Domaine public © Wikimedia commons→
(1832-1883), Moïse frappant le rocher à Horeb (gravure sur bois, 1866)
Illustration de la → Bible de Tours
Domaine public © Wikimedia Commons→
116,3–9.15–19 Prière d'un homme arraché à la mort : la résurrection de Lazare
Rembrandt Harmenszoon van Rijn dit
(1606–1669), La Résurrection de Lazare, (huile sur panneau de chêne, ca. 1630-1632), 96,4 x 81,3 cmLos Angeles County Museum of Art, Los Angeles, Domaine public © Wikimedia commons→, Jn 11
118,5–21 Le Seigneur sauve des ennemis : Daniel dans la fosse aux lions
Gustave
(1832-1883), Daniel dans le repaire des lions, (gravure sur bois, 1866)Illustration de la → Bible de Tours
Domaine public © Wikicommons→, Dn 6
123,1–4 Comme la servante devant son Seigneur : Marie-Madeleine
(1255-1319), Le Christ apparaît à Marie-Madeleine, (tempera sur bois, 1308-1311), 51 x 57 cm
Museo dell'Opera metropolitana del Duomo, Sienne, Domaine public, GNU-FDL © Wikimedia commons→, Jn 20
124,1–8 Le passage de la mer Rouge
, Le passage de la Mer Rouge, (enluminure sur parchemin, 1266), No. 2027
Jerusalem, Armenian Patriarchate Library, Domaine public © Wikimedia commons→, Sg 19,1-9
56,1–14 Un persécuté qui s'en remet à Dieu : la prière de Jacob
Gustave
(1832-1883), La prière de Jacob, (Gravure sur bois, 1866)Illustration de la grande → Bible de Tours
Domaine public © Wikicommons→, Gn 32
112,1–10 L'homme juste est propère : Joseph en Égypte
(1491-1557), Joseph et Jacob en Egypte, (huile sur toile, 1517), 44x49 cm,
National Gallery, Londres
Domaine public © Wikicommons→, Gn 48
Cette toile extrêmement riche se décompose en quatre scènes. À gauche, l'arrivée de Jacob en Égypte : au milieu de ses fils, on le reconnait à sa barbe et à son turban. Il est reçu par son fils Joseph tête nue en face de lui. Au centre, au second plan on peut apercevoir les Égyptiens massés devant le palais de Pharaon, sans doute parce qu'ils sont affamés. Au pied de l'escalier à gauche, on retrouve Joseph, très droit dans sa robe rouge. Devant lui sa femme amène l'un de ses fils, tandis que l'autre est déjà en haut de l'escalier. Tout en haut à droite, ils sont présentés à Jacob pour qu'il les bénisse.
91,11ss Marie, reine des anges, piétine le serpent
Giovanni Battista
(1696-1770), L'Immaculée Conception, (huile sur toile, 1767-1768), 281 x 155 cmMusée du Prado, Madrid, Espagne, Domaine public © Wikimedia commons→, Ap 12
91,15b je serai avec lui dans la détresse
91,15 Validité de la prière pour soi
98,1–9 Acclamez le Seigneur
Simeon
(1840-1905), David dansant devant l'Arche, (dessin à l'encre et au crayon), 28 x 41 cmDomaine public © Wikicommons→
91,6 démon Représentations iconographiques des démons Les démons sont souvent représentés comme des êtres monstrueux, cornus, ailés ou même comme de véritables chimères, mélanges d'hommes et d'animaux divers :
(1441-1523), Les Damnés à l'Enfer (fresque, 1499-1502), Chapelle San Brizio, transept droit, Cathédrale d'Orvieto
Domaine public © Wikicommons→
(ca. 1450-1516), Le Charriot de foin (huile sur panneau, 1512-1515), 135 × 100 cm
Musée du Prado, Madrid, domaine public © Wikicommons→
(ca. 1450-1516), Le Jardin des délices (huile sur panneau de bois, ca. 1480-1505), 220 × 390 cm
Musée du Prado, Madrid, domaine public © Wikicommons→
(ca. 1450-1516), Le Jugement dernier (huile sur panneau de bois, ca. 1482-1516), 163,7 × 247 cm
Académie des Beaux-Arts de Vienne, domaine public © Wikicommons→.
90,3–12 Méditer sur la mort, c'est acquérir un cœur de sage
(1545-1613), Méditation sur la mort (gravure sur bois, 17e s.)
in Christeliicken waerseggher : de principale stucken van t'christen geloof en Leuen int cort begrijpende. Met een rolle der deugtsaemheyt daer op dienende. Ende een schildt-wacht teghen de valsche waersegghers, tooueraers, etc., Anvers (Belgique)
Pitts Theology Library→, © Domaine public
Un tas de crânes s'élève sous la croix du Christ, dans un cercle de tombes près d'un panneau indiquant « apprenez de moi » (Mt 11,29) ; un squelette porte une pancarte sur laquelle il est écrit : « à moi hier, et à toi aujourd'hui » (Si 38,23). Un maître enseigne à un groupe de jeunes étudiants et Jésus enseigne à un groupe d'hommes à l'arrière-plan. L'inscription latine se lit comme suit : « Le summum de la philosophie, [c'est] la méditation sur la mort », et le texte en-dessous de l'image signifie : « Qui enseigne aux arriérés méprisants du monde de les fouler ? Les ossements en décomposition de ceux qui sont enterrés dans des sépultures de rang ».
93,1–5 Le Seigneur est roi : la royauté du Christ
Matthias
(ca. 1475-1528), La Résurrection du Christ (aile droite du retable d'Issenheim), (huile sur panneau de bois, ca. 1515), 269 x 141 cmmusée Unterlinden, Colmar, Domaine public © Wikimedia commons→
97,1–12 Le Seigneur est roi, environné de nuées
Pierre Paul
(1577-1640), La Transfiguration du Christ, (huile sur toile, 1605), 407 x 670 cmMusée des Beaux-Arts de Nancy, France, Domaine Public © Wikimedia commons→, Mc 9 ; Mt 17 ; Lc 9
96,13 Le Jugement dernier
di Bondone, Jugement dernier, (fresque, 1302-1305), 1000 cm x 840 cm, mur du fond
Chapelle des Scrovegni, Padoue, Italie, domaine public © Wikicommons→, He 12; Ps 96
126,1 Les songes
85,12a la vérité germera de la terre Sur le sol
139,1–24 Toi
89,20–26 L'onction de David par Samuel Le motif de l'onction de David par Samuel a donné lieu à de très nombreuses représentations iconographiques à travers les âges.
L'onction de David par Samuel, (fresque de la synagogue de Doura Europos, ca. 250-256)
Musée national de Damas, Syrie
Domaine public © Wikicommons→
Psautier de Paris, (enluminure sur parchemin, 940-960), 37 x 26,5 cm
Département des Manuscrits. Grec 139, Folio 3v, Bibliothèque Nationale de France, Paris
Domaine public © Wikicommons→
(1528-1588), L'onction de David, (huile sur toile, ca. 1555), 173 x 364 cm
Musée d'Histoire de l'art de Vienne, Autriche
Claude
, dit (1602-1682), David sacré roi par Samuel, (huile sur toile, ca. 1682), 119 x 150 cmMusée du Louvre, Paris
Domaine public © Wikicommons→
88,1–19 Imploration vers Dieu : Job
Léon
(1833-1922), Job (huile sur toile, 1880), 1,61 × 1,29 mMusée d'Orsay, Paris
Domaine public © Wikicommons→
86,1–17 L'appel du juste : saint Jérôme en prière
Léonard de
(1452-1519), Saint Jérôme, (tempera et huile sur bois, ca. 1480), 103 x 75 cmMusées du Vatican, Cité du Vatican, Domaine public © Wikimedia commons→, Ps 86
85,1–14 Le retour d'exil
Julius Veit Hans Schnorr von
(1794-1872), Le retour d'exil, (gravure sur bois, 1851-1860)→Die Bibel in Bildern, 1860
Domaine public © Wikimedia commons→, Ne 7
78,18–25 Les Israélites recueillant la manne dans le désert
Nicolas
(1594-1665), Les Israélites recueillant la manne dans le désert, (huile sur toile, ca. 1637-1639), 149 × 200 cm, Collections royalesMusée du Louvre, Paris, domaine public © Wikicommons→
78,15s Le miracle de l'eau
Nicolas
(1594-1665), Moïse faisant jaillir l'eau du rocher ou Le Frappement du rocher (huile sur toile, ca. 1633-1635), 97 × 133 cmNational Gallery of Scotland, Édimbourg, n° inv. NGL 066.46
Domaine public © Wikimedia commons→
(1832-1883), Moïse frappant le rocher à Horeb (gravure sur bois, 1866)
Illustration de la → Bible de Tours
Domaine public © Wikimedia Commons→
78,52–72 Le Seigneur conduit son peuple au désert et choisit le jeune berger David comme pasteur de ses brebis
James
(1836 - 1902), Le bon pasteur, (Aquarelle opaque sur graphite sur papier vélin gris, 1886 - 1894), 28,1 × 14,9 cmBrooklyn Museum, New York, Domaine public © Wikimedia Commons→; Mt 18,12-14; Lc 15,3-7
78,44 Les eaux du Nil changées en sang
James
(1836 - 1902), Les eaux du Nil changées en sang (aquarelle, ca. 1900)Domaine public © Wikimedia commons→, Ex 7
78,45 La plaie des grenouilles
(?-1683), La Saincte Bible, Contenant le Vieil and la Nouveau Testament, Enrichie de plusieurs belles figures/Sacra Biblia, nouo et vetere testamento constantia eximiis que sculpturis et imaginibus illustrata, De Limprimerie de Gerard Jollain, (gravure, 1655), La Plaie des grenouilles,
BNF, Paris
Domaine public © Wikicommons→, Ex 7,26-29 Ex 8,1-11
78,49ss Raid aérien
(1832-1883), Le Premier-né tué (gravure sur bois, 1866)
illustration de la → Bible de Tours
Domaine public © Wikimedia Commons→
77,1–21 Méditer sur les actions du Seigneur dans la nuit : la Madeleine pénitente Peinture française du 17e s
Georges de La Tour a peint quatre versions de la « Madeleine pénitente ». Chaste silence de la méditation et clair-obscur mimant le passage progressif des ténèbres à la lumière, ou le renoncement aux vaines lumières de ce monde, ces compositions invitent à la conversion intérieure.
Georges de
(1593-1652), La Madeleine à la flamme filante, (1638-1640), 117 x 92,Los Angeles County Museum of Art, Los Angeles, domaine public © Wikicommons→
Georges de
(1593-1652), La Madeleine au miroir, ou Madeleine Fabius (huile sur toile, 1635-1640), 113 x 92, 7National Gallery of Art, Washington, domaine public © Wikicommons→
Madeleine se regarde, mais par un jeu de miroir dont La Tour est coutumier, le spectateur ne voit que le reflet du crâne : efficace memento mori.
Georges
, La Madeleine aux deux flammes, (huile sur toile, vers 1640), 133 x 102 cmMetropolitan Museum of Art, New-York
Marie Madeleine se tient assise devant une table sur laquelle repose un cierge, dont la flamme effilée se reflète dans un miroir au cadre orné de motifs. Le collier de perles placé sous le miroir et les bijoux qui gisent à ses pieds, abandonnés dans l'ombre symbolisent la vanité des plaisirs et de la vie légère à laquelle elle a renoncé. Câlé entre ses genoux et ses mains repose un crâne, élément classique du genre pictural de la vanité. La bougie déjà bien entamée et la flamme vacillante, qu'un souffle peut faire mourir, évoquent la fragilité et l'évanescence de la vie humaine. On entend alors de façon nouvelle les mots de saint Jacques : « Vous êtes une vapeur qui paraît un instant et s'évanouit ensuite » (Jc 4,14). Le regard de la pénitente, dont le visage pénétré et baigné de lumière est tourné de trois quarts, plonge au-dessus du miroir vers un rideau d'ombre, nous invitant nous aussi à contempler des réalités d'un autre ordre. La finesse des plis, le blanc lumineux de la chemise, ainsi que la délicatesse des mains jointes en prière sont remarquables.
Georges de
(1593-1652), La Madeleine à la veilleuse, (huile sur toile, ca. 1640-1645), 128 × 94 cm,Musée du Louvre, Paris, domaine public © Wikicommons→
63,1–12 Louange de Dieu et de sa création
Giovanni
(1427-1516), Saint François au désert, (Tempera sur bois, ca. 1485), 124,4 x 141,9 cmFrick Collection, New York, domaine public © Wikicommons→
79,1–13 Destruction de Jérusalem
(1594-1665), La Destruction du temple de Jérusalem ou La Prise de Jérusalem, (huile sur toile, 1638), 147 × 198 cm
Kunsthistorisches Museum, Vienne
Domaine public © Wikicommons→
31,1–25 Le Seigneur est le seul refuge
Jérôme
(ca. 1450-1516), Saint Jérôme en prière, (huile sur panneau, ca. 1482-1499), 80,1 x 60,6 cmMusée des Beaux-Arts, Gand, Belgique, Domaine public © Wikimedia commons→
63,1–12 Une image de l'âme altérée qui cherche l'eau vive : Jean-Baptiste s'abreuvant à la source
(1571-1610), Saint Jean-Baptiste à la fontaine, (huile sur toile, ca. 1610), 100 x 73 cm
Collection Bonelli, La Valette, Malte, Domaine public © Wikimedia commons→, Ps 42
66,1–12 La traversée du Jourdain menée par Josué
Gustave
(1832-1883), Les enfants d'Israël traversant la Jordanie (gravure sur bois, 1866)Illustration de la → Bible de Tours
James
(1836-1902), Le passage de l'arche de l'Alliance sur le Jourdain, (ca 1896), 21,4 x 27,6 cmMusée Juif, New York, domaine public © Wikicommons→, 1S 4,4-5 Ex 25,10-22
James Tissot est un peintre et graveur français qui a passé une partie de sa vie en Angleterre où il était apprécié comme peintre de la haute société de l'époque victorienne. À partir de 1888, il vit une révélation religieuse et se consacre dès lors jusqu'à la fin de sa vie à des sujets bibliques, nourrissant son art d'observations effectuées lors de voyages en Palestine et à Jérusalem. L'arche représentée ici est à peu près conforme à la description qu'en fait Dieu à Moïse au livre de l'Exode.
69,1–37 La plainte depuis la citerne boueuse : l'épisode de Jérémie
, Abdémélech obtient la grâce de Jérémie (bas-relief, sculpture sur pierre, 12e s.)
chapiteau historié de la partie haute du côté sud de la nef
Basilique Sainte-Marie-Madeleine de Vézelay, Bourgogne, © D.R.→
76,1–13 Le Seigneur trône dans les cieux
(1483-1520), La Vision d'Ézéchiel (huile sur panneau, 1518), 40 × 30 cm
Palais Pitti, Florence
Domaine public © Wikicommons→
104,24–30 La création des animaux
(1483-1520), La Création des animaux (fresque, 1518-19)
Loges du Vatican, Rome
Domaine public © Wikicommons→
Jacopo Robusti, dit
(1518-1594), La Création des animaux, (huile sur toile, 1551-1552), 151 x 258 cmGalerie de l'Académie, Venise, Italie, Domaine public © Wikimedia commons→, Gn 1
83,1ss Un Dieu qui se repose ? La tempête sur le lac de Tibériade
Jan
(1568-1625), Le Christ dans la tempête sur la mer de Galilée, (huile sur toile, 1596)Domaine public © Wikimedia commons→, Mc 4
84,1ss L'âme qui soupire après son Dieu : Marie-Madeleine
(1571-1610), Marie-Madeleine en extase, (huile sur toile, 1606), 106,5 x 91 cm
collection privée, Rome, domaine public © Wikimedia commons→, Ps 84
80,9–20 La vigne du Seigneur : représentations de l'arbre de Jessé
La représentation de la généalogie du Christ par l'arbre de Jessé est un motif récurent dans les vitraux :
L'enfance du Christ et l'arbre de Jessé (vitrail, ca. 1144)
chapelle de la Vierge, Basilique Saint-Denis→ © CC BY-SA 3.0→
, L'Arbre de Jessé (vitrail, 1145-1155), côté ouest orienté nord
Cathédrale de Chartres→ © Domaine public
, L'Arbre de Jessé (vitrail, 1522-1524)
Église Saint-Étienne de Beauvais→ © Wikicommons
L'Arbre de Jessé (bois, 17e s.)
Église Saint-François, Porto © CC BY 2.0
Cf. Arts visuels Mt 1,16.
78,45s Puzzle Hiéroglyphique
Thomas →, (Impression au plomb et gravure sur bois), 14 cm x 9 cm et New Hieroglyphical Bible
(1753-1828); Rowland (1744-1833),Thomas Fisher Rare Book Library, Toronto © Public Domain - Photo : Dr. Ralph F. Wilson
59,1–18 Les démons, premiers ennemis de l'homme : la tentation de saint Antoine
Matthias
(ca. 1475-1528), La tentation de saint Antoine (détail), (huile sur panneau de bois, 1512-1516), 265 x 139 cm, seconde ouverture, panneau droitmusée Unterlinden, Colmar, Domaine public © Wikimedia commons→
38,1–23 Un malade qui reconnaît ses fautes : Antiochus Après sa chute de char, le roi Antiochus tombe gravement malade. Des vers grouillent dans ses plaies, il sent abominablement mauvais, et finit par reconnaître ses torts envers le peuple d'Israël. (2M 9)
Noël
(1711-1781), Antiochus tombant de son char, (huile sur toile, ca. 1738), 99,7 x 135,89 cmVirginia Museum of Fine Arts, Richmond, États-Unis, Domaine public © Wikimedia commons→, 2M 9
Ce tableau est la première œuvre que l'on connaisse de cet artiste, issu d'une famille spécialisé dans la peinture d'histoire. il est typique du style néoclassique promu à l'Académie française de Rome où le peintre se trouvait dans ces années-là.
Gustave
(1832-1883), Le châtiment d'Antiochus (gravure sur bois, 1866)illustration de la → Bible de Tours
Domaine public © Wikimedia Commons→, 2M 9
55,4 Puzzle hiéroglyphique
Thomas → (Impression au plomb et gravure sur bois, 1794), 14 cm x 9 cm et New Hieroglyphical Bible
(1753-1828); Rowland (1744-1833),Thomas Fisher Rare Book Library, Toronto © Domaine public - Photo : Dr. Ralph F. Wilson
54,3–7 Appel d'un persécuté au milieu des violents : Saint Edmund
, Vie de Saint Edmund, (enluminure sur parchemin, ca. 1130), 20,4 cm x 13,4 cm
The Morgan Library & Museum, New York, Domaine public © Wikimedia commons→
52,4ss La langue qui médite des malheurs
(1267-1337), Invidia, vers 1305-1306, fresque
Padoue, chapelle des Scrovegni, mur sud, tiers inférieur
Domaine public © Wikimedia commons→
L'envie est représentée sous les traits d'une vieille femme laide marchant à tâtons dans un berceau de flammes. Cherchant une proie de sa main droite crispée, elle tient fermement une bourse à sa main gauche. De sa bouche jaillit un serpent tordu en arrière, comme pour lui crever les yeux : la médisance se retourne toujours contre son auteur... La queue du serpent entoure les grandes oreilles de la figure. Ouvertes aux vilenies de tout poil, elles rappellent celles des diablotins. L'envie et la médisance sont intimement liées.
Giovanni
(vers 1425-1433 - 1516), Le Mensonge, 1490, huile sur panneau de bois, 32 x 22 cmGallerie dell'Accademia, Venise, Italie
Domaine public © Wikimedia commons→
Un homme — le menteur ? — tient dans ses bras un immense coquillage dont jaillit un homme nu. A la fois coupable et victime, ce dernier est aux prises avec un serpent qui l'enlace. Le mensonge échappe à son auteur, impossible à contrôler et à rattraper, et frappe ici un innocent pèlerin. Le piédestal sur lequel il se tient porte le nom du peintre.
Pour une fois, le mensonge n'est pas représenté sous les traits d'une femme !
53,3ss Dieu le Père se penche du haut des cieux sur les hommes
(1459-1517), Dieu le Père, (huile sur toile, ca. 1510-1517), 31,7 x 40,6 cm
Courtauld Institute of Art, Londres, domaine public © Wikimedia commons→
53,7 Le salut d'Israël, arrivant de Sion
Chagall a toujours mis un point d'honneur, dans ses nombreuses crucifixions, à mettre en évidence la judaïté du Christ.
50,1–7 Dieu paraît, entouré de lumière
(1483-1520), La Vision d'Ézéchiel (huile sur panneau, 1518), 40 × 30 cm
Palais Pitti, Florence
Domaine public © Wikicommons→
37,12–15 Le juste aux mains des méchants : saint Edmund
, L'exécution d'Edmund, (12e s.), The Life and Miracles of St. Edmund, folio 14r, Pierpont Morgan Library MS M.736
The Morgan Library & Museum, New York, domaine public © Wikimedia commons→
37,1–11 Le juste qui reste silencieux : le Christ devant ses accusateurs
di Bondone (?-1337), Scènes de la vie du Christ : le Christ devant Caïphe, (fresque, 1304-1306), 200 x 185 cm
chapelle des Scrovegni, Padoue, Italie, Domaine public © Wikimedia commons→, Mt 26 ; Ps 120
(1519-1594), Le Christ devant Pilate, (huile sur toile, 1565-1567), 515 x 380 cm
Scuola Grande di San Rocco, Venise, domaine public © Wikicommons→
39,1–14 Vanité du monde, silence et brûlure du soupir : la Madeleine pénitente Peinture française du 17e s
Georges de La Tour a peint quatre versions de la « Madeleine pénitente ». Chaste silence de la méditation et clair-obscur mimant le passage progressif des ténèbres à la lumière, ou le renoncement aux vaines lumières de ce monde, ces compositions invitent à la conversion intérieure.
Georges de
(1593-1652), La Madeleine à la flamme filante, (1638-1640), 117 x 92,Los Angeles County Museum of Art, Los Angeles © Wikicommons→
Georges de
(1593-1652), La Madeleine au miroir, ou Madeleine Fabius (huile sur toile, 1635-1640), 113 x 92, 7National Gallery of Art, Washington © Wikicommons→
Madeleine se regarde, mais par un jeu de miroir dont La Tour est coutumier, le spectateur ne voit que le reflet du crâne : efficace memento mori.
Georges
, La Madeleine aux deux flammes, (huile sur toile, vers 1640), 133 x 102 cmMetropolitan Museum of Art, New-York
Marie-Madeleine se tient assise devant une table sur laquelle repose un cierge, dont la flamme effilée se reflète dans un miroir au cadre orné de motifs. Le collier de perles placé sous le miroir et les bijoux qui gisent à ses pieds, abandonnés dans l'ombre symbolisent la vanité des plaisirs et de la vie légère à laquelle elle a renoncé. Câlé entre ses genoux et ses mains repose un crâne, élément classique du genre pictural de la vanité. La bougie déjà bien entamée et la flamme vacillante, qu'un souffle peut faire mourir, évoquent la fragilité et l'évanescence de la vie humaine. On entend alors de façon nouvelle les mots de saint Jacques : « Vous êtes une vapeur qui paraît un instant et s'évanouit ensuite » (Jc 4,14). Le regard de la pénitente, dont le visage pénétré et baigné de lumière est tourné de trois quarts, plonge au-dessus du miroir vers un rideau d'ombre, nous invitant nous aussi à contempler des réalités d'un autre ordre. La finesse des plis, le blanc lumineux de la chemise, ainsi que la délicatesse des mains jointes en prière sont remarquables.
Georges de
(1593-1652), La Madeleine à la veilleuse, (huile sur toile, ca. 1640-1645), 128 × 94 cm,Musée du Louvre, Paris © Wikicommons→
52,10s L'olivier florissant au soleil
Vincent
(1853-1890), Les Oliviers, (huile sur toile, novembre 1889), 73,6 x 92,7 cm, Saint-Rémy-de-ProvenceMinneapolis Institute of Art, Minneapolis, Minnesota, États-Unis, Domaine public © Wikimedia commons→
41,2ss L'homme qui, comme Dieu, est attentif aux faibles : l'exemple du bon Samaritain
Vincent Willem
(1853 - 1890), Le bon Samaritain, (huile sur toile, 1890), 73 × 60 cmmusée Kröller-Müller, Otterlo, Pays-Bas, domaine public © Wikimedia Commons→, Lc 10,29-37
43,3s Chercher la lumière et la vérité : les rois mages suivant l'étoile
, Le voyage des mages, (tempera et or sur parchemin, ca. 1130-1140), Psautier de Saint Alban
Bibliothèque de la cathédrale d'Hildesheim, Allemagne, Domaine public © Wikimedia commons→, Mt 2
44,10–27 Le peuple juif livré au massacre, et l'apparente inaction de Dieu : les artistes et la Shoah
Felix
(1904-1944), Autoportrait, (huile sur panneau, ca. 1940)maison Felix Nussbaum, Osnabrück, Allemagne, Domaine public © Wikimedia commons→
Felix Nussbaum fut formé au temps de la « Nouvelle Objectivité » et au contact des avant-gardes européennes – la peinture métaphysique italienne, le surréalisme international. En 1933, lorsque Hitler accède au pouvoir, il est mis au ban de l’académie des Beaux-Arts de Berlin et forcé à l’exil. Après l’Italie, la Suisse et la France, il se réfugie à Ostende, en Belgique. Interné en 1940 au camp de Saint-Cyprien, dans le sud de la France, après la défaite belge, il s’évade et retourne à Bruxelles, où il demeure caché, avec son épouse Felka Platek, une artiste juive polonaise. Ils furent finalement déportés à Auschwitz, le 31 juillet 1944. Prenant pour maîtres le Douanier Rousseau, Van Gogh, Beckmann, Ensor, Chirico, il est aussi influencé dans son goût pour l’autoportrait et ses allégories de la Mort par les maîtres anciens flamands et allemands. Sa peinture porte toute une réflexion existentialiste sur la condition du juif pourchassé.
Felix
(1904-1944), Autoportrait avec le passeport juif, (ca. 1940)maison Felix Nussbaum, Osnabrück, Allemagne, Domaine public © Wikimedia commons→
Charlotte
(1917-1943), La nuit de cristal, (gouache sur papier, ca. 1940-1942), 25 x 32,5 cmJewish Historical Museum, Amsterdam, Pays-Bas, Domaine public © Wikimedia commons→
Charlotte Salomon, née à Berlin dans une famille juive aisée, dut affronter l’antisémitisme à l’école et à l’Académie des arts de la capitale, ainsi que le suicide de sa mère en 1926 et de sa grand-mère en 1940. Internée avec son grand-père au camp de Gurs, ils en sont libérés quelques mois plus tard en raison du mauvais état de santé du grand-père et parviennent à regagner la Côte d'Azur, où elle se marie. En 1943, le couple est arrêté, transféré à Drancy puis acheminé vers Auschwitz. Le 10 octobre, immédiatement à son arrivée, Charlotte, enceinte de cinq mois, fut envoyée dans les chambres à gaz. Son mari mourut à son tour le 1er janvier suivant. La peinture fut d’abord pour elle un moyen de lutter contre le désespoir. De la fin 1940 à la mi-1942, elle se consacre à son œuvre autobiographique Leben? oder Theater? (Est-ce la vie ou du théâtre ?). En 18 mois, elle peint environ 1 325 gouaches ou aquarelles, dont 800 environ sont terminées, à partir des trois seules couleurs primaires : rouge, jaune et bleu.
45,10–16 La princesse resplendissante introduite chez le roi : la femme du Cantique des cantiques
(1828-1898), La Sulamite (aquarelle, 1893)
Ohara Museum of Art, Japon
Wikimedia Commons→ © Domaine public
47,2–10 Les princes des nations et le peuple d'Abraham unis dans l'adoration de Dieu
Albrecht
(1471-1528), L' Adoration de la Sainte Trinité ou Retable de tous les Saints (huile sur bois de peuplier, 1511), 135 x 123,4 cmKunsthistorisches Museum, Vienne, Autriche, Domaine public © Wikimedia commons→
La Trinité est représentée verticalement. Le Père soutient la croix de son fils, surmonté de la colombe du Saint-Esprit selon l'iconographie du Trône de grâce. Elle est entourée des anges, des saints dont certains portent la palme du martyre, des hommes d’Église et des hommes d’État. Les princes des nations On reconnaît David avec sa lyre, Moïse portant les tables de la loi ... c’est tout le peuple de Jacob qui est assemblé. Sur la gauche est agenouillé le commanditaire, Matthäus Landauer, sur la droite l’artiste Albrecht Dürer, ainsi que Dorothea and Wilhelm Haller. « Les princes des peuples se réunissent avec le peuple d’Abraham » (Ps 47,10) pour louer le Seigneur. Tous sont unis au sein de la cité de Dieu.
46,1–12 Le Seigneur, donateur et garant de la Terre promise à son peuple. Les empires s’ébranlent, mais la terre et les fleuves demeurent.
dit l'Ancien ou Torcello (ca. 1260-1338), Carte de la Terre Sainte (1320), Liber secretorum fidelium crucis, ca. 1321
British Library, Domaine public © Wikimedia commons→
Le texte latin placé sous la carte est la description suivante :
A: Tota terra a monte Libano per latus occidentale Jordanis vsque Capharnaum et inde per Saphet et Kabul et Toronum redeundo ad Libanum vocatur Yturea et Galilea superior et Galilea gentium et terra Kabul et terra Rob et saltus Libani et fuit pro magna parte de regione Decapoleos
B: Tota terra a Tyberiade per Betsan et montem Effraym vsque Magedo et inde per capud Carmeli et montem Tabor et Betuliam vsque in Tyberiadem redeundo vocatur campus magnus Esdrelon vel campus Fabe, siue Magedo, vel Galilea inferior et planicies Galilee
C: Tota terra a Cesarea Palestine vsque Joppen et inde transeundo per Tampnacsare et redeundo per Caco vsque Cesaream dicitur mons Effraym, licet sit terra campestris, et Saron, de quo dicitur Ysai. Factus est Saron sicut desertum, et est terra fertilis valde et pinguis habens villas multas et loca nemorosa et maxime circa Arsur suntque ibi leones multi et venationes regie
E: Desertum Cades, vnde miserant filii Israel exploratores , qui post XL dies huc redierunt et murmurante populo jussi sunt redire in desertum per viam maris rubri et post XXX annos redierunt ad locum istum, vnde moventes castra contra orientem circuierunt montem Seyr et terram Amon et capta terra Seon, regis Osebon, et Og, regis Basan, venerunt ad Jordanem contra Jerico.
142,1–8 L'homme éprouvé : le cas de Job
Léon
(1833-1922), Job (huile sur toile, 1880), 161 × 129 cmMusée d'Orsay, Paris, domaine public © Wikimedia commons→
48,2–15 La cité du grand Roi : Jérusalem
, La Jérusalem terrestre (peinture murale, 20e s.)
mur de la synagogue Yohanan ben Zakkaï, quartier juif de la vieille ville de Jérusalem
© Wikimedia Commons CC BY-SA 3.0→, Ps 137 ; Ps 128 ; Is 44 ; 1R 11
Cette peinture murale représente Jérusalem entourée de versets bibliques qui parlent de Jérusalem :
57,8–12 La louange est un pont
Santiago Calatrava
(1951-...), Gesher HaMeitarim, Jerusalem Chords Bridge (2005-2008)Domaine public © Wikimedia commons→
Le Pont de Cordes se trouve dans le quartier hiérosolymitain de Kiryat Moshe et est emprunté par le tramway. Conçu par l’architecte espagnol Santiago Calatrava Valls et inauguré lors du 60e anniversaire d’Israël en 2008, sa forme évoque une tente dans le désert ou la harpe de David. Avec son mât de 119 mètres de haut auquel sont accrochés 66 haubans d’acier, c’est la plus haute structure de Jérusalem.
Santiago Calatrava
(1951-...), Gesher HaMeitarim, Jerusalem Chords Bridge (2005-2008)Domaine public © Wikimedia commons→
58,2–12 Dieu juge : le Jugement dernier
(ca. 1395-1455), Le Jugement dernier, (tempera sur bois, ca. 1431), 105 x 210 cm
Couvent San Marco, Florence, Domaine public © Wikimedia commons→
58,2–10 L'injuste justice des hommes : le martyre de Blandine
Émile
(1880-1972), Sainte Blandine, (1932)église Saint-Pothin, Lyon, GNU-FDL © Wikimedia commons→
Réalisés par les ateliers grenoblois Balmet, les vitraux de cette église lyonnaise dressent un intéressant parallèle entre les fondateurs de l’Église de Lyon (Saint-Irénée, Saint-Polycarpe, Sainte-Blandine et Saint-Pothin) et ceux de l'Église de France (Sainte Geneviève, Sainte-Clotilde). Les saints occupent le collatéral nord, guidés par l’évangéliste Jean, et les saintes le collatéral sud, conduites par la Vierge, gardienne de la cité.
64,2–7 La langue qui médite des malheurs
(1267-1337), Invidia, vers 1305-1306, fresque
Padoue, chapelle des Scrovegni, mur sud, tiers inférieur
Domaine public © Wikimedia commons→
L'envie est représentée sous les traits d'une vieille femme laide marchant à tâtons dans un berceau de flammes. Cherchant une proie de sa main droite crispée, elle tient fermement une bourse à sa main gauche. De sa bouche jaillit un serpent tordu en arrière, comme pour lui crever les yeux : la médisance se retourne toujours contre son auteur... La queue du serpent entoure les grandes oreilles de la figure. Ouvertes aux vilenies de tout poil, elles rappellent celles des diablotins. L'envie et la médisance sont intimement liées.
Giovanni
(vers 1425-1433 - 1516), Le Mensonge, 1490, huile sur panneau de bois, 32 x 22 cmGallerie dell'Accademia, Venise, Italie
Domaine public © Wikimedia commons→
Un homme — le menteur ? — tient dans ses bras un immense coquillage dont jaillit un homme nu. A la fois coupable et victime, ce dernier est aux prises avec un serpent qui l'enlace. Le mensonge échappe à son auteur, impossible à contrôler et à rattraper, et frappe ici un innocent pèlerin. Le piédestal sur lequel il se tient porte le nom du peintre.
Pour une fois, le mensonge n'est pas représenté sous les traits d'une femme !
65,10–14 Dieu procure l'abondance
Nicolas
(1594-1665), L'été, ou Ruth et Booz, (huile sur toile, ca. 1660-1664), 110 x 160 cmMusée du Louvre, Paris, Domaine public © Wikimedia commons→, Rt 2
65,8s Dieu apaise le rugissement des mers : la tempête sur le lac de Tibériade
Jan
(1568-1625), Le Christ dans la tempête sur la mer de Galilée, (huile sur toile, 1596)Domaine public © Wikimedia commons→, Mc 4
68,2–36 Loué soit le Seigneur qui disperse les ennemis : le triomphe de David
Nicolas
(1594-1665), Le Triomphe de David, (huile sur toile, ca. 1631 - 1633), 117 × 146 cmDulwich Picture Gallery, Londres © Wikicommons→, 1S 17,54
72,1–19 Bénédiction du nouveau roi : la succession de David
(1584-1651), David présentant le sceptre à Salomon (huile sur toile, ca. 1601-1650), 174 x 243 cm
Collection privée, domaine public © Wikicommons→, 1R 2
45,4ss Le roi, vaillant guerrier : le Verbe de Dieu met les démons en fuite
Atelier de Nicolas
(ca. 1330 - ca. 1405) sur des cartons de (actif entre 1368 et 1381), Tenture de l'Apocalypse, no 73, Le verbe de Dieu charge les bêtes, (laine, ca. 1373-1382), 6 x 140m à l'origine,Château d'Angers, Angers, CC © Wikimedia commons→, Ap 19
73,1–28 Le sort des riches orgueilleux et du pauvre tourmenté : la parabole de l'homme riche et du mendiant Lazare
, La parabole du riche et de Lazare, (parchemin enluminé, ca. 1035-1040), 30,9 x 22,4 cm, Codex Aureus Epternacensis, Folio 78 recto
Germanisches Nationalmuseum, Nuremberg, Allemagne, Domaine public © Wikimedia commons→, Lc 16
Julius Veit Hans Schnorr von
(1794-1872), La parabole du riche et de Lazare, (gravure sur bois, 1851-1860)Die Bibel in Bildern, 1860, Domaine public © Wikimedia commons→, Lc 16
73,1–28 Le sort des méchants : la chute de Babylone
Atelier de Nicolas
(ca. 1330 - ca. 1405) sur des cartons de (actif entre 1368 et 1381), Tenture de l'Apocalypse, no 66, La chute de Babylone envahie par les démons, (laine, ca. 1373-1382), 6 x 140m à l'origineChâteau d'Angers, Angers, CC © Wikimedia commons→
71,1–24 La prière d'un homme vieillissant : le roi David
(ca. 1600-1652/1653), Le roi David en prière, (huile sur toile, ca. 1635-1640), 94 x 84,5 cm
Museum Catharijneconvent, Utrecht, Pays-Bas, Domaine public © Wikimedia commons→, Si 47
67,2–8 Bénédiction de Dieu
(1474-1555), Dieu le Père avec la main droite levée en signe de bénédiction, (mine de plomb, encre brune et plume et rehaut de blancs sur papier appliqué sur panneau de bois), 7 x 8,1 cm
Rosenwald Collection, National Gallery of Art, Washington, Domaine public © Wikimedia commons→
70,1–6 Appel à l'aide : Daniel dans la fosse aux lions
Peter Paul
(1577-1640), Daniel dans la fosse aux Lions (huile sur toile, ca. 1614-1616), 224,2 x 330,5 cmNational Gallery of Art, Washington, Domaine public © Wikimedia commons→, Dn 6
60,3–14 Dieu rétablit son peuple malgré ses péchés
(ca. 1450-1516), Les sept péchés capitaux dans une pelure de globe terrestre, (huile sur panneau de chêne, ca. 1520-1530), 86 x 56 cm
Genève, Fine Arts Foundation, Domaine public © Wikimedia commons→ (photo A.M. Koldeweij, P. Vandenbroeck et B. Vermet, 2001)
61,6–9 La louange de David
(ca. 1627 Haarlem - 1697, Amsterdam), David jouant de la harpe, (huile sur toile, 1670), 142 x 154 cm
Collection privée, Karlsruhe (Allemagne), Domaine public © Wikimedia commons→, Ne 12
62,10–13 Dieu traite chaque homme selon ce qu'il a fait : le Jugement dernier Le thème du Jugement dernier, par sa dimension spectaculaire et escatologique, est de nature à frapper l'imagination des artistes... et des fidèles. Il est pour cette raison représenté à de nombreuses reprises sur les tympans des églises.
Le Jugement dernier (12e s.), tympan, Cathédrale d'Autun
CC © Wikicommons→
Le Jugement dernier (12e s.), tympan, Abbatiale Sainte-Foy de Conques
CC © Wikicommons→
Portail du Jugement dernier (12e s.), tympan, Façade occidentale, Cathédrale de Bourges
CC © Wikicommons→
(fresque, 14e s.), pillier gauche sous le buffet d'orgues, Cathédrale d'Albi
CC © Wikicommons→
(ca. 1395-1455), Le Jugement dernier (tempera sur bois, ca. 1431), 105 × 210 cm
Musée San Marco, Florence, domaine public © Wikicommons→
Rogier
(ca. 1400-1464), Polyptyque du Jugement dernier, (peinture à l'huile sur bois, 1443-1452), 220 × 548 cmHospices de Beaune, CC © Wikicommons→
(1441-1523), La Fin du monde (fresque, 1499-1502)
Chapelle San Brizio, transept droit, Cathédrale d'Orvieto, domaine public © Wikicommons→
(1441-1523), La Résurrection de la chair (fresque, 1499-1502)
Chapelle San Brizio, transept droit, cathédrale d'Orvieto, domaine public © Wikicommons→
(1441-1523), Les Damnés et les Élus (fresque, 1499-1502)
Chapelle San Brizio, transept droit, Cathédrale d'Orvieto, domaine public © Wikicommons→
(1441-1523), Les Damnés à l'Enfer (fresque, 1499-1502)
Chapelle San Brizio, transept droit, cathédrale d'Orvieto, domaine public © Wikicommons→
(1441-1523), Les Élus au Paradis (fresque, 1499-1502)
Chapelle San Brizio, transept droit, cathédrale d'Orvieto, domaine public © Wikicommons→
(1475-1564), Le Jugement dernier, (fresque, 1536-1541), 1370 × 1220 cm, mur de l'autel
Chapelle Sixtine, Cité du Vatican, domaine public © Wikicommons→
(ca. 1450-1516), Le Jugement dernier (huile sur panneau de bois, ca. 1482-1516), 163,7 × 247 cm
Académie des Beaux-Arts de Vienne, Domaine public © Wikicommons→
75,3–11 Représentations du Jugement dernier Le thème du Jugement dernier, par sa dimension spectaculaire et escatologique, est de nature à frapper l'imagination des artistes... et des fidèles. Il est pour cette raison représenté à de nombreuses reprises sur les tympans des églises.
Le Jugement dernier (12e s.), tympan, Cathédrale d'Autun
CC © Wikicommons→
Le Jugement dernier (12e s.), tympan, Abbatiale Sainte-Foy de Conques
CC © Wikicommons→
Portail du Jugement dernier (12e s.), tympan, Façade occidentale, Cathédrale de Bourges
CC © Wikicommons→
(fresque, 14e s.), pillier gauche sous le buffet d'orgues, Cathédrale d'Albi
CC © Wikicommons→
(ca. 1395-1455), Le Jugement dernier (tempera sur bois, ca. 1431), 105 × 210 cm
Musée San Marco, Florence, domaine public © Wikicommons→
Rogier
(ca. 1400-1464), Polyptyque du Jugement dernier, (peinture à l'huile sur bois, 1443-1452), 220 × 548 cmHospices de Beaune, CC © Wikicommons→
(1441-1523), La Fin du monde (fresque, 1499-1502)
Chapelle San Brizio, transept droit, Cathédrale d'Orvieto, domaine public © Wikicommons→
(1441-1523), La Résurrection de la chair (fresque, 1499-1502)
Chapelle San Brizio, transept droit, cathédrale d'Orvieto, domaine public © Wikicommons→
(1441-1523), Les Damnés et les Élus (fresque, 1499-1502)
Chapelle San Brizio, transept droit, Cathédrale d'Orvieto, domaine public © Wikicommons→
(1441-1523), Les Damnés à l'Enfer (fresque, 1499-1502)
Chapelle San Brizio, transept droit, cathédrale d'Orvieto, domaine public © Wikicommons→
(1441-1523), Les Élus au Paradis (fresque, 1499-1502)
Chapelle San Brizio, transept droit, cathédrale d'Orvieto, domaine public © Wikicommons→
(1475-1564), Le Jugement dernier, (fresque, 1536-1541), 1370 × 1220 cm, mur de l'autel
Chapelle Sixtine, Cité du Vatican, domaine public © Wikicommons→
(ca. 1450-1516), Le Jugement dernier (huile sur panneau de bois, ca. 1482-1516), 163,7 × 247 cm
Académie des Beaux-Arts de Vienne, Domaine public © Wikicommons→
68,33
19,13s Purifie-moi des fautes secrètes Graduel
, Graduel - Ab occultis meis
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
40,10s J'annoncerai la justice Graduel
, Graduel - Annuntiavi justitiam
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
45,10–16 Écoute, ma fille
, Graduel - Audi filia... quia concupivit
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Trait - Audi Filia
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Chants du commun de la Sainte Vierge Marie.
17,8.2 Garde-moi Graduel
, Graduel - Custodi me
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
31,24s Aimez le Seigneur Graduel
, Graduel - Diligite Dominum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Messe des Saints Euspice et Maximin le 17 décembre.
26,11s.1 Délivre-moi Introït
, Introït - Redime me
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
21,3s Le désir de l'âme Offertoire
, Offertoire - Desiderium animae
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
72,18.3 Béni soit le Seigneur
, Graduel - Benedictus Dominus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
46,5s Dieu vient à son secours Graduel
, Graduel - Adjuvabit eam
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
17,3 Tu as éprouvé mon coeur, Seigneur Graduel
, Graduel - Probasti Domine
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
74,19–23 Considère l'alliance Introït
, Introït - Respice Domine
Choeur des moines de l'Abbaye du Barroux
, Graduel - Respice Domine
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
106,47.1 Sauve nous Seigneur Introït
, Introït — Salvos nos fac
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Graduel - Salvos fac nos
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
83,19.14 Qu'ils sachent que ton nom est Seigneur Graduel
, Graduel - Sciant gentes
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
119,23.86 ; 6,5 ; 109,26 Que les princes siègent Graduel
, Graduel - Sederunt
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
89,13 l’Hermon Géographie Repères historiques et géographiques Dt 3,8
23,1–6 Le Seigneur est mon berger
(1953-...), « Psaume 23 / Jerusalem », Live au Zénith de Paris, 1993
Howard
(1958-), The Lord Is My Shepherd, 1994The Georgia Boy Choir
Howard
est un compositeur, acteur et scénariste britannique né le 26 mai 1958 à Bromley (Royaume-Uni). Il est fait Commandeur de l'Ordre de l'Empire britannique le 31 décembre 2010, pour services rendus à l'éducation musicale.The Lord is my shepherd : therefore can I lack nothing. He shall feed me in a green pasture : and lead me forth beside the waters of comfort. He shall convert my soul : and bring me forth in the paths of righteousness, for his Name's sake. Yea, thou I walk through the valley of the shadow of death, I will fear no evil : for thou art with me; thy rod and thy staff comfort me. Thou shalt prepare a table before me against them that trouble me : thou hast anointed my head with oil, and my cup shall be full. But thy loving-kindness and mercy shall follow me all the days of my life : and I will dwell in the house of the Lord for ever. (Ps 23,1-6)
John
(1945-), The Lord Is My Shepherd (from Requiem), 1976John Rutter (cond.)
John
est né à Londres en 1945 et a étudié la musique au Clare College de Cambridge. Ses compositions embrassent la musique chorale, orchestrale et instrumentale. De 1975 à 1979, il a été directeur de la musique au Clare College et, en 1981, il a formé sa propre chorale, les Cambridge Singers. Il partage maintenant son temps entre la composition et la direction et est recherché comme chef invité pour les plus grands chœurs et orchestres du monde.1 The Lord is my shepherd : therefore can I lack nothing. 2 He shall feed me in a green pasture : and lead me forth beside the waters of comfort. 3 He shall convert my soul : and bring me forth in the paths of righteousness, for his Name's sake. 4 Yea, thou I walk through the valley of the shadow of death, I will fear no evil : for thou art with me; thy rod and thy staff comfort me. 5 Thou shalt prepare a table before me against them that trouble me : thou hast anointed my head with oil, and my cup shall be full. 6 But thy loving-kindness and mercy shall follow me all the days of my life : and I will dwell in the house of the Lord for ever. (Ps 23,1-6)
Sir Charles Villiers
(1852-1924), The lord is my shepherd, 1886John Harper (dir.), Magdalen College Choir, Oxford
36,10 dans ta lumière nous voyons la lumière Variations de lumière
Pierre
(1919- ) — Jean-Dominique , maître verrier (1946- ), Vitrail, (1986-1994)Abbatiale Sainte-Foy, Conques
Domaine public © Licence CC BY-SA→, Ps 36,10
« Je suis parti de la lumière », c'est ainsi que
, l'inventeur de « l'outre-noir », parle de l'origine des 104 vitraux qu'il conçoit pour l'abbatiale Sainte-Foy de Conques. Il a 12 ans en 1931 lorsqu'il découvre l'édifice. L'art roman le subjugue. Il voit entre l'intérieur et l'extérieur de l’église le dialogue fondamental entre ce qui se dévoile et ce qui se dissimule. A partir de 1979, l'artiste déclare ne plus vouloir peindre le noir mais rechercher la réflexion de la lumière, découvrir ce qui se révèle au-delà de l'obscurité. , qui ne cache pas avoir toujours eu « des problèmes avec Dieu », exige de son maître verrier que la lumière se reflète à l'extérieur comme à l'intérieur de l'édifice. Mais que depuis l'abbatiale rien ne soit visible de ce qui est au dehors. Seule doit être discernable l'architecture sacrée. « Je ne représente pas. Je présente » dira le peintre. (Th. J.)36,2s au milieu de son cœur Mon cœur est contrit Antienne
, Jeudi Saint - Laudes : Antienne « Contritum est » et Psaume 35
(CD, 2005) Dom Jean Claire, Chœurs des moines de l'abbaye de Solesmes
36,6–11 Bénédictions du Seigneur
Atelier de Raffaello Sanzio dit
(1483-1520), Dieu le Père bénissant parmi les anges, (fresque transposée sur toile en 1858, ca. 1515-1520), 140 x 283 cm, chapelle de la villa pontificale de La MaglianaMusée du Louvre, Paris
Domaine public © Wikimedia commons→, Ps 36
139,10s et ta droite me saisira Take my hand, precious Lord
Take My Hand, Precious Lord —
, 1957Chanson originairement composée par Thomas A. Dorsey, le père de la musique gospel, en 1937, le titre fut repris par Elvis Presley vingt ans plus tard. Il s'agit de la chanson préférée de Martin Luther King Jr.
Precious Lord, take my hand / Lead me on, let me stand / I'm tired, I'm weak, I'm lone / Through the storm, through the night / Lead me on to the light / Take my hand precious Lord, lead me home —— In my way grows drear precious Lord linger near / When my light is almost gone / Hear my cry, hear my call / Hold my hand lest I fall / Take my hand precious Lord, lead me home —— When the darkness appears and the night draws near / And the day is past and gone / At the river I stand / Guide my feet, hold my hand / Take my hand precious Lord, lead me home —— Precious Lord, take my hand / Lead me on, let me stand / I'm tired, I'm weak, I'm lone / Through the storm, through the night / Lead me on to the light / Take my hand precious Lord, lead me home.
Ô Seigneur, prends ma main / Montre-moi la voie, aide-moi à tenir bon / Je suis las, je suis faible, je suis seul ; / À travers l'orage, à travers la nuit / Conduis-moi vers la lumière / Prends ma main, ô Seigneur, et ramène-moi chez moi —— Lorsque mon chemin devient monotone, ô Seigneur, demeure auprès de moi / Lorsque ma lumière s'est presque éteinte / Entends mon cri, écoute mon appel / Serre ma main, de peur que je ne tombe / Prends ma main, ô Seigneur, et ramène-moi chez moi —— Lorsque surgit l'obscurité et que la nuit s'approche / Lorsque le jour décline et se finit / Je me tiens au bord du fleuve / Guide mes pas, serre ma main / Prends ma main, ô Seigneur, et ramène-moi chez moi —— Ô Seigneur, prends ma main / Montre-moi la voie, aide-moi à tenir bon / Je suis las, je suis faible, je suis seul ; / À travers l'orage, à travers la nuit / Conduis-moi vers la lumière / Prends ma main, ô Seigneur, et ramène-moi chez moi.
73,24 tu tenais ma main droite Take my hand, precious Lord
Take My Hand, Precious Lord —
, 1957Chanson originairement composée par Thomas A. Dorsey, le père de la musique gospel, en 1937, le titre fut repris par Elvis Presley vingt ans plus tard. Il s'agit de la chanson préférée de Martin Luther King Jr.
Precious Lord, take my hand / Lead me on, let me stand / I'm tired, I'm weak, I'm lone / Through the storm, through the night / Lead me on to the light / Take my hand precious Lord, lead me home —— In my way grows drear precious Lord linger near / When my light is almost gone / Hear my cry, hear my call / Hold my hand lest I fall / Take my hand precious Lord, lead me home —— When the darkness appears and the night draws near / And the day is past and gone / At the river I stand / Guide my feet, hold my hand / Take my hand precious Lord, lead me home —— Precious Lord, take my hand / Lead me on, let me stand / I'm tired, I'm weak, I'm lone / Through the storm, through the night / Lead me on to the light / Take my hand precious Lord, lead me home.
Ô Seigneur, prends ma main / Montre-moi la voie, aide-moi à tenir bon / Je suis las, je suis faible, je suis seul ; / À travers l'orage, à travers la nuit / Conduis-moi vers la lumière / Prends ma main, ô Seigneur, et ramène-moi chez moi —— Lorsque mon chemin devient monotone, ô Seigneur, demeure auprès de moi / Lorsque ma lumière s'est presque éteinte / Entends mon cri, écoute mon appel / Serre ma main, de peur que je ne tombe / Prends ma main, ô Seigneur, et ramène-moi chez moi —— Lorsque surgit l'obscurité et que la nuit s'approche / Lorsque le jour décline et se finit / Je me tiens au bord du fleuve / Guide mes pas, serre ma main / Prends ma main, ô Seigneur, et ramène-moi chez moi —— Ô Seigneur, prends ma main / Montre-moi la voie, aide-moi à tenir bon / Je suis las, je suis faible, je suis seul ; / À travers l'orage, à travers la nuit / Conduis-moi vers la lumière / Prends ma main, ô Seigneur, et ramène-moi chez moi.
69,13s Ils parlaient contre moi
, Communion - Adversum me
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
119,49s Souviens-toi de la parole
, Communion - Memento verbi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
25,22 Délivre-moi Seigneur
, Communion - Redime me
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
103,2.5 Bénis le Seigneur ô mon âme
, Offertoire - Benedic anima mea Domino
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
109,21 Seigneur agis pour moi
, Offertoire - Domine fac mecum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Offertoire chanté pendant le carême.
119,107.154 Seigneur, fais-moi vivre
, Offertoire - Domine vivifica
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
55,2s Dieu, prête l'oreille à ma prière
, Offertoire - Exaudi Deus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
135,3.6 Louez le Seigneur
, Offertoire - Laudate Dominum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
51,3 Aie pitié de moi
, Offertoire - Miserere mihi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
56,1–10 L'homme poursuivi par les méchants : le personnage d'Oreste dans la mythologie grecque
William-Adolphe
(1825–1905), Le remords d'Oreste ou Oreste poursuivi par les furies, (huile sur toile, 1862), 227 x 278 cmChrysler Museum of Art, Norfolk, Virginie, Domaine public © Wikimedia commons→
Après avoir vengé son père Agamemnon assassiné par Clytemnestre, Oreste, devenu le meurtrier de sa mère, est poursuivi par les Érinyes, déesses infernales et persécutrices.
25,10 Tous les chemins du Seigneur sont miséricorde et vérité Universæ viæ Domini, misericordia et veritas : Inscription médiévale
, art mosan, Arbre de Vie (médaillon émaillé)
Trésor de la collégiale Notre-Dame, Huy (France)
© Traumrune CC BY 3.0→ , Ps 1 ; Ps 25,10 ; Ap 2,7
Inscription sur le pourtour : « Universæ viæ Domini, misericordia et veritas » (Ps 25,10), dans le phylactère : « qui vicerit dabo illi edere de ligno vitæ » (Ap 2,7 ). Conservé dans le Trésor de la Collégiale de Notre-Dame de Huy, le médaillon qui pourrait avoir fait partie d’un triptyque.
116,15 Précieuse aux yeux du Seigneur la mort Ce qui est précieux pour Dieu jean de la Croix, Cantique spirituel B, 11,10: "David nous déclare que la mort des saints est précieuse devant le Seigneur, ce qui ne serait pas si les saints n'entraient en participation des attributs de Dieu, car devant Dieu rien n'est précieux que ce qu'il est lui-même."
117,1s Louange des nations au Dieu d'Israël
116,6 Simplicité
132,4s Le lieu de Dieu
119,65 A l'endroit de ton serviteur
92,13 Le palmier et le cèdre
130,1s Des profondeurs - Alleluia
, Alleluia - De profundis
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement live)
81,2s Acclamez Dieu - Alleluia
, Alleluia - Exsultate Deo
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement live)
92,13 Le juste fleurira - Alleluia
, Alleluia - Justus ut palma
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement live)
119,46 Je parlerai de tes enseignements - Alleluia
, Alleluia - Loquebar
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement live)
23,5s Tu me prépares une table - Alleluia
, Alleluia - Paras mihi mensam
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement live)
© Abbaye du Barroux→, ps 23,5s
119,49s Souviens-toi de la parole
, Communion - Memento verbi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement live)
65,10 Tu visites la terre - Communion
, Communion - Visitasti terram
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement live)
69,2 Sauve-moi, ô Dieu - Alleluia
, Alleluia - Salvum me fac
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement live)
84,4s Le passereau trouve une maison - Communion
, Communion - Passer invenit sibi domum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
71,8.23.1 ; 31,2 Que ma bouche soit pleine de ta louange - Introït
, Introït - Repleatur os meum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
119,99a Plus que tous mes maîtres, je suis avisé Recevoir sa leçon de tous
106,1 ; 107,1 ; 117,1 Célebrez le Seigneur - Alleluia de Pâques
, Alleluia - Confitemini Domino
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
Alleluia de la nuit de Pâques.
21,4 Tu as mis sur sa tête une couronne - Alleluia
, Alleluia - Posuisti Domine
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
27,6 Je prendrai place au chœur - Communion
, Communion - Circuibo
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
31,3 Incline vers moi ton oreille - Communion
, Communion - Incina aurem tuam
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
21,6 Grande est sa gloire - Communion
, Communion - Magna est
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
102,10–14 J'ai mêlé mes larmes à mon breuvage - Communion
, Communion - Potum meum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
Pièce de communion chantée pour la Messe du Mercredi Saint.
120,1s Vers le Seigneur - Graduel
, Graduel - Ad Dominum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
35,20ss ; 55,4 Mes ennemis me parlaient de paix - Graduel
, Graduel - Pacifice loquebantur
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
113,1 Louez serviteurs du Seigneur - Introït et Alleluia
, Introït - Laudate pueri
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
, Alleluia - Laudate pueri Dominum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
132,9s Que tes prêtres se revêtent de justice - Introït
, Introït - Sacerdotes tui
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
Chant d'entrée pour la Messe du commun des Pasteurs.
33,1 Les peuples racontent leur sagesse - Introït
, Introït - Sapientiam
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
66,1s Avec des cris de joie, proclamez-le - Introït
, Introït - Vocem jucunditatis
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
Chant d'entrée du cinquième Dimanche après Pâques.
139,11 la nuit aussi sera une lumière autour de moi ! contemplation , Cantique spirituel B, § 39,13: "C'est de cette nuit de la contemplation que David disait: La nuit sereine est mon illumination au milieu de mes délices. Comme s'il disait : Quand je jouirai des délices dela vision essentielle de Dieu, la nuit de la contemplation sera devenue le plein jour et la lumière de mon entendement."
115,1–18 Dieu est au ciel et toi sur la terre
Antonio
(1678-1741), «In exitu Israel» [psaume 115] RV 604, 1739Kevin Mallon (dir.), Aradia Ensemble
Antonio Vivaldi met en musique le texte du Psaume 114 d'une manière très dense et rapide par un style d'accompagnement très varié. Par la virtuosité de prononciation et le débordement de notes le compositeur laisse entrevoir la gravité de la phrase « Deus autem noster in cælo » que l'on retrouve dans l'Ecclésiaste pour inviter l'homme au silence.
69,10 Nous ne néglierons pas la maison de notre Dieu
José Maria
(1819-1887), Zelus domus tuaeOrquestra Sinfônica de Minas Gerais
« Car le zèle de ta maison me dévore, et l'outrage de ceux qui t’insultent est retombé sur moi ».
33,2 Célébrez le Seigneur sur la harpe
Heinrich
(1585-1672), Freuet euch des Herren, Psaume 33, 1619TENET Vocal Artists, Dark Horse Consort, Bach Collegium San Diego
Psalmen Davids (Psaumes de David) est un recueil de 26 œuvres de musique sacrée, sur des traductions en allemand tirées le plus souvent du livre des Psaumes, pour chœurs et instruments, composé par Heinrich Schütz en 1619.
110,4 Tu es prêtre Alleluia
, Alleluia - Tu es sacerdos
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
119,78.80 Qu’ils soient confondus
, Communion - Confundantur
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
31,17s Fais luire ta face sur ton serviteur - Communion
, Communion - Illumina
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
119,81–86 Mon âme languit de désir après ton salut - Communion
, Communion - In salutari tuo
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
43,4 Je viendrai vers l'autel - Communion
, Communion - Introibo
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
78,29s Ils mangèrent et se rassasièrent - Communion
, Communion - Manducaverunt
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
21,4 Tu le préviendras de bénédictions - Communion
, Communion - Posuisti
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
64,11.2 Le juste se réjouira - Introït
, Introït - Lætabitur justus
Chœur des moines de l'abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
112,1 Le Seigneur dit ses paroles - Introït
, Introït - Dicit Dominus sermones
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
132,1 Loin de moi de me glorifier - Introït
, Introït - Mihi autem absit
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
123,1ss Comme les yeux des serviteurs - Introït
, Introït - Sicut oculi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
19,5 Par toute la terre - Offertoire
, Offertoire - In omnem terram
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
21,4s Tu as mis sur sa tête - Offertoire
, Offertoire - Posuisti
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
123,2 ; 148,1–4 ; 51,19 ; 69,8ss Ignatius Cantata
Kris
, OCSO (1972-), Ignatius Cantata op.34, 2014Joris Derder (bariton), Nico Couck (guitare), I Solisti del Vento (ensemble)→, Musa Horti (choeur)
© Kris Oelbrandt→, Ps 123,2.148,1-4.51,19.69,8-10 Lc 1,38.9,57-61.2,48s Jn 6,68.21,15ss Ph 2,6-11
Cette cantate est une synthèse musicale des exercices spirituels d'Ignace de Loyola. Les mouvements I, II, III et IV parcourent les quatre phases des exercices: émerveillement sur la création, suivre le Christ, s'adonner à la croix, ressusciter avec Lui. Ces quatre idées centrales sont explicitées par des citations des exercices (chantées en Sprechstimme par le bariton), qui sont commentés par des versets bibliques illustratifs, chantés par le chœur. Le premier mouvement est précédé par un prologue (la fameuse prière de Thérèse d'Avila), le dernier est suivi par un épilogue qui donne une dernière synthèse.
Dans le premier mouvement, le retraitant s'apprête pour l'émerveillement en se rendant compte de sa propre humilité et de la grandeur de Dieu. Le psaume 123, notamment par l'image de la servante qui regarde la main de sa maîtresse, décrit cette idée. Voir aussi Ps 51,19.
Au milieu de la première phase des exercices, le retraitant éclate en émerveillement et joie sur la création. La musique monte pas à pas, le chœur monte dans des progressions harmoniques qui ouvrent chaque fois un nouveau monde (un nouvel élément énuméré dans le psaume 148), le bariton parle à travers en énumérant plus ou moins les mêmes éléments comme ils apparaissent dans le texte ignacien.
Retour vers la conscience de sa propre humilité. Le verset du psaume 51 (l'offre de mon cœur broyé) rappelle le psaume 123. La mélodie reprend celle du ps 123 en mouvement miroir rétrograde.
La deuxième phase des exercices ignaciennes se concentre sur la volonté de suivre le Christ. Ce concept est illustré musicalement par un basson seul qui joue une mélodie légère, sautante, quasi improvisée, en croches constantes - décrivant quelqu'un qui se met en route. Sur cette mélodie apparaissent de courts fragments avec des citations bibliques sur ce thème. La première expression de la volonté de suivre le Christ, chantée en forme de chorale, est celle de l'Annonciation, où Marie se confie à la promesse de l'ange Gabriel. Voir aussi Lc 9,57-61 et Jn 6,68.
La deuxième expression de la volonté de suivre le Christ est la promesse - pourtant conditionnelle - de divers gens de suivre le Christ. Celui-ci répond en Espagnol (rappellant les exercices ignaciennes) "Sigue me", "Suis-moi". Voir aussi Lc 1,38 et Jn 6,68.
La troisième expression de la volonté de suivre le Christ, citation de l'évangile selon St Jean, est mise de nouveau (comme la première, Lc 1,38) en forme de chorale. Voir aussi Lc 1,38 et Lc 9,57-61.
Dans la troisième phase des exercices ignaciennes, le retraitant réalise que la croix est inévitable en suivant le Christ. Après la citation de la phrase centrale des exercices par le bariton, le début du prologue revient, maintenant joué par la guitare. De cette manière l'auditeur se souvient de la prière de Thérèse d'Avila: "Je suis à vous". La tête de la mélodie de la prière est maintenant jouée par les instruments à vent et tenue longue en point d'orgue. Les versets du psaume 68 (69) sont superposés sur ce tapis harmonique, mêlant ainsi la notion de l'abandon et la notion de la croix. Le bariton chante régulièrement, comme troisième couche, "Sigue me", "Suis-moi", ce qui rappelle le deuxième mouvement, notamment Lc 9,57-61.
La conviction que le Christ ressuscité est apparu tout d'abord à Marie, sa mère, est typiquement jésuite. L'histoire du jeune Jésus qui est retrouvé après trois jours dans le temple, peut être vu comme une justification biblique de ce passage des exercices ignaciens. Deux motifs musicaux sont repris et superposés: la mélodie continue du basson (voir la deuxième phase dans Lc 1,38, Lc 9,57-61 et Jn 6,68) - maintenant jouée par le hautbois - et le chant de l'humble servante (voir ps 123, 2). L'humble servante est comparée à Marie qui s'écrie en retrouvant Jésus.
La quatrième et dernière phase des exercices conclut par une réconciliation: le retraitant se réconcilie avec Jésus et ses émotions ou conflits intérieurs en déclarant son amour pour le Christ ressuscité, illustré par Jn 21,15-17. La mélodie du prologue, où le chœur chantait la prière de Thérèse d'Avila, notamment "Que mandais hacer de mi?" ("Que veux-tu que je fasse?"), sonne maintenant dans les instruments à vent comme une formule répétée pp. C'est sur cette couche que les confessions de Pierre à Jésus sont chantées, en alternance entre ténors (Jésus) et le reste du chœur.
137,1–9 « By the rivers of Babylon »
Boney M. est un groupe jamaïco-antillais de disco-pop. Parmi leurs titres les plus célèbres, on compte : Rasputin ou Daddy cool. Et leur carton Rivers of Babylon* n’est autre que le psaume 137 Musique Ps 137,1–5 ! Pour être parfaitement exact, Boney M chante uniquement les 4 premières strophes du psaume en boucle et rajoute 2 phrases !
Au VIe avant Jésus-Christ, Nabuchodonosor, empereur de Babylonie, assiège Jérusalem. La ville sainte est pillée, détruite et la population est déportée à Babylone. Cet événement est fondamental pour comprendre nombres de textes bibliques qui évoquent l’exil du peuple juif. Les 70 ans qu'ils passèrent à l'étranger marquèrent à jamais la mémoire d'Israël.Ce Psaume 137, chanté par Boney M, fait mémoire de cet exil à Babylone et de la nostalgie du peuple élu éloigné de sa Jérusalem : « Au bord des fleuves de Babylone, là nous étions assis et nous pleurions en nous souvenant de Sion. » Sion est le nom symbolique du site de la ville de Jérusalem.
Au-delà de la destinée juive, cet exil à Babylone marque aussi la culture occidentale et la spiritualité chrétienne. En effet, il devient un symbole de l’état de l’homme éloigné de Dieu. Mais la poésie qui naît de cet exil, comme dans le psaume d'aujourd'hui, maintient la joie au coeur de la tristesse et sa solitude. Comme le dit le père Alexandre Schmemann à propos de ce psaume : « Il est devenu à jamais le chant de l’homme qui réalise son exil loin de Dieu, et, ce faisant, redevient un homme : celui que rien de ce monde déchu ne peut combler, car, par nature et par vocation, il est un pèlerin de l’Absolu. » Alexandre Schmamann, Le grand Carême, Éditions Monastiques, Spiritualité orientale n°13, Abbaye de Bellefontaine, 2011.
Dans la tradition liturgique orientale, on chante le psaume 137 les trois dimanches qui précèdent le Carême. Tel le Juif au bord des rivières de Babylone, le croyant est ainsi invité à prendre conscience de son exil sur cette Terre, loin de la Jérusalem céleste, à se souvenir des moments de joie de sa vie et à se retourner vers Celui qui en est la source. Ce retournement vers Jérusalem, vers la Patrie Céleste, c’est la metanoïa, mot grec traduit par repentir.
"Un pays lointain : telle est la définition de notre condition humaine que nous devons assumer et faire nôtre, quand nous commençons à marcher vers Dieu. L’homme qui n’a jamais fait cette expérience, ne fût-ce que très brièvement, qui n’a jamais senti qu’il est exilé de Dieu et de la vraie vie, ne comprendra jamais ce qu’est le christianisme. Et celui qui est parfaitement 'chez lui' en ce monde et dans la vie de ce monde, qui n’a jamais été blessé par le désir nostalgique d’une autre réalité, celui-là ne comprendra jamais ce qu’est le repentir." Alexandre Schmemann, Le grand Carême, Éditions Monastiques, Spiritualité orientale n°13, Abbaye de Bellefontaine, 2011, p24.
104,24 Entre l'un et l'autre
93,1a YWHW règne, il s'est vêtu de majesté Combattre l'orgueil sans cesse
119,99a Plus que tous mes maîtres, je suis avisé Recevoir sa leçon de tous
102,1 La communion de prière
96,1a un cantique nouveau Cantiques inspirés
89,53 AMEN Le sens du mot Amen Pourquoi le mot « Amen » est-il identique quelle que soit la langue parlée ? Est-il vraiment universel ? Peut-on trouver son origine et sa signification dans les Écritures ?
Pour cet écalirage, on bat notre record du texte biblique le plus court Ps89,53 pour s’intéresser particulièrement à un seul mot qui traverse tout le corpus biblique.
Le mot Amen fait partie de ces termes que tout le monde connaît, pas besoin d’être croyant pour cela. Pourtant, en connaît-on vraiment le sens ?
Ce mot hébreu vient des Écritures Saintes. Il est passé à travers les âges, les civilisations et les langues différentes. Donc, premier constat : c’est un très très très vieux mot. Dans la Bible en grec et dans la Bible en latin, on dit aussi « amen ». Le choix de ne pas le traduire souligne son importance. Du coup, retour à l’hébreu : de vieux spécialistes passionnants vont éclairer un peu cette interrogation.
La racine hébraïque du mot amen signifie appui. Quand je réponds « amen » à quelqu’un ou à une hymne liturgique, je dis en fait : « Je trouve mon appui en ce qui vient d’être dit ».Dans l’Écriture, ce mot revient forcément au sujet de Dieu. On dit « amen » en réponse à la révélation de réalités divines pour signifier : « Mon appui principal et fondamental est en Dieu ». Comme le dit le théologien canadien Marc Girard, l’aman hébreu d’où vient le mot amen exprime la solidité, la permanence, la stabilité. Si on prend appui en Dieu, c’est parce qu’on peut croire qu’il est une réalité stable en opposition à ce qui est éphémère, provisoire et périssable.Dans la Bible, la racine aman qui a donné amen ressemble à Mammon : Mammon est la richesse matérielle qui devient l’idole des hommes prêts à tout sacrifier pour y parvenir. Ainsi donc, il y a deux voies : l’homme peut aussi dire « amen » aux richesses matérielles décrites comme éphémères et périssables au contraire de Dieu. Elles s'appellent alors Mammon.
Ce terme Amen qui désignait donc la solidité a évolué dans deux directions :
Voilà, vous y penserez la prochaine fois que vous le direz !
91,4 sous ses ailes Motif puissant d'un soutien céleste
Le cinéma populaire a récemment eu recours à un tel motif.
Peter ; scén. et dial.: d'après J.R.R. , Fran Walsh, Philippa Boyens, Peter Jackson, Guillermo del Toro, mus. : Howard Shore ; avec Ian McKellen, Martin Freeman, Richard Armitage et al.
(réal.) avec Fran Walsh, Zane Weiner et al. (prod.), The Hobbit An Unexpected Journey, séquence des aigles (film fantastique-aventure, 2h 49', anglais, Nouvelle Zélande : WingNut Films, 2012)© Licence YouTube standard
Ex 19,4 ; Dt 32,11 ; Ps 91,1-16 ; Is 40,1-31 ; Jr 48,40 ; Ez 17,3-8 ; Jb 39,27-30 ; Ap 8,13 ; 12,14
Cette scène réinterprète à la suite de Tolkien le motif biblique des « ailes de l'aigle », symboles tantôt de la persévérance héroïque des croyants dans l'adversité, tantôt de l'intervention divine qui vient les arracher à la tribulation au moment où ils pourraient commencer à désespérer de leurs peines.
Il se trouvait déjà dans le dernier film de la saga de Jackson qui avait adapté The Lord of the Ring, œuvre magistrale de
:Peter ; avec Elijah Wood ; Ian McKellen ; Liv Tyler ; Viggo Mortensen ; Sean Astin ; Cate Blanchett et al.
, réal. d'après J.R.R. , prod. Barrie M. Osborne, Peter Jackson, Fran Walsh, The Return of the King, séquence du sauvetage ultime de Frodon à Mordor, (film aventure-fantastique, 201', anglais, Allemagne, Nouvelle Zélande et États-Unis : New Line Cinema et WingNut Films, 2003), scén. Fran Walsh Philippa Boyens Peter Jackson, mus. Howard Shore© Licence Youtube standard
Ex 19,4 ; Dt 32,11 ; Ps 91,1-16 ; Is 40,1-31 ; Jr 48,40 ; Ez 17,3-8 ; Jb 39,27-30 ; Ap 8,13 ; 12,14
Au dernier instant, Frodon est sauvé du gouffre du Mordor par des aigles qui le portent lui et ses compagnons vers des contrées plus paisibles. Le motif est repris à dessein par Tolkien et rendu à l'écran par Peter Jackson.
46,9 Voyez les œuvres du Seigneur
Jean-Philippe
(1683-1764), Venite et videte opera DominiHervé Niquet (dir.), Le Concert Spirituel
Extrait du Grand Motet Deus noster refugium de Jean-Philippe Rameau, ce mouvement reprend le Psaume 46 pour inviter à contempler les œuvres du Créateur. Il trouve écho dans ce chapitre du livre de la Sagesse contre l'idôlatrie, en particulier dans ce verset: « Si, charmés de leur beauté, ils ont pris ces créatures pour des dieux qu'ils sachent combien leur maître est plus beau car c'est l'auteur même de la beauté qui les a toutes créées » (Sg 13,3).
130,1–8 De Profundis
Kris
, OCSO (1972-), De Profundis (Oratorio du printemps op.23), 2010Marie de Roy, Ensemble Sturm und Klang (dir. Thomas van Haeperen)
Cette Cantate est composée pour le deuxième dimanche du carême sur la souffrance. Le psaume 130, qui se divise en trois parties, sert de fil rouge:
(1) est enrichi par des poèmes de Rosa Ausländer (« Ich Mosestochter ») et de Paul Verlaine (« Un grand sommeil noir »). La transition de (2) à (3) est réalisée par Ex 3,14, le Nom de Dieu. Finalement la troisième partie est complétée par Ex 3,7 (Dieu qui a vu la misère de son peuple) et un poème de Hilde Domin (« Es gibt dich »). Le compositeur a « traduit » le Nom de Dieu (Ex 3,14a) par deux phrases qui se réfèrent l'une à l'autre: Je suis « Je-serai-là » pour toi; Je serai « Je-suis-là » pour toi.
137,1–6 Out of exile (Hors de l'exil)
Kris
, OCSO (1972-), Out of exile (Oratorio du printemps op.23), 2011Marie de Roy, Ensemble Sturm und Klang (dir. Thomas van Haeperen)
Cette Cantate est composée pour le troisième dimanche du carême sur l'exil. Le psaume 137 est le fil conducteur. La cantate se divise en trois parties:
18,7 il a entendu Cycle
Patrycja Ps 18, A4, courtesy Vera Icon→, Patrycja Wojtanowska→, Ps 18,7
(1995 - ), Usłyszał [Il a entendu], (acrylique et pastel sur papier, 2020), Cycle18,10 est descendu Art contemporaine Cycle Ps 18
Patrycja Ps 18, A4, courtesy Vera Icon→, Patrycja Wojtanowska→, Ps 18,10
(1995 - ), Zstąpił [Il est descendu], (acrylique et pastel sur papier, 2020), Cycle18,11 Il est monté sur un chérubin Art contemporain Cycle Ps 18
Patrycja Ps 18, A4, collection privée, courtesy Vera Icon→, Patrycja Wojtanowska→, Ps 18,11
(1995 - ), Cwałował na cherubie [Il est monté sur un chérubin], (acrylique et pastel sur papier, 2020), Cycle18,12 Et il a mis la ténèbre [comme] sa cachette Art contemporain Cycle Ps 18
Patrycja Vera Icon→, Patrycja Wojtanowska→, Ps 18,12
(1995 - ), Przywdział zasłonę [Il a mis sa cachette], (acrylique et pastel sur papier, 2020), (A4), courtesy18,17 il me tire Art contemporain Cycle Ps 18
Patrycja Vera Icon→, Patrycja Wojtanowska→, Ps 18,17
(1995 - ), Wydobywa mnie [Il me tire], (acrylique et pastel sur papier, 2020), (A4), courtesy18,20 il m'affranchit Art contemporain Cycle Ps 18
Patrycja Vera Icon→, Patrycja Wojtanowska→, Ps 18,20
(1995 - ), Ocala [Il me sauve], (acrylique et pastel sur papier, 2020), A4, courtesy18,29 fait luire ma ténèbre Art contemporain Cycle Ps 18
Patrycja Vera Icon→, Patrycja Wojtanowska→, Ps 18,29
(1995 - ), Oświeca ciemności [Il illumine les ténèbres], (acrylique et pastel sur papier, 2020), A4, courtesy18,33 me ceint de puissance Art contemporain Cycle Ps 18
Patrycja Vera Icon→, Patrycja Wojtanowska→, Ps 18,33
(1995 - ), Mocą przepasuje [Il me ceint de puissance], (acrylique et pastel sur papier, 2020), A4, courtesy18,36 le bouclier de ton salut Art contemporain Cycle Ps 18
Patrycja Vera Icon→, Patrycja Wojtanowska→, Ps 18,36
(1995 - ), Jest tarczą [Il est le bouclier], (acrylique et pastel sur papier, 2020), A4, courtesy18,50 pour ton nom je psalmodie Art contemporain Cycle Ps 18
Patrycja Vera Icon→, Patrycja Wojtanowska→, Ps 18,50
(1995 - ), Wysławiam Twoje imię [Je glorifie ton nom], (acrylique et pastel sur papier, 2020), A4, courtesy104,13ss Du fruit de tes œuvres - Communion
, Communion - De fructu
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
71,16ss Je rappellerai ta justice, Seigneur - Communion
, Communion - Domine memorabor
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
34,9 Goûtez et voyez - Communion
, Communion - Gustate et videte
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
16,10s Tu me feras connaïtre - Communion
, Communion - Notas mihi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Pièce de communion chantée pour les fêtes de Saint Thomas d'Aquin, Sainte Catherine de Sienne et Sainte Marie-Madeleine.
19,7.2 Au sommet du ciel - Graduel
, Graduel - A summo cælo
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
A summo caelo egressio eius, et occursus eius usque ad summum eius.
Au sommet du ciel il prend son départ, et sa course va jusqu’à son sommet.
124,7s Notre âme - Graduel
, Graduel - Anima nostra
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Anima nostra, sicut passer erepta est de laqueo venantium.
Notre âme, comme le passereau, a été arrachée au filet des oiseleurs.
86,2.6 Sauve ton serviteur
, Graduel - Salvum fac servum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Salvum fac servum tuum, Deus meus, sperantem in te. Auribus percipe Domine orationem meam.
Sauvez votre serviteur, mon Dieu, qui met en vous son espérance. Prêtez l’oreille, Seigneur, à ma prière.
48,9ss Nous avons reçu, Dieu, ta miséricorde - Graduel
, Graduel - Suscepimus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Pièce chantée pour la Messe de la Présentation au Temple du Seigneur le 2 février.
Suscepimus, Deus, misericordiam tuam in medio templi tui. Secundum nomen tuum, Domine (Deus), ita et laus tua in fines terrae.
Nous avons reçu, Dieu, votre miséricorde, au milieu de votre temple. Comme votre nom, Seigneur (Dieu), telle aussi votre louange jusqu’aux confins de la terre.
72,1 Voici que vient le Seigneur - Introït
, Introït - Ecce advenit
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Pièce chantée pour la fête de l'Épiphanie et la Présentation du Seigneur.
Ecce advenit dominator Dominus et regnum in manu eius et potestas et imperium.
Voici que vient le Seigneur souverain, et la royauté est en sa main, et la puissance, et le plein pouvoir.
100,2 Sur un trône élevé - Introït
, Introït - In excelso throno
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
In excelso throno vidi sedere virum, quem adorat multitudo angelorum, psallentes in unum : ecce cuius imperium permanet in aeternum.
Sur un trône élevé, je vis siéger un homme, qu'une multitude d'Anges adore, en psalmodiant d'une même voix : voici celui dont le règne demeure pour l'éternité.
37,39s.28 ; 78,1 Le salut du peuple - Introït
, Introït - Salus populi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Salus populi ego sum, dicit Dominus: de quacumque tribulatione clamaverint ad me, exaudiam eos: et ero illorum Dominus in perpetuum.
Le salut de mon peuple, c’est moi, dit le Seigneur: de quelque détresse qu’ils crient vers moi, je les exaucerai: et je serai leur Seigneur à jamais.
18,14ss Le Seigneur tonna du ciel - Offertoire
, Offertoire - Intonuit Dominus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Intonuit de caelo Dominus, et Altissimus dedit vocem suam : et apparuerunt fontes aquarum.
Le Seigneur a tonné du haut du ciel, le Très-Haut a fait retentir sa voix : et des sources d’eau ont apparu.
32,11 Réjouissez-vous - Offertoire
, Offertoire - Lætamini
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Laetamini in Domino, et exsultate iusti : et gloriamini omnes recti corde.
Réjouissez-vous dans le Seigneur, et tressaillez d’allégresse, vous, les justes ; et entrez dans sa gloire, vous tous dont le cœur est droit.
22,7ss tous ceux qui me voient se moquent de moi PARALITURGIE Adaptation au chemin de croix Dans la volonté contemporaine de refonder les dévotions populaires dans leurs substrats bibliques, ces v. sont parfois proposés durant le chemin de croix, comme pour revivre l'expérience des narrateurs de la passion de Jésus qui la mirent très vite en lien avec le Ps 22. →Le Ps 22(21) dans le récit de la passion. En voici un exemple spectaculaire tiré du →chemin de croix du peintre Jerzy Duda-Gracz (1941–2004) à Jasna Gora.
Jerzy
(1941-2004), Septième station : Jésus tombe pour la deuxième fois, (huile sur toile, 2000-2001), 185 x 117 cmChemin de croix ex voto de l'artiste, narthex, galerie haute du sanctuaire de l'icône miraculeuse, Sanctuaire de Czestochowa, Jasna Gora (Pologne)
© D.R. Jerzy Duda-Gracz Estate→ ; photo : J.-M. N., Ps 22,7-9 ; 2Co 5,21
Jésus tombe pour la deuxième fois : là il traverse un pèlerinage, il traverse la fête des Rameaux, la fête des palmes, avec ces grandes perches et ces fleurs. Et dans cette fête des Rameaux, le Christ est voilé de noir. Cette fête qui rappelle la joie et l’entrée triomphale du Christ à Jérusalem, est la préfiguration de la Passion. Mais lorsque le Christ passe dans la réalité de nos vies, on peut s’en détourner. Ce n’est pas forcément être dans le mal ou dans le bien ; mais c’est une réalité, on peut s’en détourner. Regardez ce couple : ils n’en peuvent plus de regarder, et c’est compréhensible. Et cet enfant qui prie et qui ferme les yeux, cette femme à la croisée des branches de la croix, qui ferme les yeux aussi. Cette vieille femme qui porte un linge et une sorte de cruche ; une autre femme qui porte un sac avec des branches qui bourgeonnent ; et ceux qui regardent, qui évitent de voir et qui recherchent un passage… Mais il y a quelqu’un qui a peut-être compris ce qui se passe : entre les vieilles femmes, la femme avec son cabas, la jeune fille, il y a le chien. Le chien est bien sûr le signe de la fidélité, il est de ce dialogue miséricordieux, avec son seul regard. Le Christ est tombé mais il combat encore, il est encore en vie, alors que nous, nous l’avons déjà enterré et couvert de violettes. Seul le chien regarde vraiment, seul il semble comprendre que Dieu est vivant ! (J.-M. N.)
22,15s PARALITURGIE Adaptation au chemin de croix Dans la volonté contemporaine de refonder les dévotions populaires dans leurs substrats bibliques, ces v. sont parfois proposés durant le chemin de croix, comme pour revivre l'expérience des narrateurs de la passion de Jésus qui la mirent très vite en lien avec le Ps 22. →Le Ps 22(21) dans le récit de la passion. En voici un exemple spectaculaire tiré du →chemin de croix du peintre Jerzy Duda-Gracz (1941–2004) à Jasna Gora.
Jerzy
(1941-2004), 9 — Jésus tombe pour la troisième fois, (huile sur toile, 2000-2001), 185 x 117 cmChemin de croix ex voto de l'artiste, narthex, galerie haute du sanctuaire de l'icône miraculeuse, Sanctuaire de Czestochowa, Jasna Gora (Pologne)
© D.R. Jerzy Duda-Gracz Estate→; photo : J.-M. N., Ps 22,15-16
Jésus tombe pour la troisième fois : c’est la plus douloureuse, je trouve. Car là, il tombe pour qui ? Il traverse quelle station de l’état de vie des êtres ? C’est la station où les femmes précédentes pleuraient sur leurs enfants. Mais voici cette fois que c’est le Christ qui pleure sur les enfants. Ces enfants massacrés, abandonnés, ces enfants tués lors de la guerre. Certains qui jouent innocemment sur une balançoire, la jeune fillette en haut à gauche, ceux qui jouent avec une autre balançoire constituée d’un simple pneu, ceux qui montent sur l’échelle, ces enfants qui jouent dans un parc, mais qui ont vécu la mort, ces enfants qui n’ont jamais grandi. La Passion du Christ passe aussi en eux, et le Christ passe en eux. Ici, c’est la mort des Innocents, car la Passion achève aussi cette dimension du Salut : Jésus va au cœur de l’enfer ; mais l’enfer n’est pas sous terre, l’enfer, ce sont les hommes qui le produisent. (J.-M. N.)
119,22ss Enlève de moi l'opprobre - Communion
, Communion - Aufer a me
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
35,26 Qu'ils soient confondus - Communion
, Communion - Erubescant et revereantur
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Pièce de communion chantée le Lundi Saint.
143,9s ; 18,48s Délivre-moi de mes ennemis Seigneur
, Graduel - Eripe me Domine
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Offertoire - Eripe me
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
30,2s Je t'exalte Seigneur
, Graduel - Exaltabo te
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Pièce chantée le Mercredi de la Passion.
, Offertoire - Exaltabo te
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
71,2 Digne est l'Agneau - Introït
, Introït - Dignus est Agnus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Introït chanté pour la fête du Christ-Roi.
27,7.9.1 Écoute Seigneur - Introït
, Introït - Exaudi Domine
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
18,48s.2s Mon libérateur - Introït
, Introït - Liberator meus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Pièce chantée pour le Mercredi de la Passion.
84,10s.2s Notre protecteur
, Introït - Protector noster
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Graduel - Protector noster
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
116,1–19 Oh Seigneur, car je suis ton serviteur
Andreas
(1611-1675), O Domine, quia ego servus tuus sum, 1649Manfred Cordes (dir.), Weser-Renaissance Bremen
© Licence YouTube Standard→, Ga 1,1-24 Ps 116,1–19 Rm 1,1 Ph 1,1
Ce motet, composé sur les paroles du Psaume 116, se trouve éclairé par les paroles de Saint Paul: « Si je plaisais encore aux hommes je ne serais pas serviteur du Christ » (Ga 1,10). Il est composé par Andreas Hammerschmidt, l'un des compositeurs de musique sacrée les plus populaires dans le Saint-Empire du 17e siècle.
O Domine, quia ego servus tuus; ego servus tuus, et filius ancillae tuae. Dirupisti vincula mea, tibi sacrificabo hostiam laudis, et nomen Domini invocabo.
Vota mea Domino reddam in conspectu omnis populi ejus; in atriis domus Domini, in medio tui, Jerusalem.
Oh Seigneur, car je suis ton serviteur; je suis ton serviteur et le fils de ta servante. Tu as rompu mes liens, je te sacrifierai une offrande de louange, et j'invoquerai le nom du Seigneur.
Je rendrai mes louanges au Seigneur devant tout son peuple, à l'entrée de la maison du Seigneur, au milieu de toi, Jérusalem.
27,4 J'ai demandé une chose au Seigneur
, Graduel - Unam petii
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Communion - Unam petii
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Pièce de communion chantée le cinquième Dimanche après la Pentecôte.
55,17–23.2s Je crierai vers Dieu
, Introït - Dum clamarem
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
« Ce chant d’entrée est composé de trois phrases musicales. Du point de vue de la modalité, on est en présence d’un 3ème mode assez bien caractérisé, reconnaissable dès l’intonation qui procède de la tonique Mi à la dominante Do en un beau jaillissement. La mélodie s’élève avec vivacité vers les hauteurs, c’est le sens de la prière qui monte au ciel. Le mot Dómine, Seigneur, est ainsi placé de façon expressive au sommet de cette première phrase. D’où on va redescendre, une fois la prière exaucée. Ce premier membre de phrase s’achève sur une cadence en Sol, donc par emprunt au 8ème mode qui est le mode de la plénitude et de la certitude. « J’ai crié vers le Seigneur et il m’a exaucé ». On peut noter la tristropha de exáudivit, cette note sur le Do qui donne de la complaisance à la certitude de l’âme. La mention des ennemis, dans le deuxième membre, avec retenue sur la cadence de Mi, est traitée de façon beaucoup plus sobre, en contraste avec la richesse mélodique du début. Leur action perverse est désignée comme en passant, par l’âme qui ne s’attarde pas à contempler le mal, la geste divine est autrement intéressante, et le début de la deuxième phrase le montre bien.
Humiliávit : il s’agit bien encore des ennemis, mais surtout de la façon dont le Seigneur s’est occupé d’eux. Il les a humiliés. Ce verbe qui exprime l’abaissement des orgueilleux est au contraire exprimé par une élévation mélodique très suggestive (Ré). La chute des grands est souvent spectaculaire et fait beaucoup de bruit. Elle révèle finalement la vraie grandeur qui est celle de Dieu, une grandeur qui ne connaît pas d’éclipse. Et la suite du chant exprime cela de façon magnifique. « Qui est ante saécula ». Les deux distropha de est et de saécula, très fermes, sur la dominante Do, se répondent. L’être de Dieu est éternel.
Et manet, là aussi, c'est tout plein d'une grande fermeté. Il y a de la noblesse sur ce verbe qui est placé tout entier sur le Do et le Ré, au sommet. La force de Dieu, l’être de Dieu est inaccessible aux menées des hommes qui se débattent et se battent sur la terre. Et pourtant Dieu n’est pas insensible à ses enfants, la troisième phrase va le souligner de façon délicieuse.
Tout s'allège L’atmosphère de cette troisième phrase est très différente de ce qui a précédé et c’est une des grâces du 3ème mode de pouvoir jouer ainsi sur les contrastes. Ici la mélodie s’allège. On reprend un bon mouvement. Le texte est une invitation à la confiance Le psalmiste, et à travers lui l’Église, invite l’âme à jeter son fardeau, son souci, dans le Seigneur, ce Seigneur dont on vient d’affirmer l’immuabilité, la solidité, la permanence dans le bien. Alors la fluidité des neumes traduit bien cette insouciance qui résulte de l’acte d’abandon envers lui. Il faut donner ce jacta cogitátum tuum in Dómino en accelerando, notamment sur le court passage syllabique de cogitátum tuum. Le motif mélodique sur Dómino ressemble à un bel épanouissement floral, très léger, très gracieux, très aérien. Enfin, sur et ipse te enútriet, la mélodie redevient puissante, large et ferme. C’est l’assurance du secours divin, ce secours qui prend les traits pourtant d’une mère qui nourrit son petit. Mais qu’y-a-t-il de plus fort que la tendresse du sein maternel pour le petit d’homme qui se laisse ainsi porter par l’amour ? Le texte et la mélodie s’harmonisent admirablement pour manifester qu’envers l’âme qui s’abandonne, Dieu est à la fois père et mère. Dans ce passage deux mots sont soulignés : le petit te qui prend une importance étonnante. C’est l’objet de la tendresse divine (même développement dans le graduel Jacta). Et le second mot c’est enútriet, c’est à dire le verbe qui exprime l’action divine. Il y a beaucoup de complaisance sur ce mot. Les ennemis évoqués au début de la pièce sont loin, ils sont oubliés. Il n’y a plus que l’âme et son Dieu, et cet échange amoureux de confiance et de tendresse dans lequel le chant se termine. C’est une fois encore plus que du grand art, c’est la prière de l’Église tout simplement ».
Rédigé par un moine de Triors le 01 août 2015 dans Culture
54,6s.3 Voici que Dieu est mon secours
, Introït - Ecce Deus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
« Le mode utilisé pour ce chant d’entrée est le 5ème mode, laetus, un mode plutôt majeur, un mode clair, qui sonne joyeusement. L’introït commence d’emblée sur la dominante du mode, le Do, donc à l’aigu, ce qui souligne l’impression de cri de foi, même si bien sûr le chant grégorien ne nous invite jamais à crier, il est toujours retenu. Ici les deux accents de Ecce et de Deus sont au levé, c'est-à-dire qu’ils doivent être pris en douceur et légèrement arrondis. L’intonation part de la dominante et arrive à la tonique Fa. On pourrait dire que c’est le monde à l’envers, car c’est plutôt l’inverse normalement. Mais là on mentionne Dieu d’emblée, et Dieu qui se penche sur moi pour m’aider, alors la mélodie suit, exprime ce chemin de miséricorde. Le Si de adjuvat me introduit cette nuance d’amour délicat. Et la cadence de adjuvat me avec ses épisèmes établit ce premier membre de la pièce dans une grande certitude, une grande sérénité. Ce qui ne veut pas dire lenteur. Au contraire ce début est joyeux, fier, léger, donc dans un beau mouvement.
Dominus. Le mot est traité en douceur, avec beaucoup d’amour, là aussi, quoique différemment entre la Dominante et la tonique. Susceptor est aussi très expressif. J’ai déjà souligné que le mot protector est souvent revêtu musicalement de porrectus, ces neumes facilement reconnaissables à leur forme de petit drapeau, descendant puis remontant qui donnent l’impression d’un bercement très expressif. Vous pouvez voir l’introït Factus es (8ème dimanche ordinaire ou 2ème dimanche après la Pentecôte) sur protector meus, ou l’introït Esto mihi (6ème dimanche ordinaire ou dimanche de la Quinquagésime) sur protectorem. Ici c’est susceptor, mon refuge, mais c’est la même idée et le même usage neumatique du porrectus, legato, fluidité et bercement, sécurité merveilleuse. L’âme ainsi assurée se sent libre et sur animae meae, la mélodie évoque, par son caractère aérien, la liberté, de dégagement de ses soucis qui lui vient de sa confiance en Dieu. C’est admirable comme expression, vraiment. La finale de meae doit être un peu élargie, avec une belle cadence en la du mode de ré, mode de la paix.
La deuxième phrase commence sur le même degré avec le même intervalle, ce qui souligne qu’on est dans la même atmosphère. Pourtant il ne s’agit plus du lien entre l’âme et son Dieu, mais de la relation tripartite entre Dieu, l’âme et les ennemis qui sont les ennemis de l’un et de l’autre. La cadence en Si qui conclut cette brève deuxième phrase la laisse comme inachevée. Il y a là quelque chose de plus dur. C’est la première partie, le premier acte de l’opération divine qui soulage l’âme fidèle en détournant les maux, avant de les anéantir, ce qui est le deuxième acte qui fait l’objet du début de la troisième phrase : in veritate tua disperde illos. Dans le langage biblique, le mot latin veritas traduit plutôt l’idée de fidélité, la vérité de Dieu. C’est cette permanence de l’être qui fait que Dieu est véridique, c’est-à-dire fidèle à ses engagements. Dieu, parce qu’Il est, sera ce qu’Il a été. Il y a de la légèreté dans le traitement mélodique de cette expression. In veritate tua, c’est donc plein de confiance. Le verbe disperde qui traduit l’action divine (perdre en dispersant) est lui aussi léger. On voit la facilité de Dieu à réduire ses ennemis. Et la finale est merveilleuse : protector meus Domine : tous les possessifs (ici meus) sont développés mais ce dernier l’est spécialement. Le retour du Sib est celui du climat d’amour de la première phrase. Protector meus Domine : chaque mot est mis en valeur. La mélodie monte du Fa au Do, le contraire des ennemis. Dieu est vainqueur, et ce Dieu est mien, c’est mon Dieu, c’est mon protecteur, mon bouclier invincible. Et le possessif meus entre protector, l’attribut, et Domine, le sujet, fait le lien. Il part du Do sur lequel s’est achevé protector et il achemine la mélodie sur le Fa terminal de Domine en donnant à tout ce membre l’allure d’une belle courbe du Fa du début jusqu’au Fa de la fin, en passant par la dominante Do et l’atteinte du Ré sur meus. Les principaux Ré de la pièce (il y en a 3) sont tous placés sur les possessifs animae meae, inimicis meis, protector meus : l’âme est au cœur du combat spirituel. Le dernier mot est à son Dieu protecteur. En résumé, un beau chant de confiance avec son cri initial et son acte d’amour terminal ».
Rédigé par un moine le 16 juillet 2016 dans Culture, L'Homme Nouveau
31,16 Suppliez le visage de Dieu
Dieterich
(1637/1639-1707), Membra Jesu Nostri, BuxWV 75 - 7. Ad faciem, 1680The Monteverdi Choir, English Baroque Soloists, John Eliot Gardiner
Membra Jesu nostri (titre complet Membra Jesu nostri patientis sanctissima humissima totius cordis devotione decantata, en français « les membres de notre Jésus »), BuxWV 75, est un cycle de sept cantates composées par Dietrich Buxtehude, sur des poésies spirituelles du Moyen Âge, déplorant l'une après l'autre les plaies du Christ.
VII. Ad faciem
1. Sonata
2. Concerto (SSATB)) Illustra faciem tuam super servum tuum, salvum me fac in misericordia tua
3. Aria (ATB) Salve, caput cruentatum, totum spinis coronatum, conquassatum, vulneratum, arundine verberatum facie sputis illita
4. Aria (Alto) Dum me mori est necesse, noli mihi tunc deesse, intremenda mortis hora veni, Jesu, absque mora, tuere me et libera me
5. Aria (SSATB chorus) Cum me jubes emigrare, Jesu chare, tunc appare, o amator amplectende, temet ipsum tunc ostende in cruce salutifera.
6. Concerto (SSATB) Amen
90,1s Seigneur notre refuge
Introït - Domine refugium
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Alleluia - Domine refugium
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Graduel - Domine refugium
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
108,2 Mon cœur est prêt
, Alleluia - Paratum cor meum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Cet alléluia est chanté pour la fête du Cœur immaculé de Marie et pour Sainte Thérèse d'Avila.
Paratum cor meum, Deus, paratum cor meum : cantabo, et psallam tibi, gloria mea.
Mon cœur est prêt, Dieu, mon cœur est prêt : je chanterai et psalmodierai pour vous, ma gloire.
17,6.8.1 Je t'ai invoqué Communion et Introït
, Communion - Ego clamavi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Introït — Ego clamavi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
29,10s Le Seigneur siégera - Communion
, Communion - Sedebit Dominus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Communion chantée pour la fête du Christ-Roi.
103,20.1 Bénissez le Seigneur -Graduel
, Graduel - Benedicite Dominum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Graduel chanté pour la fête des saints archanges le 29 septembre.
72,8.11 Il dominera de la mer à la mer - Graduel
, Graduel - Dominabitur
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Graduel chanté pour la solennité du Christ-Roi.
113,5ss Qui est comme le Seigneur - Graduel
, Graduel - Quis sicut Dominus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
79,10ss.1 Que vienne devant toi - Introït
, Introït - Intret in conspectu
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Introït chanté le samedi des quatre temps de carême.
124,7 Notre âme s'est échapée comme un oiseau
Bernard-Aymable
(1707-1789), Récit de haute-contre Anima nostra sicut passerChœur Adjutorium nostrum, Ensemble Antiphona, Rolandas Muleika (dir.)
Bernard-Aymable Dupuy est un compositeur de musique classique français, maître de musique de l'église Saint-Sernin de Toulouse.
20,1–10 Que le Seigneur t'exauce au jour de la détresse
Daniel
(1581-1626), Opus novum: No. 4, Der Herr erhöre dich in der NotWeser-Renaissance Bremen, Manfred Cordes (dir.)
Selichius est né à Wittenberg en 1581 et a succédé à Michael Praetorius comme maître de chapelle de la cour à Wolfenbüttel en 1621-26. Son œuvre comprend les vingt-quatre concertos sacrés de son Opus Novum, les Concertos allemands et les Psaumes de David.
53,1–7 L'insensé dit dans son cœur
Johann Sebastian
(1685-1750), Es spricht der Unweisen Mund wohl, BWV 308Augsburger Domsingknaben, Reinhard Kammler
56,1–14 Psaume Hongrois
Zoltán
(1882-1967), Psalmus Hungaricus, Op. 13, 1923Kertész, London Symphony Orchestra; Kosma, Brighton Festival Chorus
Ce Psaume Hongrois pour ténor, choeur et orchestre, est composé à partir du Psaume 56, en ajoutant des mentions de chagrin et de lamentation inspirées du poète Mihály Vég (16e s.), en écho à l'histoire du peuple hongrois.
58,1–12 Est-ce bien la justice?
Heinrich
(1585-1672), Wie nun, ihr Herren (), SWV 155Vocaal ensemble Voce Umana
62,3 Le Seigneur est ma force Introït
, Introït - Dominus fortitudo
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
82,1 Nous avons reçu, Dieu, ta miséricorde Introït
, Introït - Suscepimus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
121,1–8 ; 123,1–4 J'ai levé les yeux
Giovanni Pierluigi da
(1525-1594), Ad Te Levavi Oculos Meos, 1587Sistine Chapel Choir, Massimo Palombella (dir.)
Giovanni Pierluigi da Palestrina est un compositeur italien de la Renaissance, reconnu et immensément admiré par tous les musiciens de son temps. Il a su appliquer les réformes du Concile de Trente à la musique sacrée voulant obtenir l'intelligibilité des paroles et une musique en rapport intime avec le texte sacré.
125,1–5 Ceux qui se confient dans le Seigneur
Kryštof
(1564-1621), Qui confidunt in DominoPražští madrigalisté, Miroslav Venhoda (dir.)
Kryštof Harant a représenté l'école polyphonique franco-flamande en Bohême. Il composa ce motet à six voix sur les paroles mêmes du Psaume 125.
127,1–5 Il en donne à son bien-aimé pendant son sommeil
Antonio
(1678–1741), Nisi Dominus RV 608 - Cum dederit, 1716Collegium 1704, Vaclav Luks (dir.), Lucile Richardot (mezzo)
Le Nisi Dominus est une cantate sacrée composée par Antonio Vivaldi. C'est une psalmodie sur fond d'instruments à cordes du psaume 127.
Le Cum dederit, très connu, est le quatrième mouvement de la cantate.
129,1–8 Ils m'ont assez opprimé
Lili
(1893-1918), Psalm CXXIX « Ils m’ont assez opprimé », 1916Orchestre Lamoureux, Igor Markevitch, Pierre Mollet
Le Psaume 129 est une œuvre pour baryton et orchestre composée par Lili Boulanger en 1916. La partition est écrite pour baryton et orchestre, mais sa sœur Nadia Boulanger en écrit une adaptation pour chœur et orchestre, qui est la plus utilisée pour interpréter cette œuvre.
131,1ss Seigneur, mon cœur ne s'est pas exalté
Orlando di
(1535-1594), Domine Non Est Exaltatum Cor Meum LV 541, 1575Joan Izquierdo
Roland de Lassus, né à Mons en 1532 et mort à Munich le 14 juin 1594, est un compositeur de l'école franco-flamande, vers la fin de la Renaissance.
134,1ss Benedicite
Ralph Vaughan
(1872-1958), Benedicite, 1929David Hill (dir.), Bournemouth Symphony Orchestra, Waynflete Singers, Choir Of Winchester Cathedral
Vaughan
, compositeur britannique, possède un catalogue d'œuvres particulièrement vaste, comprenant des œuvres chorales, des symphonies, des concerts et des opéras. Son imagination visionnaire, combinée à une flexibilité dans l'écriture pour tous les niveaux de la musique, a permis à sa musique de rester populaire de nos jours encore.Publié en 1929, Benedicite est un cadre substantiel de textes du «Cantique des trois saints enfants » (partie des apocryphes) et du texte de l'hymne de John
«Hark, my soul, how everything». Des passages énergiques et dynamiques avec d'épaisses textures chorales-orchestrales se juxtaposent à des passages plus solennels, souvent avec un doux solo de soprano flottant sur la texture chorale.136,1–26 Célebrez le Seigneur - Alleluia de Pâques
, Alleluia - Confitemini Domino
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
Alleluia de la nuit de Pâques.
102,16s Les nations craindront le nom du Seigneur - Alleluia et Graduel
, Alleluia - Timebunt gentes
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Graduel — Timebunt gentes
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
102,21 Bénissez le Seigneur Alleluia
, Alleluia Benedicite Domino
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
102,2 Seigneur écoute ma prière - Alleluia
, Alleluia - Domine exaudi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
« Cet Alleluia est une prière de demande assez véhémente puisqu'elle parle de cri, mais qui peut s'appliquer à toutes sortes de situations, individuelles ou sociales. Le 7e mode colore cette supplication d'une nuance qui, habillant un autre texte, pourrait être qualifiée d'enthousiaste, mais qu'ici on nommerait plutôt ardente ou intense. Car il s'agit bien d'une demande pressante, non d'un élan joyeux de remise entre les mains du Seigneur. Le jubilus de l'alléluia est assez bref et le verset se compose de deux phrases mélodiques bien équilibrées, correspondant exactement aux deux demandes formulées par les deux verbes : exaudiet veniat. Cette pièce traduit, par son texte et par sa mélodie, la beauté de la prière chrétienne qui ne se lasse pas d'aller vers Dieu. »
Rédigé par un moine de Triors le 08 septembre 2018 dans L'Homme nouveau→.
47,2 Tous les peuples acclamez Dieu - Alleluia
, Alleluia - Omnes gentes
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
« Les mélodies grégoriennes, et les alléluias notamment, nous orientent vers une dimension plus contemplative de la louange. Alors que le texte du verset, emprunté au psaume 47, appelle de façon très expressive tous les peuples à applaudir Dieu et même à bondir de joie en sa présence, la mélodie douce et pénétrante de cet alléluia dirige avec réalisme notre regard vers le Ciel, vers l'accomplissement ultime, plénier et tout paisible de la destinée des nations à louer Dieu. Ici-bas, en effet, nous savons trop que les nations ont d'autres occupations, souvent moins innocentes, que celle de s'unir pour danser de joie devant le Seigneur.
L'atmosphère de la pièce est très calme, très paisible, elle exprime à merveille la louange au Ciel. »
Rédigé par un moine de Triors dans l'Homme nouveau→.
111,10 Le commencement de la sagesse est de craindre Dieu
Nicola
(1677-1745), Initium sapientiae timor Domini, 1706Jakub Józef Orliński
Cette antienne était couramment chantée pour les vêpres dans les églises napolitaines.
89,25 Ma vérité et ma miséricorde
Giovanni Pierluigi
(1525-1594), Veritas Mea Et Misericordia Mea, 1593Massimo Palombella (dir.), Sistine Chapel Choir
Ce motet à cinq voix est un chant d'offertoire pour la Messe du commun des saints.
Le texte est issu du Psaume 89. Il réconforte le juste resté fidèle à la vérité, comme l'exhorte Saint Jean dans cette troisième lettre: « Nous devons soutenir de tels hommes, afin d'être coopérateurs de la vérité » (3Jn 1,8).
Véritas mea et misericórdia mea cum ipso : et in nómine meo exaltábitur cornu eius.
Ma vérité et ma miséricorde seront avec lui et par mon nom s’élèvera sa puissance.
51,19 Le sacrifice qui plaît à Dieu
Marc-Antoine
(1643-1704), Miserere H.193: V. Sacrificium Deo spiritus contribulatus, 1680Sébastien Daucé (dir.), Ensemble Correspondances
Marc-Antoine Charpentier se joint ici au psalmiste pour offrir par sa composition elle-même le sacrifice de louange qui plaît à Dieu. En effet le but de toute son œuvre musicale était de « … guérir, purifier, sanctifier les oreilles des hommes pour qu'ils puissent entendre le concert sacré des anges ! ».
140,1s De l'homme méchant - Antienne
, Antienne - A viro iniquo
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux Vêpres du Jeudi.
144,1 Béni soit le Seigneur - Antienne
, Antienne - Benedictus Dominus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux Vêpres du vendredi.
116,10 J'ai confiance - Antienne
, Antienne - Credidi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux Vêpres du lundi.
130,1s Des profondeurs je crie vers toi
, Alleluia - De Profundis
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Offertoire - De profundis
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Antienne - De profundis
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux Vêpres du mardi.
141,1 Seigneur je t'appelle
, Antienne - Domine clamavi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux Vêpres du jeudi.
139,1 Seigneur tu m'as scruté
, Antienne - Domine probasti me
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux Vêpres du jeudi.
128,1–6 Mets ta joie dans la femme de ta jeunesse
Marc-Antoine
(1643-1704), Beati omnes qui timent Dominum, H. 178, 1680Ensemble Correspondances, Sébastien Daucé (dir.)
Marc-Antoine Charpentier composa vers 1680 ce motet pour 3 voix, 2 dessus instrumentaux, et basse continue. Ce psaume présente la femme comme une bénédiction de Dieu pour l'homme juste qui craint le Seigneur.
119,19 Les deux étrangers
126,5s Qui sème dans les larmes
Franz
(1811-1886), Qui Seminant in Lacrimis S. 63, 1884Hungarian Youth Ensemble Choir
Ce motet pour cinq voix de Franz Liszt pour chœur mixte et orgue déploie le contraste entre la gravité des larmes du semeur et l'harmonie lumineuse de la joie de celui qui récolte.
126,5s Heureux ceux qui s'affligent
Johannes
(1833-1897), Ein Deutsches Requiem « Selig sind, die da Leid tragen » op.45, 1865Patrick Dupré Quigley (dir.), Seraphic Fire
« Un Requiem allemand, sur des textes de l'Écriture sainte, pour solistes, chœur et orchestre (avec orgue ad libitum) » – est une œuvre sacrée (mais pas liturgique) en sept parties (ou mouvements) composée par Johannes Brahms et achevée en 1868. Elle dure de 70 à 80 minutes, ce qui en fait la plus longue composition de Brahms. Les deux solistes n'interviennent qu'exceptionnellement, le baryton pour faire entendre l'appel angoissé de l'homme face à son destin, la soprano pour annoncer le caractère maternel des consolations futures. L'orchestre reste toujours d'une clarté exemplaire, même lorsqu'il passe au second plan. La conclusion résume la promesse du sermon sur la montagne. Les épisodes centraux du sixième morceau pourraient être considérés comme une version protestante du Dies iræ. L'œuvre, de conception humaniste, que l'auteur aurait désiré rendre œcuménique, lui assura la célébrité.
Selig sind, die da Leid tragen, denn sie sollen getröstet werden. Mt 5,4
Die mit Tränen säen, werden mit Freuden ernten. Sie gehen hin und weinen und tragen edlen Samen, und kommen mit Freuden und bringen ihre Garben. Ps 126,5–6
119,19s Bonté et légalisme
133,1 Qu'il est bon - Antienne
, Antienne - Ecce quam bonum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux vêpres du jeudi.
132,1 Souviens Seigneur de David - Antienne
, Antienne - Et omnis
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux vêpres du mercredi.
137,3 Chantez-nous un cantique - Antienne
, Antienne - Hymnus cantate
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux vêpres du mercredi.
138,1 En présence des anges - Antienne
, Antienne - In conspectu
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux vêpres du mercredi.
116,2 Il a incliné vers moi - Antienne
, Antienne - Inclinavit
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux vêpres du lundi.
121,1s Lève les yeux Jérusalem - Antienne
, Antienne - Leva Jerusalem
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée au Magnificat du lundi après le premier Dimanche de l'Avent.
115,18 Mais nous qui vivons nous bénissons - Antienne
, Antienne - Nos qui vivimus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux vêpres du lundi dans l'Office bénédictin.
135,6 Tout ce que veut le Seigneur - Antienne
, Antienne - Omnia quæcumque
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux vêpres du mercredi.
142,6 Tu es ma part - Antienne
, Antienne - Portio mea Domine
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux vêpres du vendredi dan l'Office bénédictin.
136,1 Car éternel est son amour - Antienne
, Antienne - Quoniam in æternum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux vêpres du mercredi dans l'Office bénédictin.
129,1 Souvent ils m'ont opprimé - Antienne
, Antienne - Sæpe expugnaverunt me
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux vêpres du lundi dans l'Office bénédictin.
131,3 Israël met son espoir dans le Seigneur - Antienne
, Antienne - Speret Israel
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux vêpres du mardi dans l'Office bénédictin.
51,9 Ton vêtement, blanc comme la neige - Antienne
, Antienne - Vestimentum tuum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée pour la solennité de l'Immaculée Conception le 8 décembre.
Ton vêtement est blanc comme la neige, et ton visage comme le soleil.
45,17s Tu les établiras princes - Répons
, Répons - Constitues eos
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Répons bref chanté à l'office de sexte du commun des Apôtres.
41,12 À ceci j'ai connu - Répons
, Répons - In hoc cognovi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Répons chanté à l'office de tierce le jour de la solennité de l'Immaculée Conception le 8 décembre.
45,3 La grâce est répandue sur tes lèvres - Alleluia
, Alleluia - Diffusa est
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Alleluia chanté pour le commun de la Bienheureuse Vierge Marie.
La grâce est répandue sur vos lèvres: c’est pourquoi Dieu vous a bénie pour l’éternité.
37,39 De quelque détresse - Alleluia
, Alleluia - De quacumque
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Alleluia chanté pour la fête de Saint Joseph travailleur, le 1er mai.
De quacumque tribulatione clamaverint ad me, exaudiam eos, et ero protector eorum semper.
De quelque détresse qu’ils crient vers moi, je les exaucerai : et je serai leur protecteur, toujours.
31,25 Ayez courage - Alleluia
Traditionnel, Alleluia - Viriliter agite
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
141,8s Vers toi Seigneur - Antienne
, Antienne - Ad te Domine
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux laudes le dernier vendredi de l'Avent.
90,13 Reviens Seigneur - Antienne
, Antienne - Convertere Domine
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux laudes le dernier jeudi de l'Avent.
116,16s Tu as dénoué mes liens - Antienne
, Antienne - Dirupisti Domine
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée aux deuxièmes vêpres du commun des Apôtres.
67,3 Afin que sur terre - Antienne
, Antienne - Ut cognoscamus Domine
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée le dernier mardi de l'Avent.
19,6s Il exulte tel un époux - Communion
, Communion - Exultavit ut gigas
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne de communion chantée le quatrième Dimanche de l'Avent.
119,161s Des princes me persécutent - Communion
, Communion - Principes persecuti
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne de communion chantée pour la Messe de la fête de Sainte Lucie.
70,6.3 Toi mon secours - Graduel
, Graduel - Adjutor meus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Graduel chanté durant le temps de Carême.
57,2.4 Prends pitié de moi - Graduel
, Graduel - Miserere mei Deus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Graduel chanté le Mercredi des cendres.
17,15.1 Moi, dans la justice - Introït
, Introït - Ego autem cum justitia
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Introït chanté durant le temps de Carême.
85,2 Réjouissez-vous dans le Seigneur - Introït
, Introït - Gaudete
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Introït chanté le troisième Dimanche de l'Avent.
38,22s.2 Ne m'abandonne pas Seigneur - Introït
, Introït - Ne derelinquas me
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Introït chanté pendant le temps du Carême.
45,15ss Des vierges sont amenées au roi - Offertoire
, Offertoire - Offerentur regi virgines
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Offertoire chanté pour l'Assomption et la Nativité de la Bienheureuse Vierge Marie, ainsi que pour les saintes vierges Lucie, Agathe, Agnès et Cécile.
78,45.48 ; 105,30 Les plaies d'Égypte: les grenouilles et la mort des troupeaux
Georg Friederich
(1685-1759), Israel in Egypt HWV 54 - 4. Their land brought forth frogs, 1738Ashley Stafford (alto), English Baroque Soloists, John Eliot Gardiner (dir.)
© Licence YouTube Standard→, Ex 11,7s.8,1-25.9,1-7 Ps 78,45.48.105,30
Israël en Égypte est un oratorio en trois parties composé par Händel. Il décrit la sortie d'Égypte du peuple d'Israël, les plaies d'Égypte (les grenouilles, la peste, la grêle, les coups de sabre sur les bébés, etc.), la traversée de la Mer rouge (avec l'engloutissement des armées du Pharaon) et les hymnes de reconnaissance d'Israël envers son Dieu.
Cet extrait évoque la deuxième et la cinquième plaie: les grenouilles et la mort des troupeaux.
Their land brought forth frogs, yea, even in their king's chambers.
He gave their cattle over to the pestilence; blotches and blains broke forth on man and beast.
Leur pays produisit des grenouilles, oui, même dans les chambres de leur roi.
Il a livré leur bétail à la peste; des taches et des plaies éclataient sur l'homme et la bête.
78,49ss ; 105,36 ; 135,8 ; 136,10 La dixième plaie d'Égypte: la mort des premiers-nés.
Georg Friederich
(1685-1759), Israel in Egypt HWV 54 - 8. He smote all the first-born of Egypt, 1738Ashley Stafford (alto), English Baroque Soloists, John Eliot Gardiner (dir.)
© Licence YouTube Standard→, Ex 11,1-10.12,29-36 Sg 18,6-19 Ps 78,49ss.105,36.135,8.136,10
Israël en Égypte est un oratorio en trois parties composé par Händel. Il décrit la sortie d'Égypte du peuple d'Israël, les plaies d'Égypte (les grenouilles, la peste, la grêle, les coups de sabre sur les bébés, etc.), la traversée de la Mer rouge (avec l'engloutissement des armées du Pharaon) et les hymnes de reconnaissance d'Israël envers son Dieu.
Cet extrait évoque la dixième plaie: la mort des premiers-nés.
He smote all the first-born of Egypt, the chief of all their strength.
Il frappa tous les premiers-nés d'Égypte, le chef de toutes leurs forces.
114,1 Quand Israël sortit d'Égypte Alleluia
, Alleluia - In exitu Israel
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
« Le texte de cet alleluia reprend le tout premier verset du psaume. Le contexte pascal de ce chant nous plonge dans la propre histoire de nos âmes. Israël en effet, ce n'est pas seulement l'Église, c'est aussi chacun de nous. Notre âme est invitée par Dieu à sortir d'Égypte, à s'extraire du peuple barbare (barbare ici signifie bredouillant, c'est-à-dire un peuple étranger qui ne parle pas la même langue) pour émigrer vers la cité de Dieu.
Au niveau musical, il s'agit plutôt d'une pièce contemplative de rumination de la parole de Dieu. La mélodie répond parfaitement à cette nécessité contemplative. Le jubilus de l'alléluia est long, très beau, très progressif. Le verset se compose quant à lui de deux phrases mélodiques correspondant aux deux phrases du texte. Le 2ème mode rend très bien ce mélange de nostalgie et d'espérance qui caractérise la vie sur terre, dans l'attente de la béatitude éternelle ».
Commentaire rédigé par un moine le 29 septembre 2018 dans l'Homme Nouveau→.
106,37s Les sacrifices d'enfants
Philippe
(1948-), Cantique des trois enfants dans la fournaise : Mais nous qu'il couronne de Gloire, 2015Sofi Jeannin (dir.), Maîtrise de Radio France, Maîtrise du Centre de musique baroque de Versailles
© Licence YouTube Standard→, Dn 3,8-30 ; Mt 2,16ss ; 2R 16,3.3,27.16,3.21,6.23,10 ; Lv 18,21 ; Dt 12,31 ; 2Ch 28,3.33,6 ; Ps 106,37s ; Jr 7,31.19,5.32,35 ; Ez 16,20s.20,31
Philippe Hersant, compositeur français parmi les plus influents de notre époque, a créée « Le Cantique des 3 enfants dans la fournaise » sur le poème d'Antoine Godeau. C'est une oeuvre miroir de La Messe à 4 chœurs H.4 de Marc-Antoine Charpentier comportant des effectifs instrumentaux et vocaux identiques.
Les trois enfants ressortant en vie de la fournaise peuvent préfigurer l'appel à la résurrection pour les enfants passés dans la fournaise du martyr : les saints innocents et tous les enfants sacrifiés dans l'Ancien Testament.
116,15 Précieuse aux yeux du Seigneur la mort de ses saints - Alleluia
, Alleluia - Pretiosa
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Alléluia chanté au commun des martyrs hors du temps pascal.
130,7 Auprès du Seigneur abonde la miséricorde - Antienne
, Antienne - Apud Dominum misericordia
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
113,8 Que le Seigneur le place avec les princes - Antienne
, Antienne - Collocet eum Dominus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
139,17 Leur suprématie est pleinement affermie - Antienne
, Antienne - Confortatus est
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Confortatus est principatus eorum, et honorati sunt amici tui, Deus.
Leur suprématie est pleinement affermie, et vos amis sont pleinement en honneur, Dieu.
19,6 Le soleil, tel un époux s'est élancé - Antienne
, Antienne - Cum Ortus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
132,11 Du fruit de tes entrailles - Antienne
, Antienne - De fructu
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
112,4 Il s'est levé dans les ténèbres - Antienne
, Antienne - Exortum est
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
110,4 Le Seigneur l'a juré - Alleluia et Antienne
, Alleluia - Juravit Dominus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
, Antienne - Juravit Dominus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
111,9–21 Il a envoyé la rédemption - Antienne
, Antienne - Redemptionem
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
33,1 Réjouissez-vous, vous les justes - Communion
, Communion - Gaudete justi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Communion chantée pour le commun des apôtres.
27,12 Ne me livrez pas, Seigneur - Communion
, Communion - Ne tradideris
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
25,15s.1s Mes yeux sont constamment vers le Seigneur
, Introït - Oculi mei
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
« L’introït Oculi du troisième dimanche de Carême est emprunté au septième mode, mais il s’agit ici d’un septième mode recueilli qui n’a pas le flamboiement des grandes pièces. Même quand il s’élève mélodiquement, il garde une certaine réserve et douceur.
L’enseignement spirituel de cet introït est très riche pourtant : il nous parle de la prière assidue qui est élévation de l’âme vers Dieu (« mes yeux sont toujours tournés vers le Seigneur ») ; il nous décrit la confiance que suscite la considération de l’œuvre de Salut accomplie par le Christ (« car c’est Lui qui dégagera mes pieds du filet ») ; il évoque l’attitude fondamentale du chrétien vis-à-vis de ce Salut : l’humilité et la petitesse qui oblige Dieu à déployer sa puissance d’amour (« Regardez-moi, Seigneur, prenez pitié de moi, car je suis pauvre et isolé »)». (L'Homme Nouveau→)
70,2ss Dieu viens à mon aide - Introït et Offertoire
, Introït - Deus in adjutorium
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Offertoire - Domine ad advjuvandum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Offertoire chanté durant le temps de carême.
59,2 Délivre-moi - Alleluia et Offertoire
, Alleluia - Eripe me
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement live)
, Offertoire - Eripe me Deus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Offertoire chanté durant le temps de carême.
18,19s.2s Le Seigneur s'est fait mon appui - Introït et Offertoire
, Introït — Factus est
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Offertoire - Factus est
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Offertoire chanté pour la fête de saint Jean Bosco le 31 janvier.
90,14 Nous avons été comblés au matin de ta miséricorde Offertoire
, Offertoire - Repleti
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Offertoire chanté pour la fête de saint Matthias, le 14 mai.
65,2 À toi la louange - Alleluia
, Alleluia - Te decet hymnus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
« Le texte de notre alléluia justifie et le mot même alléluia et la composition mélodique qui est liée à ce mot dans l’art grégorien. En effet, le genre musical de l’alléluia, dans le répertoire grégorien a ceci de particulier qu’il met en valeur, dans ce qu’on appelle à juste titre un jubilus, la dernière syllabe du mot qui signifie Dieu (Ya, forme diminutive de Yahvé). Le sens du mot est déjà une invitation à la louange.
L’invitation à la louange contenue dans ce beau texte exigeait une mélodie qui soit à la hauteur : il ne convenait pas que l’honneur du à Dieu, proclamé bien haut par le psalmiste, soit rabaissé par une mélodie médiocre, sans expression. Cet alléluia splendide et sobre délivre un message essentiel, celui de la louange dans l’Église. C’est tout le message du chant grégorien et il résonne ici avec éloquence, légèreté, fermeté et intériorité ». Cité dans l'Homme Nouveau→
113,3 Du lever du soleil - Antienne
, Antienne - A solis ortu
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée pour l'Office de la fête du Saint Nom de Jésus, le Dimanche avant l'Épiphanie.
110,3 Engendré avant la lumière - Antienne
, Antienne - Ante luciferum genitus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne chantée à l'Office des Laudes de la solennité de l'Épiphanie du Seigneur.
139,13 Dans le sein de ma mère
Graduel - Priusquam
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Pièce chantée pour la fête de la Nativité de Saint Jean-Baptiste, le 24 juin.
Avant de te former dans le sein maternel, je t’ai connu: et avant que tu ne viennes au jour, je t’ai sanctifié.
62,12 Dieu parle d'une façon et d'une autre
Heinrich
(1585-1672), Mein Seel ist still in meinem Gott SWV 159, 1628Gregor Meyer (dir.), Vocalconsort Leipzig, Ensemble Noema Leipzig
Ce psaume 62 mis en musique par Heinrich Schütz sur une adaptation de Cornelius Becker reprend cette phrase du psalmiste « Dieu a dit une parole, j'ai entendu ces deux choses » (Ps 62,12) qui fait écho au verset du livre de Job : « Dieu parle d'une façon et d'une autre » (Jb 33,14).
104,26 Le Léviathan
Ralph Vaughan
(1872-1958), Symphony No. 7 "Sinfonia antartica": II. Scherzo. Moderato, 1952Vernon Handley (dir.), Royal Liverpool Philharmonic Choir and Orchestra
© Licence YouTube Standard→, Jb 40,25-41,26 Ps 104,26 Is 27,1
Ce deuxième mouvement de la Symphonie n°7, dite « Symphonie antartique » de Ralph Vaughan Williams, décrit musicalement l'apparition du Léviathan, ce monstre marin évoqué dans le livre des Psaumes, d'Isaïe et de Job : « Là se promènent les navires et le Léviathan que tu as formé pour s'y jouer » (Ps 104,26).
81,8 V— IUXTA HEBR.
Tu as crié dans la détresse et je t’ai délivré | je t’ai répondu caché dans le tonnerre | je t’ai éprouvé aux eaux de la contradiction. | TOUJOURS.
81,6 V— IUXTA HEBR.
81,4 V— IUXTA HEBR.
Sonnez du cor à la néoménie | au milieu du mois, au jour de notre solennité
81,3 V— IUXTA HEBR.
81,2 V— IUXTA HEBR.
81,13 V— IUXTA HEBR.
et je l’ai abandonné à la perversité de son cœur | et ils marcheront dans leurs propres conseils.
81,16 V— IUXTA HEBR.
81,15 V— IUXTA HEBR.
81,14 V— IUXTA HEBR.
84,3 V—IUXTA HEBR.
Mon âme soupire et languit après les parvis du Seigneur | mon cœur et ma chair loueront le Dieu vivant.
84,6 V—IUXTA HEBR.
Heureux l'homme dont la force est en toi | [tes] sentiers sont dans son coeur.
84,7 V—IUXTA HEBR.
84,8 V—IUXTA HEBR.
31,16 en tes mains FRANÇAIS BIBLIQUE
« La main de Dieu » peut aussi symboliser simplement la faculté divine de créer. Plus généralement héritées de la Bible par la langue courante, diverses locutions recourent à un élément du corps humain pour symboliser la manifestation de la puissance et de la volonté de Dieu, sa faculté de réagir et d'intervenir favorablement ou défavorablement dans les affaires humaines : on parle du bras, de la main, ou du doigt de Dieu.
Drapeau de la francophonie © Domaine public
75,9 dans la main du Seigneur FRANÇAIS BIBLIQUE
« La main de Dieu » peut aussi symboliser simplement la faculté divine de créer. Plus généralement héritées de la Bible par la langue courante, diverses locutions recourent à un élément du corps humain pour symboliser la manifestation de la puissance et de la volonté de Dieu, sa faculté de réagir et d'intervenir favorablement ou défavorablement dans les affaires humaines : on parle du bras, de la main, ou du doigt de Dieu.
Drapeau de la francophonie © Domaine public
78,2 V—IUXTA HEBR.
78,3 V—IUXTA HEBR.
78,4 V—IUXTA HEBR.
78,6 V—IUXTA HEBR.
78,11 V—IUXTA HEBR.
78,14 V—IUXTA HEBR.
78,15 V—IUXTA HEBR.
78,16 V—IUXTA HEBR.
Du rocher il fit sortir des ruisseaux | et jaillir les eaux comme des fleuves
78,18 V—IUXTA HEBR.
78,20 V—IUXTA HEBR.
23,5 V — IUXTA HEBR.
23,5 une table Une lecture christique de la table dressée
Roberto
Quesada (1948-), Il posto di Gesù [la place de Jésus], (huile sur toile, 1990), 100 x 70 cColl. part., D.R. R.M.→ © BEST a.i.s.b.l.
Jb 36,16 ta table sera chargée de mets succulents ; Pr 9,2 dressé sa table ; Jésus à table Lc 7,36 ; 11,37 ; Lc 14,15 ; Lc 24,30 ; Lc 22,17-19 ; Mt 26,20-21 ; Mc 14,22-23 ; 1Co 11,23-24 ; table de parabole Lc 22,29-30 ; Mt 22,2-3
Essentiellement peintre, Mangu travaille aussi la sculpture, l’estampe, l’installation et l'architecture. Né de parents italiens et espagnols et élevé en France, Roberto Mangú se définit comme européen. Plusieurs dizaines d'expositions personnelles de sa peinture dans des galeries en France, en Espagne, en Belgique et en Italie en ont fait un peintre important de notre époque, caractérisé parfois comme néo-expressionniste, nouveau fauve ou même : trans-avant-gardiste ! Renouvelant sans cesse d'ancestrales traditions picturales, sa thématique est souvent religieuse.
23,1 V — IUXTA HEBR.
23,2 V — IUXTA HEBR.
23,3 V — IUXTA HEBR.
il restaure mon âme | Il m'a conduit par des sentiers de justice | à cause de son nom.
23,4 V — IUXTA HEBR.
Mais si je marche dans une vallée de la mort | je ne craindrai pas le mal car tu es avec moi : |ta houlette et ton bâton me consoleront.
23,6 V — IUXTA HEBR.
Mais encore le bonheur et la miséricorde m’accompagneront |tous les jours de ma vie |et j’habiterai dans la maison du Seigneur |en la longueur des jours.
139,8 V—IUXTA HEBR.
139,11 V—IUXTA HEBR.
Si je dis : — Peut-être les ténèbres me couvriront | la nuit aussi sera une lumière autour de moi !...
139,12 V—IUXTA HEBR.
139,14 V—IUXTA HEBR.
139,15 V—IUXTA HEBR.
139,17 V—IUXTA HEBR.
139,20 V—IUXTA HEBR.
139,21 V—IUXTA HEBR.
139,7–12 Omniscience du Créateur
Roberto
Quesada (1948-), El de Dios, (huile sur papier, 2003), 21 x 30 cmColl. part., D.R. R.M→. © BEST a.i.s.b.l.
Ps 36,10 ; Ps 44,22 ; Ps 139,7-12 ; Am 9,2-3 ; Jr 23,23-24 ; Dn 2,22 ; Jb 12,22 ; Jb 31,4 ; He 4,13
Le peintre lui-même cite le verset suivant comme l'inspiration de cet œil étonnant : « Él es quién revela lo profundo y lo escondido; conoce lo que está en tinieblas, y la luz mora con ÉL » (Dn 2,22). Cette nuit dans la lumière, cette profondeur dans la surface, en une petite peinture, captent un fragment de l'omniscience divine.
85,12 V—IUXTA HEBR.
La vérité a germé de la terre et la justice a regardé du haut du ciel
85,14 V—IUXTA HEBR.
La justice marchera devant lui et posera ses pas dans le chemin
80,7 V—IUXTA HEBR.
Tu as fait de nous un objet de lutte pour nos voisins | et nos ennemis se sont moqués de nous.
87,3 PS—IUXTA HEBR.
87,6 PS—IUXTA HEBR.
87,7 PS—IUXTA HEBR.
80,13 V—IUXTA HEBR.
80,14 V—IUXTA HEBR.
80,15 V—IUXTA HEBR.
80,16 V—IUXTA HEBR.
80,18 V—IUXTA HEBR.
84,1–13 Jérusalem céleste
Sir Charles Hubert Hastings
(1848-1918, mus.), William (texte), Jerusalem, 1916Apollo Symphony Orchestra
And did those feet in ancient times — Walk upon England’s mountains green? — And was the Holy Lamb of God On England’s pleasant pastures seen? — And did the Countenance Divine —Shine forth upon our clouded hills? — And was Jerusalem builded here — Among those dark Satanic Mills? — Bring me my Bow of Burning Gold; — Bring me my Arrows of Desire; — Bring me my Spear; O clouds Unfold! Bring me my Chariot of Fire! — I will not cease from Mental Fight, — Nor shall my Sword sleep in my hand, — Till we have built Jerusalem — In England’s green and pleasant Land.
Dans les temps anciens, ces pieds ont-ils — Foulé les vertes montagnes d'Angleterre ? — Et le saint Agneau de Dieu a-t-il été — Vu sur les prairies agréables de l'Angleterre ? — Et la Face Divine a-t-elle — Brillé sur nos collines couvertes de nuages ? — Et Jérusalem a-t-elle été bâtie iciParmi ces usines sombres et sataniques ? — Apportez-moi mon arc d'or flamboyant ; — Apportez-moi mes flèches de désir ; — Apportez-moi ma lance ; — O nuées déployées !Apportez-moi mon chariot de feu ! — Je ne cesserai jamais mon combat intérieur, — Et jamais mon épée ne dormira dans ma main, — Jusqu'à ce que que nous ayons bâti Jérusalem — Sur les terres vertes et plaisantes d'Angleterre.
Le compositeur adapte en hymne le poème de
, « And did those feet in ancient time » (extrait de la préface à Milton: A Poem in Two Books, 1804-1811), plus connu sous le simple nom de « Jerusalem ». Il en fit ainsi l'un des plus fameux airs patriotiques anglais, au même titre que Rule Britannia et Land of Hope and Glory. Ce sont les trois chants qui sont entonnés par l'assistance lors de la « Last Night of the Proms » et qui, en certaines occasions, comblent l'absence d'un hymne national officiel.Étienne-Pierre Munier
(1751-1803), Jerusalem et Sion - Prose de la dédicace, avant 1790Schola Sainte Cécile
« Cette prose est due au célèbre hymnographe parisien Adam de Saint-Victor (c. 1112 † c. 1192), préchantre de la cathédrale de Paris, principal auteur du répertoire parisien des séquences dont il a renouvelé le genre en leur conférant une ampleur musicale et une richesse spirituelle par les images théologiques abordées. Ce répertoire victorin s’est très vite diffusé dans toute l’Europe Occidentale, on en chantait les séquences dès le XIIIème siècle à Palerme, Zagreb, Aix-la-Chapelle ou Dublin. Les livres parisiens modernes contiennent deux chants pour cette prose, celui d’Adam de Saint-Victor, et celui recomposé au XVIIIème siècle par l’Abbé d’Haudimont, maître de chapelle de la cathédrale de Châlons-sur-Saône puis de Notre-Dame de Paris et de Saint-Germain L’Auxerrois (avant 1790). La mélodie d’Haudimont, quoique récente, est, avouons-le d’une grande réussite musicale et fut immédiatement très populaire à Paris ». (Schola Sainte Cécile→)
Filles de Jérusalem et de Sion, saints habitants des demeures célestes, chantez de concert un cantique de joie. Alléluia.
C’est en ce jour que Jésus-Christ, le modèle de toute justice, prend pour épouse l’Eglise notre mère, qu’il a tirée de l’abîme de misère où elle était plongée.
C’est du côté ouvert de l’Homme-Dieu attaché sur la Croix qu’elle est sortie ; le sang précieux, & l’eau mystérieuse qui coulèrent de cette source sacrée, lui furent donnés alors pour la laver et la sanctifier.
La formation de l’Eglise par Jésus-Christ avait été figurée par celle d’Eve, cette mère commune du genre humain, qui fut tirée d’une des côtes d’Adam notre premier père.
Ève a donné la mort à ses enfants ; mais l’Eglise est une mère qui donne la vie aux siens : elle est pour eux un port de salut : elle est leur asile, et leur solide appui.
Elle est cette barque sur laquelle nous voguons sûrement à travers les écueils du siècle ; cette bergerie où nous sommes à l’abri des attaques de l’ennemi : elle est la colonne de vérité, sur laquelle nous sommes appuyés comme sur un fondement inébranlable.
Quelle doit être notre joie et notre reconnaissance dans cette auguste solennité, où nous célébrons l’union de Jésus-Christ avec son Eglise, union sainte par laquelle s’opère le grand ouvrage de notre salut !
Par cette union mystérieuse les justes entrent en possession des récompenses éternelles, les pécheurs obtiennent le pardon de leurs crimes, les Anges même sentent augmenter leur joie.
Ces merveilles sont l’effet de la sagesse suprême de Dieu, qui par le seul motif de sa miséricorde, en a prévu l’accomplissement de toute éternité.
Que Jésus-Christ notre Sauveur, dont nous devenons les enfants par l’union qu’il contracte avec l’Eglise notre mère, nous fasse goûter les vraies délices, et participer dans le ciel aux joies éternelles des Elus. Amen.
Jean-Philippe
(1683-1764), « Quam dilecta tabernacula » RCT 15, 1713-1715Vox Luminis
100,5 V—IUXTA HEBR.
119,3 V—IUXTA HEBR.
et ceux en effet qui commettent l'iniquité n'ont pas marché dans ses voies !
119,4 V—IUXTA HEBR.
Tu as commandé de garder avec soin tes préceptes.
119,17 V—IUXTA HEBR.
GIMEL | Accorde à ton serviteur que je vive et garde tes paroles
119,18 V—IUXTA HEBR.
Dévoile mes yeux et je regarderai les merveilles dans ta loi.
119,20 V—IUXTA HEBR.
Mon âme a désiré de désirer tes jugements en tout temps.
119,21 V—IUXTA HEBR.
Tu as menacé les orgueilleux ces maudits qui s’éloignent de tes commandements.
119,22 V—IUXTA HEBR.
Enlève de moi l'opprobre et le mépris car tes témoignages je les ai gardés.
119,23 V—IUXTA HEBR.
Car des princes siégeant parlaient contre moi mais ton serviteur méditait tes préceptes
119,24 V—IUXTA HEBR.
Mais aussi tes témoignages sont ma volonté comme des hommes très amis.
119,39 V—IUXTA HEBR.
119,50 V—IUXTA HEBR.
119,51 V—IUXTA HEBR.
119,52 V—IUXTA HEBR.
119,53 V—IUXTA HEBR.
119,66 V—IUXTA HEBR.
119,67 V—IUXTA HEBR.
119,68 V—IUXTA HEBR.
119,69 V—IUXTA HEBR.
119,82 V—IUXTA HEBR.
119,83 V—IUXTA HEBR.
119,85 V—IUXTA HEBR.
119,99 V—IUXTA HEBR.
119,102 V—IUXTA HEBR.
119,104 V—IUXTA HEBR.
119,114 V—IUXTA HEBR.
119,116 V—IUXTA HEBR.
119,117 V—IUXTA HEBR.
119,119 V—IUXTA HEBR.
101,2 V—IUXTA HEBR.
101,3 V—IUXTA HEBR.
101,4 V—IUXTA HEBR.
101,5 V—IUXTA HEBR.
101,6 V—IUXTA HEBR.
101,7 V—IUXTA HEBR.
101,8 V—IUXTA HEBR.
119,135 V—IUXTA HEBR.
119,136 V—IUXTA HEBR.
119,145 V—IUXTA HEBR.
119,146 V—IUXTA HEBR.
119,147 V—IUXTA HEBR.
119,148 V—IUXTA HEBR.
119,150 V—IUXTA HEBR.
119,152 V—IUXTA HEBR.
119,163 V—IUXTA HEBR.
119,169 V—IUXTA HEBR.
119,169 V—IUXTA HEBR.
119,171 V—IUXTA HEBR.
78,22 V—IUXTA HEBR.
78,24 V—IUXTA HEBR.
78,25 V—IUXTA HEBR.
78,33 V—IUXTA HEBR.
103,8 V—IUXTA HEBR.
103,7 V—IUXTA HEBR.
103,9 V—IUXTA HEBR.
103,11 V—IUXTA HEBR.
103,18 V—IUXTA HEBR.
103,20 V—IUXTA HEBR.
103,21 V—IUXTA HEBR.
44,7 V—IUXTA HEBR.
44,9 V—IUXTA HEBR.
44,12 V—IUXTA HEBR.
44,13 V—IUXTA HEBR.
44,14 V—IUXTA HEBR.
44,15 V—IUXTA HEBR.
44,16 V—IUXTA HEBR.
44,17 V—IUXTA HEBR.
44,6 ventilerons (V) Métaphore agricole ? Il peut s'agir de l'action de soulever en l'air des branches ou des épis, pour en extraire grains et fruits quand elles tombent. Le verbe « ventiler » s'utilise encore en contexte de conflit en français :
George ; dial. Michel ; mus. Michel ), Les Tontons Flingueurs (film, 105 mn, France, Allemagne, Italie : Gaumont et alii, 1963)
(scén. Albertcomédie policière avec Lino Ventura, Bernard Blier Jean Lefebvre, Francis Blanche, Venantino Venantini, Robert Dalban, Sabine Sinjen, Claude Rich, Gaumont et al.,
© Licence YouTube standard
Benard Blier évoque dans le langage truculent de Michel Audiard la dispersion, la pulvérisation, la ventilation des ennemis.
44,23 V—IUXTA HEBR.
44,22 V—IUXTA HEBR.
44,24 V—IUXTA HEBR.
44,25 V—IUXTA HEBR.
44,26 V—IUXTA HEBR.
78,43 V—IUXTA HEBR.
78,44 V—IUXTA HEBR.
78,45 V—IUXTA HEBR.
78,46 V—IUXTA HEBR.
78,47 V—IUXTA HEBR.
78,49 V—IUXTA HEBR.
78,50 V—IUXTA HEBR.
78,51 V—IUXTA HEBR.
78,54 V—IUXTA HEBR.
78,55 V—IUXTA HEBR.
78,58 V—IUXTA HEBR.
78,59 V—IUXTA HEBR.
78,60 V—IUXTA HEBR.
78,61 V—IUXTA HEBR.
78,62 V—IUXTA HEBR.
78,63 V—IUXTA HEBR.
78,70 V—IUXTA HEBR.
78,71 V—IUXTA HEBR.
78,72 V—IUXTA HEBR.
78,69 licornes (V) Zoologie antique Le sanctuaire dans la terre de Juda était unique comme la corne d'une licorne est unique sur le front de cet animal.
(?), Licorne, âne et éléphant gambadant dans une vallée, enluminure, (pigments et détrempe sur parchemin, Paris, ca 1400-1420) dans , Livre des merveilles ; Odoric de Pordenone, Itinerarium de mirabilibus orientalium Tartarorum, traduit en français par Jean le Long,, fol. 59v (détail)
Bibliothèque nationale de France, Paris, département des manuscrits Fr 2810→ © Domaine public→
La corne, en général, est symbole de gloire, de force, de l'empire et d'élévation, qui convienent bien au Temple de Jérusalem. V—IUXTA HEBR. évoque le rhinocéros.
Albrecht
(1471–1528), Le Rhinocéros, (gravure sur bois, 1515, Nüremberg), 23.5 x 29.8 cmNational Gallery of Art, Washington D.C. (États-Unis) — 1964.8.697
78,45 cynomie (V) Zoologie Nous conservons un calque du latin, qui rend ces mouches plus angoissantes !
Cynomya mortuorum, mâle, (photographie numérique, 2006), Terrain vague de la zone d'activités de Boeldershoek près de Hengelo (Overijssel) aux Pays-Bas
78,46 rouille (V) Botanique : une maladie des plantes Les rouilles sont un ensemble de maladies cryptogamiques des plantes vasculaires dont les agents pathogènes responsables sont des champignons basidiomycètes (Fungi) de l'ordre des Pucciniales et plus largement appartenant à la sous-division des Pucciniomycotina.
, Écidies d'Uromyces dactylidis sur la Renoncule Ficaire, (photographie numérique, 2022),
88,3 PS—IUXTA HEBR.
que ma prière pénètre en ta présence | prête l’oreille à mon chant de louange
86,15 V—IUXTA HEBR.
118,5 V—IUXTA HEBR.
118,6 V—IUXTA HEBR.
118,9 V—IUXTA HEBR.
118,10 V—IUXTA HEBR.
118,11 V—IUXTA HEBR.
118,13 V—IUXTA HEBR.
118,14 V—IUXTA HEBR.
118,18 V—IUXTA HEBR.
118,22 tête d'angle ou : « pierre angulaire » FRANÇAIS BIBLIQUE
Drapeau de la francophonie→ © Domaine public
118,24 V—IUXTA HEBR.
31,1 V—IUXTA HEBR.
31,2 V—IUXTA HEBR.
31,4 V—IUXTA HEBR.
31,5 V—IUXTA HEBR.
31,8 V—IUXTA HEBR.
31,11 V—IUXTA HEBR.
31,10 V—IUXTA HEBR.
31,7 V—IUXTA HEBR.
31,12 V—IUXTA HEBR.
31,13 V—IUXTA HEBR.
31,14 V—IUXTA HEBR.
31,17 V—IUXTA HEBR.
31,18 V—IUXTA HEBR.
31,19 V—IUXTA HEBR.
31,20 V—IUXTA HEBR.
31,21 V—IUXTA HEBR.
31,23 V—IUXTA HEBR.
31,25 V—IUXTA HEBR.
31,24 V—IUXTA HEBR.
38,3 V—IUXTA HEBR.
38,4 V—IUXTA HEBR.
38,6 V—IUXTA HEBR.
38,8 V—IUXTA HEBR.
38,9 V—IUXTA HEBR.
38,12 V—IUXTA HEBR.
68,6 V—IUXTA HEBR.
68,9 V—IUXTA HEBR.
68,10 V—IUXTA HEBR.
119,106 V—IUXTA HEBR.
119,108 V—IUXTA HEBR.
119,109 V—IUXTA HEBR.
119,112 V—IUXTA HEBR.
119,159 V—IUXTA HEBR.
119,121 V—IUXTA HEBR.
119,126 V—IUXTA HEBR.
119,129 V—IUXTA HEBR.
119,143 V—IUXTA HEBR.
119,144 V—IUXTA HEBR.
68,11 V—IUXTA HEBR.
68,16 V—IUXTA HEBR.
68,17 V—IUXTA HEBR.
68,18 V—IUXTA HEBR.
68,20 V—IUXTA HEBR.
68,21 V—IUXTA HEBR.
68,19 V—IUXTA HEBR.
79,8 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est cité dans la prière de Abinou Malquenou qui fait partie des rogations des prières du matin et de l'après-midi des jours ouvrés.
(texte : rabbi attr.), Avinu malkenu, in Canto espiritual judeoespañol, (CD, "Ibèrica" HMI 98 7015 Harmonia Mundi "musique d'abord" HMA 195 7015, Harmonia mundi, 1997)
Miguel Sánchez, dir., Alia Musica : Angel Iznaola (voix), Flavio Oliver (voix), Albina Cuadrado (voice), Jose Antonio Carril (voice), Aziz Samsaoui (kanun), Miguel Sánchez (voix, ud), Carlos Garcia (voix, kemanya), Carlos Ghiringhelli (voix, nay, kaval).
© Licence YouTube standard, Notre Père Is 63,16 ; notre roi Is 33,22
Cette prière est chantée durant les dix jours de repentance entre Rosh Hashana et Yom Kippour, incluse dans les prières du matin (Shaharit) et du soir (Minha). Depuis le 17e s., la plupart des communautés ashkénazes orientales le récitent aussi tous les jours de jeûne.
La prière est interprétée à plusieurs voix, selon des arrangements différents selon les traditions, certaines alternant intonation des versets par un soliste et répons par la communauté, par exemple. Dans le rite ashkénaze oriental, l'Arche est ouverte pendant Avinu Malkenu, et refermée à la fin ; dans le rite ashkénaze occidental, l'Arche n'est ouverte que le matin du jour de Roch Hachana et durant toutes les prières de Yom Kippour, mais pas l'après-midi de Roch Hachana ni le reste des dix jours de repentance. Dans la tradition séfarade, l'Arche n'est pas ouverte.
Sur la base de l'anaphore isaïenne, la supplication semble s'être développée librement, jusqu'à des séquences assez longues. Aujourd'hui, la tradition séfarade présente 29 versets ; dans la tradition mizrahi, la version syrienne présente 31 ou 32 versets, la yéménite 27, la salonicienne 53, la tradition ashkénaze a 38 versets, la version polonaise 44, tous avec des séquences différentes. Le rite hashkenaze propose des variantes selon les jours :
(L'Arche est ouverte) Notre Père, notre Roi, nous avons péché devant Toi. Notre Père, notre Roi, nous n'avons de Roi que Toi. Notre Père, notre Roi, agissez [avec bienveillance] avec nous pour l'amour de votre nom. Notre Père, notre Roi, renouvelle pour nous (les jours de jeûne: bénis-nous) une bonne année. Notre Père, notre Roi, une bonne année. Notre Père, notre Roi, retire de nous tous les décrets sévères. Notre Père, notre Roi, annulez les intentions de nos ennemis. Notre Père, notre Roi, déjouent les plans de nos ennemis. Notre Père, notre Roi, éliminez tout oppresseur et adversaire de nous. Notre Père, notre Roi, fermez la bouche de nos adversaires et accusateurs. Notre Père, notre Roi, enlevez la peste, l'épée, la famine, la captivité et la destruction des membres de votre alliance. Notre Père, notre Roi, retiens la plaie de ton héritage. Notre Père, notre Roi, pardonne et pardonne toutes nos iniquités. Notre Père, notre Roi, efface et ôte nos transgressions de devant Tes yeux. Notre Père, notre Roi, effacez dans Votre abondante miséricorde tous les annales de nos dettes [péchés]. Notre Père, notre Roi, ramène-nous à Toi dans une repentance sans réserve. Notre Père, notre Roi, envoie une guérison complète aux malades de ton peuple. Notre Père, notre Roi, déchire le mal [aspect] du verdict décrété contre nous. Notre Père, notre Roi, souvenez-vous de nous avec un souvenir favorable devant vous. —— (Entre Roch Hachana et Yom Kippour) Notre Père, notre Roi, inscrivez-nous dans le livre de la bonne vie. Notre Père, notre Roi, inscrivez-nous dans le livre de la rédemption et de la délivrance. Notre Père, notre Roi, inscrivez-nous dans le livre des moyens de subsistance et de la subsistance. Notre Père, notre Roi, inscrivez-nous dans le livre des mérites. Notre Père, notre Roi, inscrivez-nous dans le livre du pardon et du pardon. —— Un jour de jeûne public (sauf le jeûne de Guedalia ): Notre Père, notre Roi, souvenez-vous de nous pour une bonne vie. Notre Père, notre Roi, souvenez-vous de nous pour la rédemption et la délivrance. Notre Père, notre Roi, souvenez-vous de nous pour gagner sa vie et sa subsistance. Notre Père, notre Roi, souvenez-vous de nous pour nos mérites. Notre Père, notre Roi, souvenez-vous de nous pour le pardon et le pardon. Notre Père, notre Roi, faites bientôt fleurir la délivrance pour nous. Notre Père, notre Roi, exaltez la gloire d' Israël, votre peuple. Notre Père, notre Roi, exaltez la gloire de votre oint. Notre Père, notre Roi, remplissez nos mains de vos bénédictions. Notre Père, notre Roi, remplissez nos entrepôts d'abondance. Notre Père, notre Roi, écoutez notre voix, ayez pitié et compassion de nous. Notre Père, notre Roi, accepte notre prière avec miséricorde et faveur. Notre Père, notre Roi, ouvre les portes du ciel à notre prière. Notre Père, notre Roi, rappelons-nous que nous ne sommes que poussière. Notre Père, notre Roi, nous vous en supplions, ne nous détournez pas de vous les mains vides. Notre Père, notre Roi, que cette heure soit une heure de miséricorde et un temps de faveur devant vous. Notre Père, notre Roi, ayez pitié de nous, de nos nourrissons et de nos enfants. Notre Père, notre Roi, fais-le pour ceux qui ont été tués à cause de ton saint nom. Notre Père, notre Roi, faites-le pour le bien de ceux qui ont été massacrés pour Votre Unicité. Notre Père, notre Roi, fais-le pour ceux qui ont traversé le feu et l'eau pour la sanctification de ton nom. Notre Père, notre Roi, venger le sang répandu de vos serviteurs. Notre Père, notre Roi, faites-le pour vous, sinon pour le nôtre. Notre Père, notre Roi, fais-le pour toi et délivre-nous. Notre Père, notre Roi, fais-le pour tes miséricordes abondantes. Notre Père, notre Roi, faites-le pour l'amour de votre grand, puissant et impressionnant Nom qui est proclamé sur nous. Notre Père, notre Roi, ayez pitié de nous et répondez-nous, car nous n'avons pas d'actes méritoires; agissez avec charité et gentillesse avec nous et délivrez-nous. (L'Arche est fermée) (source→)
On peut citer auss,en 2015, le chanteur populaire juif orthodoxe Gad Gaston Elbaz, qui arrange sa version suivant ce texte :
79,9 Ps—IUXTA HEBR.
85,4 V—IUXTA HEBR.
51,14 V—IUXTA HEBR.
95,3 V-IUXTA HEBR.
95,4 V-IUXTA HEBR.
95,7 V-IUXTA HEBR.
95,8 V-IUXTA HEBR.
Aujourd'hui, si vous entendez sa voix | n’endurcissez pas votre cœur
95,9 V-IUXTA HEBR.
95,10 V-IUXTA HEBR.
Quarante ans cette génération m'a dégoûté | et j'ai dit : — c'est un peuple égaré de cœur
68,22 V—IUXTA HEBR.
68,23 V—IUXTA HEBR.
68,24 V—IUXTA HEBR.
68,26 V—IUXTA HEBR.
Ils ont vu tes marches, ô Dieu | les marches de mon Dieu, de mon roi, dans le sanctuaire.
68,28 V—IUXTA HEBR.
Voici Benjamin, le plus petit, qui les conduit | les princes de Juda dans leur pourpre | les princes de Zabulon, les princes de Nephthali.
68,29 V—IUXTA HEBR.
Ton Dieu a commandé selon ta force | affermis, Dieu, ce que tu as fait pour nous.
68,30 V—IUXTA HEBR.
De ton temple, qui est dans Jérusalem | les rois t’offriront des présents.
68,31 V—IUXTA HEBR.
Menace la bête des roseaux, la bande des forts parmi les veaux des peuples | de ceux qui regimbent contre les roues d'argent | Disperse les peuples qui veulent la guerre
68,32 V—IUXTA HEBR.
Qu'ils offrent [leurs présents] promptement d'Égypte| que l’Éthiopie s’empresse de tendre les mains vers Dieu.
68,34 V—IUXTA HEBR.
lui qui est monté sur le ciel du ciel depuis le commencement | voici qu'il donnera à sa voix une voix de puissance
68,35 V—IUXTA HEBR.
Rendez gloire à Dieu | Sa magnificence est sur Israël | et sa puissance est dans les cieux.
19,1 V—IUXTA HEBR.
19,2 V—IUXTA HEBR.
Les cieux racontent la gloire de Dieu | et le firmament annonce l’œuvre de sa main.
19,5 V—IUXTA HEBR.
19,6 V—IUXTA HEBR.
En eux il a dressé une tente pour le soleil | et lui, tel un époux sortant de sa chambre nuptiale| s’est élancé joyeux, comme un héros, pour courir sa carrière
19,4 V—IUXTA HEBR.
86,7 V—IUXTA HEBR.
86,14 V—IUXTA HEBR.
68,5 V—IUXTA HEBR.
→Ps. iuxta Hebr. élimine la surcharge introduite par G.
68,7 V—IUXTA HEBR.
68,12 V—IUXTA HEBR.
68,13 V—IUXTA HEBR.
Jérôme semble lire la forme hébraïque nᵉwaṯ (état construit de nuh, « pâturage », qui n'a guère de sens ici), comme une variation textuelle de nʾwh (נאוה, « belle femme »), peut-être dans la logique de Ps 68,11b ?
68,14 V—IUXTA HEBR.
Il est intéressant que Jérôme, tout en corrigeant la traduction de V (il supprime le calque cleros et le remplace par terminos), néanmoins la commente de façon allégorique dans → Tract. Ps.
68,15 V—IUXTA HEBR.
130,5 V—IUXTA HEBR.
130,6 V—IUXTA HEBR.
depuis la veille du matin jusqu'à la veille du matin | Qu'Israël attende le Seigneur
130,7 V—IUXTA HEBR.
130,1–8 Le Seigneur vient nous chercher jusque dans les profondeurs où nous sommes tombés
Andrea
(1431-1506), La Descente du Christ aux Enfers, (1470-1475), 38,8 x 42,3 cmCollection Barbara Piasecka Johnson (collection privée), prêté au Frick Museum, New York
Domaine public © Wikimedia commons→, Ps 130
137,1 Sur les fleuves de Babylone
Giovanni Pierluigi
(c. 1525-1594), Super flumina Babylonis, 1581Choir of Clare College, Cambridge & Timothy Brown
Super flumina Babylonis illic sedimus et flevimus, cum recordaremur Sion. (Ps 137,1)
Giovanni Pierluigi
est un compositeur italien de la Renaissance, reconnu et immensément admiré par tous les musiciens de son temps. Il a su appliquer les réformes du Concile de Trente à la musique sacrée voulant obtenir l'intelligibilité des paroles et une musique en rapport intime avec le texte sacré.131,3 V—IUXTA HEBR.
Israël, espère dans le Seigneur | dès maintenant et jusque dans l'éternité !
131,2 V—IUXTA HEBR.
102,1 V—IUXTA HEBR.
102,2 V—IUXTA HEBR.
102,3 V—IUXTA HEBR.
102,4 V—IUXTA HEBR.
102,5 V—IUXTA HEBR.
102,6 V—IUXTA HEBR.
102,7 V—IUXTA HEBR.
102,8 V—IUXTA HEBR.
102,9 V—IUXTA HEBR.
102,10 V—IUXTA HEBR.
102,11 V—IUXTA HEBR.
102,12 V—IUXTA HEBR.
102,13 V—IUXTA HEBR.
102,14 V—IUXTA HEBR.
102,15 V—IUXTA HEBR.
93,3 V—IUXTA HEBR.
91,1 V—IUXTA HEBR.
91,5 V—IUXTA HEBR.
91,6 V—IUXTA HEBR.
de la flèche qui vole le jour | de la peste qui marche dans les ténèbres | de la morsure du furieux à midi.
91,7 V—IUXTA HEBR.
91,8 V—IUXTA HEBR.
91,10 V—IUXTA HEBR.
91,11 V—IUXTA HEBR.
91,12 V—IUXTA HEBR.
91,15 V—IUXTA HEBR.
91,16 V—IUXTA HEBR.
92,8 V—IUXTA HEBR.
92,13 V—IUXTA HEBR.
92,14 V—IUXTA HEBR.
92,15 V—IUXTA HEBR.
92,16 V—IUXTA HEBR.
93,5 V—IUXTA HEBR. Tes témoignages sont infiniment fidèles | la sainteté convient à ta maison, Seigneur, dans la longue suite des jours.
94,2 V—IUXTA HEBR.
94,4 V—IUXTA HEBR.
94,6 V—IUXTA HEBR.
94,9 V—IUXTA HEBR.
Celui qui a planté l'oreille n'entendra-t-il pas ? | ou celui qui a façonné l'oeil ne verra-t-il pas ?
94,9b ne regarde-t-il pas attentivement (V) Considero Ici dans la V iuxta G , le verbe considero signifie « considérer, regarder attentivement, remarquer », il est employé au présent, alors que le verbe précédent audiet est au futur.
94,10 V—IUXTA HEBR.
94,13 V—IUXTA HEBR.
94,13a pour l'apaiser V—IUXTA G : Mitigo Glaire offre une traduction plus littérale du verbe mitigo « afin que vous lui accordiez quelque douceur ».
94,14 V—IUXTA HEBR.
94,16 V—IUXTA HEBR.
94,19 V—IUXTA HEBR.
94,21 V—IUXTA HEBR.
94,22 V—IUXTA HEBR.
94,23 V—IUXTA HEBR.
91,9 V—IUXTA HEBR.
91,14b connut = connaît V—HEBR. Cognosco Le parfait de ce verbe de sens inchoatif serait mieux traduit pas un présent. Il connut ou il prit connaissance, donc il connaît.
91,6 l'être V—IUXTA G : negotium Negotium connote les sens de « chose, objet, être » en parlant d'une personne, et « créature » (cf. →). Dict.
91,15c V—IUXTA G Le verbe eripio signifie d'abord « tirer brusquement hors, mettre dehors, faire sortir, arracher, retirer, emporter » et par suite « ôter, ravir, enlever, arracher de force » enfin « délivrer de, affranchir, etc. ».
91,1 Louange de cantique V—IUXTA G = louange sous forme de cantique.
92,7 V—IUXTA HEBR.
92,9 V—IUXTA HEBR.
94,11 connaît V—IUXTA HEBR.
94,17 V—IUXTA HEBR.
94,20 V—IUXTA HEBR.
95,9b durant V—IUXTA G La préposition secundum qui régit l'acc. signifie « derrière, après, auprès de, à côté de, durant, pendant, selon, suivant, selon que, conformément à, etc.
95,6 V-IUXTA HEBR.
96,1 Chantez V—IUXTA HEBR. Canite | V—IUXTA G : Cantate Canite est synonyme de Cantate.
96,3 V—IUXTA HEBR.
96,5 V—IUXTA HEBR.
96,6 V—IUXTA HEBR.
96,8 V—IUXTA HEBR.
96,13c dans la justice V—IUXTA HEBR. in iusto L'adjectif iustus « juste » est aussi employé comme substantif neutre iustum et signifie « justice, juste mesure, ce qui convient ».
96,13 V—IUXTA HEBR.
96,7 V—IUXTA HEBR.
96,9 V—IUXTA HEBR.
96,10 V—IUXTA HEBR.
96,12 V—IUXTA HEBR.
97,3 V—IUXTA HEBR.
97,5 V—IUXTA HEBR.
97,9 V—IUXTA HEBR.
97,10 V—IUXTA HEBR.
98,5 V—IUXTA HEBR.
98,7 V—IUXTA HEBR.
98,6 V—IUXTA HEBR.
99,4 V—IUXTA HEBR.
98,1 V—IUXTA HEBR.
98,3 V—IUXTA HEBR.
98,9 V—IUXTA HEBR.
99,6 V—IUXTA HEBR.
99,7 V—IUXTA HEBR.
91,6 midi FRANÇAIS BIBLIQUE
Drapeau de la francophonie→ © Domaine public
91,6b négoce (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Négoce→ rend ici negotium latin. Le terme français n'a pas que la signification commerciale usuelle : il peut aussi désigner toute affaire ou occupation, et en particulier les trafics honteux ou suspects, ici personnifiés comme hantant les nuits de ceux qui les perpètrent.
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91,2 V—IUXTA HEBR.
83,2 V— IUXTA HEBR
92,4 V—IUXTA HEBR.
92,5 V—IUXTA HEBR.
92,11 V—IUXTA HEBR.
92,10 V—IUXTA HEBR.
92,12 V—IUXTA HEBR.
90,2 V— IUXTA HEBR.
128,1 V— IUXTA HEBR
Cantique des montées | Heureux tout homme qui craint le Seigneur | qui marche dans ses voies.
128,2 V— IUXTA HEBR
Quand du labeur de tes mains tu te nourriras | heureux seras-tu et bien te sera.
128,3 V— IUXTA HEBR
Ton épouse sera comme une vigne féconde dans l’intérieur de ta maison | tes fils comme des plants d’olivier, autour de ta table
128,6 V— IUXTA HEBR
Et puisses-tu voir les fils de tes fils et la paix en Israël !
97,1 V—IUXTA HEBR.
102,16 V—IUXTA HEBR.
102,17 V—IUXTA HEBR.
102,19 V—IUXTA HEBR.
102,18 V—IUXTA HEBR.
102,20 V—IUXTA HEBR.
102,21 V—IUXTA HEBR.
102,22 V—IUXTA HEBR.
102,23 V—IUXTA HEBR.
102,24 V—IUXTA HEBR.
102,25 V—IUXTA HEBR.
102,26 V—IUXTA HEBR.
102,27 V—IUXTA HEBR.
102,28 V—IUXTA HEBR.
102,29 V—IUXTA HEBR.
83,3 V— IUXTA HEBR.
Car voici que tes ennemis s’agitent bruyamment et ceux qui te haïssent ont levé la tête.
83,6 V— IUXTA HEBR.
Car ils ont délibéré pareillement | contre toi ils ont conclu une alliance
83,13 V— IUXTA HEBR.
Eux qui ont dit : — Emparons-nous de la beauté de Dieu !
83,19 V— IUXTA HEBR.
83,18 V— IUXTA HEBR.
83,5 V— IUXTA HEBR.
83,2 V— IUXTA HEBR.
99,8 V—IUXTA G : Adinventio Le mot adinventio a pour significations : action de découvrir, de trouver, trouvaille dans la façon d'agir, conduite, (rare) trouvaille merveilleuse, merveille (de Dieu). Cependant il est le plus souvent utilsé de manière péjorative : trouvaille mauvaise, conduite mauvaise, égarement, machination, procédé mauvais, expédient, ruse.
99,1 V—IUXTA HEBR.
104,1 V—IUXTA HEBR.
104,2 V—IUXTA HEBR.
104,4 V—IUXTA HEBR.
104,6 V—IUXTA HEBR.
104,3 V—IUXTA HEBR.
104,5 V—IUXTA HEBR.
104,7 V—IUXTA HEBR.
104,8 V—IUXTA HEBR.
104,9 V—IUXTA HEBR.
104,12 V—IUXTA HEBR.
104,16 V—IUXTA HEBR.
104,18 V—IUXTA HEBR.
104,19 V—IUXTA HEBR.
104,13 V—IUXTA HEBR.
104,10 V—IUXTA HEBR.
104,11 V—IUXTA HEBR.
101,7 V—IUXTA G Glaire explique le sens de l'expression non direxit in conspectu oculorum meorum « n'a pas dirigé sa voie devant mes yeux = n'a pas cherché à être agréable à mes yeux », d'où la tradution de Fillion « n'a pu se rendre agréable à mes yeux ».
104,14 V—IUXTA HEBR.
104,15 V—IUXTA HEBR.
104,17 V—IUXTA HEBR.
104,21 V—IUXTA HEBR.
104,22 V—IUXTA HEBR.
104,23 V—IUXTA HEBR.
104,24 V—IUXTA HEBR.
104,25 V—IUXTA HEBR.
104,26 V—IUXTA HEBR.
104,27 V—IUXTA HEBR.
104,28 V—IUXTA HEBR.
104,30 V—IUXTA HEBR.
104,31 V—IUXTA HEBR.
104,32 V—IUXTA HEBR.
104,33 V—IUXTA HEBR.
104,34 V—IUXTA HEBR.
104,35 V—IUXTA HEBR.
104,25 la grande mer aux vastes bras V MÉTAPHORE Littéralement « aux vastes mains », les mains de la mer que sont ses golfes.
104,20 V—IUXTA HEBR.
104,29 V—IUXTA HEBR.
105,28b il n'irrita pas ses paroles V—IUXTA G Le sens de la V—IUXTA G paraît être que Dieu accomplit intégralement son dessein contre les Égyptiens en ne rendant pas vaine ses paroles, en ne les rétractant point.
105,15 Chiasme La traduction suit l'ordre des mots afin de rendre évident en français le chiasme de la V :
Nolite tengere chrisos meos
et in prophetis meis nolite malignari
105,11 part de ton héritage V littéralement : cordeau de ton héritage
105,36 V—IUXTA HEBR.
105,31 V—IUXTA HEBR.
105,30 V—IUXTA HEBR.
105,28 V—IUXTA HEBR.
105,25 V—IUXTA HEBR.
105,22 V—IUXTA HEBR.
105,18 V—IUXTA HEBR.
105,38 V—IUXTA HEBR.
105,39 V—IUXTA HEBR.
105,40 caille V : Variantes La V—IUXTA G utilise le mot coturnix « caille » et la V—IUXTA HEBR. son synonyme ortygometran, du grec ortugomêtra.
105,41 V—IUXTA HEBR.
105,43 V—IUXTA HEBR.
105,45 V—IUXTA HEBR.
106,3 V—IUXTA HEBR.
106,12 V—IUXTA HEBR.
106,19 V—IUXTA HEBR.
106,21 V—IUXTA HEBR.
106,22 V—IUXTA HEBR.
106,24 V—IUXTA HEBR.
106,26 V—IUXTA HEBR.
106,27 V—IUXTA HEBR.
106,31 V—IUXTA HEBR.
106,33 V—IUXTA HEBR.
106,34 V—IUXTA HEBR.
106,35 V—IUXTA HEBR.
106,43 V—IUXTA HEBR.
106,44 V—IUXTA HEBR.
106,45 V—IUXTA HEBR.
106,46 V—IUXTA HEBR.
106,48 V—IUXTA HEBR.
106,28 V—IUXTA G Le verbe initio signifie initier (aux mystères), et en parlant de mystères chrétiens en général les sacrements de l'initiation chrétienne. Il est aussi utilisé à propos de la catéchèse de la première initiation et aussi en parlant de l'ordination épiscopale ou sacerdotale. Saint Jérôme avait introduit ce mot dans la Vulgate, au lieu de consummo au sens de « consacrer » pour la consécration des prêtres de l'AT : sacerdos cuius manus initiatae sunt (Lv 16,32 ; Ex 29,1). Voir en ce sens : initiatus sacris et sacerdos effectus (→ 2,11). Hist. eccl.
106,38d fut infecté V—IUXTA G : Variantes
106,4 V—IUXTA HEBR.
106,8 V—IUXTA HEBR.
106,10 V—IUXTA HEBR.
106,11 V—IUXTA HEBR.
106,13 V—IUXTA HEBR.
106,14 V—IUXTA HEBR.
106,16 V—IUXTA HEBR.
106,17 V—IUXTA HEBR.
106,18 V—IUXTA HEBR.
106,20 V—IUXTA HEBR.
106,23 V—IUXTA HEBR.
106,25 V—IUXTA HEBR.
106,28 V—IUXTA HEBR.
106,29 V—IUXTA HEBR.
106,30 V—IUXTA HEBR.
106,32 V—IUXTA HEBR.
106,36 V—IUXTA HEBR.
106,37 V—IUXTA HEBR.
106,38 V—IUXTA HEBR.
106,39 V—IUXTA HEBR.
106,41 V—IUXTA HEBR.
106,42 V—IUXTA HEBR.
107,3 V—IUXTA HEBR.
107,4 V—IUXTA HEBR.
107,7 V—IUXTA HEBR.
107,9 V—IUXTA HEBR.
107,10 V—IUXTA HEBR.
107,11
107,12
107,13 V—IUXTA HEBR.
107,17 V—IUXTA HEBR.
107,18 V—IUXTA HEBR.
107,19 V—IUXTA HEBR.
107,20 V—IUXTA HEBR.
107,26 V—IUXTA HEBR.
107,27 V—IUXTA HEBR.
107,30 V—IUXTA HEBR.
107,34 V—IUXTA HEBR.
107,35 V—IUXTA HEBR.
107,36 V—IUXTA HEBR.
107,33 V—IUXTA HEBR.
107,37 V—IUXTA HEBR.
107,38 V—IUXTA HEBR.
107,39 V—IUXTA HEBR.
107,40 V—IUXTA HEBR.
107,42 V—IUXTA HEBR.
107,17 V—IUXTA HEBR. : Chiasme La traduction française ne rend pas le chiasme du latin :
stultos propter viam sceleris eorum
et propter iniquitates adflictos
107,28 V—IUXTA HEBR.
107,29 V—IUXTA HEBR.
107,31 V—IUXTA HEBR.
108,3 V—IUXTA HEBR.
108,5 V—IUXTA HEBR.
108,9 V—IUXTA HEBR.
108,8 V—IUXTA HEBR.
108,12 V—IUXTA HEBR.
108,13 V—IUXTA HEBR.
108,14 V—IUXTA HEBR.
108,10 V—IUXTA HEBR.
109,1 V—IUXTA HEBR.
109,4 V—IUXTA HEBR.
109,9 V—IUXTA HEBR.
109,10 V—IUXTA HEBR.
109,11 V—IUXTA HEBR.
109,12 V—IUXTA HEBR.
que nul n'ait pitié de lui | et que nul ne soit clément envers ses orphelins !
109,14 V—IUXTA HEBR.
109,17 V—IUXTA HEBR.
109,21 V—IUXTA HEBR.
109,22 V—IUXTA HEBR.
109,23 V—IUXTA HEBR.
109,24 V—IUXTA HEBR.
109,25 V—IUXTA HEBR.
109,28 V—IUXTA HEBR.
109,29 V—IUXTA HEBR.
109,30 V—IUXTA HEBR.
109,31 V—IUXTA HEBR.
109,6 V—IUXTA HEBR.
109,20 V—IUXTA HEBR.
109,8b mission de surveillance (V) Episcopatum du grec episkopê, episcopatus signifie mission de surveillance, charge d'inspecter, ensuite apostolat, mission d'apôtre, etc.
110,1 V—IUXTA HEBR.
110,2 V—IUXTA HEBR.
110,5 V—IUXTA HEBR.
110,6 V—IUXTA HEBR.
111,3 V—IUXTA HEBR.
111,4 V—IUXTA HEBR.
111,1 V—IUXTA HEBR.
ALLELUIA | ALEPH Je confesserai le Seigneur de tout mon cœur | BETH dans la réunion des justes et dans l'assemblée
111,2 V—IUXTA HEBR.
111,5 V—IUXTA HEBR. TETH il a donné une nourriture à ceux qui le craignent | IOTH il se souviendra à jamais de son pacte
111,5b.9b alliance V—IUXTA G Testamentum
111,6 V—IUXTA HEBR.
111,7 V—IUXTA HEBR.
LAMETH afin de leur donner l'héritage des nations | MEM l'oeuvre de ses mains, vérité et justice
111,8 V—IUXTA HEBR.
NUN fidèles, tous ses préceptes | SAMECH fermes pour l’éternité, à jamais | AIN faits selon la vérité et l'équité
111,10 V—IUXTA HEBR.
111,9 V—IUXTA HEBR.
112,2 V—IUXTA HEBR.
112,5 V—IUXTA HEBR.
112,6 V—IUXTA HEBR.
112,7 V—IUXTA HEBR.
112,8 V—IUXTA HEBR.
112,10 V—IUXTA HEBR.
112,1 V—IUXTA HEBR.
112,3 V—IUXTA HEBR.
112,9 V—IUXTA HEBR.
112,4 V—IUXTA HEBR.
113,1 V—IUXTA HEBR.
113,4 V—IUXTA HEBR.
113,8 V—IUXTA HEBR.
113,3 V—IUXTA HEBR.
113,2 V—IUXTA HEBR.
113,6 V—IUXTA HEBR.
113,7 V—IUXTA HEBR.
113,9 V—IUXTA HEBR.
114,1 V—IUXTA HEBR. ALLELUIA | Quand Israël sortit d'Égypte | la maison de Jacob d'un peuple barbare
114,2 V—IUXTA HEBR.
114,3 V—IUXTA HEBR.
114,5 V—IUXTA HEBR.
114,4 V—IUXTA G
114,4 V—IUXTA HEBR.
114,6 V—IUXTA HEBR.
114,8 V—IUXTA HEBR.
115,3 V—IUXTA HEBR.
115,6 V—IUXTA HEBR.
115,8 V—IUXTA HEBR.
115,11 V—IUXTA HEBR.
115,12 V—IUXTA HEBR.
115,14 V—IUXTA HEBR.
115,16 V—IUXTA HEBR.
115,17 V—IUXTA HEBR.
115,18 V—IUXTA HEBR.
115,4 V—IUXTA HEBR.
115,5 V—IUXTA HEBR.
115,9 V—IUXTA HEBR.
115,13 V—IUXTA HEBR.
115,15 V—IUXTA HEBR.
116,2 V—IUXTA HEBR.
116,6 V—IUXTA HEBR.
116,7 V—IUXTA HEBR.
116,17 V—IUXTA HEBR.
116,3 V—IUXTA HEBR.
116,10 V—IUXTA HEBR.
116,11 V—IUXTA HEBR.
106,47 V—IUXTA HEBR.
118,12 V—IUXTA HEBR.
118,15 V—IUXTA HEBR.
118,16 V—IUXTA HEBR.
118,25 V—IUXTA HEBR.
118,26 V—IUXTA HEBR.
119,2 V—IUXTA HEBR.
119,5 V—IUXTA HEBR.
119,8 V—IUXTA HEBR.
119,19 V—IUXTA HEBR.
119,54 V—IUXTA HEBR.
119,57 V—IUXTA HEBR.
119,58 V—IUXTA HEBR.
119,61 V—IUXTA HEBR.
119,70 V—IUXTA HEBR.
119,72 V—IUXTA HEBR.
119,81 V—IUXTA HEBR.
119,86 V—IUXTA HEBR.
119,87 V—IUXTA HEBR.
119,89 V—IUXTA HEBR.
119,94 V—IUXTA HEBR.
119,95 V—IUXTA HEBR.
119,93 V—IUXTA HEBR.
119,92 V—IUXTA HEBR.
119,96 V—IUXTA HEBR.
119,100 V—IUXTA HEBR.
119,101 V—IUXTA HEBR.
119,105 V—IUXTA HEBR.
119,113 V—IUXTA HEBR.
119,118 V—IUXTA HEBR.
119,120 V—IUXTA HEBR.
119,122 V—IUXTA HEBR.
119,123 V—IUXTA HEBR.
119,124 V—IUXTA HEBR.
119,133 V—IUXTA HEBR.
119,138 V—IUXTA HEBR.
119,139 V—IUXTA HEBR.
119,144 V—IUXTA HEBR.
119,153 V—IUXTA HEBR.
119,155 V—IUXTA HEBR.
119,158 V—IUXTA HEBR.
119,134 V—IUXTA HEBR.
119,164 V—IUXTA HEBR.
119,166 V—IUXTA HEBR.
119,170 V—IUXTA HEBR.
119,174 V—IUXTA HEBR.
119,176 V—IUXTA HEBR.
120,4 V—IUXTA HEBR.
120,5 V—IUXTA HEBR.
120,6 V—IUXTA HEBR.
120,7 V—IUXTA HEBR.
121,4
121,7 V—IUXTA HEBR.
121,8 V—IUXTA HEBR.
121,5 YHWH gardera
121,6 V—IUXTA HEBR.
122,2 V—IUXTA HEBR.
122,7 V—IUXTA HEBR
122,9 V—IUXTA HEBR.
122,3 V—IUXTA HEBR.
122,8 V—IUXTA HEBR
123,1 V—juxta Hebr.
123,2 V—juxta Hebr. (Voici : comme les yeux des serviteurs vers la main de leurs maîtres | comme les yeux de la servante vers la main de sa maîtresse | ainsi nos yeux vers le Seigneur notre Dieu jusqu’à ce qu’il ait pitié de nous)
123,3 V—juxta Hebr.
123,4 V—juxta Hebr.
124,3 V—juxta Hebr.
124,5 V—juxta Hebr.
124,7 V—juxta Hebr.
125,5 obligations V—IUXTA G : obligatio Certains pensent que le mot obligationes est une faute de copiste. Il aurait été mis pour obliquationes, obliquités. Mais il semble que l'expression in obligationes soit la vraie leçon. En effet « obligationes signifie liens, cordes pour étrangler. Cf. Ac 8,23. Le psalmiste parle ici de ceux qui tournent à l'oppression, qui en viennent à opprimer les habitants de Jérusalem. [...] Quelques Pères et Psautiers latins ont en effet « in suffocationes », ou « in strangulationes ». (→ 4,371).
125,2 V—juxta Hebr.
125,4 V—juxta Hebr.
125,5 V—juxta Hebr.
Le psautier selon les Hébreux a la leçon : qui declinant ad pravitates suas là où le psautier selon la Septante a : declinantes in obligationes, traduisant exactement le grec tous de ekklinostas eis tas straggalias. obligatio est choisi pour straggalia, qui signifie « lacet, cordon pour étrangler ». Le traducteur latin interprète ces lacets, cordons qui étranglent comme des obligations, en pensant probablement aux tephillin et aux tsitsits juifs, qui représentent les commandements de la Torah dont le juif pieux s'enserre. Le verset de psaume devient alors une attaque contre les fidèles du Seigneur qui « dévient en des obligations », selon une rhétorique toute paulinienne : les juifs qui s'entourent de lois qui donnent la mort ou les judéo-chrétiens qui y retournent. L'exclamation « paix sur Israël ! » qui suit immédiatement dans le psaume se charge alors d'un appel à Israël à se délester de ces obligations ou, pire, d'une revendication de l'Église d'être le nouvel Israël tandis que la Synagogue est vouée par Dieu au même sort que les impies.
126,1 V—IUXTA HEBR.
126,4 V—IUXTA HEBR.
126,2 V—IUXTA HEBR.
127,4 V—IUXTA HEBR.
127,5 V—IUXTA HEBR.
129,2 V—IUXTA HEBR.
129,3 V—IUXTA HEBR.
129,4 V—IUXTA HEBR.
129,6 V—IUXTA HEBR.
129,7 V—IUXTA HEBR.
129,8 V—IUXTA HEBR.
132,3 je n'entrerai pas V littéralement : si j'entre = je n'entrerai pas, le « si » dans les formules de serment : ut iuravi in ira mea : si introibunt in requiem meam (Ps. 94 (95),11 : j'ai juré dans ma colère : ils n'entreront pas dans mon repos (cf. →) Dict.
132,1 V—IUXTA HEBR.
132,2 V—IUXTA HEBR.
132,3 V—IUXTA HEBR.
132,6 V—IUXTA HEBR.
132,9 V—IUXTA HEBR.
132,7 V—IUXTA HEBR.
132,12 V—IUXTA HEBR.
132,13 V—IUXTA HEBR.
132,15 V—IUXTA HEBR.
132,17 V—IUXTA HEBR.
132,5 V—IUXTA HEBR.
132,8 V—IUXTA HEBR.
132,16 V—IUXTA HEBR.
132,18 V—IUXTA HEBR.
133,1 V—IUXTA HEBR.
133,2 V—IUXTA HEBR.
133,3 V—IUXTA HEBR.
134,1 V—IUXTA HEBR.
134,2 V—IUXTA HEBR.
134,3 V—IUXTA HEBR.
135,3 V—IUXTA HEBR.
135,4 V—IUXTA HEBR.
135,5 V—IUXTA HEBR.
135,7 V—IUXTA HEBR.
135,14 V—IUXTA HEBR.
135,20 V—IUXTA HEBR.
135,14b V—IUXTA G Blaise traduit le verbe depreco comme deprecor de ce verset par « se laisser fléchir par des prières » (→). Dict.
135,15 V—IUXTA HEBR.
136,1 V—IUXTA HEBR.
136,5 V—IUXTA HEBR.
136,12 V—IUXTA HEBR.
136,25 V—IUXTA HEBR.
136,26 V—IUXTA HEBR.
136,16 V—IUXTA HEBR.
144,1 V—IUXTA HEBR.
137,1 V—IUXTA HEBR.
137,2 V—IUXTA HEBR.
137,3 V—IUXTA HEBR.
137,6 V—IUXTA HEBR.
137,8 V—IUXTA HEBR.
143,2 V—IUXTA HEBR.
143,3 V—IUXTA HEBR.
143,4 V—IUXTA HEBR.
143,5 V—IUXTA HEBR.
143,6 V—IUXTA HEBR.
143,7 V—IUXTA HEBR.
143,1 V—IUXTA HEBR.
143,8 V—IUXTA HEBR.
143,9 V—IUXTA HEBR.
143,10 V—IUXTA HEBR.
143,11 V—IUXTA HEBR.
143,12 V—IUXTA HEBR.
142,1 V—IUXTA HEBR.
142,2 V—IUXTA HEBR.
142,3 V—IUXTA HEBR.
142,4 V—IUXTA HEBR.
142,5 V—IUXTA HEBR.
142,6 V—IUXTA HEBR.
142,7 V—IUXTA HEBR.
142,8 V—IUXTA HEBR.
141,1 V—IUXTA HEBR.
141,2 V—IUXTA HEBR.
141,3 V—IUXTA HEBR.
141,4 V—IUXTA HEBR.
141,5 V—IUXTA HEBR.
141,6 V—IUXTA HEBR.
141,7 V—IUXTA HEBR.
141,8 V—IUXTA HEBR.
141,9 V—IUXTA HEBR.
141,10 V—IUXTA HEBR.
140,1 V—IUXTA HEBR.
140,2 V—IUXTA HEBR.
140,3 V—IUXTA HEBR.
140,4 V—IUXTA HEBR.
140,5 V—IUXTA HEBR.
140,6 V—IUXTA HEBR.
140,7 V—IUXTA HEBR.
140,8 V—IUXTA HEBR.
140,9 V—IUXTA HEBR.
140,10 V—IUXTA HEBR.
140,11 V—IUXTA HEBR.
140,12 V—IUXTA HEBR.
140,13 V—IUXTA HEBR.
140,14 V—IUXTA HEBR.
138,1 V—IUXTA HEBR.
138,2 V—IUXTA HEBR.
138,4 V—IUXTA HEBR.
138,8 V—IUXTA HEBR.
138,7 V—IUXTA HEBR.
139,3 V—IUXTA HEBR.
139,4 V—IUXTA HEBR.
139,5 V—IUXTA HEBR.
139,6 V—IUXTA HEBR.
139,9 V—IUXTA HEBR.
139,13 V—IUXTA HEBR.
139,16 V—IUXTA HEBR.
139,23 V—IUXTA HEBR.
139,24 V—IUXTA HEBR.
74,19a confesse V—IUXTA G : confitentem Pour les sens du verbe confiteor, voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29. La V—IUXTA HEBR. a donné exceptionnellement un autre verbe, voir Comparaison des versions Ps 74,19.
100,4ac (V) Pour les sens des mots confiteor et confessio, voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29. La V—IUXTA G a deux mots de la même famille, alors que la V—IUXTA HEBR. au lieu de in confessione, a traduit in gratiarum actione en 4a, mais en 4c a gardé le même verbe confitemini.
91,3 V—IUXTA HEBR.
91,14 V—IUXTA HEBR.
99,3 qu'ils célèbrent (V) confiteantur Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
105,1 pensées V = projets
105,19 vint sa parole = s'accomplit sa parole
105,28b il n'irrita pas ses paroles V—IUXTA G Le sens de la V—IUXTA G paraît être que Dieu accomplit intégralement son dessein contre les Égyptiens en ne rendant pas vaine ses paroles, en ne les rétractant point.
105,36 les prémices de tout sein maternel V ou : les prémices de tout enfantement
105,1a Confessez (V) Confitemini Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
107,6 V—IUXTA HEBR.
107,1a.8a.15a.21a.31a Confessez | qu'ils confessent (V) Confitemini | confiteantur Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
108,4a confesserai (V) confitebor Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
109,1–31 confesserai (V) confitebor Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
111,1a Je confesserai (V) Confitebor Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
119,7a.62 je te confesserai | pour te confesser (V) confitebor | ad confitendum Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 117,1.19.21.28.29.
119,5.8.12.16.20.23s.26s.33.48.54.56.62.64.68.71.80.83.93s.112.117.124.135.141.145.155.171 ordonnances | règles (V) iustificationes Iustificatio signifie dans ce psaume la « loi pleine de justice », ses ordonnances, ses dispositions, ses prescriptions.
119,123 vers ton salut (V) in salutare tuum Le substantif salutare est ici à l'accusatif neutre. Dans la littérature chrétienne, on trouve aussi le substantif salutaris masculin qui peut signifier soit « salut » soit « sauveur ». Les deux s'emploient — le substantif masc. ou le neutre — dans les sacramentaires comme dans l'expression Deus, salutaris noster (Leon. 174) Dieu, notre Sauveur.
122,1–9 pour confesser (V) ad confitendum Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
136,18 V—IUXTA HEBR.
138,1a.2b.4a confesserai | confessent (V) Confitebor | confiteantur Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
139,14a Je te louerai (V) Confitebor tibi Ou : je te confesserai. Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
140,14a confesseront (V) confitebuntur Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
142,8b pour confesser (V) ad confitendum Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
28,7d je lui rendrai grâces (V) confitebor ei Ou : je le confesserai, je le louerai. Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
30,10c.13b te rendra-t-elle grâces | je te rendrai grâces (V) confitebitur tibi | contifebor tibi Ou : te confessera-t-elle. Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
32,5c je confesserai (V) confitebor Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
33,2a Rendez grâces (V) Confitemini Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
35,18a Je te rendrai grâces (V) Confitebor Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
57,10a Je te rendrai grâces (V) confitebor tibi Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
67,4.6 te rendent grâces (V) confiteantur tibi Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
79,13b nous te confesserons (V) confitebimur tibi Ou : nous te rendrons grâces / nous te louerons. Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
89,6a confesseront (V) confitebuntur Ou : loueront. Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
16,1 V—IUXTA HEBR.
16,2 V—IUXTA HEBR.
16,3 V—IUXTA HEBR.
16,4 V—IUXTA HEBR.
16,5 V—IUXTA HEBR.
16,6 V—IUXTA HEBR.
16,7 V—IUXTA HEBR.
16,8 V—IUXTA HEBR.
16,9 V—IUXTA HEBR.
16,10 V—IUXTA HEBR.
16,11 V—IUXTA HEBR.
17,14b des mortels ─ Hors de l'univers : [telle soit] leur part dans la vie Texte incertain On peut également comprendre :
L'ambiguïté est peut-être voulue.
22,30c son âme n'a pas vécu : M | mss hébr., G : mon âme vit pour lui Retouche apportée en fonction de la croyance en la résurrection.
89,3 V—IUXTA HEBR.
89,4 V—IUXTA HEBR.
89,7 V—IUXTA HEBR.
89,10 V—IUXTA HEBR.
89,13 V—IUXTA HEBR.
89,14 V—IUXTA HEBR.
89,15 V—IUXTA HEBR
89,16 V—IUXTA HEBR
89,18 V—IUXTA HEBR
89,19 V—IUXTA HEBR.
89,22 V—IUXTA HEBR.
89,23 V—IUXTA HEBR.
89,24 V—IUXTA HEBR.
89,27 V—IUXTA HEBR.
89,28 V—IUXTA HEBR.
89,29 V—IUXTA HEBR.
89,30 V—IUXTA HEBR.
89,31 V—IUXTA HEBR.
89,32 V—IUXTA HEBR.
89,33 V—IUXTA HEBR.
89,34 V—IUXTA HEBR.
89,35 V—IUXTA HEBR.
89,37 V—IUXTA HEBR.
89,39 V—IUXTA HEBR.
89,40 V—IUXTA HEBR.
89,41 V—IUXTA HEBR.
89,43 V—IUXTA HEBR.
89,44 V—IUXTA HEBR.
89,45 V—IUXTA HEBR.
89,46 V—IUXTA HEBR.
89,52 V—IUXTA HEBR
89,53 V—IUXTA HEBR
89,8 V—IUXTA HEBR.
89,9 V—IUXTA HEBR.
89,11 V—IUXTA HEBR.
89,50 V—IUXTA HEBR.
89,51 V—IUXTA HEBR.
88,1 V—IUXTA HEBR.
88,2 V—IUXTA HEBR.
88,5 V—IUXTA HEBR.
88,7 V—IUXTA HEBR.
88,10 V—IUXTA HEBR.
88,13 V—IUXTA HEBR.
88,12 V—IUXTA HEBR.
88,14 V—IUXTA HEBR.
88,18 V—IUXTA HEBR.
88,6 V—IUXTA HEBR.
88,9 V—IUXTA HEBR.
88,16 V—IUXTA HEBR.
88,15 V—IUXTA HEBR.
88,17 V—IUXTA HEBR.
88,19 V—IUXTA HEBR.
87,4 PS—IUXTA HEBR.
87,6 (V) Variante
87,4 (V) Variante
88,8 V—IUXTA HEBR.
88,11 V—IUXTA HEBR.
89,38 V—IUXTA HEBR.
89,49 V—IUXTA HEBR.
17,1 V—IUXTA HEBR.
17,2 V—IUXTA HEBR.
17,4 V—IUXTA HEBR.
17,3 V—IUXTA HEBR.
17,5 V—IUXTA HEBR.
17,6 V—IUXTA HEBR.
17,7 V—IUXTA HEBR.
17,8 V—IUXTA HEBR.
17,9 V—IUXTA HEBR.
17,10 V—IUXTA HEBR.
17,11 V—IUXTA HEBR.
17,12 V—IUXTA HEBR.
17,13 V—IUXTA HEBR.
17,14 V—IUXTA HEBR.
17,15 V—IUXTA HEBR.
18,1 V—IUXTA HEBR.
18,2 V—IUXTA HEBR.
18,3 V—IUXTA HEBR.
18,4 V—IUXTA HEBR.
18,5 V—IUXTA HEBR.
18,6 V—IUXTA HEBR.
18,7 V—IUXTA HEBR.
18,8 V—IUXTA HEBR.
18,9 V—IUXTA HEBR.
18,10 V—IUXTA HEBR.
18,11 V—IUXTA HEBR.
18,12 V—IUXTA HEBR.
18,13 V—IUXTA HEBR.
18,14 V—IUXTA HEBR.
18,15 V—IUXTA HEBR.
18,16 V—IUXTA HEBR.
90,3 V— IUXTA HEBR.
90,4 V—IUXTA HEBR.
90,5 V—IUXTA HEBR.
90,7 V—IUXTA HEBR.
90,8 V—IUXTA HEBR.
90,9 V—IUXTA HEBR.
90,11 V—IUXTA HEBR.
90,14 V—IUXTA HEBR.
90,15 V—IUXTA HEBR.
90,16 V—IUXTA HEBR.
90,6 V—IUXTA HEBR.
90,12 V—IUXTA HEBR.
86,6 V—IUXTA HEBR.
86,11 V—IUXTA HEBR.
85,6 V—IUXTA HEBR.
85,3 V—IUXTA HEBR.
85,2 V—IUXTA HEBR.
85,1 V—IUXTA HEBR.
85,13 V—IUXTA HEBR.
84,4 V—IUXTA HEBR.
84,10 V—IUXTA HEBR.
84,11 V—IUXTA HEBR.
84,13 V—IUXTA HEBR.
84,9 V—IUXTA HEBR.
82,1 V—IUXTA HEBR.
82,2 V—IUXTA HEBR.
82,3 V—IUXTA HEBR.
82,7 V—IUXTA HEBR.
82,6 V—IUXTA HEBR.
18,17 V—IUXTA HEBR.
18,18 V—IUXTA HEBR.
18,19 V—IUXTA HEBR.
18,20 V—IUXTA HEBR.
18,21 V—IUXTA HEBR.
18,22 V—IUXTA HEBR.
18,23 V—IUXTA HEBR.
18,24 V—IUXTA HEBR.
18,25 V—IUXTA HEBR.
18,26 V—IUXTA HEBR.
18,27 V—IUXTA HEBR.
18,28 V—IUXTA HEBR.
18,29 V—IUXTA HEBR.
18,30 V—IUXTA HEBR.
18,31 V—IUXTA HEBR.
18,32 V—IUXTA HEBR.
18,33 V—IUXTA HEBR.
18,34 V—IUXTA HEBR.
18,35 V—IUXTA HEBR.
18,36 V—IUXTA HEBR.
18,37 V—IUXTA HEBR.
18,38 V—IUXTA HEBR.
18,39 V—IUXTA HEBR.
18,40 V—IUXTA HEBR.
18,41 V—IUXTA HEBR.
18,42 V—IUXTA HEBR.
18,43 V—IUXTA HEBR.
18,44 V—IUXTA HEBR.
18,45 V—IUXTA HEBR.
18,46 V—IUXTA HEBR.
18,47 V—IUXTA HEBR.
18,48 V—IUXTA HEBR.
18,49 V—IUXTA HEBR.
18,50 V—IUXTA HEBR.
19,8 V—IUXTA HEBR.
19,9 V—IUXTA HEBR.
19,11 V—IUXTA HEBR.
19,10 V—IUXTA HEBR.
19,12 V—IUXTA HEBR.
19,13 V—IUXTA HEBR.
19,14 V—IUXTA HEBR.
19,15 V—IUXTA HEBR.
81,1 V— IUXTA HEBR.
81,6 V— IUXTA HEBR.
81,7 V— IUXTA HEBR.
— J’ai déchargé son épaule du fardeau | et ses mains ont quitté la corbeille.
81,9 V— IUXTA HEBR.
Écoute, mon peuple et je te prends à témoin | Israël, si tu pouvais m’écouter
81,10 V— IUXTA HEBR.
Qu’il n’y ait pas chez toi de dieu étranger | et n’adore pas un dieu emprunté.
81,11 V— IUXTA HEBR.
Je suis le Seigneur, ton Dieu qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte. | Ouvre large ta bouche et je la remplirai.
81,12 V— IUXTA HEBR.
Mais mon peuple n’a pas écouté ma voix | Israël ne m’a pas fait confiance
81,15 V— IUXTA HEBR.
80,2 V—IUXTA HEBR.
80,5 V—IUXTA HEBR.
80,10 V—IUXTA HEBR.
80,12 V—IUXTA HEBR.
80,17 V—IUXTA HEBR.
20,1 V—IUXTA HEBR.
20,2 V—IUXTA HEBR.
20,3 V—IUXTA HEBR.
20,4 V—IUXTA HEBR.
20,5 V—IUXTA HEBR.
20,6 V—IUXTA HEBR.
20,7 V—IUXTA HEBR.
20,8 V—IUXTA HEBR.
20,9 V—IUXTA HEBR.
20,10 V—IUXTA HEBR.
21,1 V—IUXTA HEBR.
21,2 V—IUXTA HEBR.
21,3 V—IUXTA HEBR.
21,4 V—IUXTA HEBR.
21,5 V—IUXTA HEBR.
21,6 V—IUXTA HEBR.
21,7 V—IUXTA HEBR.
21,8 V—IUXTA HEBR.
21,9 V—IUXTA HEBR.
21,10 V—IUXTA HEBR.
21,11 V—IUXTA HEBR.
21,12 V—IUXTA HEBR.
21,13 V—IUXTA HEBR.
21,14 V—IUXTA HEBR.
22,1 V—IUXTA HEBR.
22,2 V—IUXTA HEBR.
22,3 V—IUXTA HEBR.
22,4 V—IUXTA HEBR.
22,5 V—IUXTA HEBR.
22,6 V—IUXTA HEBR.
22,7 V—IUXTA HEBR.
22,8 V—IUXTA HEBR.
22,9 V—IUXTA HEBR.
22,10 V—IUXTA HEBR.
22,11 V—IUXTA HEBR.
22,12 V—IUXTA HEBR.
22,13 V—IUXTA HEBR.
22,14 V—IUXTA HEBR.
22,15 V—IUXTA HEBR.
22,16 V—IUXTA HEBR.
22,17 V—IUXTA HEBR.
22,18 V—IUXTA HEBR.
22,19 V—IUXTA HEBR.
22,20 V—IUXTA HEBR.
22,21 V—IUXTA HEBR.
22,22 V—IUXTA HEBR.
22,23 V—IUXTA HEBR.
22,24 V—IUXTA HEBR.
22,25 V—IUXTA HEBR.
22,26 V—IUXTA HEBR.
22,27 V—IUXTA HEBR.
22,28 V—IUXTA HEBR.
22,29 V—IUXTA HEBR.
22,30 V—IUXTA HEBR.
22,31 V—IUXTA HEBR.
22,32 V—IUXTA HEBR.
79,1 V—IUXTA HEBR.
79,6 V—IUXTA HEBR.
79,7 V—IUXTA HEBR.
79,8
79,11 V—IUXTA HEBR.
79,13 V—IUXTA HEBR.
79,10 V—IUXTA HEBR.
24,1 V—IUXTA HEBR.
24,2 V—IUXTA HEBR.
24,3 V—IUXTA HEBR.
24,4 V—IUXTA HEBR.
24,5 V—IUXTA HEBR.
24,6 V—IUXTA HEBR.
24,7 V—IUXTA HEBR.
24,8 V—IUXTA HEBR.
24,9 V—IUXTA HEBR.
24,10 V—IUXTA HEBR.
25,1 V—IUXTA HEBR.
25,2 V—IUXTA HEBR.
25,3 V—IUXTA HEBR.
78,38 il détournera facilement Albert Blaise dans une note propose cette traduction pour abundavit ut averteret iram suam de la version de la Vulgate Sixto-Clémentine : « il a détourné facilement sa colère ». (→BlaiseVoc. T.L. 178 note 2).
78,5 V—IUXTA HEBR.
78,7 V—IUXTA HEBR.
78,9 V—IUXTA HEBR.
78,10 V—IUXTA HEBR.
78,12 V—IUXTA HEBR.
78,17 V—IUXTA HEBR.
78,20 V—IUXTA HEBR.
78,30 V—IUXTA HEBR.
78,31 V—IUXTA HEBR.
78,34 V—IUXTA HEBR.
78,36 V—IUXTA HEBR.
78,37 V—IUXTA HEBR.
78,40 V—IUXTA HEBR.
78,48 V—IUXTA HEBR.
78,52 V—IUXTA HEBR.
78,57 V—IUXTA HEBR.
78,64 V—IUXTA HEBR.
78,69 V—IUXTA HEBR.
77,1 V—IUXTA HEBR.
77,5 V—IUXTA HEBR.
77,7 V—IUXTA HEBR.
77,10 V—IUXTA HEBR.
77,16 V—IUXTA HEBR.
77,17 V—IUXTA HEBR.
77,18 V—IUXTA HEBR.
77,19 V—IUXTA HEBR.
77,21 V—IUXTA HEBR.
77,2 V—IUXTA HEBR.
77,3 V—IUXTA HEBR.
77,4 V—IUXTA HEBR.
77,9 V—IUXTA HEBR.
77,11 V—IUXTA HEBR.
77,12
77,13 V—IUXTA HEBR.
77,15 V—IUXTA HEBR.
76,1 V—IUXTA HEBR.
76,2 V—IUXTA HEBR.
76,3 V—IUXTA HEBR.
76,7 V—IUXTA HEBR
76,9 V—IUXTA HEBR
76,10 V—IUXTA HEBR
76,4 V—IUXTA HEBR.
76,5 V—IUXTA HEBR.
76,6 V—IUXTA HEBR
76,13 V—IUXTA HEBR
76,11 V—IUXTA HEBR
75,1 V—IUXTA HEBR.
75,2 V—IUXTA HEBR.
75,4 V—IUXTA HEBR.
75,8 V—IUXTA HEBR.
75,11 V—IUXTA HEBR.
75,5 V—IUXTA HEBR.
75,6 V—IUXTA HEBR.
75,7 V—IUXTA HEBR.
74,7 V—IUXTA HEBR.
74,9 V—IUXTA HEBR.
74,10 V—IUXTA HEBR.
74,11 V—IUXTA HEBR.
74,13 V—IUXTA HEBR.
74,15 V—IUXTA HEBR.
74,17 V—IUXTA HEBR.
74,21 V—IUXTA HEBR.
74,22 V—IUXTA HEBR.
74,23 V—IUXTA HEBR.
74,3 V—IUXTA HEBR.
74,4 V—IUXTA HEBR.
74,5 V—IUXTA HEBR.
74,12 V—IUXTA HEBR.
74,16
74,19 V—IUXTA HEBR.
74,1 V—IUXTA HEBR.
73,28c actions dignes d'être connues V—IUXTA G Le mot latin employé ici est praedicatio, terme classique signifiant une action de crier en public : publication, proclamation et par suite action de vanter ou de se vanter, pompeux éloge, apologie. En latin postclassique il prend les sens de : prédiction, prophétie ; action de vanter (cl.) et par métonymie action digne d'être connue, merveille. Il pourra avoir encore les sens d'affirmation solennelle d'une vérité, affirmation d'une opinion, doctrine affirmée, enseignement, etc. (Cf. →) Dict.
73,1 V—IUXTA HEBR.
73,2 V—IUXTA HEBR.
73,3 V—IUXTA HEBR.
73,6 V—IUXTA HEBR.
73,7 V—IUXTA HEBR.
73,8 V—IUXTA HEBR.
73,15 V—IUXTA HEBR.
73,19 V—IUXTA HEBR.
73,20 V—IUXTA HEBR.
73,21 V—IUXTA HEBR.
73,22 V—IUXTA HEBR.
73,24 V—IUXTA HEBR.
73,25 V—IUXTA HEBR.
73,26 V—IUXTA HEBR.
73,10 V—IUXTA HEBR.
73,12 V—IUXTA HEBR.
73,13 V—IUXTA HEBR.
73,14 V—IUXTA HEBR.
73,16 V—IUXTA HEBR.
73,17 V—IUXTA HEBR.
73,18 V—IUXTA HEBR.
73,28 V—IUXTA HEBR.
72,1 V—IUXTA HEBR.
72,4 V—IUXTA HEBR.
72,5 V—IUXTA HEBR.
72,7 V—IUXTA HEBR.
51,7 V—IUXTA HEBR.
51,9 V—IUXTA HEBR.
51,12 V—IUXTA HEBR.
51,15 V—IUXTA HEBR.
51,17 V—IUXTA HEBR.
51,18 V—IUXTA HEBR.
51,21 V—IUXTA HEBR.
72,10 V—IUXTA HEBR.
72,14 V—IUXTA HEBR.
72,15 V—IUXTA HEBR.
72,17 V—IUXTA HEBR.
72,19 V—IUXTA HEBR.
72,2 V—IUXTA HEBR.
72,3 V—IUXTA HEBR.
72,6 V—IUXTA HEBR.
72,8 V—IUXTA HEBR.
72,9 V—IUXTA HEBR.
72,12 V—IUXTA HEBR.
72,16 V—IUXTA HEBR.
72,20 V—IUXTA HEBR.
63,1–12 Hypothèse sur l’histoire de la rédaction Ce Ps a été appliqué à David errant au désert. Le texte a peut-être été retouché en fonction de cette relecture davidique.
63,2a je te cherche : M | Vrs : je suis matinal auprès de toi
138,3 V—IUXTA HEBR.
138,6 V—IUXTA HEBR.
67,1–8 Prière collective après la récolte annuelle. Milieux de vie Ps 15,1–8
139,1 V—IUXTA HEBR.
139,19 V—IUXTA HEBR.
136,15 V—IUXTA HEBR.
135,18 V—IUXTA HEBR.
135,21 V—IUXTA HEBR.
132,11 V—IUXTA HEBR.
132,14 V—IUXTA HEBR.
130,4 V—IUXTA HEBR.
127,2 V—IUXTA HEBR.
126,6 V—IUXTA HEBR.
125,1 V—juxta Hebr.
125,3 V—juxta Hebr.
25,4 V—IUXTA HEBR.
25,5 V—IUXTA HEBR.
25,6 V—IUXTA HEBR.
25,7 V—IUXTA HEBR.
25,8 V—IUXTA HEBR.
25,9 V—IUXTA HEBR.
25,10 V—IUXTA HEBR.
25,11 V—IUXTA HEBR.
25,12 V—IUXTA HEBR.
25,13 V—IUXTA HEBR.
25,14 V—IUXTA HEBR.
25,15 V—IUXTA HEBR.
25,16 V—IUXTA HEBR.
25,17 V—IUXTA HEBR.
25,18 V—IUXTA HEBR.
25,19 V—IUXTA HEBR.
25,20 V—IUXTA HEBR.
25,21 V—IUXTA HEBR.
25,22 V—IUXTA HEBR.
124,2 V—juxta Hebr.
124,1 V—juxta Hebr.
124,4 V—juxta Hebr.
124,6 V—juxta Hebr.
124,8 V—juxta Hebr.
122,1 V—IUXTA HEBR.
122,5 V—IUXTA HEBR.
122,6 V—IUXTA HEBR.
121,2
78,11–31 ÉPISODES Rappel exodal
78,32–39 THÈME L’inconstance d’Israël et de la patience divine
81,1–17 Psaume pour la fête des Tentes La fête des Tentes commémorait le séjour au désert et la Loi reçue au Sinaï. C'était la fête par excellence : →Fêtes religieuses.
120,2 V—IUXTA HEBR.
119,1 V—IUXTA HEBR.
119,7 V—IUXTA HEBR.
Je te confesserai d'un cœur droit en apprenant les jugements de ta justice.
119,9 V—IUXTA HEBR.
119,10 V—IUXTA HEBR.
119,11 V—IUXTA HEBR.
119,12 V—IUXTA HEBR.
119,13 V—IUXTA HEBR.
119,14 V—IUXTA HEBR.
119,15 V—IUXTA HEBR.
119,16 V—IUXTA HEBR.
119,25 V—IUXTA HEBR.
119,26 V—IUXTA HEBR.
119,27 V—IUXTA HEBR.
119,28 V—IUXTA HEBR.
119,29 V—IUXTA HEBR.
119,30 V—IUXTA HEBR.
119,31 V—IUXTA HEBR.
119,32 V—IUXTA HEBR.
119,33 V—IUXTA HEBR.
119,38 V—IUXTA HEBR.
119,40 V—IUXTA HEBR.
119,41 V—IUXTA HEBR.
119,42 V—IUXTA HEBR.
63,2 V—IUXTA HEBR.
63,3 V—IUXTA HEBR.
63,4 V—IUXTA HEBR.
63,6 V—IUXTA HEBR.
87,4a Rahab = l’Égypte
63,8 V—IUXTA HEBR.
63,9 V—IUXTA HEBR.
63,3b je me mis à à ton service (V) Sens spécial V dit ici apparui tibi; en contexte cultuel, apparere + {nom de personne au datif} signifie : « apparaître comme servant, servir. »
87,7 Toutes mes sources [sont] en toi : M | G : l'habitation de tous [est] en toi M semble mal vocalisé.
87,1–7 Parallèle : Sion, mère des peuples Le Ps s'inspire d'Isaïe et de Zacharie. Isaïe annonçait déjà ce rôle maternel de Sion, épouse féconde de YHWH.
87,1–7 Ecclésiologie Par son rôle maternel, Sion figure l'→Église.
87,5a Et l’on dira de Sion : Celui-ci et celui-là y est né Messianisme juif Les païens sont adoptés par Sion, qui devient leur vraie patrie. →Parousie et restauration messianique
88,6a parmi les morts, libre Métaphore négative équivoque On peut comprendre « libéré » dans la tombe (cf. Jb 3,19) ou également « congédié chez les morts ». Ainsi en va-t-il du pauvre affligé : il n'a plus de relations avec Dieu.
89,1–53 Composition
90,1–17 Prière d'un sage pénétré des Écritures (allusions à Gn, Jb, Dt), qui médite sur la faiblesse humaine et la brièveté de la vie écourtée par le péché.
90,1a de Moïse, homme de Dieu Hapax Ce Ps est le seul qui soit attribué à Moïse, peut-être à cause de ses contacts avec Gn et Dt 32.
90,17bc sur nous + affermis l’œuvre de nos mains : M | Conjecture ? : suppression Doublet.
90,13b tes serviteurs Focalisation : généralisation Les v.14-17 vont étendre à tout Israël la méditation et la prière dont l'objet était l'homme seul.
119,71 V—IUXTA HEBR.
119,75 V—IUXTA HEBR.
119,98 V—IUXTA HEBR.
119,130 V—IUXTA HEBR.
119,154 V—IUXTA HEBR.
119,160 V—IUXTA HEBR.
119,173 V—IUXTA HEBR.
118,8 V—IUXTA HEBR.
118,7 V—IUXTA HEBR.
26,1 V—IUXTA HEBR.
26,2 V—IUXTA HEBR.
26,3 V—IUXTA HEBR.
26,4 V—IUXTA HEBR.
26,6 V—IUXTA HEBR.
26,5 V—IUXTA HEBR.
26,7 V—IUXTA HEBR.
26,8 V—IUXTA HEBR.
26,9 V—IUXTA HEBR.
26,10 V—IUXTA HEBR.
26,11 V—IUXTA HEBR.
26,12 V—IUXTA HEBR.
118,27 V—IUXTA HEBR.
117,2 V—IUXTA HEBR.
117,1 V—IUXTA HEBR.
116,1 V—IUXTA HEBR.
116,5 V—IUXTA HEBR.
116,9 V—IUXTA HEBR.
116,15 V—IUXTA HEBR.
116,12 V—IUXTA HEBR.
116,4 V—IUXTA HEBR.
116,16 V—IUXTA HEBR.
115,7 V—IUXTA HEBR.
115,10 V—IUXTA HEBR.
114,7 V—IUXTA HEBR.
113,5 V—IUXTA HEBR.
119,48 V—IUXTA HEBR.
119,47 V—IUXTA HEBR.
119,46 V—IUXTA HEBR.
119,45 V—IUXTA HEBR.
119,44 V—IUXTA HEBR.
119,43 V—IUXTA HEBR.
119,59 V—IUXTA HEBR.
119,60 V—IUXTA HEBR.
119,162 V—IUXTA HEBR.
119,172 V—IUXTA HEBR.
119,90 V—IUXTA HEBR.
119,91 V—IUXTA HEBR.
119,80 V—IUXTA HEBR.
119,79 V—IUXTA HEBR.
119,76 V—IUXTA HEBR.
119,73 V—IUXTA HEBR.
119,74 V—IUXTA HEBR.
119,77 V—IUXTA HEBR.
119,78 V—IUXTA HEBR.
119,64 V—IUXTA HEBR.
119,63 V—IUXTA HEBR.
119,62 V—IUXTA HEBR.
119,1b Loi Tôrāh : une signification très riche Le premier verset donne le thème unique de tout le psaume : au-dela du nomos grec ou de la lex latine, le lecteur doit entendre la « Loi »-Tora en un sens beaucoup plus riche que celui d'une règle à appliquer, et qui inclut l'oracle, l'enseignement, la pédagogie, l'éducation : →La loi dans le judaïsme.
109,2 V—IUXTA HEBR.
109,3 V—IUXTA HEBR.
109,13 V—IUXTA HEBR.
109,15 V—IUXTA HEBR.
109,18 V—IUXTA HEBR.
109,7 V—IUXTA HEBR.
109,19 V—IUXTA HEBR.
108,2 V—IUXTA HEBR.
107,2 V—IUXTA HEBR.
107,5 V—IUXTA HEBR.
107,22 V—IUXTA HEBR.
107,25 dans la louange
90,1b refuge : mss hébr., G | M : demeure
90,12 Prière sapientielle De la connaissance de la fragilité humaine procède la sagesse, qui est crainte de Dieu : →Crainte.
93,4b des flots impétueux : M | Conjecture ? : plus impétueux que les flots
93,3s Métaphores Les eaux pourraient désigner les forces hostiles à Dieu et à son peuple (Intertextualité biblique Ps 18,5b ; Milieux de vie Jb 7,12 ; Is 8,7 ; 17,12 ; Dn 7,2 ; Ap 17,15).
93,2 ton trône RELIGION Représentation céleste Le ciel est le palais où Dieu a son trône (Ps 8,3).
93,1–5 Allégorie Ce Ps est appliqué allégoriquement au Christ.
93,5a Tes témoignages : M | Conjecture ? : Ton témoignage Ces arrêts divins constituent la Loi révélée, aussi immuable que l'univers physique, fondement du règne définitif de YHWH en Israël comme dans la création.
93,5bc Sainteté du Temple Consacré pour toujours (1R 8,13 ; 9,3), le Temple consacre ceux qui y approchent le Dieu saint (Ex 19,6 ; Lv 10,3 ; 19,2 ; Ez 42,14 ; →Élection).
95,11b repos THÈME Le repos du septième jour ? Dans He 3,7-8 (jusqu'à He 4,9), le repos est interprété au sens spirituel : ce sera le sabbat définitif. Procédés littéraires Ps 15,11b
27,1 V—IUXTA HEBR.
27,2 V—IUXTA HEBR.
27,3 V—IUXTA HEBR.
27,4 V—IUXTA HEBR.
27,5 V—IUXTA HEBR.
27,6 V—IUXTA HEBR.
27,7 V—IUXTA HEBR.
27,8 V—IUXTA HEBR.
27,9 V—IUXTA HEBR.
27,10 V—IUXTA HEBR.
27,11 V—IUXTA HEBR.
27,12 V—IUXTA HEBR.
27,13 V—IUXTA HEBR.
27,14 V—IUXTA HEBR.
106,1 V—IUXTA HEBR.
118,1 V—IUXTA HEBR.
106,2 V—IUXTA HEBR.
106,5 V—IUXTA HEBR.
106,6 V—IUXTA HEBR.
106,7 V—IUXTA HEBR.
106,9 V—IUXTA HEBR.
107,41 V—IUXTA HEBR.
107,1 V—IUXTA HEBR.
106,15 V—IUXTA HEBR.
106,40 V—IUXTA HEBR.
105,1 V IUXTA HEBR.
105,2 V IUXTA HEBR.
105,3 V IUXTA HEBR.
105,4 V IUXTA HEBR.
105,5 V IUXTA HEBR.
105,8 V IUXTA HEBR.
105,9 V—IUXTA HEBR.
105,10 V IUXTA HEBR.
105,12 V JUXTA HEBR.
105,15 V—IUXTA HEBR.
105,17 V JUXTA HEBR.
105,19 V—IUXTA HEBR.
105,27 V—IUXTA HEBR.
105,23 V—IUXTA HEBR.
105,42 V—IUXTA HEBR.
28,1 V—IUXTA HEBR.
28,2 V—IUXTA HEBR.
28,3 V—IUXTA HEBR.
28,4 V—IUXTA HEBR.
28,5 V—IUXTA HEBR.
28,6 V—IUXTA HEBR.
28,7 V—IUXTA HEBR.
28,8 V—IUXTA HEBR.
28,9 V—IUXTA HEBR.
105,12b étrangers V—IUXTA G : Incola Glaire et Fillion ont très bien traduit par « étrangers ». En effet incola (incolo) signifie non seulement habitant, mais encore étranger domicilié qui n'a pas les droits de citoyen (opposé à civis). Jérôme utilise encore le substantif incolatus avec les sens de « résidence en pays étranger, séjour sur la terre, exil ».
103,1 V—IUXTA HEBR.
103,4 V—IUXTA HEBR.
103,5 V—IUXTA HEBR.
103,16 V—IUXTA HEBR.
101,1 V—IUXTA HEBR.
100,1 V—IUXTA HEBR.
100,2 V—IUXTA HEBR.
100,3 V—IUXTA HEBR.
100,4 V—IUXTA HEBR.
99,3 V—IUXTA HEBR.
99,8 V—IUXTA HEBR.
98,4 V—IUXTA HEBR.
98,8 V—IUXTA HEBR. Les fleuves frapperont de la main | ensemble les montagnes loueront
97,2 V—IUXTA HEBR.
97,4 V—IUXTA HEBR.
97,7 V—IUXTA HEBR.
97,12 V—IUXTA HEBR.
96,11 V—IUXTA Hebr.
95,2 V-IUXTA HEBR.
127,1–5 L’abandon à la Providence Le labeur de l'homme est voué à l'échec si Dieu ne le féconde ; pain quotidien et descendance sont des dons de Dieu.
29,1 V—IUXTA HEBR.
29,2 V—IUXTA HEBR.
29,3 V—IUXTA HEBR.
29,4 V—IUXTA HEBR.
29,5 V—IUXTA HEBR.
29,6 V—IUXTA HEBR.
29,7 V—IUXTA HEBR.
29,8 V—IUXTA HEBR.
29,9 V—IUXTA HEBR.
29,10 V—IUXTA HEBR.
29,11 V—IUXTA HEBR.
94,3 V—IUXTA HEBR.
94,1 V—IUXTA HEBR.
94,5 V—IUXTA HEBR.
94,7 V—IUXTA HEBR.
94,12 V—IUXTA HEBR.
94,13 V—IUXTA HEBR.
94,15 V—IUXTA HEBR.
94,18 V—IUXTA HEBR.
94,8 V—IUXTA HEBR.
30,1 V—IUXTA HEBR.
30,2 V—IUXTA HEBR.
30,3 V—IUXTA HEBR.
30,4 V—IUXTA HEBR.
30,5 V—IUXTA HEBR.
30,6 V—IUXTA HEBR.
30,7 V—IUXTA HEBR.
30,8 V—IUXTA HEBR.
30,9 V—IUXTA HEBR.
30,10 V—IUXTA HEBR.
30,11 V—IUXTA HEBR.
30,12 V—IUXTA HEBR.
30,13 V—IUXTA HEBR.
93,1 V—IUXTA HEBR.
93,2 V—IUXTA HEBR.
93,4 V—IUXTA HEBR.
92,3 V—IUXTA HEBR.
91,13 V—IUXTA HEBR.
90,10 V—IUXTA HEBR.
90,17 V—IUXTA HEBR.
89,1 V— IUXTA HEBR.
89,5 V—IUXTA HEBR.
89,20 V—IUXTA HEBR.
89,40 V—IUXTA HEBR.
89,47 V—IUXTA HEBR.
89,48 V—IUXTA HEBR.
32,1 V—IUXTA HEBR.
32,2 V—IUXTA HEBR.
32,3 V—IUXTA HEBR.
32,4 V—IUXTA HEBR.
32,5 V—IUXTA HEBR.
32,6 V—IUXTA HEBR.
88,4 PS—IUXTA HEBR.
87,1 PS—IUXTA HEBR.
87,5 PS—IUXTA HEBR.
Et l’on dira auprès de Sion : — Un homme et un homme est né en elle | c’est Lui, le Très-Haut, qui l’a fondée.
86,1 V—IUXTA HEBR.
86,2 V—IUXTA HEBR.
86,5 V—IUXTA HEBR.
85,7 V—IUXTA HEBR.
85,5 V—IUXTA HEBR.
85,8 V—IUXTA HEBR.
85,9 V—IUXTA HEBR.
85,11 V—IUXTA HEBR.
Miséricorde et vérité se sont rencontrées | justice et paix se sont embrassées
32,7 V—IUXTA HEBR.
32,8 V—IUXTA HEBR.
32,9 V—IUXTA HEBR.
32,10 V—IUXTA HEBR.
32,11 V—IUXTA HEBR.
84,1 V—IUXTA HEBR.
84,5 V—IUXTA HEBR.
Heureux ceux qui habitent ta maison. Ils te loueront encore. | TOUJOURS.
84,12 V—IUXTA HEBR.
83,4 V— IUXTA HEBR.
83,8 V— IUXTA HEBR.
Gébal, Ammon et Amalec | la Palestine avec les habitants de Tyr
83,9 V— IUXTA HEBR.
83,15 V— IUXTA HEBR.
83,16 V— IUXTA HEBR.
33,1 V—IUXTA HEBR.
142,1–8 Complainte individuelle
33,2 V—IUXTA HEBR.
33,3 V—IUXTA HEBR.
33,4 V—IUXTA HEBR.
33,5 V—IUXTA HEBR.
33,6 V—IUXTA HEBR.
33,7 V—IUXTA HEBR.
33,8 V—IUXTA HEBR.
33,9 V—IUXTA HEBR.
33,10 V—IUXTA HEBR.
33,11 V—IUXTA HEBR.
33,12 V—IUXTA HEBR.
33,13 V—IUXTA HEBR.
33,14 V—IUXTA HEBR.
33,15 V—IUXTA HEBR.
33,16 V—IUXTA HEBR.
33,17 V—IUXTA HEBR.
33,18 V—IUXTA HEBR.
33,19 V—IUXTA HEBR.
33,20 V—IUXTA HEBR.
143,1a De David : M | G V Addition : Quand le fils (Absalom) le poursuivait Cf. Ps 63,1 ; 2S 15,13-14.
33,21 V—IUXTA HEBR.
33,22 V—IUXTA HEBR.
143,9 j’ai couvert : M | Hie : je suis à couvert | G : j’ai fui
82,4 V—IUXTA HEBR.
82,5 V—IUXTA HEBR.
82,8 V—IUXTA HEBR.
81,5 V— IUXTA HEBR.
Car c’est une loi rituelle pour Israël et une ordonnance du Dieu de Jacob.
80,1 V—IUXTA HEBR.
80,6 V—IUXTA HEBR.
78,26a Auster V Auster est le vent du midi. Auster et africus sont des expressions synonymes.
78,1 V—IUXTA HEBR.
78,8 V—IUXTA HEBR.
78,13 V—IUXTA HEBR.
78,19 V—IUXTA HEBR.
78,21 V—IUXTA HEBR.
78,26 V—IUXTA HEBR.
78,35 V—IUXTA HEBR.
78,38 V—IUXTA HEBR.
78,53 V—IUXTA HEBR.
78,59 V—IUXTA HEBR.
77,6 V—IUXTA HEBR.
77,14 V—IUXTA HEBR.
76,8 V—IUXTA HEBR
75,9 V—IUXTA HEBR.
74,6 V—IUXTA HEBR.
74,8 V—IUXTA HEBR.
74,18 V—IUXTA HEBR.
74,20 V—IUXTA HEBR.
73,4 V—IUXTA HEBR.
73,22 V—IUXTA HEBR.
73,27 V—IUXTA HEBR.
71,2 V—IUXTA HEBR.
71,3 V—IUXTA HEBR.
71,4 V—IUXTA HEBR.
71,6 V—IUXTA HEBR.
71,8 V—IUXTA HEBR.
71,9 V—IUXTA HEBR.
71,12 V—IUXTA HEBR.
71,13 V—IUXTA HEBR.
71,14 V—IUXTA HEBR.
71,16 V—IUXTA HEBR.
71,17 V—IUXTA HEBR.
71,19 V—IUXTA HEBR.
71,24 V—IUXTA HEBR.
71,1 V—IUXTA HEBR.
71,5 V—IUXTA HEBR.
71,7 V—IUXTA HEBR.
71,10 V—IUXTA HEBR.
71,15 V—IUXTA HEBR.
71,18 V—IUXTA HEBR.
71,20 V—IUXTA HEBR.
71,21 V—IUXTA HEBR.
71,23 V—IUXTA HEBR.
71,22 V—IUXTA HEBR.
70,2 V—IUXTA HEBR.
70,4 V—IUXTA HEBR.
70,3 V—IUXTA HEBR.
70,1 V—IUXTA HEBR.
70,5 V—IUXTA HEBR.
70,6 V—IUXTA HEBR.
69,1 V—IUXTA HEBR.
69,2 V—IUXTA HEBR.
69,3 V—IUXTA HEBR.
69,4 V—IUXTA HEBR.
69,5 V—IUXTA HEBR.
69,6 V—IUXTA HEBR.
69,7 V—IUXTA HEBR.
69,11 V—IUXTA HEBR.
69,12 V—IUXTA HEBR.
69,13 V—IUXTA HEBR.
69,14 V—IUXTA HEBR.
69,15 V—IUXTA HEBR.
69,16 V—IUXTA HEBR.
69,17 V—IUXTA HEBR.
69,18 V—IUXTA HEBR.
69,19 V—IUXTA HEBR.
69,20 V—IUXTA HEBR.
69,21 V—IUXTA HEBR.
69,24 V—IUXTA HEBR.
69,25 V—IUXTA HEBR.
69,27 V—IUXTA HEBR.
69,28 V—IUXTA HEBR.
69,30 V—IUXTA HEBR.
69,31 V—IUXTA HEBR.
69,32 V—IUXTA HEBR.
69,36 V—IUXTA HEBR.
69,37 V—IUXTA HEBR.
69,23 V—IUXTA HEBR.
69,8 Seigneur, Dieu des armées
69,33 V—IUXTA HEBR.
68,1 V—IUXTA HEBR.
68,3 V—IUXTA HEBR.
68,8 V—IUXTA HEBR.
68,27 V—IUXTA HEBR.
Dans les assemblées bénissez Dieu, le Seigneur | [vous qui êtes issus] des sources d’Israël.
68,36 V—IUXTA HEBR.
Redoutable est Dieu depuis son sanctuaire | Lui, le Dieu d’Israël, donnera à son peuple force et puissance. Béni soit Dieu !
67,1 V—IUXTA HEBR.
67,2 V—IUXTA HEBR.
67,3 V—IUXTA HEBR.
67,5 V—IUXTA HEBR.
66,1 V—IUXTA HEBR.
66,2 V—IUXTA HEBR.
66,3 V—IUXTA HEBR.
66,4 V—IUXTA HEBR.
66,5 V—IUXTA HEBR.
66,7 V—IUXTA HEBR.
66,8 V—IUXTA HEBR.
66,9 V—IUXTA HEBR.
66,10 V—IUXTA HEBR.
66,11 V—IUXTA HEBR.
66,14 V—IUXTA HEBR.
66,15 V—IUXTA HEBR.
66,17 V—IUXTA HEBR.
66,16 V—IUXTA HEBR.
65,4 V—IUXTA HEBR.
65,7 V—IUXTA HEBR.
65,8 V—IUXTA HEBR.
65,12 V—IUXTA HEBR.
65,13 V—IUXTA HEBR.
65,14 V—IUXTA HEBR.
65,6 Dieu notre sauveur V—IUXTA G Cf. Vocabulaire Ps 95,1c.
65,2 V—IUXTA HEBR.
65,3 V—IUXTA HEBR.
65,5 V—IUXTA HEBR.
65,6 V—IUXTA HEBR.
65,9
65,10 V—IUXTA HEBR.
65,11 V—IUXTA HEBR.
64,1 V—IUXTA HEBR
64,3 V—IUXTA HEBR
64,4 V—IUXTA HEBR
64,5 V—IUXTA HEBR
64,9 V—IUXTA HEBR.
37,2 V—IUXTA HEBR.
64,2 V—IUXTA HEBR
64,7 V—IUXTA HEBR.
64,8 V—IUXTA HEBR.
64,6 V—IUXTA HEBR
64,10 V—IUXTA HEBR.
64,11 V—IUXTA HEBR.
63,1 V—IUXTA HEBR.
63,7 V—IUXTA HEBR.
63,10 V—IUXTA HEBR.
63,11 V—IUXTA HEBR.
63,12 V—IUXTA HEBR.
62,1 V—IUXTA HEBR.
62,2 V—IUXTA HEBR.
62,3 V—IUXTA HEBR.
62,4 V—IUXTA HEBR.
62,7 V—IUXTA HEBR.
62,9 V—IUXTA HEBR.
62,11 V—IUXTA HEBR.
62,12 V—IUXTA HEBR.
62,13 V—IUXTA HEBR.
62,5 V—IUXTA HEBR.
62,6 V—IUXTA HEBR.
62,8 V—IUXTA HEBR.
62,10 V—IUXTA HEBR.
61,1 V—IUXTA HEBR.
61,2 V—IUXTA HEBR.
61,3 V—IUXTA HEBR.
61,6 V—IUXTA HEBR.
61,8 V—IUXTA HEBR.
61,9 V—IUXTA HEBR.
61,5 V—IUXTA HEBR.
61,4 V—IUXTA HEBR.
61,7 V—IUXTA HEBR.
60,14 V—IUXTA HEBR.
60,13 V—IUXTA HEBR.
60,12 V—IUXTA HEBR.
60,9 V—IUXTA HEBR.
60,8 V—IUXTA HEBR.
60,5 V—IUXTA HEBR.
60,4 V—IUXTA HEBR.
60,3 V—IUXTA HEBR.
60,2 V—IUXTA HEBR.
60,1 V—IUXTA HEBR.
60,6 V—IUXTA HEBR.
60,10 V—IUXTA HEBR.
136,5 en intelligence (V) FRANÇAIS BIBLIQUE L'expression « en intelligence », en français→, est attestée pour signifier la même chose que l'expression « être d'intelligence avec », c'est-à-dire : être secrètement d'accord avec quelqu'un ; mais aussi, chez , pour désigner une des directions de l'élan vital (par contraste avec l'instinct ou l'intuition).
On la mobilise ici pour traduire V—in intellectu, comme une pierre d'attente (ou un écho) des lectures augustiniennes d'une double création, intellectuelle et matérielle, dans les premières pages de la Genèse, inspirées du schéma néoplatonicien de la demeure, de la procession et du retour.
Drapeau de la francophonie→ © Domaine public
136,23–26 L'infinie miséricorde de Dieu
Matthias
(ca. 1475-1480 - 1528), Retable d'Issenheim, (tempera et huile sur bois de tilleul, 1512-1516), 269 x 307 cmpanneau central du retable fermé, retable du maître-autel, église de la préceptorerie, couvent des Antonins, Issenheim, Musée Unterlinden, Colmar, France,
Domaine Public © Wikimedia commons→, 1Jn 5
Celui qui coupe les eaux de la mer en deux pour faire traverser son peuple vers la vie éternelle, qui délivre l’homme de l'esclavage (du péché), qui donne (son propre corps en) nourriture, c’est bien le Christ, le grand roi qui trouve sa glorification en se livrant par amour à la mort ignominieuse de la croix. L’amour de Dieu n’a pas de fin, éternelle est sa miséricorde.
59,1 V—IUXTA HEBR.
59,3 V—IUXTA HEBR.
59,4 V—IUXTA HEBR.
59,5 V—IUXTA HEBR.
59,7 V—IUXTA HEBR.
59,8 V—IUXTA HEBR.
59,10 V—IUXTA HEBR.
59,11 V—IUXTA HEBR.
59,13 V—IUXTA HEBR.
59,14 V—IUXTA HEBR.
59,15 V—IUXTA HEBR.
59,16 V—IUXTA HEBR.
59,17 V—IUXTA HEBR.
59,6 V—IUXTA HEBR.
59,9 V—IUXTA HEBR.
59,12 V—IUXTA HEBR.
59,18 V—IUXTA HEBR.
59,2 V—IUXTA HEBR.
58,1 V—IUXTA HEBR.
58,2 V—IUXTA HEBR.
58,7 V—IUXTA HEBR.
58,9 V—IUXTA HEBR.
58,10 V—IUXTA HEBR.
58,11 V—IUXTA HEBR.
58,3 V—IUXTA HEBR.
58,4 V—IUXTA HEBR.
58,6 V—IUXTA HEBR.
58,8 V—IUXTA HEBR.
58,12 V—IUXTA HEBR.
58,5 V—IUXTA HEBR.
57,1 V—IUXTA HEBR.
57,2 V—IUXTA HEBR. Aie pitié de moi, Dieu, aie pitié de moi | puisqu'en toi mon âme espère | à l'ombre de tes ailes j'espérerai jusqu'à ce que les embûches soient passées.
57,4 V—IUXTA HEBR.
57,5 V—IUXTA HEBR.
57,7 V—IUXTA HEBR.
57,9 V—IUXTA HEBR.
57,10 V—IUXTA HEBR.
57,11 V—IUXTA HEBR.
57,3 V—IUXTA HEBR.
57,8 V—IUXTA HEBR.
57,6 V—IUXTA HEBR.
57,12 V—IUXTA HEBR.
56,2 V—IUXTA HEBR.
56,4 V—IUXTA HEBR.
56,5 V—IUXTA HEBR.
56,6 V—IUXTA HEBR.
56,8 V—IUXTA HEBR.
56,9 V—IUXTA HEBR.
56,10 V—IUXTA HEBR.
56,11 V—IUXTA HEBR.
56,12 V—IUXTA HEBR.
56,13 V—IUXTA HEBR.
56,1 V—IUXTA HEBR.
56,3 V—IUXTA HEBR.
56,7 V—IUXTA HEBR.
99,6s Aaron grand prêtre
Gérard
(?-1683), Aaron offre un sacrifice à Dieu, (gravure, 1655)→ La Saincte Bible
BNF, Paris © Domaine public→
La gravure porte en légende : « Aaron offre un sacrifice à Dieu pour luy puis pour le peuple lequel fust consomme par le feu celeste. Deo holocaustis etvictimis supplicat aaron quae igni coelestio cosumpta sunt pro se et pro populo » (Lv 9).
55,1 V—IUXTA HEBR.
55,2 V—IUXTA HEBR.
55,3 V—IUXTA HEBR.
55,5 V—IUXTA HEBR.
55,6 V—IUXTA HEBR.
55,7 V—IUXTA HEBR.
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55,14 V—IUXTA HEBR.
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55,20 V—IUXTA HEBR.
55,21 V—IUXTA HEBR.
55,22 V—IUXTA HEBR.
55,24 V—IUXTA HEBR.
55,4 V—IUXTA HEBR.
55,9 V—IUXTA HEBR.
55,11 V—IUXTA HEBR.
55,12 V—IUXTA HEBR.
34,1 V—IUXTA HEBR.
34,2 V—IUXTA HEBR.
34,3 V—IUXTA HEBR.
34,4 V—IUXTA HEBR.
34,5 V—IUXTA HEBR.
34,6 V—IUXTA HEBR.
34,7 V—IUXTA HEBR.
34,8 V—IUXTA HEBR.
34,9 V—IUXTA HEBR.
34,10 V—IUXTA HEBR.
34,11 V—IUXTA HEBR.
34,12 V—IUXTA HEBR.
34,13 V—IUXTA HEBR.
34,14 V—IUXTA HEBR.
34,15 V—IUXTA HEBR.
34,16 V—IUXTA HEBR.
34,17 V—IUXTA HEBR.
34,18 V—IUXTA HEBR.
34,19 V—IUXTA HEBR.
34,20 V—IUXTA HEBR.
34,21 V—IUXTA HEBR.
34,22 V—IUXTA HEBR.
34,23 V—IUXTA HEBR.
55,13 V—IUXTA HEBR.
55,16 V—IUXTA HEBR.
55,23 V—IUXTA HEBR.
54,1 V—IUXTA HEBR.
54,3 V—IUXTA HEBR.
54,6 V—IUXTA HEBR.
54,7 V—IUXTA HEBR.
54,9 V—IUXTA HEBR.
35,1 V—IUXTA HEBR.
35,2 V—IUXTA HEBR.
35,3 V—IUXTA HEBR.
35,4 V—IUXTA HEBR.
35,5 V—IUXTA HEBR.
35,6 V—IUXTA HEBR.
54,2 V—IUXTA HEBR.
35,7 V—IUXTA HEBR.
35,8 V—IUXTA HEBR.
35,9 V—IUXTA HEBR.
35,10 V—IUXTA HEBR.
35,11 V—IUXTA HEBR.
35,12 V—IUXTA HEBR.
35,13 V—IUXTA HEBR.
35,14 V—IUXTA HEBR.
35,15 V—IUXTA HEBR.
35,16 V—IUXTA HEBR.
53,2 V—IUXTA HEBR.
53,5 V—IUXTA HEBR.
53,7 V—IUXTA HEBR.
53,1 V—IUXTA HEBR.
53,6 V—IUXTA HEBR.
92,13 FLORE Palmier
Palmier dattier à Ein Guedi, Israël
photo: M.R. Fournier, 2022 © BEST AISBL,
Ex 15,27 ; Lv 23,40-42 ; Dt 34,3 ; Jg 4,5 ; 1R 6,29-35 ; 2M 10,7 ; Ps 92,13 ; Ct 7,8 ; Ez 40,16 ; Ez 41,18 ; Jl 1,12 ; Jn 12,13 ; Ap 7,9
Il existe 2600 espèces de palmiers. Parmi elles, à Ein Guedi pousse le palmier-dattier.
Le nom hébreu du palmier est Tamar.
Selon un dicton arabe il y aurait autant d'usages du palmier que de jours dans l'année.
Le palmier est considéré comme l’archétype de l’arbre de vie :
Brandir des palmes était un signe d’allégresse et de victoire :
Le palmier est parfois associé à la Vierge Marie : en raison des symboles précédemment cités (beauté, féminité, sainteté, fécondité, arbre donnant le fruit de vie) et de récits anciens :
53,3 V—IUXTA HEBR.
53,4 V—IUXTA HEBR.
52,1 V—IUXTA HEBR.
52,2 V—IUXTA HEBR.
52,3 V—IUXTA HEBR.
52,4 V—IUXTA HEBR.
52,6 V—IUXTA HEBR.
52,7 V—IUXTA HEBR.
52,5 V—IUXTA HEBR.
52,10 V—IUXTA HEBR.
52,8 V—IUXTA HEBR.
52,9 V—IUXTA HEBR.
51,6c tu es jugé : V—IUXTA G | tu auras jugé : V—IUXTA HEB R. V—IUXTA G lit iudicaris tandis que V—IUXTA HEBR. lit iudicaveris. Iudicaris est un présent passif, iudicaveris est un futur antérieur ou un subjonctif parfait de la voix active. Lemaîstre de Sacy a bien vu le passif en traduisant iudicaris « lorsqu'on jugera de votre conduite », de même Glaire et Vigouroux « victorieux lorsqu'on vous jugera », suivi par Fillion.
51,1 V—IUXTA HEBR.
51,2 V—IUXTA HEBR.
51,3 V—IUXTA HEBR.
51,4 V—IUXTA HEBR.
51,5 V—IUXTA HEBR.
51,6 V—IUXTA HEBR.
51,8 V—IUXTA HEBR.
51,10 V—IUXTA HEBR.
51,11 V—IUXTA HEBR.
51,13 V—IUXTA HEBR.
51,16 V—IUXTA HEBR.
51,19 V—IUXTA HEBR.
Voir Vocabulaire Ps 55,2b.
51,20 V—IUXTA HEBR.
50,1 V—IUXTA HEBR.
50,2 V—IUXTA HEBR.
50,3 V—IUXTA HEBR.
50,4 V—IUXTA HEBR.
50,5 V—IUXTA HEBR.
50,7 V—IUXTA HEBR.
50,8 V—IUXTA HEBR.
50,9 V—IUXTA HEBR.
50,10 V—IUXTA HEBR.
50,13 V—IUXTA HEBR.
50,14 V—IUXTA HEBR.
50,15 V—IUXTA HEBR.
50,17 V—IUXTA HEBR.
50,16 V—IUXTA HEBR.
50,18 V—IUXTA HEBR.
50,19 V—IUXTA HEBR.
50,21 V—IUXTA HEBR.
50,22 V—IUXTA HEBR.
50,6 V—IUXTA HEBR.
50,11 V—IUXTA HEBR.
50,20 V—IUXTA HEBR.
50,23 V—IUXTA HEBR.
49,1 V—IUXTA HEBR.
49,3 V—IUXTA HEBR.
49,5 V—IUXTA HEBR.
49,6 V—IUXTA HEBR.
49,7 V—IUXTA HEBR.
49,8 V—IUXTA HEBR.
49,10 V—IUXTA HEBR.
49,11 V—IUXTA HEBR.
49,12 V—IUXTA HEBR.
49,14 V—IUXTA HEBR.
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49,16 V—IUXTA HEBR.
49,17 V—IUXTA HEBR.
49,18 V—IUXTA HEBR.
49,19 V—IUXTA HEBR.
49,20 V—IUXTA HEBR.
49,21 V—IUXTA HEBR.
49,2 V—IUXTA HEBR.
49,9 V—IUXTA HEBR.
49,13 V—IUXTA HEBR.
48,1 V—IUXTA HEBR.
48,3 V—IUXTA HEBR.
48,5 V—IUXTA HEBR.
48,6 V—IUXTA HEBR.
48,8 V—IUXTA HEBR.
48,10 V—IUXTA HEBR.
48,11 V—IUXTA HEBR.
48,12 V—IUXTA HEBR.
48,13 V—IUXTA HEBR.
48,15 V—IUXTA HEBR.
48,4 V—IUXTA HEBR.
48,7 V—IUXTA HEBR.
48,9 V—IUXTA HEBR.
48,14 V—IUXTA HEBR.
47,1 V—IUXTA HEBR.
47,2 V—IUXTA HEBR.
47,7 V—IUXTA HEBR.
47,8 V—IUXTA HEBR.
47,5 V—IUXTA HEBR.
47,9 V—IUXTA HEBR.
47,4 V—IUXTA HEBR.
47,6 V—IUXTA HEBR.
47,10 V—IUXTA HEBR.
19,6 courir sa carrière (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Le terme français peut désigner un « terrain entouré de barrières et aménagé pour des courses de chars, des courses à pied, des passes d'armes », mais aussi la trajectoire d'un astre : CNRTL→.
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46,1 V—IUXTA HEBR.
46,2 V—IUXTA HEBR.
46,5 V—IUXTA HEBR.
46,6 V—IUXTA HEBR.
46,10 V—IUXTA HEBR.
46,11 V—IUXTA HEBR.
46,12 V—IUXTA HEBR.
46,3 V—IUXTA HEBR.
46,4 V—IUXTA HEBR.
46,7 V—IUXTA HEBR.
46,8 V—IUXTA HEBR.
46,9 V—IUXTA HEBR.
45,1 V—IUXTA HEBR.
45,3 V—IUXTA HEBR.
45,7 V—IUXTA HEBR.
35,17 V—IUXTA HEBR.
35,18 V—IUXTA HEBR.
35,19 V—IUXTA HEBR.
35,20 V—IUXTA HEBR.
73,25s Obsèques musicales
Heinrich
(1585-1672), Musikalische Exequien SWV 279/281, 1635Sir John Eliot Gardiner, English Baroque Soloists, Monteverdi Choir
© Licence YouTube standard→, Jb 1,21.19,25s Ph 1,21 Jn 1,29.3,16 Is 26,19 Ps 73,25s Lc 2,29-32 Ap 14,13 Sg 3,1
Musikalische Exequien, Op.7, SWV 279-281, est un ensemble de motets en trois parties, tout d'abord en forme de messe de funérailles allemande luthérienne. Ce premier épisode précède un autre motet (ou air spirituel) extrait du Psaume 73. Il est suivi à son tour d'une troisième partie, le Cantique de Siméon (connu dans la liturgie catholique sous le nom de Nunc dimittis). L'ensemble a été composé en 1635 pour les funérailles de Heinrich Posthumus von Reuss, seigneur de Gera, Schleiz et Lobenstein en Thuringe, mort le 16 décembre 1635.
Part I: Concert in Form einer teutschen Begräbnis-Messe SWV 279 6vv SSATTB – Intonatio: Nacket bin ich von Mutterleibe kommen – Soli: Nacket werde ich wiederum dahinfahren Herr Gott, Vater im Himmel – Soli: Christus ist mein Leben, Sterben ist mein Gewinn Jesu Christe, Gottes Sohn – Soli: Leben wir, so leben wir dem Herren Herr Gott, Heiliger Geist Intonatio: Also hat Gott die Welt geliebet, daß er seinen eingebornen Sohn gab -- Soli: Auf daß alle, die an ihn gläuben, nicht verloren werden Er sprach zu seinem lieben Sohn – Soli: Das Blut Jesu Christi Durch ihn ist uns vergeben – Soli: Unser Wandel ist im Himmel Es ist allhier ein Jammertal – Soli: Wenn eure Sünde gleich blutrot wäre, Sein Wort, sein Tauf, sein Nachtmahl – Solo (Altus): Gehe hin mein Volk – Soli: Der Gerechten Seelen sind in Gottes Hand – Solo (Tenor): Herr, wenn ich nur dich habe Soli: Wenn mir gleich Leib vnd Seele verschmacht Er ist das Heil und selig Licht – Soli: Vnser Leben währet siebenzig Jahr Ach, wie elend ist unser Zeit – Solo (Tenor): Ich weiß, daß mein Erlöser lebt Weil du vom Tod erstanden bist – Soli: Herr ich lasse dich nicht du segnest mich denn Er sprach zu mir
Part II: Motette Herr, wenn ich nur dich habe, SWV 280 8vv double choir SATB.SATB
Part III: Canticum B. Simeonis Herr, nun lässest du deinen Diener in Frieden fahren, SWV 281 8vv double choir SATTB.SSB
40,1 V — IUXTA HEBR.
40,2 V—IUXTA HEBR.
45,9 V—IUXTA HEBR.
45,13 V—IUXTA HEBR.
45,14 V—IUXTA HEBR.
45,15 V—IUXTA HEBR.
45,16 V—IUXTA HEBR.
45,17 V—IUXTA HEBR.
45,18 V—IUXTA HEBR.
45,5 V—IUXTA HEBR.
45,2 V—IUXTA HEBR.
45,12 V—IUXTA HEBR.
40,8 V—IUXTA HEBR.
40,11 V— IUXTA HEBR.
40,10 V—IUXTA HEBR.
40,15 V— IUXTA HEBR.
40,14 V—IUXTA HEBR.
40,16 V—IUXTA HEBR.
40,3 fèces (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Le latin emploie ici le terme assez rade faex, cis, d'où dérive directement le terme rare français fèces qui désigne le sédiment au fond d'un liquide trouble qui a reposé : CNRTL→.
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44,1 V—IUXTA HEBR.
44,3 V—IUXTA HEBR.
44,4 V—IUXTA HEBR.
44,5 V—IUXTA HEBR.
44,6 V—IUXTA HEBR.
44,10 V—IUXTA HEBR.
44,11 V—IUXTA HEBR.
44,19 V—IUXTA HEBR.
44,20 V—IUXTA HEBR.
43,2 V—IUXTA HEBR.
43,3 V—IUXTA HEBR.
43,4 V—IUXTA HEBR.
43,1 V—IUXTA HEBR.
40,2s il me retira d'un lac de misères Le Seigneur retire du puits infernal L'icône traditionnelle de la résurrection représente le Christ descendu aux Enfers et en faisant remonter les justes des temps anciens.
Andrea
(1431-1506), La Descente du Christ aux Enfers, (1470-1475), 38,8 x 42,3 cmCollection Barbara Piasecka Johnson (collection privée), prêté au Frick Museum, New York, Domaine public © Wikimedia commons→
40,7ss en tête du livre il est écrit de moi (V) ... à la voix du Verbe, dès « avant » son incarnation ... Dans les mots de David, depuis He 10,5-7, se fait entendre la voix de Jésus lui-même, c'est-à-dire celle du Verbe, peut-être même dès avant son incarnation, au conseil divin où le Père, le Fils et l'Esprit saint projettent le salut de l'humanité — conseil reflété dans le Livre des Écritures.
« Trinité du Psautier », (tempéra sur parchemin, ca 1210), enluminure du Psautier de Canterbury,
ms 157, British Library, Arundel © Domaine public
On appelle ce type d'images « Trinité du Psautier » car elle illustre le premier verset Ps 109 : « Le Seigneur a dit à mon Seigneur : siège à ma droite »… Elle place les Personnes sur deux trônes identiques et proches l’un de l’autre, pour le Père et le Fils, ou sur le même trône. complète similitude entre le Père et le Fils : Mêmes visages, mêmes vêtements, mêmes gestes. La personne du Dieu Père est invisible : elle n'a pour visibilité que les traits de la nature humaine de son Verbe incarné.
Dans sa célébrissime icône, Roublev
Andreï
(1410-1427), Philoxénie ou Hospitalité d'Abraham, dite « Trinité de l'Ancien Testament », (icône, tempera sur panneau de bois, ca.1410-1427), 150 × 100 cmGalerie Tretiakov, Moscou, Russie © Domaine public→ Gn 18,1-8
Le jeu des regards, des mains et des postures des trois Anges aux lèvres pourtant closes disent quelque chose de l'ineffable langage dans lequel chacune communique aux autres sa substance toute entière.
40,12–18 (V)... en passant par la voix de Jésus-Christ lui-même. Dans les mots de David, depuis He 10,5-7, se fait entendre la voix de Jésus lui-même. Les imagiers chrétiens ont illustré les nombreux moments où le Christ s'adresse à son Père, tant dans le temps de l'Évangile que dans l'éternité que celui-ci présuppose.
, Le Christ prie son Père en présence des apôtres (miniature en détrempe sur parchemin, Constantinople ca 1059),
codex 87, Monastère de Dionysiou (Mont Athos, Grèce) © Domaine public, Lc 11,1
Jésus en prière, au pied de la Montagne sainte est tourné vers le Père, représenté en Vieillard chenu. Pierre le montre aux autres apôtres comme le maître de la prière chrétienne (cf. Lc 11,1).
James
(1836-1902), Jésus monte seul sur une montagne pour prier, (aquarelle gouachée sur mine de plomb sur papier vélin gris, 1886-1894) 29 x 16 cm,00.159.137, Brooklyn Museum→, New York © Domaine public
Tissot remarque dans ses notes la préférence de Jésus pour les lieux élevés qui le rapprochent symboliquement de son Père, lors des moments de répit qu'il se donne au milieu de son ministère.
Accompagnant ses souffrances d'une prière constante à son Père, Jésus assume et repromulgue dans le paradoxe de son agonie de nombreuses plaintes exhalées par le psalmiste. Par exemple, la triple supplication à Gethsémani n'a cessé d'inspirer les peintres. Ici Le Gréco figure bien le dialogue de Jésus et de son Père, qui l'invite à accepter son calice :
(Doménikos Theotokópoulos) (1541-1614), L'Agonie dans le jardin des oliviers, (huile sur toile, ca. 1590), 102 x 131 cm
National Gallery, Londres © Domaine public→ Lc 22
James
(1836-1902), Le matin du Vendredi Saint : Jésus en prison, (aquarelle gouachée sur mine de plomb sur papier vélin gris,1886-1894) 44.5 x 12.1 cm00.159.253, Brooklyn Museum→, New York © Domaine public
16,2 mon Seigneur c'est toi puisque tu n'as pas besoin de mes biens (V) Voix de Jésus-Christ lui-même ? Dans les mots de David se fait entendre la voix de Jésus lui-même :
Les imagiers chrétiens ont illustré les nombreux moments où le Christ s'adresse à son Père, tant dans le temps de l'Évangile que dans l'éternité que celui-ci présuppose.
, Le Christ prie son Père en présence des apôtres (miniature en détrempe sur parchemin, Constantinople ca 1059),
codex 87, Monastère de Dionysiou (Mont Athos, Grèce) © Domaine public, Lc 11,1
Jésus en prière, au pied de la Montagne sainte est tourné vers le Père, représenté en Vieillard chenu. Pierre le montre aux autres apôtres comme le maître de la prière chrétienne (cf. Lc 11,1).
James
(1836-1902), Jésus monte seul sur une montagne pour prier, (aquarelle gouachée sur mine de plomb sur papier vélin gris, 1886-1894) 29 x 16 cm,00.159.137, Brooklyn Museum→, New York © Domaine public
Tissot remarque dans ses notes la préférence de Jésus pour les lieux élevés qui le rapprochent symboliquement de son Père, lors des moments de répit qu'il se donne au milieu de son ministère.
Accompagnant ses souffrances d'une prière constante à son Père, Jésus assume et repromulgue dans le paradoxe de son agonie de nombreuses plaintes exhalées par le psalmiste. Par exemple, la triple supplication à Gethsémani n'a cessé d'inspirer les peintres. Ici Le Gréco figure bien le dialogue de Jésus et de son Père, qui l'invite à accepter son calice :
(Doménikos Theotokópoulos) (1541-1614), L'Agonie dans le jardin des oliviers, (huile sur toile, ca. 1590), 102 x 131 cm
National Gallery, Londres © Domaine public→ Lc 22
James
(1836-1902), Le matin du Vendredi Saint : Jésus en prison, (aquarelle gouachée sur mine de plomb sur papier vélin gris,1886-1894) 44.5 x 12.1 cm00.159.253, Brooklyn Museum→, New York © Domaine public
91,5ss Résister aux flèches du mal Saint Antoine est resté le type même de l'ascète fidèle à Dieu à travers les tentations.
(ca. 1450-1516), La tentation de saint Antoine, (huile sur panneau, ca. 1495-1515), 131,1 x 119 cm
Panneau principal d'un triptyque, Musée national d'art ancien (Portugal)
Domaine public © Wikicommons→
42,10b me disant Dum avec indicatif peut signifier « quand » (= « en » et participe présent). (→). Dict.
42,3 V—IUXTA HEBR.
42,5 V—IUXTA HEBR.
42,7 V—IUXTA HEBR.
42,12 V—IUXTA HEBR.
42,1 V—IUXTA HEBR.
42,2 V—IUXTA HEBR.
42,4 V—IUXTA HEBR.
42,6 V—IUXTA HEBR.
42,8 V—IUXTA HEBR.
42,11 V—IUXTA HEBR.
43,5 V—IUXTA HEBR.
42,9 V—IUXTA HEBR.
42,10 V—IUXTA HEBR.
41,1 V—IUXTA HEBR.
41,2 V—IUXTA HEBR.
41,3 V—IUXTA HEBR.
41,6 V—IUXTA HEBR.
41,8 V—IUXTA HEBR.
41,9 V—IUXTA HEBR.
41,10 V—IUXTA HEBR.
41,11 V—IUXTA HEBR.
41,12 V—IUXTA HEBR.
41,13 V—IUXTA HEBR.
41,14 V—IUXTA HEBR.
41,4 V—IUXTA HEBR.
40,3 V—IUXTA HEBR.
40,4 V—IUXTA HEBR.
40,5 V — IUXTA HEBR.
40,6 V—IUXTA HEBR.
40,7 V—IUXTA HEBR.
40,9 V—IUXTA HEBR.
40,10 V—IUXTA HEBR.
40,12 V— IUXTA HEBR.
40,13 V—IUXTA HEBR.
40,17 V— IUXTA HEBR.
40,18 V— IUXTA HEBR.
35,21 V—IUXTA HEBR.
35,22 V—IUXTA HEBR.
35,23 V—IUXTA HEBR.
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35,27 V—IUXTA HEBR.
35,28 V—IUXTA HEBR.
92,15b ils seront bien patients (V)
92,9 in aeternum (V) peut se traduire encore « à jamais, pour toujours ».
cf. →La conception du temps prolongé (siècle, éternité) dans le Psautier grec et latin.
92,1 Psaume de cantique pour le jour du sabbat (V) Psalmus cantici peut se comprendre comme un « psaume sous forme de cantique ». Le titre indique la destination liturgique de ce psaume : devant être chanté le jour du sabbat.
92,5 façon (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Vocabulaire de la création comme artisanat On traduit ainsi le terme latin factura, qui désigne la facture d'un ouvrage, la manière dont une œuvre d'art est composée sur le plan technique (CNRTL→). Le terme « façon » prête à moins de contresens que celui de « facture », et peut avoir le même sens (CNRTL→).
Drapeau de la francophonie→ © Domaine public
36,1 V—IUXTA HEBR.
36,2 V—IUXTA HEBR.
36,3 V—IUXTA HEBR.
36,4 V—IUXTA HEBR.
36,5 V—IUXTA HEBR.
36,6 V—IUXTA HEBR.
36,7 V—IUXTA HEBR.
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36,10 V—IUXTA HEBR.
36,11 V—IUXTA HEBR.
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36,13 V—IUXTA HEBR.
39,2 V—IUXTA HEBR.
39,3 V—IUXTA HEBR.
39,4 V—IUXTA HEBR.
110,1–7 Interprétation messianique : accomplissement des Écritures
, Willem (1635-1711), texte, L. , Hans , et artistes aux monogrammes AW and MS, ill. (?), Accomplissement des Écritures, (gravure sur bois), h. 36 cm, illustration dans Goeree, Willem (1635-1711), Voor-bereidselen tot de bybelsche wysheid, en gebruik der heilige en kirklijke historien: uit de alder-oudste gedenkkenissen der Hebreen, Chaldeen, Babyloniers, Egiptenaars, Syriers, Grieken en Romeinen... Door een liefhebber der Joodische oudheden, Amsterdam, 1690, vol.1 p. 412
© Domaine public — numérisation : Pitts Theology Library→ , Candler School of Theology, Emory University,
Sur une stèle que Moïse invite à lire de son index pointé, sont gravés les versets de prophéties accomplies dans le Nouveau Testament. En haut, Moïse tournant le dos à une idole brisée contemple les rois mages apportant leurs présents à l'Enfant. Les citations mises en exergue aux pieds du groupe inférieur sont : Gn 3 ; Ps 2 ; Is 2 ; Jos 11 ; Is 11; Is 46; Ps 110.
39,6 V—IUXTA HEBR.
39,7 V—IUXTA HEBR.
39,8 V—IUXTA HEBR.
39,10 V—IUXTA HEBR.
39,11 V—IUXTA HEBR.
39,13 V—IUXTA HEBR.
39,14 V—IUXTA HEBR.
39,5 V—IUXTA HEBR.
39,9 V—IUXTA HEBR.
39,12 V—IUXTA HEBR.
38,1 V—IUXTA HEBR.
38,7 V—IUXTA HEBR.
38,13 V—IUXTA HEBR.
38,14 V—IUXTA HEBR.
38,16 V—IUXTA HEBR.
38,19 V—IUXTA HEBR.
38,20 V—IUXTA HEBR.
38,21 V—IUXTA HEBR.
87,1 Ses fondements (V) L'entame sur un pronom, qui présuppose du lecteur la connaissance de son antécédent, invite les commentateurs latins à l'allégorie
il s'agit donc de la nouvelle Jérusalem
Gustave
(1832-1883), La Nouvelle Jérusalem, (gravure sur bois, 1866)La grande → Bible de Tours © Domaine public→
Selon cette interprétation, il n'y a pas une, mais plusieurs montagnes saintes, en particulier le Thabor où le Législateur et le Prophète confirment le Christ comme pierre angulaire de la nouvelle Jérusalem :
Giovanni
(ca 1425-1516), La Transfiguration, (tempera sur panneau de bois, 1455), 134 x 168 cmMusée Correr, Venise, Italie, © Domaine Public→
87,4ss Tous les peuples réunis dans la Jérusalem céleste Les enlumineurs de l'Apocalypse permettent d'imaginer le rassemblement ordonné de tous les peuples dans la Jérusalem à venir...
(ca 730-798), Commentaire sur l'Apocalypse, (ca 784), manuscrit, Latin 8878, folio NP
Bibliothèque Nationale de France, Paris
Jérusalem céleste, (détrempe sur parchemin de veau, ca 1220), 52 x 37 cm, enluminure dans , (-798), In Apocalipsin MS M.429, fol. 140v
Fair Use, D.R. The Morgan Library and Museum, New York, NY © The Morgan Library and Museum→
87,1–7 De Sion Graduel
, Graduel - Ex Sion
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
De Sion resplendit sa beauté parfaite. Dieu vient en plein jour. Il convoque devant lui la nation consacrée qui a fait alliance avec lui par le sacrifice.
86,17.1 Fais pour moi un signe Introït
Introït - Fac mecum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Fais à travers moi un signal pour le bien : qu’ils ouvrent les yeux, ceux qui me haïssent,et qu’ils soient confondus car c’est toi, Seigneur, qui m'as secouru et qui m'as consolé.
89,21 justices (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Pour conserver la répétition du même terme latin en Ps 89,15.17.21, on reprend l'usage, un peu veilli, du nom « justices » au pluriel pour désigner les ordonnances, arrêts ou sentences pris par un juge : CNRTL→, C.
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89,45 explosé (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Le verbe collido (con-lido), employé ici par V est extrêmement rare en latin (moins de 50 occurrences dans la base de Logeion→). On transpose cette rareté par un petit saut de niveau de langue, grâce au verbe « exploser » dont l'usage transitif, familier (cf. Larousse→), veut bien dire ce qu'il veut dire !
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89,18 corne (V) sémitisme = force
89,45 état de pureté (V) Terme technique Le nom latin (e-)mundatio,nis, employé ici par V est extrêmement rare en latin (moins de 50 occurrences dans la base de Logeion→). Il désigne l'état de →pureté rituelle atteint au terme des rites de purification prescrits dans le Lévitique : Lv 13,35 ; 14,32 ; 15,13 ; 16,30 ; Mc 1,44 ; Lc 5,14 ; He 9,13.
78,1 Recueillez la joie de votre gloire - Introït
, Introït - Accipite
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Introït chanté durant le Temps Pascal et pour la fête de l'Apôtre Saint Marc.
« Recueillez la joie de votre gloire, alléluia : en rendant grâce à Dieu, alleluia ; qui vous a appelés aux royaumes des cieux. »
112,9.2 Il sème l'aumône Graduel
, Graduel - Dispersit
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Introït - Dispersit
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Dispersit, dedit pauperibus; iustitia eius manet in saeculum saeculi.
Il a fait largesse, il a donné aux pauvres : sa justice demeure pour les siècles des siècles.
21,3s Tu as mis sur sa tête une couronne - Graduel et Répons
, Graduel - Posuisti Domine
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Graduel chanté pour la fête du Couronnement de la Vierge Marie le 22 août.
Posuisti, Domine, super caput eius coronam de lapide pretioso.
Vous avez posé, Seigneur, sur sa tête une couronne de pierres précieuses.
, Répons - Posuisti Domine
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
86,9s Toutes les nations - Communion
, Communion - Omnes gentes
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Pièce de communion chantée pour la fête du Saint Nom de Jésus.
21,2ss Dans ta puissance le roi se réjouira - Introït
, Introït - In virtute tua
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Introït chanté pour les fêtes des saints rois (Saint Henri, Saint Etienne de Hongrie, Saint Louis, Saint Wenceslas).
45,3 La grâce est répandue sur tes lèvres - Offertoire
, Offertoire - Diffusa est
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Offertoire chanté pour les fêtes de la Vierge Marie.
34,12.6 Venez, fils Graduel et Offertoire
, Graduel - Venite filii
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Offertoire - Venite filii
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Venite filii, audite me : timorem Domini docebo vos.
Venez, mes fils, écoutez-moi : je vous enseignerai la crainte du Seigneur.
122,3s Jérusalem qui est édifiée comme une cité - Communion
, Communion - Jerusalem quae
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Antienne de communion chantée le 9 novembre pour la dédicace de la Basilique de Saint Jean du Latran.
Ierusalem quae aedificatur ut civitas, cuius participatio eius in idipsum: illuc enim ascenderunt tribus, tribus Domini, ad confitendum nomini tuo, Domine.
Jérusalem, qui s’édifie comme une cité: dont les parties forment un tout unique: en effet, c’est là que sont montées les tribus, les tribus du Seigneur, pour acclamer le nom du Seigneur.
56,9.2 Dieu, ma vie... Graduel
, Graduel - Deus vitam meam
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Graduel chanté pour la fête de Notre-Dame des douleurs, le 15 septembre.
Deus, vitam meam nuntiavi tibi : posui lacrimas meas in conspectu tuo.
Dieu, ma vie, je vous l’ai exposée : j'ai mis mes larmes sous votre regard.
88,2s Que ma prière entre en ta présence - Introït
, Introït - Intret oratio mea
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Introït chanté pendant le temps du Carême.
Intret oratio mea in conspectu tuo: inclina aurem tuam ad precem meam Domine.
Que mon oraison soit introduite en votre présence: prêtez l’oreille à ma prière, Seigneur.
37,5 V—JUXTA HEBR.
37,7 V—JUXTA HEBR.
37,8 V—JUXTA HEBR.
37,9 V—JUXTA HEBR.
37,10 V—JUXTA HEBR.
89,44 repoussé l'aide de son glaive + pas assisté dans la guerre (V) Motifs christiques ? Les deux expressions évoquent deux motifs combinés dans le récit de la Passion.
Giuseppe Cesari, dit le
(1568-1640), La cattura di Cristo, (huile sur panneau de bois de noyer, ca 1596-1597), Arrestation du Christ, 89 x 62 cmStaatliche Museen, Kassel, Allemagne © Domaine public→
Pieter
(1526/30-1569), La chute des anges rebelles, (huile sur panneau de chêne), 117 x 162 cm, 1562,Musée royal des beaux-Arts, Bruxelles — n° 584
37,12 V—JUXTA HEBR.
37,13 V—JUXTA HEBR.
37,15 V—JUXTA HEBR.
37,16 V—JUXTA HEBR.
37,17 V—JUXTA HEBR.
37,21 V—JUXTA HEBR.
37,22 V—JUXTA HEBR.
37,23 V—JUXTA HEBR.
37,25 V—JUXTA HEBR.
37,26 V—JUXTA HEBR.
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37,29 V—JUXTA HEBR.
37,30 V—JUXTA HEBR.
37,32 V—JUXTA HEBR.
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37,34 V—JUXTA HEBR.
37,35 V—JUXTA HEBR.
37,38 V—JUXTA HEBR.
37,39 V—JUXTA HEBR.
37,40 V—JUXTA HEBR.
103,6 miséricordes (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Des œuvres, pas seulement un sentiment En français, le nom miséricorde désigne :
Pour ne pas alourdir la traduction et surtout pour conserver les variations du même terme au singulier et au pluriel, on emploie le terme par métonymie pour désigner les œuvres et les réalisations inspirées par la miséricorde :
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89,2 miséricordes (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Des œuvres, pas seulement un sentiment En français, le nom miséricorde désigne :
Pour ne pas alourdir la traduction et surtout pour conserver les variations du même terme au singulier et au pluriel, on emploie le terme par métonymie pour désigner les œuvres et les réalisations inspirées par la miséricorde :
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89,9 Vertus (V) : Allusion à l'un des chœurs angéliques du deuxième rang ? On pourrait traduire Deus virtutum par « Dieu des armées », équivalent de « Seigneur Sabaoth ». Mais le contexte céleste et angélique n'invite-t-il pas aussi à déjà identifier ici un des chœurs angéliques du deuxième cercle ? Les voici représentés au-dessous d'un triangle lumineux marqué du Tétragramme, symbole de la Trinité :
De g. à dr. et de h. en bas : Séraphins, Trônes, Chérubins ; puis : Dominations, Puissances, Vertus ; puis : Principautés, archanges, anges.
L'ensemble des Écritures évoque 9 catégories différentes de créatures angéliques. Selon leur systématisation chrétienne, due en particulier au →, elles présentent Hiérarchie céleste
89,6–9 cieux + fils de Dieu + conseil des saints + Vertus (V) : Allusion au conseil divin ? Bien attesté dans les panthéons archaïques (sumérien, akkadien, babylonien, égyptien, babylonien, cananéen, israélite, celtique, grec, romain et nordique), le rassemblement des êtres célestes autour du Dieu dominant a laissé des traces dans l'Écriture, ne fût-ce que dans les elohim énigmatiques du Ps 82,1.6, et plus encore dans la hiérachie céleste des anges mise en place au fil des livres, de l'Ancien au Nouveau testament.
Fidelis
(1813–1874), La création des anges, Plafond intérieur, caisson juste en avant de l'orgueStiftskirche Saint-Jacques le Majeur, Hechingen (Allemagne)
photo : Ralf Roletschek © Domaine public→,
Au conseil divin qui apparaît ici, les « fils de Dieu » sont assimilés aux anges, dont la Tradition a identifié la hiérarchie
, Vision de la hiérarchie angélique, (détrempe sur parchemin, fin 12e s.), enluminure, dans , Sci vias [Domini], 1, vision 6, Codex géant de Rupertsberger, Handschrift Nr.1, f.1-135., fol. 38r.
Hochschul- und Landesbibliothek RheinMain, Wiesbaden (Allemagne) © Domaine public→
La miniature présente en 9 cercles concentriques les 9 chœurs des « anges » (c’est-à-dire des créatures spirituelles envoyés par Dieu comme médiatrices entre lui et la création), réunis en une parfaite unité (« Einheit »), autour du centre blanc symbolisant l’irreprésentable simplicité (perfection et pureté) divine (dans l’iconographie postérieure, on montrera le chef du Christ).
montrent Anges et Archanges, symbolisant l’aide surnaturelle apportée au corps et à l’âme humains :
figurent les 5 légions d’anges (Vertus, les Puissances, les Principautés, les Dominations et les Trônes). Ces 5 légions soutiennent les 5 sens de l’homme : les Vertus aident aux bonnes œuvres, les Puissances à la clarté resplendissante, les Principautés qui sont les Princes des hommes dans le siècle, les Dominations casquées, les Trônes qui n’ont pas forme humaine, mais qui symbolisent la divinité s’abaissant vers l’humanité.
Incandescents, Chérubins et Séraphins, figurent le rayonnement double de l’Amour, pour Dieu et pour le prochain. Les Chérubins, remplis d’yeux et d’ailes, figurent la science et la sagesse divines. Les yeux sont le symbole de la connaissance divine. Les séraphins, dont le nom signifie « le brûlant », sont les plus proches du rayonnement divin. Ils ont six ailes : deux pour voler, deux pour se voiler la face devant l’Eternel, deux pour se couvrir les pieds, afin d’adoucir le feu d’amour qui les dévore :
, Hiérarchie angélique (tempera sur parchemin, ca 1460), enluminure de , Postilles sur l’Ancien et le Nouveau Testament Paris, Bibliothèque nationale de France, Lat. 11972, fol. 1r
Collectif OMCI-INHA/Marjolaine Massé « Hiérarchie angélique » in Ontologie du christianisme médiéval en images→,(16.05.2022) © CC-BY-SA-4.0
Les Postilles de Nicolas de Lyre sont des commentaires de la Bible. Ce manuscrit a été enluminé par le maître du missel de Troyes vers 1460. Le Paradis est représenté au centre de la page sous la forme conventionnelle d’un jardin peuplé d’animaux dans lequel se trouvent Adam, Ève et les quatre fleuves. Cette vision paradisiaque est entourée d’une série de cercles concentriques représentant le ciel et l’univers. Au-dessus, dans la sphère du divin, sont disposés les neuf chœurs angéliques, dominés par Dieu le Père, sortant de l’image et esquissant un geste de bénédiction.
La représentation de l'univers comme somme de toutes les choses, représentée par une série de sphères au centre desquelles se trouve la Terre entourée d'eau, correspond à la tradition aristotélicienne. La place des anges dans l'image est conforme à leur rôle d'instruments du pouvoir divin : le grec aggelos signifie « messager ». « Vicaires » de Dieu, ils sont envoyés en mission et participent à la Révélation du Verbe aussi bien dans l'Ancien que dans le Nouveau Testament. La source de la hiérarchie angélique dans les images médiévales se trouve essentiellement dans l’œuvre du →, qui décrit les neuf chœurs angéliques divisés en trois degrés. Dans cette image les chœurs des anges forment une assemblée. Ils sont peu différenciés, mais leur disposition en rangs permet de rendre compte de la hiérarchie. Hiérarchie céleste.
Tous participent de la diffusion de la lumière en tant qu'instrument du pouvoir divin. Plus ils sont proches de Dieu, plus ils sont représentés de manière abstraite ; plus ils s'en éloignent, plus ils sont incarnés, et donc proches des hommes. On observe aussi un parallèle entre la structure chromatique des chœurs et celle du cosmos. Cette image montre l'organisation du pouvoir divin, et insiste sur son ordonnancement rigoureux. Elle met en avant les principes d'ordre et de cohésion au sein de l'univers chrétien, servant à l'expression de l'autorité divine en dehors de toute temporalité.
103,1–5 Le Seigneur est miséricordieux : le cas de David Attribué traditionnellement à David, le psaume pourrait faire allusion au grand péché de David (quand il commit l'adultère avec Bethsabée au prix du sang de son mari Urie le Hittie), et, au-delà même du pardon accordé au roi repentant pour cette faute, à la miséricorde insigne que lui fit le Seigneur de choisir comme son successeur le deuxième fils qu'il eut d'elle.
(1584-1651), David présentant le sceptre à Salomon, (huile sur toile, ca. 1601-1650), 174 x 243 cm
Collection privée, Domaine public © Wikicommons→, 1R 2
Le Seigneur ne retient pas les fautes : c’est Salomon, le deuxième fils que David eut avec Bethsabée, qui succède finalement au roi.
103,8 commisérant (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Quoique rare, le verbe est bien vivant en français contemporain, avec le sens de ressentir, exprimer de la commisération ou pitié miséricordieuse. On l'emploie pour traduire miserator, qui est différent de misericors qui apparaît deux mots après dans le verset.
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103,20 La parole comme ses ordres
103,5 jeunesse sera renouvelée comme celle de l'aigle (V) Bestiaires anciens Dans le bestiaire médiéval, l'aigle est céleste et solaire, élevé au-delà du regard humaine et... capable de se régénérer et de se rajeunir. Lorsque l'aigle vieillit, ses ailes s'alourdissent et il commence à devenir aveugle. Pour retrouver sa jeunesse, l'oiseau s'envole dans l'atmosphère du soleil, brûlant ses vieilles plumes et ses yeux fatigués, puis plonge trois fois dans une fontaine, dont il ressort entièrement renouvelé. en cela, il ressemble à ceux qui sont aveugles à la parole du Christ et qui doivent se baigner dans sa lumière et plonger dans la fontaine spirituelle du Seigneur pour naître de nouveau par le baptême.
, Aigles (détail), (détrempe sur parchemin, ca 1225-50), 30,8 x 23,2 cm, enluminure dans le Bestiaire, Harley Ms. 4751, fol. 35v., The British Library,
© Domaine public, photo numérique Bristish Library→
37,11 V—JUXTA HEBR.
37,1 V—IUXTA HEBR.
37,3 V—JUXTA HEBR.
37,14 V—JUXTA HEBR.
37,18 V—JUXTA HEBR.
37,20 V—JUXTA HEBR.
37,24 V—JUXTA HEBR.
80,17 déchaussée (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Le latin dIt suffossa, part passé passif de suffodire, verbe très rare signifiant « creuser par en-dessous, saper ».
Le terme propre en agriculture et en viticulture est « déchausser » au sens de « dénuder à la base, dégager le pied d'un arbre ou d'une vigne de la terre recouvrant ses racines » (CNRTL→). Il est peu connu, mais sa rareté correspond à celle du mot latin (moins de 50 occurrences dans la base de Logeion→), et la connotation anthropomorphique qu'il apporte, en français, convient bien au contexte poétique : le motif de la vigne est entrelacé à celui du « fils [de l'homme] » établi par Dieu !
Drapeau de la francophonie→ © Domaine public
37,36 V—JUXTA HEBR.
118,1.19.21.28s Confessez | je confesserai (V) Confitemini | confitebor Saint Augustin explique le véritable sens du terme « confesser » à ses auditeurs qui le plus souvent ne retiennent que le sens d' « aveu » au détriment de la « louange ». Dès qu'ils entendent le mot confiteor, ils se frappent la poitrine.
89,51ss commutation de ton christ (V) Désignation technique du mystère pascal ?
Deux détails du célèbre →Retable d’Issenheim suffisent à se représenter la mutation subie par le Messie durant sa Passion :
Matthias
(ca. 1475-1528), La mise au tombeau (huile sur panneau de bois, ca. 1515), devant d'autel, (détail)Musée d'Unterlinden, Colmar Colmar (France), n° 88.RP.139 © Domaine public→
Matthias
(ca. 1475-1528), La Résurrection du Christ (huile sur panneau de bois, ca. 1515), 269 x 141 cm, (aile droite du retable ouvert),Musée d'Unterlinden, Colmar Colmar (France), n° 88.RP.139 © Domaine public→
18,2ss Citadelle imprenable ?
Sur la base des ruines des citadelles auxquelles se confièrent les royaumes qui se succédèrent au Levant, les artistes permettent de ressentir le sentiment de sécurité qu'elles purent susciter au temps de leur splendeur...
Guillaume
, « Le Krak des Chevaliers comme il était au moyen-âge », in Études sur les monuments de l'architecture militaire des croisés en Syrie et dans l'Île de Chypre, Paris : 1871103,20 vous ses anges (V) Entre le siège céleste de Dieu et ses opérations sur la terre : médiations angéliques entre Créateur et créatures L'iconographie d'inspiration biblique s'est plu à figurer les créatures spirituelles qui assurent la communication continuelle entre le Verbe créateur et les créatures.
Fidelis
(1813–1874), La création des anges, Plafond intérieur, caisson juste en avant de l'orgueStiftskirche Saint-Jacques le Majeur, Hechingen (Allemagne)
photo : Ralf Roletschek © Domaine public→
Au conseil divin, les ministres sont assimilés aux anges, naïvement présenté ici.
La Tradition a identifié leur hiérarchie, sur la base des textes bibliques. L'ensemble des Écritures évoque, en effet, 9 catégories différentes de créatures angéliques, organisées en trois ordres, selon leur systématisation chrétienne due en particulier au
, Vision de la hiérarchie angélique, (détrempe sur parchemin, fin 12e s.), enluminure, dans , Sci vias [Domini], 1, vision 6, Codex géant de Rupertsberger, Handschrift Nr.1, f.1-135., fol. 38r.
Hochschul- und Landesbibliothek RheinMain, Wiesbaden (Allemagne) © Domaine public→
La miniature présente en 9 cercles concentriques les 9 chœurs des « anges » (c’est-à-dire des créatures spirituelles envoyés par Dieu comme médiatrices entre lui et la création), réunis en une parfaite unité (« Einheit »), autour du centre blanc symbolisant l’irreprésentable simplicité (perfection et pureté) divine (dans l’iconographie postérieure, on montrera le chef du Christ).
montrent Anges et Archanges, symbolisant l’aide surnaturelle apportée au corps et à l’âme humains :
figurent les 5 légions d’anges (Vertus, les Puissances, les Principautés, les Dominations et les Trônes). Ces 5 légions soutiennent les 5 sens de l’homme : les Vertus aident aux bonnes œuvres, les Puissances à la clarté resplendissante, les Principautés qui sont les Princes des hommes dans le siècle, les Dominations casquées, les Trônes qui n’ont pas forme humaine, mais symbolisent la divinité s’abaissant vers l’humanité.
Incandescents, Chérubins et Séraphins, figurent le rayonnement double de l’Amour, pour Dieu et pour le prochain. Les Chérubins, remplis d’yeux et d’ailes, figurent la science et la sagesse divines. Les yeux sont le symbole de la connaissance divine. Les séraphins, dont le nom signifie « le brûlant », sont les plus proches du rayonnement divin. Ils ont six ailes : deux pour voler, deux pour se voiler la face devant l’Eternel, deux pour se couvrir les pieds, afin d’adoucir le feu d’amour qui les dévore :
, Hiérarchie angélique (tempera sur parchemin, ca 1460), enluminure de , Postilles sur l’Ancien et le Nouveau Testament Paris, Bibliothèque nationale de France, Lat.11972, fol.1r
Comm. inspiré de : Collectif OMCI-INHA/Marjolaine Massé « Hiérarchie angélique » in Ontologie du christianisme médiéval en images→(16.05.2022) © CC-BY-SA-4.0
Les Postilles de Nicolas de Lyre sont des commentaires de la Bible. Ce manuscrit a été enluminé par le maître du missel de Troyes vers 1460. Le Paradis est représenté au centre de la page sous la forme conventionnelle d’un jardin peuplé d’animaux dans lequel se trouvent Adam, Ève et les quatre fleuves. Cette vision paradisiaque est entourée d’une série de cercles concentriques représentant le ciel et l’univers. Au-dessus, dans la sphère du divin, sont disposés les neuf chœurs angéliques, dominés par Dieu le Père, sortant de l’image et esquissant un geste de bénédiction.
En haut de l'image, les chœurs des anges forment une assemblée compacte, hiérarchisée par leur disposition en rangs.
Tous participent de la diffusion de la lumière en tant qu'instrument du pouvoir divin. Plus ils sont proches de Dieu, plus ils sont représentés de manière abstraite ; plus ils s'en éloignent, plus ils sont incarnés, et donc proches des hommes. La place des anges dans l'image est conforme à leur rôle d'instruments du pouvoir divin : le grec aggelos signifie « messager ». « Vicaires » de Dieu, ils sont envoyés en mission et participent à la Révélation du Verbe aussi bien dans l'Ancien que dans le Nouveau Testament.
Sous la hiérarchie céleste, l'univers comme somme de toutes les choses est représenté par une série de sphères au centre desquelles se trouve la Terre entourée d'eau, selon la tradition aristotélicienne. On observe aussi un parallèle entre la structure chromatique des chœurs et celle du cosmos. Cette image montre l'organisation du pouvoir divin, et insiste sur son ordonnancement rigoureux. Elle met en avant les principes d'ordre et de cohésion au sein de l'univers chrétien, servant à l'expression de l'autorité divine en dehors de toute temporalité.
103,20 son verbe + pour que soit entendu le son de ses paroles (V) : FRANÇAIS BIBLIQUE Du Verbe aux verbes et réciproquement L'obéissance parfaite des anges envers le Verbe divin (facientes verbum illius, cf. v. 21 qui facitis voluntatem eius) semble ici décrite comme une condition de possibilité de l'écoute (ad audiendam vocem...) des paroles (... sermonum) qu'il fait entendre à ses créatures.
Le nom verbum, omniprésent dans les Écritures, signifie « mot, énoncé, parole(s) » et beaucoup plus encore. Il assume les significations de dabar et de →logos, cristallisant la méditation sur la présence d'un « langage » transcendant avec le Créateur, participé dans la création. Cet usage culmine dans le Nouveau Testament pour désigner le mystère personnel de Jésus-Christ (cf. V—Jn 1,1.14.17).
L'expression verbum Domini, en particulier, crée donc un fil continu de révélation christique, de livre en livre. Pour les scribes latins :
Autant que possible, nous traduisons donc verbum par « verbe », le plus souvent sans majuscule, parfois avec.
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89,53 fiat (V) FRANÇAIS BIBLIQUE En français, « fiat » est un substantif masculin invariable (cf. Larousse→). Dérivé de Gn 1,3 il désigne la volonté divine qui crée par la parole, mais aussi en philosophie la volonté humaine délibérée (en écho à Lc 1,38). Fiat s'emploie aussi comme synonyme de « soit », p. ex. :
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72,20 fiat (V) FRANÇAIS BIBLIQUE En français, « fiat » est un substantif masculin invariable (cf. Larousse→). Dérivé de Gn 1,3 il désigne la volonté divine qui crée par la parole, mais aussi en philosophie la volonté humaine délibérée (en écho à Lc 1,38). Fiat s'emploie aussi comme synonyme de « soit », p. ex. :
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72,16 firmament (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Dérivé de firmare « rendre ferme, solide », le nom « firmament » désigne la voûte céleste à laquelle les astres semblent fixés. En latin classique le mot avait le sens de « soutien, appui » (au propre et au figuré). Cf. CNRTL→.
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89,41 firmament FRANÇAIS BIBLIQUE Dérivé de firmare « rendre ferme, solide », le nom « firmament » désigne la voûte céleste à laquelle les astres semblent fixés. En latin classique le mot avait le sens de « soutien, appui » (au propre et au figuré). Cf. CNRTL→. Doit-on voir dans cette mutation du firmament en épouvante une allusion à l'agonie de Jésus (cf. Mt 26,14 //) ?
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41,9.11 ressuscite (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Vocabulaire christologisant V emploie deux fois le verbe resurgo, qui signifie « se relever, renaitre, ressusciter ». Le verbe français ressusciter a lui-même plusieurs sens (cf CNRTL→) : outre ses emplois intransitifs, en emploie transitif il signifie non seulement « faire passer de la mort à la vie » au sens théologique dérivé de la Bible, mais aussi « ré-animer » (en médecine), « donner une nouvelle vigieur » (en littérature), « rendre la joie de vivre » ou « faire revivre une expérience » (en psychologie), etc. On le conserve ici, même si ses connotations christologiques sont sans doute plus prégnantes en français qu'en latin.
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41,10 Le copain qui trahit Du fait de sa reprise par la bouche de Jésus en Jn 13,18, ce v. évoque immanquablement la trahison de Judas. Le lien avec la pain partage est souvent retenu dans l'iconographie de la dernière Cène, par exemple chez cet imitateur ancien de Vinci :
(d'après Léonard de Vinci), La dernière Cène (fresque (?), 1550), ca 700 x 350 cm,
Église de Sant'Ambrogio, pont Capriasca, Italie
Photo Cristian Bianchi © CC-BY-SA-3.0→
Remarquez le détail pathétique de Judas, au milieu du groupe à la droite de Jésus, bourse en main droite et main gauche tendue vers le pain partagé avec son ami ...
19,4b dont les voix ne puissent être entendues (V) Sémitisme ? La tournure française bizarre rend une étrangeté de V : quorum non audiantur voces eorum, « dont leurs voix ne s'entendent »
Est-ce un effet de « style biblique » (mal à propos) ? Y aurait-il eu une autre version hébraïque perdue ?
19,2 Les cieux racontent la gloire de Dieu Quand l'artiste prend le relai des cieux
C’est sur le ciel magnifié de Chalonnes-sur-Loire que donnent les vitraux colorés de l’église Saint-Maurille, réalisés sur commande publique par Pierre Mabille. L’artiste, qui s’est donné comme ligne directrice de toujours travailler avec la même forme ovale, écarte ainsi les surfaces saturées de signes au profit de la seule chromatique — faisant selon ses mots « jouer les possibles de la couleur »
Pierre Perles de Loire→ 12.03.2016,
(1958, - ), concept, Gilles , maître verrier, Vitrail de l'axe central, (2011-2014),église Saint-Maurille, Chalonnes-sur-Loire (France), Fair use © Photo D.R.Ici, ce sont des variations de rouge, jaune et bleu qui, frappées par la lumière du jour, pénètrent l’enceinte sacrée et se répandent sur ses murs, son sol :
Vue intérieure de l'église Saint-Maurille, Chalonnes-sur-Loire (France)
Fair use © Photo D.R. Le retour chez Canelle→ 19.10.2017
Par le truchement de l'artiste, le verbe des cieux envahit l'espace de l'église en un tourbillon de couleur.
Pierre
(1958, - ), concept, Gilles , maître verrier, Vitrail de l'axe central, (2011-2014), église Saint-Maurille, Chalonnes-sur-Loire (France)Fair use © Photo D.R. Perles de Loire→ 12.03.2016
19,3.5 verbe + verbes (V) : FRANÇAIS BIBLIQUE Du Verbe aux verbes et réciproquement Le psalmiste observe une continuité
En V, le mot verbum symbolise au mieux cette continuité.
Le nom verbum, omniprésent dans les Écritures, signifie « mot, énoncé, parole(s) » et beaucoup plus encore. Il assume les significations de dabar et de →logos, cristallisant la méditation sur la présence d'un « langage » transcendant avec le Créateur, participé dans la création. Cet usage culmine dans le Nouveau Testament pour désigner le mystère personnel de Jésus-Christ (cf. V—Jn 1,1.14.17).
L'expression verbum Domini, en particulier, crée donc un fil continu de révélation christique, de livre en livre. Pour les scribes latins : elle dénote non seulement les paroles attribuées à Dieu, mais aussi Jésus-Christ comme ce Verbe ultime ; elle connote donc aussi sa prééxistence, dans des proportions et selon des participations difficilement déterminables. De fait, les Pères (Jérôme, Augustin) lisent dans ce psaume tout le mystère du Verbe incarné :
Autant que possible, nous traduisons donc verbum par « verbe », le plus souvent sans majuscule, parfois avec.
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19,3–15 verbe + verbes + dires (V) Du Verbe divin aux mots du psalmiste en passant par la Loi Les artistes visuels peuvent aider à se représenter les diverses participations au v/Verbe évoquées dans ce psaume.
Le psalmiste est saisi par la présence océanique d'un « Verbe » transcendant tout mot au cœur d'un cosmos qui semble « empli par la sonorité d'une phrase non prononcée » (Paul Ps 19,3).
, L'œil écoute) (Il discerne dans les signes naturels autant de « verbes » (Ps 19,4) qui proclament la gloire du Créateur comparé au soleil source de toute lumière, avant d'en rapprocher la Loi elle-même (Ps 19,8), éblouissante et fécondante comme l'astre du jour : en la gardant, le poète peut à son tour prononcer des mots pleins de grâce (Ps 19,15).
est représenté dans nombre de cycles anciens sur récits de création, sous les traits du Verbe créateur (incarné en Jésus) dominant l'univers qu'il a créé et qu'il maintient dans l'existence en le bénissant.
i (1330-1390), La création, (fresque, ca. 1376-1378)
Baptistère du Duomo de Padoue, Italie © Domaine public→
Son « langage » est ici symbolisé dans le compas d'architecte : Dieu a créé l'univers selon des principes géométriques et harmoniques ; découvrir a posteriori ces principes, par la contemplation artistique autant que par la science, c'est se réjouir d'entendre Dieu.
Dieu l'architecte de l'univers, (détrempe sur parchemin, 1220-1230), 34.4 x 26 cm, enluminure en frontispice d'une bible moralisée
Codex Vindobonensis 2554, f.1v., Bibliothèque nationale Vienne, Autriche © Domaine public→
Inscription en ancien français : « Ici crie Dex ciel et terre, soleil et lune et toz elemenz ».
(?, floruit 1357-1391), Cosmographie : l'univers soutenu par Dieu avec les signes des planètes, (fresque, 1389-1391)
galerie nord, Camposanto Monumentale, Pise (Italie) © Domaine public→, Col 1,15-20
La composition de Pietro di Pucci da Orvieto représente la « création continuée » : à la fois l'origine de l'univers et sa dépendance constante à l'égard du Verbe créateur tout-puissant. Une figure colossale de la Divinité avec traits du Christ, Verbe incarné, tient un cosmos circulaire, le tout inscrit dans un cadre carré.
Les deux penseurs qui se tiennent sous l'univers, Augustin à g. et Thomas d'Aquin à dr. représentent, d'une certaine façon, tous ceux qui ont prolongé à travers les âges l'admiration du psalmiste pour l'œuvre du Verbe. Avant même Col 1,17, → 188 enseignait que « Le Logos du Dieu vivant est le lien de toute chose, qui maintient toutes choses ensemble et lie toutes les parties, et les empêche de se dissoudre et de se séparer… le Logos, qui relie et attache chaque chose, est particulièrement particulier. se remplit de lui-même, n’ayant besoin d’aucune chose au-delà. » Quis rerum divinarum heres sit
Retrouvant l'inspiration du psalmiste qui rapproche la Loi écrite et le Verbe manifesté dans le cosmos, des imagiers contemporain (chrétiens littéralistes ?), se plaisent à représenter le Livre lui-même
Jeff Content Licence→ Pixabay→
, Bible Light Jesus, (photographie numérique, 2019) ©50,11 Puzzle Hieroglyphique
Thomas →, (Impression au plomb et gravure sur bois, 1794), Bibles hiéroglyphiques, 14 cm x 9 cm et New Hieroglyphical Bible
(1753-1828); Rowland (1744-1833),Thomas Fisher Rare Book Library, Toronto, © Public Domain - Photo : Dr. Ralph F. Wilson
136,1–26 confessez (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Un terme merveilleusement ambivalent En français courant (comme dans celui de fidèles dès le 4e s. à en croire saint Augustin : Tradition chrétienne Ps 118,1.29 !), les mots « confession » ou « confesser » évoquent trop souvent le sentiment de culpabilité, l'auto-accusation, ou le ... confessionnal ; ce n'est évidemment pas le sens du terme dans ce psaume !
D'ailleurs, ces significations devenues habituelles ne sont que dérivées. Dans l'Écriture, et particulièrement dans le psautier latin, le verbe confiteor traduit le verbe grec exomologeô qui signifie « promettre, consentir, avouer, confesser, glorifier, rendre grâce » ; le sens dominant de l'acte de parole désigné par le verbe est celui de la confessio laudis.
Pour évoquer toute la richesse de ce mouvement de l'âme si profond, la traduction garde autant que possible les mots « confession » ou « confesser ».
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18,50 je te confesserai (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Un terme merveilleusement ambivalent En français courant (comme dans celui de fidèles dès le 4e s. à en croire saint Augustin : Tradition chrétienne Ps 118,1.29 !), les mots « confession » ou « confesser » évoquent trop souvent le sentiment de culpabilité, l'auto-accusation, ou le ... confessionnal ! Mais ces significations devenues habituelles ne sont que dérivées. Dans l'Écriture, et particulièrement dans le psautier latin, le verbe confiteor traduit le verbe grec exomologeô qui signifie « promettre, consentir, avouer, confesser, glorifier, rendre grâce » ; le sens dominant de l'acte de parole désigné par le verbe est celui de la confessio laudis.
Pour évoquer toute la richesse de ce mouvement de l'âme si profond, la traduction gardera autant que possible les mots « confession » ou « confesser ».
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137,1–9 Le psaume 137 a été mis en musique à de très nombreuses reprises.
Giuseppe
(1813-1901) Nabucco, Va pensiero, ou « Chœur des esclaves », Livret : Temistocle opéra en quatre actes tiré d'Auguste et de Francis Nabuchodonosor, drame (1836), Scala de Milan, 1842Riccardo Muti dir., Chœur et orchestre de l'Opéra de Rome, Italie, théâtre Costanzi, Juillet 2013
© Licence Youtube standard, Ps 137 (136) ; Ez 3,15 ; Lm 3,48 ; Is 24,8 ; Jr 25,10 ; Lm 5,14 ; Jr 51,14 ; Ez 25,12
49,8–12 Memento mori
Carstian
(1623-ca. 1657), Memento mori, nature morte avec instruments de musique, livres, partitions, squelette, crâne et armure, (huile sur toile, ca. 1650), 73,5 x 92,5 cmCollection privée, Suisse, Domaine public © Wikimedia commons→
L’homme accumule, ne voyant pas qu’il va vers sa fin. Cette nature morte, à laquelle se mêlent ironiquement un squelette et des crânes, nous interroge : ne sont-ils pas déjà morts, ceux qui placent leur espoir dans les choses de ce monde ?
50,17 comme des vieilleries (V)
Le verbe projicio a un sens assez fort (« lancer, projeter ») ; l'adverbe retrorsum signifie « dans une direction rétrograde, en arrière ». Ainsi peut se comprendre notre traduction.
51,3–21 ; 23,1–6 ; 121,1–8 ; 18,1–51 ; 55,6 Le Roi David, héros symphonique
Arthur
(1892-1955), King David H.37, 1921New England Conservatory
© Licence YouTube standard→, 2S 6,1 ; 7,29 ; 11,1-12.31 ; 18,1-19,44 & Jb 14,1s & Is 11,1 & 1S 16,1-31,33 ; 28,1-25 & 1R 2,1-46 & Ps 51,3-4.7-8 ; 23,1-6 ; 121.1-8 ; 18,1-51 ; 55,6
Ce psaume symphonique en trois parties pour narrateur, trois solistes (SAT), deux chœurs et orchestre est une œuvre de Arthur 1S 16,1-31,13). La deuxième partie célèbre le couronnement de David, sa danse devant l'arche (2S 6,1-23), et la prédiction de la naissance de Solomon par l'ange (2S 7,1-29). Elle se conclue par un chœur d'anges chantant « Alleluia ». La troisième partie raconte les histoires tragiques de David et Bethsabée (2S 11,1-12,31) et la mort d'Absalon (2S 18,1-19,44) ; elle se termine avec la repentance de David (Ps 51,1-21), l'expression de sa piété (Ps 121,1-8), de sa loyauté (Ps 18,1-51) et sa mort paisible (1R 2,1-46), suivie d'un chœur d'Alleluia sereins suggérant l'ascension de l'âme de David au ciel. On retient de nombreux chants de cet oratorio comme le « Cantique du berger David » inspiré du Ps 23,1-6, la lamentation pour soprano « Ah ! si j'avais des ailes de colombe » (Ps 55,6), et l'incantation dramatique de la Sorcière d'Endor (1S 28,1-25), où la sorcière appelle Samuel, d'abord en sifflant puis par un crescendo jusqu'à un rugissement. Des parties instrumentales sont également restées célèbres comme la « Marche des Hébreux », la « Marche des Philistins » ou encore le « Couronnement de Salomon ».
basée sur l'histoire de David. Elle combine des textes des Psaumes, de Job, d'Isaïe et d'un Psaume non biblique de la Renaissance du poète Clément Marot. La première partie raconte l'histoire de la jeunesse de David et se concentre sur la jalousie de Saul, culminant dans sa défaite et sa mort à Gilboa (Part I : 1. 0:01 Introduction 2. 2:07 Cantique du berger David 3. 3:55 Psaume : Loué soit le Seigneur 4. 5:23 Chant de victoire 5. 6:16 Cortège 6. 8:13 Psaume : Ne crains rien 7. 10:15 Psaume : Ah! Si j'avais des ailes de colombe 8. 13:42 Psaume : Cantique des Prophètes 9. 15:27 Psaume : Pitié de moi, mon Dieu 10. 17:59 Le camp de Saül 11. 20:04 Psaume : l'Éternel est ma lumière infinie 12. 21:49 Incantation : La Pythonisse 13. 24:18 Marche des Philistins 14. 25:57 Lamentations de Guilboa. Part II : 15. 31:00 Cantique de fête 16. 32:23 La danse devant l'arche. Part III : 17. 43:09 Cantique : De mon cœur jaillit un cantique 18. 44:45 Chant de servante 19. 46:38 Psaume de pénitence 20. 49:00 Psaume : Je fus conçu dans le péché 21. 52:54 Psaume : Je lève mes regards vers la montagne 22. 54:29 La chanson d'Ephraïm 23. 55:45 Marche des hébreux 24. 58:22 Psaume : Je t'aimerai, Seigneur, d'un amour tendre 25. 1:00:57 Psaume : Dans cet effroi 26. 1:02:23 Couronnement de Salomon 27. 1:04:15 Mort de David.
106,19 mont Horeb Identification Repères historiques et géographiques Ex 3,1
106,28 Béelphégor Localisation Repères historiques et géographiques Nb 23,28
106,1a.47c confessez | afin que nous confessions (V) confitemini | confiteamur Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.
55,2b ne regarde pas avec distraction V—IUXTA HEBR. Pour la traduction de Jérôme selon l'hébreu, V—Gryson propose dispicias (du verbe dispicio qui signifie voir autour de soi, ouvrir les yeux, bien voir, distinguer, prendre en considération, considérer, examiner).
Est-ce une erreur d'une voyelle ? Il semble qu'on aurait dû utiliser le verbe despicio, regarder de haut, regarder ailleurs, être distrait, mépriser, dédaigner, regarder avec mépris », etc.
55,3 exercice (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Dans la Bible latine, exercitatio signifie aussi bien :
En français le substantif « exercice » peut signifier de même l'action de s'exercer ou de pratiquer, l'entraînement y compris ce qu'il a de pénible, ainsi que l'ascèse en vue d'un perfectionnement spirituel, avec sa part de méditation, comme en témoignent les célèbres →Exercices spirituels de saint
Drapeau de la francophonie francophonie→ © Domaine public
55,2–12 Appel à l'aide de l'homme environné de ténèbres et tenté de fuir : le Christ au jardin des oliviers « Mon Père, si c’est possible, que passe loin de moi cette coupe ... » (Mt 26,39)
Paul
(1848-1903), Le Christ au Mont des Oliviers, (huile sur toile, 1889), 73 x 92 cmNorton Museum of Art, West Palm Beach, Floride, États-Unis © Domaine public→
57,9 Mon cœur est prêt
Nicolaus
(1665-1697), Paratum cor meumRicercar Consort, Guy de Mey, Max van Egmond, Ian Honeyman
95,1 V—IUXTA HEBR.
95,1c Dieu notre sauveur (V) Ambiguïté : salut ou sauveur ? Plutôt que par un substantif clair, les versions latines de l'Écriture rendent souvent, un peu étrangement, les substantifs grec (sôter) ou hébreu (yēša) désignant le salut par l'adjectif substantivé salutaris,e « salutaire »
131,2 sur sa mère le petit qu'elle a sevré (V) Une image ambivalente Le sevrage n'est pas un moment de paix, de douceur ni de plaisir. Étape obligée de l'autonomie alimentaire, s'il est brutal, il est traumatisant et assimilé à un rejet. Selon les psychologues→, il peut même installer chez l'individu qui fut privé brutalement du sein, un « complexe de sevrage », difficulté durable à accepter toute forme de séparation ou d'autonomie...
Peter
(1796-1842), Mère et enfant sous le crucifix, (huile sur toile, non daté), 39,5 x 32,5 cmBelvedere Museum, Vienne (Autriche) n° 4023 © Domaine Public→, 1Tm 2
16,1–11 (V) Énonciation : dialogue du Christ et de son Père Au-dedans de la voix du messie David en prière, c'est celle du Messie ultime que la tradition latine a entendue dans ce psaume :
(France du nord-ouest, Rouen), David en prière, (détrempe sur parchemin, av. 1498), Miniature d'un Bréviaire à l'usage de Besançon, incipit du Psaume 15 (16)
ms 0069, f. 021, Bibliothèque municipale de Besançon © CC-BY-SA-3.0→
Au début du Psaume 15, l'imagier médiéval entend bien la voix pleine d'espérance du roi-poète David s'adressant à son Dieu symbolisé par les rayons de la lumière d'en haut. Les mains levées à la hauteur de la poitrine et tournées vers l'extérieur sont un signe d'écoute et d'humilité devant la présence de Dieu.
19,2–15 Les cieux racontent la gloire de Dieu Quand science, art et théologie dialoguent ... Jean Kepler, astronome du début du 17e s., est souvent associé au Psaume 19 en raison de ses profondes croyances religieuses et de sa passion pour l'astronomie. Le Psaume 19, qui commence par « Les cieux racontent la gloire de Dieu; et l'étendue manifeste l'œuvre de ses mains », a une résonance particulière dans le travail de Kepler, qui voyait dans l'ordre et la beauté de l'univers une expression de la divine providence.
Johannes Domaine public→
(1571–1630), Page de titre de Mysterium Cosmographicum (éd. 1600) ©Dans son œuvre Le Mystère du Monde (Mysterium Cosmographicum en latin), publiée en 1596, Kepler tente d'expliquer la structure harmonieuse de l'univers à travers des principes géométriques et mathématiques. Il y expose sa célèbre théorie des polyèdres, selon laquelle les orbites des planètes connues à son époque pourraient être inscrites et circonscrites par des solides géométriques réguliers. Kepler voyait cette harmonie comme une preuve de la conception divine, reflétant les idées exprimées dans le Psaume 19 sur la manifestation de la gloire de Dieu dans l'ordre naturel de l'univers.
Johannes Prodromus dissertationvm cosmographicarvm→, continens mysterivm cosmographicvm de admirabili proportione orbium coelestium Deque causis coelorum numeri, magnitudinis, motuumque periodicorum genuinis & propiis, demonstratum per quinque regularia corpora geometrica (1Tübingen, 1596), Francfort : Erasme Kempfer - Godefroid Tampach, 1621 © Domaine public→
(1571–1630), Planche des solides platoniques (gravure, 1597), illustration, dansBien que les idées de Kepler dans le Mysterium Cosmographicum aient été ultérieurement remplacées par ses lois du mouvement planétaire, l'ouvrage reste significatif pour son mélange de rigueur scientifique et de contemplation théologique, incarnant la conviction de Kepler que la science était un moyen de comprendre et d'apprécier l'œuvre de Dieu. Pour Kepler, l'étude de l'astronomie n'était pas seulement une enquête scientifique, mais aussi une forme de vénération religieuse.
42,4 Mes larmes Tristesse devant Dieu
, Sépulcre (scène de l'onction du corps du Christ), (1672), sculpture sur pierre, détail
Saint Martin d'Arc-en-Barrois, Haute Marne (France)
42,2 soupire après les sources d'eau Une âme de désir par excellence : le Précurseur s'abreuvant à la source
(1571-1610), Saint Jean-Baptiste à la fontaine, (huile sur toile, ca. 1610), 100 x 73 cm
Collection Bonelli, La Valette, Malte © Domaine public→
17,8 à l'ombre de tes ailes Les ailes d'un dieu
, Chronos, dieu du temps, (sculpture, 1876)
Tombe d'Erasme di Giuseppe Piaggio, Cimetière monumental de Staglieno, Gênes
Domaine public © Wikicommons→
50,14 rends tes vœux (V) FRANÇAIS BIBLIQUE L'expression « rendre ses vœux » est attestée dans le dictionnaire→ de . C'est à la fois
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56,12 tes vœux que je te rendrai en louanges (V) FRANÇAIS BIBLIQUE L'expression « rendre ses vœux » est attestée dans le dictionnaire→ de . C'est à la fois
Dans l'usage qui en est fait ici, le « lieu » où sont rendus les vœux semble le psalmiste lui-même, considérée comme un « espace » où la reddition des vœux se fait en louanges. De fait, le Dieu des Écritures n'habite-t-il pas dans les louanges d'Israël (M-Ps 22,4) ?
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56,11s.2 En Dieu, je louerai le verbe Introït chanté pendant le temps du Carême
, Introït - In Deo laudabo
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
In Deo laudabo verbum, in Domino laudabo sermonem : in Deo speravi, non timebo quid faciat mihi homo. (Ps 56,11-12.2)
En Dieu, je louerai sa parole ; dans le Seigneur, je louerai ce qu’il dit : c’est en Dieu que j’ai mis mon espérance, je ne craindrai pas ce que pourrait me faire l’homme.
90,17a YHWH notre Dieu : M | Conjecture ? : YHWH
114,7 devant la face de (V) Sémitisme Dans la Vulgate et les auteurs qui s'en inspirent, le terme facies forme de nombreuses locutions. Entre autres, la locution a facie qui signifie « en face de, en présence de, devant » (apo prosôpou, epi prosôpou) : a facie aquilonis Jr 1,14 ; a facie ignis Ps 67,3 ; a facie irae tuae Ps 37,4. Cette locution peut encore signifier « de devant, hors de : eicere aliquem a facie terrae Gn 4,14 ; egredi a facie Domini Gn 4,16 ; fugere a facie arcus Ps 59,6 (cf. →). Dict.
113,1–118,29 Béni soit le Nom du Seigneur. Le grand Hallel. Ce psaume est le premier du Hallel, suite de psaumes de louange (113-118) chantée les matins des fêtes et des néoménies (Ros ḥōdeš, Liturgie Nb 28,11–15). Le Hallel complet se dit aux Cabanes, les huits jours de Hanoukka (Liturgie 1M 4,36–60), les deux premiers jours de Pâque, les deux jours de Pentecôte. Il est abrégé les six derniers jours de Pâque et les néoménies.
Les flammes qui montent de la hanoukkia (photographie, 2019)
115,11a Vous qui craignez YHWH Périphrase Les « craignant-YHWH » sont les prosélytes : Intertextualité biblique Ps 15,4b.
115,2–8 Les paîens et leurs idoles : Daniel, Cyrus et l'idole de Bel
Rembrandt Harmenszoon van Rijn dit
(1606–1669), Daniel et Cyrus devant l'idole Bel, (huile sur panneau, 1633), 23,5 x 30,2 cmThe J. Paul Getty Museum, Museum East Pavilion, Gallery E205, Los Angeles
© Domaine public→ , Dn 14
Daniel, en retrait dans l'ombre, dévoile peu à peu au roi Cyrus sa crédulité. Est-ce le premier passage, où le roi, montrant de son sceptre les récipients vides, demande à Daniel : « Bel ne te semble-t-il pas être un dieu vivant ? Ne vois-tu pas tout ce qu’il mange et boit chaque jour ? » (Dn 14,5) ou bien le retour dans le temple après la nuit qui est ici représenté ? La signature de Rembrandt, comme tracée dans la cendre déposée sur le sol sous la table d'offrandes pour exposer la tromperie des prêtres de Bel, et le visage effrayé de ces derniers à l’arrière-plan laissent supposer qu’il s’agit plutôt de la fin de l’épisode.
97,12 sanctification (V) FRANÇAIS BIBLIQUE
Le mot sanctificatio a chez les auteurs chrétiens les sens d'action de proclamer saint, action de sanctififer, sanctification, justification, sainteté, purification, rédemption et finalement de sanctuaire, temple. Nous conservons ici le terme de « sanctification » qui désigne tout un processus, à la fois « le fait de rechercher la sainteté ou d'y parvenir » et celui de donner la sainteté (CNRTL→).
Drapeau de la francophonie→ © Domaine public
30,4 lac (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Le latin lacus, us qui signifie lac, étang, marée, finit aussi par désigner la cavité, la profondeur, le creux, et, dans le contexte biblique inculturé au monde gréco-romain, la fosse de l'enfer. La présente traduction maintient le mot « lac » chaque fois qu'elle peut expliciter le sens d'une chute ou d'une noyade dans la profondeur, ce qui est le cas ici : « salvasti me a descendentibus in lacu ».
Drapeau de la francophonie→ © Domaine public
94,5ss ton peuple Image du peuple opprimé
Un célèbre illustrateur allemand propose sa vision de l'oppression du peuple avant la révolte des Maccabées.
Julius Veit Hans Schnorr von →Die Bibel in Bildern, 1860
(1794-1872), Martyrs, (gravure sur bois, 1851-1860),Domaine public © Wikimedia commons→
97,1 Un règne d'un tout nouveau genre, inauguré par la Passion et la Résurrection
, Introït - Victricem manum tuam
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Introït chanté au temps pascal.
24,10 Le Seigneur des puissances ou le Dieu des armées, en simple antienne de communion
, Communion - Dominus virtutum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
23,1s Le Seigneur va me diriger Confiance et communion En antienne de communion, les deux premiers versets du psaume invitent le fidèle qui s'approche de la table eucharistique à se laisser nourrir et guérir par le bon Pasteur.
, Communion - Dominus regit me
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
23,4 même si j'ai à marcher Actualisation de la confession de foi, en graduel et en communion Par ce verset, le fidèle confesse sa totale confiance en un Dieu protecteur et consolateur.
, Graduel - Si ambulem
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Communion — Si ambulavero
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
28,1s silence Évocation picturale
Nikolaï
(1859-1918), Silence, (huile sur toile, 1890), 76,5 x 128 cmЖ-4392, Musée russe de Saint-Pétersbourg © Domaine public→
28,8s Le Seigneur est la force de son peuple Chant grégorien
, Introït - Dominus fortitudo
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
28,7 c'est en lui qu'a espéré mon cœur Chant grégorien
, Graduel - In Deo speravi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
28,9 Sauve ton peuple Chant grégorien
, Graduel - Salvum fac populum tuum
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
25,14 firmament (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Dérivé de firmare « rendre ferme, solide », le nom « firmament » désigne la voûte céleste à laquelle les astres semblent fixés. En latin classique le mot avait le sens de « soutien, appui » (au propre et au figuré). Cf. CNRTL→
Drapeau de la francophonie→ © Domaine public
78,26a Auster V Auster est le vent du midi. Auster et africus sont des expressions synonymes.
Je regrette mais ce n'est pas exact.
89,53 Amen
Otis Redding - Amen, 2021-02-19, Otis Redding (1941-1967), Ps 89,53
Mort prématurément à 26 ans en 1967, inspirateur des plus grands (des Rolling Stones et Aretha Franklin à Jay-Z et Kanye West en passant par Johnny Hallyday), il interprète Amen.
101,4s Les tricheurs
Georges de
(1593-1652), Le Tricheur, (huile sur toile, ca. 1635), 106 x 146 cmMusée du Louvre, Paris, Domaine public © Wikimedia commons→
30,8–13 Vers toi Seigneur je crierai. Illustration de l'homme abandonné : le pauvre Lazare
(1827-1902), Illustration de Lazare à la porte de l'homme riche, (1886)
Domaine public © Wikicommons→
49,1–21 Vous les peuples entendez
Georg Philipp
(1681-1767), Ihr Völker hört TWV 1:921, 1725Quirinus ensemble
Cette cantate de Telemann, peu connue, a été composée pour la fête de l'Épiphanie sur le texte du Psaume 49.
(1944-1983), Psalm 49, 1975
Prince Far I, (Psalms For I)
Prince For I est un toaster et producteur de reggae et dub jamaïcain. En 1975, il compose son premier album, Psalms For I pour Lloydie Slim, dont les paroles sont des sermons, comme toutes les paroles qu'il composa par la suite. Cet album mettait en place le style de Prince Far I, lui donnant sa véritable identité.
95,1s Venez, exultons Interprétations baroques
John
(1579-1641), Come, Let's Rejoice, 1615Scot Buzza (dir.), Harmonia Sacra Xaveriana & Xavier University Schola Cantorum
John Informator choristarum (1610-1641). Il a reçu son baccalauréat en musique d'Oxford avec le soutien du comte de Bath en 1613, et aussi de Cambridge en 1640. Il a été employé à la fois comme organiste et ecclésiastique à la cathédrale après avoir obtenu son premier diplôme. Il a ensuite été ordonné au diaconat, devenant plus tard vicarius (canon mineur).
(1579-1641) est un compositeur anglais de la Renaissance. Compositeur d'œuvres sacrées, naquit à Ely et fut étroitement associé à la cathédrale d'Ely, avant même d'y être employé commeCome let's rejoice unto the Lord: let us make joy to God our Saviour. Let us approach to his presence in confession: and in psalms let us make joy to him. Alleluia.
George Frideric
(1685-1759), O come, let us sing to the Lord (Chandos Anthem no 8) HWV 253, 1717-1718Harry Christophers (dir.), The Sixteen
© Licence YouTube Standard, Ps 95,1
Les Chandos Anthems sont onze antiennes composées par Georg Friedrich
en 1717-1718 alors qu'il résidait à Cannons chez le duc de Chandos, James Brydges. La distribution est variée, les œuvres sont écrites pour solistes, chœur, cordes et quelques vents solistes. Elles amalgament des éléments d'origine éclectique : choral germanique, musique religieuse vénitienne, antienne dans la tradition de Purcell, sonate italienne. y emprunte à ses ouvrages antérieurs, et elles serviront à leur tour pour alimenter d'autres compositions. Certaines furent remaniées pour les musiciens de la Chapelle Royale.O come, let us sing unto the Lord; let us heartily rejoice in the strength of our salvation. Let us come before his presence with thanksgiving and show ourselves glad in him with psalms. For the Lord is a great God, and a great King above all gods. O come, let us worship and fall down, and kneel before the Lord our Maker. For he is the Lord our God, and we are the people of his pasture and the sheep of his hand. Glory and worship are before him, power and honour are in his sanctuary Tell it out among the heathen that the Lord is King and that he made the world so fast it can’t be moved. O magnify the Lord and worship him upon his holy hill for the Lord our God is holy. The Lord preserveth the souls of the saints, He shall deliver them from the hand of the ungodly. For look, as high as the heaven is, in comparison of the earth, so great is his mercy towards them that fear him. There is sprung a light for the righteous, rejoice, and joyful gladness for such are true hearted.
122,1–9 Allons à la maison du Seigneur! Vœux de paix pour Jérusalem
, Église Sainte-Anne, vue générale de Jérusalem, (papier photographique albuminé), 21,8 x 28,2 cm
numérisation : Couvent St-Étienne de Jérusalem / École biblique, © Domaine public
Jérusalem, vue générale depuis le haut du rempart, du nord-est vers le sud-ouest, à hauteur de l’église Sainte-Anne. Le photographe a posé son trépied sur le chemin de ronde, un peu au nord de la Porte des Lions, et a dirigé son objectif vers le cœur de la vieille ville musulmane : au centre gauche, l’esplanade des mosquées, avec le Dôme du Rocher, et, en bordure de photo, à gauche, el-Aqsa. Au premier plan, l’église médiévale Sainte-Anne, domaine national français, confiée aux Pères-Blancs des Missions Africaines. Le bâtiment de l’église croisée est restauré, mais son environnement n’est pas aussi dégagé que cent ans plus tard, quand toutes les parcelles de terrain auront été petit à petit achetées pour agrandir l’espace du séminaire grec-catholique géré par les Pères-Blancs à Ste Anne. Au loin, dans la ligne d’horizon, le Quartier Juif de la vieille ville, dominé par les deux dômes des grandes synagogues que sont la Tiferet et la Hurva. Un double existe dans la collection Bonfils, portant le même numéro 255 et la même légende inscrite au bas, « Sainte Anne, vue générale de Jérusalem », mais en réalité, ce cliché parallèle est plus ancien, car les bâtiments du séminaire melkite ne sont pas aussi étendus alors que sur la première version ; on n’en voit même pas l’étage… En revanche, la vieille ville de Jérusalem, immuable, y est semblable.
92,2s Il est bon de louer le Seigneur Graduel et Offertoire
, Graduel - Bonum est confiteri
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
,Offertoire - Bonum est
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
119,1.9.17.25.33.41.49.57.65.73.81.89.97.105.113.121.129.137.145.153.161.169 Le « psaume alphabétique » par excellence Ce psaume est l'un des monuments les plus caractéristiques de la piété israélite envers la Révélation divine. En mobilisant la symbolique de l'→alphabet hébreu, il se présente comme la somme ultime de la louange, déclinée sur tous les tons, en quelque sorte de A à Z.
Aleph-bet hébreu complet, en écriture « carrée » © Domaine public
Il se lit de haut en bas et de droite à gauche. Au-dessous de chaque lettre figure son nom translittéré approximativement en français. Plusieurs lettres ont deux graphies : la seconde est la forme qu'elles prennent lorsqu'elles sont en fin de mot.
119,4 tu commandas de bien garder tes commandements Tous résumés en un seul : le commandement nouveau
Traditionnel, Jeudi Saint — Lavement des pieds : Antienne « Mandatum novum »
(CD, 2005) Dom Jean Claire, chœur des moines de l'abbaye de Solesmes
À la suite de la courte antienne dont le premier mot a donné son nom au rite : Mandátum novum do vobis, le texte de l’évangile du lavement des pieds, (Jn 13,1-17) est repris sur les formules des antiennes de l’office, en style à peu près syllabique.
119,7.124.137 Célébration de la justice du Seigneur
, Introït — Justus es Domine
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
119,2s.23.86 Contraste entre le juste et ses persécuteurs
, Introït - Etenim
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Pièce chantée pour la fête de saint Étienne, le 26 décembre.
Etenim sederunt principes, et adversum me loquebantur: et iniqui persecuti sunt me: adiuva me, Domine Deus meus, quia servus tuus exercebatur in tuis iustificationibus.
Et de fait, les princes ont siégé, et ils parlaient contre moi : et des gens iniques m'ont persécuté : viens à mon secours, Seigneur mon Dieu, car ton esclave se formait dans tes justes décrets.
119,151s Tu es proche - Introït
, Introït - Prope es tu
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Prope es tu Domine, et omnes viae tuae veritas : initio cognovi de testimoniis tuis, quia in aeternum tu es.
Tu es proche, toi, Seigneur, et toutes tes voies sont vérité : dès le commencement, j’ai reconnu, quant à tes révélations, que tu existes, toi, pour l’éternité.
119,2 Heureux ceux dont la voie est parfaite
Charles V.
(1852-1924), Beati Quorum Via, 1889The Georgia Boy Choir
Beati quorum via integra est, qui ambulant in lege Domini. (Ps 119,1)
Sir Charles Villiers
est un compositeur irlandais, né le 30 septembre 1852 à Dublin et décédé le 29 mars 1924 à Londres. Avec Hubert et surtout Edward , il est l'un des compositeurs emblématiques de la période victorienne. De nos jours, est particulièrement connu pour ses œuvres chorales. La musique composée pour l’Église anglicane est encore beaucoup jouée.47,6 ; 103,19 Dieu est monté Ascendit Deus in jubilatione
Peter
(ca. 1560-1628), Ascendit Deus in jubilatione, 1607Timothy Brown (dir.), The Choir of Clare College
Ascendit Deus in jubilatione, et Dominus in voce tubae. Dedit dona hominibus. Alleluia. Dominus in caelo paravit sedem suam. Alleluia.
Peter
est un prêtre catholique, compositeur et organiste anglo-flamand. Grâce à lui, l'Europe continentale a pu se familiariser avec la musique anglaise. On compte plusieurs centaines de morceaux. Il ne les publie qu'au sommet de sa carrière, vers 1612 et jusqu'à 1628. Seul son contemporain le grand William en composa plus que lui.Giovanni Pierluigi
(1525-1594), Viri Galilaei / Ascendit Deus (Liber primus motettorum), 1569Philipe Herreweghe (dir.), Ensemble Vocal Européen De La Chapelle Royale
Viri Galilaei, quid admiramini aspicientes in caelum? Alleluia. Quemadmodum vidistis eum ascendentem in caelum, ita veniet, Alleluia. (Ac 1,11)
Giovanni Pierluigi
est un compositeur italien de la Renaissance, reconnu et immensément admiré par tous les musiciens de son temps. Il a su appliquer les réformes du Concile de Trente à la musique sacrée voulant obtenir l'intelligibilité des paroles et une musique en rapport intime avec le texte sacré. Ce motet à 6 voix est issu de la Messe de l'Ascension.111,1 ; 119,7.10.34.58.69.145 de tout cœur C'est ainsi qu'on célèbre et confesse le Seigneur
, Offertoire — Confitebor... in toto corde meo
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
69,4 Je me suis fatigué en criant Laboravi clamans
Jean-Philippe
(1683-1764), Laboravi clamansPhilippe Herreweghe (dir.), La Chapelle Royale
Jean-Philippe
, né le 25 septembre 1683 à Dijon et mort le 12 septembre 1764 à Paris (paroisse Saint-Eustache), est un compositeur français et théoricien de la musique. L'œuvre lyrique de forme la plus grande partie de sa contribution musicale et marque l'apogée du classicisme français, dont les canons s'opposèrent avec force à ceux de la musique italienne jusque tard au cours du XVIIIe siècle.Laboravi clamans, raucæ factæ sunt fauces meæ: defecerunt oculi mei, dum spero in Deum meum.
84,2ss Que tes demeures sont aimables, Seigneur
Johannes
(1833-1897), Ein Deutsches Requiem "Wie lieblich sind deine Wohnungen" (partie 4 sur 7), 1865John Eliot Gardiner (dir.), Monteverdi Choir, Orchestre Revolutionnaire et Romantique
Ein deutsches Requiem, nach Worten der heiligen Schrift für Soli, Chor und Orchester (Orgel ad lib.), op. 45 – « Un Requiem allemand, sur des textes de l'Écriture sainte, pour solistes, chœur et orchestre (avec orgue ad libitum) » – est une œuvre sacrée (mais pas liturgique) en sept parties (ou mouvements) composée par Johannes
et achevée en 1868. Elle dure de 70 à 80 minutes, ce qui en fait la plus longue composition de Brahms. Les deux solistes n'interviennent qu'exceptionnellement, le baryton pour faire entendre l'appel angoissé de l'homme face à son destin, la soprano pour annoncer le caractère maternel des consolations futures. L'orchestre reste toujours d'une clarté exemplaire, même lorsqu'il passe au second plan. La conclusion résume la promesse du sermon sur la montagne. Les épisodes centraux du sixième morceau pourraient être considérés comme une version protestante du Dies iræ. L'œuvre, de conception humaniste, que l'auteur aurait désiré rendre œcuménique, lui assura la célébrité.Wie lieblich sind deine Wohnungen, Herr Zebaoth! Meine Seele verlanget und sehnet sich nach den Vorhöfen des Herrn; mein Leib und Seele freuen sich in dem lebendigen Gott. Wohl denen, die in deinem Hause wohnen, die loben dich immerdar.
96,1–6 Chantez au Seigneur O sing unto the Lord
Henry
(1659-1695), O sing unto the Lord Z44, 1688Simon Preston (dir.), Choir of Christ Church Cathedral, Oxford
Henry
est un musicien et compositeur anglais, né et mort à Londres dans le quartier de Westminster. compte parmi les plus grands compositeurs anglais. Il a incorporé à sa musique des éléments des styles baroques français et italien, mais a développé un style anglais particulier.Symphonia O sing unto the Lord a new song. Alleluia. Sing unto the Lord, all the whole earth. Alleluia. Symphonia Sing unto the Lord, sing unto the Lord and praise his name: Sing unto the Lord, sing unto the Lord and praise his name: be telling of his salvation from day to day. Solo Bass: Declare his honour unto the heathen: and his wonders unto all people. Glory and worship are before him : power and honour are in his sanctuary. The Lord is great, and cannot worthily be praised: he is more to be feared than all gods. As for the gods of the heathen, they are but idols: but it is the Lord that made the heavens. Ritornelli O worship the Lord in the beauty of holiness: let the whole earth stand in awe of him. Tell it out among the heathen that the Lord is King: The Lord is King, The Lord is King, is King, the Lord is King And that t'is He who hath made the round world so sure that it cannot be moved; 'Tis He, 'tis He, 'tis He who hath made the round world so sure that it cannot be moved; And how that he shall judge the people righteously. And how that he shall judge the people righteously. Alleluia.
74,5 presque à la sortie sur un endroit en hauteur (et ils n'ont pas compris !) V : allusion à la crucifixion de Jésus ? Même si saint Jérôme lui-même dans sa traduction sur l'hébreu, ne retient pas cette allusion, elle est peut-être présente dans la lettre latine selon la Septante de ce psaume.
Francesco
(1422–1457), Christ en croix, adoré par saint Jérôme et saint François, (tempera sur panneau de bois, ca 1445-1450), 61,5 x 49,1 cm,National Gallery of Art, Washington D.C. © Domaine public→
Jésus en croix, étendard de dérision pour ses ennemis, étendard royal pour ses amis, à la sortie de Jérusalem, sur la hauteur du Golgotha, contemplé, à sa droite par le grand saint Jérôme.
74,3–11 leurs insolences dans le lieu saint : destructions du Temple au fil de l'histoire d'Israël
Francesco
(1791-1882), La destruction du Temple de Jérusalem, (huile sur toile, 1867), 183 x 252 cmGallerie dell'Academia, Venise, Italie, Domaine public © Wikimedia commons→, Mt 24
74,2.22 Pourquoi, Dieu CHANT GRÉGORIEN Interprétation christique : appel au secours divin au moment de la Passion
Ps 73 (74,1.2.22)
, Jeudi Saint - 2° Nocturne : AntienneExsurge, Domine"et(CD, 2005) Dom Jean Claire, Chœurs Des Moines de L'Abbaye De Solesmes
Dernière antienne du deuxième nocturne du Jeudi Saint. Cri d'appel au Dieu fort et vengeur de son peuple, ce psaume tente d'exciter la violence divine devant l'ennemi qui outrage son nom et celui de son serviteur.
81,17 lui nourrit ceux-là de la moëlle du froment CHANT GRÉGORIEN
, Introït - Cibavit
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
81,6 Louange de Dieu Bien qu'il ne s'agisse pas expressément d'un « psaume de David », l'exhortation à une joyeuse fanfare évoque l'exemple d'enthousiasme du pieux roi (cf. Musique 2S 6,12–15).
Leonaert
(1596-1674), Le roi David danse et joue devant l'arche d'alliance, (huile sur cuivre, 1630), 42×58 cmMusée Pouchkine, Moscou (Russie) © Domaine public→
Avec son grand ange trompettste dominant la scène, le peintre baroque hollandais, sur ce panneau en mal de restauration, met ici l'accent sur la joie au Ciel qui accompagne l'entrée de l'arche dans la Jérusalem terrestre.
(1610-1690), Le transfert de l'arche d'alliance par le roi David qui chante et danse, (huile sur cuivre, 1650), 88 x 106 cm
Musée Abtei Liesborn des Kreises, Warendorf (Allemagne), © CC BY-NC-SA→
Remarquez comme la femme de David, Mikhal, fille de Saül, observe l'entrée depuis la fenêtre du palais royal : elle est vraiment au spectacle ! À la suite de son séjour à Rome (1633-1640), continuant en quelque sorte l'inculturation romaine si présente dans la Vulgate de saint Jérôme, Van Lint représenta à plusieurs reprises des triomphes et des entrées mythologiques, allégoriques et bibliques. Elles se trouvent aujourd'hui à Madrid, au Musée du Prado (Triomphe de Cupidon ; Triomphe de Cybèle) et à Munich, à la Bayerische Staatsgemäldesammlungen (Entrée du Christ à Jérusalem).
89,2 Les miséricordes du Seigneur
Wolfgang Amadeus
(1756-1791), Misericordias Domini K.222, 1775Marcus Creed (dir.), Berlin Radio Symphony Orchestra & Rias Chamber Chorus
© License YouTube Standard→, Ps 89,1
Wolfgang Amadeus
laisse une œuvre impressionnante (626 œuvres sont répertoriées dans le catalogue Köchel), qui embrasse tous les genres musicaux de son époque. Selon le témoignage de ses contemporains, il était, au piano comme au violon, un virtuose. On reconnaît généralement qu'il a porté à un point de perfection le concerto, la symphonie, et la sonate, qui devinrent après lui les principales formes de la musique classique, et qu'il fut l'un des plus grands maîtres de l'opéra. Son succès ne s'est jamais démenti. Son nom est passé dans le langage courant comme synonyme de génie, de virtuosité et de maîtrise parfaite.Misericordias Domini in aeternum cantabo: in generationem et generationem, annuntiabo veritatem tuam in ore meo.
89,20–30 Dieu a parlé en visions
John
(1649-1708), God spake sometime in visions, 1685Vox Luminis
© License YouTube Standard→, Ps 89,20-30
John
est un organiste et compositeur anglais de musique baroque, né en février 1649 et mort le 1er octobre 1708. L'oeuvre ici interprétée fut écrite à l'occasion du couronnement du Roi d'Angleterre James II.God spake sometime in visions and said: I have laid help upon one that is mighty. I have found David my servant, My hand shall hold him fast and my arm shall strengthen him. The enemy shall not be able to do him violence, the son of wickedness shall not hurt him But my faithfulness and my mercy shall be with him and in my name shall his horn be exalted. I will set his dominion also in the sea, and his right hand in the floods. He shall cry unto me: “Thou art my father, my God, and my strong salvation” and I will make him my firstborn, higher than the kings of the earth. My mercy will I keep for him for ever more and my cov'nant shall stand fast with him. His seed also will I make to endure for ever, and his throne as the days of heav'n. Amen, allelujah.
90,1s.15 ; 144,3s ; 102,12 Seigneur notre refuge
Edward
(1874-1946), Lord, Thou Hast Been Our Refuge, 1917Stephen Cleobury (dir.), Choir of King's College, Cambridge
© License YouTube Standard→, Ps 90,2ss.15.144,3s.102,12
Lord, thou hast been our refuge from one generation to another, Before the mountains were brought forth, or ever the earth and the world were made, thou art God from everlasting, and world without end. Again thou sayest Come again, ye children of men, seeing that is past as a watch in the night. And fade away, way suddenly like the grass. But in the Ev'ning it is cut down, dried up, and withered. Thou hast set our misdeeds before thee and our secret sins in thy light of the countenance. The days of our age are threescore years and ten, and tho' men be so strong that they come to fourscore years, yet is their strength then but labor and sorrow, so soon passeth it away, and we are gone. So teach us to number our days, that we may apply our hearts, unto wisdom. Glory be to the Father, and to the Son, and to the Holy Ghost; As it was in the beginning, is now and ever shall be, world without end, Amen.
Sir Edward Cuthbert
est né à Huddersfield le 22 août 1874. Il était organiste et compositeur anglais dans la tradition musicale de l'église anglicane.87,5 Même cet homme est né en elle (V) ... Qui ? Le texte latin est très énigmatique :
Très littéralement, on pourrait traduire le deuxième →comma comme : un humain et un [autre] humain est en elle.
La répétition de homo, cependant, invite à penser qu'il y a homme et homme. Notre traduction suit la lecture des Pères qui comprennent
Logiquement, suivant cette ligne interprétative, c'est la figure de Marie, nouvelle (fille de) Sion, qui est évoquée : ce verset (ou →colon) désignerait donc en énigme la maternité de Marie comprise comme nouveau Temple, non fait de main d'homme, au cœur de la Jérusalem céleste :
Une image célèbre décrit Marie comme nouvelle Arche d'alliance contenant la Présence de Celui qui est en définitive le seul Temple de la Sion céleste (Ap 21,22).
Piero
(1412/20-1492), La Madonna del Parto, (fresque, 1455-60 (?), maçonnée en 1785, redécouverte en 1889, restaurée et déposée en 1993), Vierge parturiente, 260 × 203 cm, église Santa Maria di Momentana, Monterchimusée de Monterchi, Toscane (Italie), Domaine public © Wikicommons→
Monterchi était la ville natale de la mère du peintre, cela explique sans doute la charge émotionnelle et théologale de l'œuvre, où la Vierge apparaît sous une figure presque paysanne, tranchant sur modèles à longs cheveux blonds L'images est un exemple parfait de Virgo paritura (Vierge parturiente), type précédant chronologiquement la Vierge à l'Enfant et aussi sujet pictural bien moins répandu dans les arts. Debout et face au spectateur dans une attitude hiératique à la manière des représentations byzantines, Marie pose la main gauche sur la hanche, la droite soutient son ventre proéminent qu'elle montre par l'échancrure. Elle est entourée de deux anges parfaitement symétriques réalisés à partir d'un même carton et de couleurs complémentaires, qui écartent délicatement les pans du rideau du baldaquin (draperies rouges signalant l'intérieur du Temple, dans l'iconographie byzaintine), brodé de grenades symbolisant à la fois la Tora et la Passion du Christ. Le tableau joue un rôle important dans le film Nostalghia→ d'Andreï Tarkovski (1983).
30,4 tu m'as sauvé de ceux qui coulent au fond du lac (V) Images aquatiques des supplices de l'enfer Le latin lacus, us qui signifie lac, étang, marée, finit aussi par désigner la cavité, la profondeur, le creux, et, dans le contexte biblique inculturé au monde gréco-romain, la fosse de l'enfer. La présente traduction maintient le mot « lac » chaque fois qu'elle peut expliciter le sens d'une chute ou d'une noyade dans la profondeur, ce qui est le cas ici : « salvasti me a descendentibus in lacu ».
Les peintres de l'enfer ont été sensibles au symbolisme de la noyade dans l'eau ou de l'étouffement dans la boue repris par Dante à l'Écriture et aux mythologies antiques. En voici deux exemples.
; cf. G. , Rass. Bibl. Lett. Ital. I (1893)
, ou : della Strada (Jan van der Straet, 1523–1605), Colériques et acédiques, (dessin gouaché (?), 1587), illustration de l'Enfer de , chant 8Bibliothèque laurentienne, Florence, Italie (Codex palatin 75) © Domaine public→
Eugène
(1798–1863), Dante et Virgile aux enfers, dit aussi La Barque de Dante, (huile sur toile, 1822,189 x 241 cm)Musée du Louvre (Paris) — 3820 © Domaine public→
Sur ce tableau précoce qui contribua à révéler le génie de Delacroix, la scène représente la visite aux Enfers de Dante Alighieri accompagné de Virgile, leur passage sur le Styx dans la barque menée par Phlégias, roi des Lapithes. Il s'agit précisément du cinquième cercle de l'Enfer, celui des coléreux condamnés à demeurer dans les eaux boueuses du Styx. Sous le ciel sombre et la ville en feu sur la gauche qui entourent les deux poètes bien éclairés au centre, dans les eaux tumultueuses, les corps des damnés qui cherchent à s'accrocher à la barque font écho cauchemardesque à ce verset du psaume.
138,1–8 Je te confesserai Seigneur de tout mon cœur Chanson contemporaine : Sé que no me dejarás [Je sais que tu ne me quitteras pas]
Ce chant constitue l'une des plus sublimes méditations autour du psaume 138.
(1971 -), « Se que no me dejaras (Salmo 138, 8) », Album El Señor es mi Pastor, 2011
Hermana Glenda, artiste, religieuse et psychologue, s'adresse au Père dans un acte d'abandon confiant, tout en laissant transparaître une part d'humanité encore en quête d'une confiance absolue en Dieu : « Je sais que tu ne me quitteras pas, que tu ne m’abandonneras jamais... N’abandonne pas l’œuvre de tes mains ! ». Cette immersion dans les profondeurs de la conscience humaine est soutenue par une musique d'une grande intensité émotionnelle, adoptant un mode mineur favorable à l'introspection. La guitare, omniprésente dans les compositions d'Hermana Glenda, s'accompagne ici de percussions discrètes, insufflant une douceur qui, loin d'amollir ou d'endormir, nourrit, vivifie et incite à progresser. Il s'agit d'une invitation à percevoir, en notre cœur, cette Présence inaltérable qui appelle à la confiance.
78,22.38 sauveur + « propitiation » : V | M G : Discrète christologisation ? Le substantif (ou adjectif substantivé) neutre salutare,is employé au v.22 signifie tout moyen de salut : « remède, préparation, prospérité, confort, salut, délivrance », mais aussi : « délivreur, sauveur ».
Au v.38 :
Franscisco de Wikicommons→,
(1598-1664), Agnus dei, (huile sur toile, entre 1635 et 1640), 38 x 62 cm, Musée du Prado, Madrid, ©Francisco de Zurbaran est un peintre espagnol du siècle d'or. Il se distingue dans les peintures religieuses où son art révèle une grande force visuelle et un profond mysticisme. Il a réalisé six versions de ce sujet qui diffèrent peu les unes de autres. L'agneau est traité avec un grand réalisme, ses pattes sont liées pour le sacrifice, et la toile porte l'inscription : « Comme une brebis, il fut conduit à l’abattoir ; comme un agneau muet devant le tondeur, il n’ouvre pas la bouche » (Ac 8,32). Cf. Lv 22,17-30.
91,11 puisqu'à ses anges il commanderaqu'ils te gardent dans toutes tes voies Psaume 90
Éric
(1964 -), Psaume 90, (Parchemin de chevrette : pigments, encres pigmentées et feuille d’or sur colle de poisson, 2023), 30 x 24,Coll. part., France,
D.R. É. Montreuil→ © BEST aisbl,
Enlumineur depuis 2016, É. M. s’inspire de textes bibliques et chrétiens et de la spiritualité scoute pour élaborer des compositions dans la tradition de l’enluminure occidentale, avec une préférence pour le style irlandais « insulaire » (Livre de Kells, Évangiles de Lindisfarne) et pour le gothique du 13e s.
Reprenant le Ps 90 (texte ajouté sur la photo à l'ordinateur), É. M. a réalisé cette enluminure dans l'esprit d'un Évangile arménien du XVIIe siècle.
98,6 Sur les trompettes forgées et au son de la trompette en corne Les anges de Nöel
Éric
(1964 -), Les anges de Noël, (Parchemin de chevrette pigments : encres pigmentées, feuille d’or sur colle de poisson., 2023), 30 x 24,Coll. part., France,
D.R. É. Mortreuil→ © BEST aisbl,
Enlumineur depuis 2016, É. M. s’inspire de textes bibliques et chrétiens et de la spiritualité scoute pour élaborer des compositions dans la tradition de l’enluminure occidentale, avec une préférence pour le style irlandais « insulaire » (Livre de Kells, Évangiles de Lindisfarne) et pour le gothique du 13e s.
Reprenant les versets Lc 2,13-14 et Ps 98 (ajoutés sur la photo par ordinateur), selon la traduction de l'Association épiscopale liturgique pour les pays francophones (AELF), É. M. encadre ces passages d'anges musiciens. Ceux-ci louent le Seigneur. Au son du cornet à bouquin et du luth, de la chalemie et de la viole, de la voix et du psaltérion, les anges acclament Dieu.
40,4 charme (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Il s'agit de beaucoup plus qu'un poème.
On le rend par « charme » qui peut avoir également le sens de « formule incantatoire » en français (cf. Charme2→), et connote une conception du langage comme puissance autant que comme représentation que nous avons hélas souvent oubliée, mais qui était celle de (elle explique sa prudence, dans le cas de ce mot : Milieux de vie Ps 40,4).
Drapeau de la francophonie→ © Domaine public
90,12s par la sagesse convertis-les ! Bendita Sabedoria
Heitor
(1887-1959), Bendita Sabedoria, 1958Eric Ericsson (dir.)
© License YouTube Standard→, Pr 1,20.20,15.4,7.24,5.3,13 Ps 90,12
Heitor
est un compositeur brésilien. Il a composé environ 1 300 œuvres de tous styles, avec 12 symphonies, 17 quatuors à cordes, des opéras, des ballets, des suites, des poèmes symphoniques, des concertos, des œuvres vocales, des pièces pour piano, de la musique religieuse et des musiques de film. , au-delà d'être un grand compositeur, est également un pédagogue musical pour son pays. Il a conçu un système d'apprentissage de la musique pour des générations de Brésiliens, basé sur la riche culture musicale brésilienne, et prenant ses racines dans un patriotisme profond et toujours explicite.Cette oeuvre contient six parties: I. Sapientia foris praedicat (Adagio) II. Vas pretiosum labia scientiae (Andantino) III. Principium sapientiae (Quasi allegretto) IV. Vir sapiens fortis est (Allegro) V. Beatus homo qui invenit sapientiam (Andante) VI. Dexteram tuam (Largo)
109,6b que l’accusateur se tienne à sa droite JUSTICE Protocole judiciaire Dans la prière du psalmiste qui demande justice contre les méchants, celui qui se tiendra à leur droite ne sera pas leur avocat (l'avocat se tient à la droite de l'accusé (Jb 30,12 ; Za 3,1 cf. Ps 109,31), mais un ennemi : il accusera au lieu de défendre. On comprend la traduction de V.
110,2 le sceptre de ta puissance le YHWH l'étendra Articulation entre royauté humaine et royauté divine Le sceptre du roi est étendu par le Seigneur, c'est-à-dire que le roi tient sa puissance de la royauté divine à laquelle il est subordonné : la domination sur l'ennemi ne part pas de lui-même mais de Sion élue par Dieu.
110,3c je t'engendrai : G V | M V—IUXTA HEBR. : la rosée de ta jeunesse : Harmonisation avec le Ps 2,7 faite par G ?
Cependant
110,1 l'escabeau de tes pieds MŒURS AULIQUES Marchepied du trône de Toutânkhamon Le trône du pharaon Toutânkhamon (XVIIIe dynastie, 1355-1346 av. J.-C.) date des premières années de son règne, quand il vivait à Tell el Amarna.
Marche-pied et trône d'or de Toutânkhamon, (Nouvel Empire, vers 1332-1323 av. J.-C.), trouvé dans la tombe de Toutankhamon (KV62), Vallée des Rois, Thèbes-Ouest
JE 62028, Musée égyptien du Caire, (Égypte) © photo prise au Parc des Exposition, « Toutankhamon : son tombeau et ses trésors», Paris, mai-sept 2012, Fair use
Datant du début du règne de Toutankhamon, le trône porte le nom du roi et celui de son épouse Ankhsenamen (l'inscription dit « Toutankhaten » et « Ankhsenpaaten », noms qui leur ont été donnés à la naissance). Il est doté d'un marchepied sculpté en bois stuqué et doré, orné sur la face supérieure d'un motif composé de six arcs qui représentent trois ennemis nubiens et trois ennemis asiatiques de l'Égypte, tous sous le contrôle du pharaon qui les piétine chaque fois qu'il monte sur son trône.
Marche-pied du trône de Toutânkhamon, (Incrustations de faïence bleue et de pierres jaunes, détrempe et or sur bois massif et stuqué, ca 1335-57 av. J.-C.), L : 63,5 cm
Musée égyptien des antiquités, Le Caire, Égypte © Domaine public→
Il n'y a ici que six figures, mais sans doute renvoient-elles aux « Neuf Arcs », terme générique pour les ennemis traditionnels de l'Égypte antique, dont la première représentation connue date de la fin de la période prédynastique (3200-3000 av. J.-C.) et qui sont bien présents sur d'autres marchepieds de Toutânkhamon conservés. Le chiffre 3 était symbole de pluriel dans la langue égyptienne, 3 x 3 symbolisait le pluriel des pluriels et pouvait désigner la totalité des ennemis de l'Égypte. Leur liste n'est pas fixée, mais on peut énumérer aux frontières maritimes : les Peuples de la mer (Palestiniens, Sardes, Grecs ... ?) ; méridionale : les Nubiens (connus pour leur utilisation d'arcs et de flèches) ; occidentale : les Lybiens ; orientale : les Asiatiques, dont les Hittittes, les Assyriens, les Babyloniens, les Cananéens souvent représentés comme des captifs avec les bras attachés dans le dos.
65,1 V—IUXTA HEBR.
65,1 charme (V—IUXTA HEBR. : AU VAINQUEUR. CHARME DU CANTIQUE DE DAVID ) FRANÇAIS BIBLIQUE Il s'agit de beaucoup plus qu'un poème.
On le rend par « charme » qui peut avoir également le sens de « formule incantatoire » en français (cf. Charme2→), et connote une conception du langage comme puissance autant que comme représentation que nous avons hélas souvent oubliée, mais qui était celle de (elle explique sa prudence, dans le cas de ce mot : Milieux de vie Ps 40,4).
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65,2 on rendra son vœu (V) FRANÇAIS BIBLIQUE L'expression « rendre ses vœux » est attestée dans le dictionnaire→ de . C'est à la fois se rendre au lieu où pourra être formulé un vœu et rendre à ce lieu la promesse qui fut faite s'il est exaucé ; une sorte de contrat relie ainsi la prière à un sanctuaire précis où le fidèle reconnaît la puissance de Dieu invoqué dans le besoin ou la détresse.
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25,13b sa lignée possédera la terre VIE DES COMMUNAUTÉS De retour d'Exil, un enrichissement de l'espérance traditionnelle ? À la conviction héritée des sages d'Israël qu'une récompense terrestre est accordée au juste, s'ajoute ici l'espoir des Juifs de →Retour de l'Exil, d'entrer enfin dans la pleine jouissance du pays des ancêtres.
25,22 Hypothèse sur l’histoire de la rédaction Ce v., qui est en surplus dans la série alphabétique, serait-il une antienne liturgique faisant écho à l'expérience de l'Exil (cf. Ps 34,23) ? Milieux de vie Ps 25,13b
25,1–4 À toi Seigneur GRÉGORIEN « Le » psaume d'entrée dans l'Avent Les quatre premiers versets de cet unique psaume fournissent trois pièces structurantes de la liturgie eucharistique du 1er dimanche de l'Avent.
Le chant d'entrée de l'Avent, l'introït du 1er Dimanche, donne le ton à toute l’année liturgique en invitant à élever son âme vers Dieu dans une attente confiante, à transformer sa vie en prière :
→Grad. 15)
, Introït Ad te levavi (Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
L'aspiration vivante vers Dieu ad te (vers toi) informe la vie de l'âme soutenue par la foi qui illumine et purifie. Elle soulève et transporte l’âme vers Celui qui est sa force, son guide, son appui ad te Domine levavi animam meam (vers toi, Seigneur, j'ai élevé mon âme). Elle établit dans une sérénité confiante « Mon Dieu, c'est en toi que je me confie », un respect adorant des desseins de Dieu sur soi, malgré les embûches d’ennemis puissants, intérieurs et extérieurs, qui perturbent l’âme « en toi je me confie, je ne rougirai pas ». En bref, toute l’antienne exprime une confiance inébranlable en Dieu, au milieu d’ennemis qui cherchent à entraver la marche de l'âme vers Dieu.
Elle attaque la dominante du mode sans préparation et s’y installe en quelque sorte, mais avec vivacité et insistance. Il y a quelque chose de malicieux sur irrideant, et sur inimici peut-être du mépris qui se change en une paix heureuse sur les clivis allongées de la dernière syllabe de inimici et la 1re de mei qui amènent la mélodie en Fa.
Etenim universi se chante dans une paix heureuse. Il faut ensuite envelopper exspectant dans un beau mouvement arsique, en faisant entendre un discret crescendo. La pièce finit sur une cadence à la fois douce et forte de non confundentur.
Le texte reprend la dernière phrase de l’Introït sans la particule de liaison etenim et à la fin un Domine ajouté et son verset : Universi qui te exspectant, non confundentur, Domine. V. Vias tuas, Domine, notas fac mihi et sémitas tuas edoce me. (Tous ceux qui t’attendent ne seront pas confondus, Seigneur ! Tes voies, Seigneur, montre-les moi et tes sentiers enseigne-les moi.)
→Grad. 16)
, Graduel Universi (Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Le sens est le même que dans l’Introït : la joie domine dans une confiance inaltérable.
Toute la pièce se chante dans un bon mouvement joyeux.
Elle est écrite dans le registre grave du mode de Ré. L’intonation de Universi qui descend jusqu’au La inférieur est particulièrement expressive de joie profonde, remplie de fierté. Elle aura avantage à être chantée par des voix chaudes sans lenteur avec un bon mouvement comme s’il y avait de l’enthousiasme dans l’air. Tout de suite après, la joie monte en arsis sur exspectant pour s’épanouir sur les clivis quelque peu allongées mais non pesantes, exprimant une attente pleine de confiance.
La joie qui fut tout d’abord réservée se fera de plus en plus marquée. Le non doit exprimer la ferme espérance par le punctum épisématique « les rythmes binaires de confundentur l’emportent, légère, jusqu’à la fin, où la mélodie se pénètre sur l’admirable vocalise de la dernière syllabe de Domine d’une ardeur nuancée de reconnaissance et d’amour. » (Dom L. , L'expression du chant grégorien, Abbaye Sainte-Anne de Kergonan, Plouharnel-Morbihan, 1947,1,10).
Le verset plus léger est une grande prière toute baignée elle aussi de joie. La mélodie se balance sur des rythmes binaires sur Vias tuas, et sur les deux 1ères syllabes de Domine. La grande vocalise si gracieuse de la dernière syllabe de Domine fait penser à l’insistance de l’enfant qui se sait aimé : le motif Fa Sol La Do La revient trois fois. La belle montée avant le quart de barre qui conduit jusqu’au Ré exprime une joie épanouie. La répétition du podatus Do Ré en est l’illustration. Mais à partir de notas, la « flamme du désir » envahit les coeurs par la quarte ascendante La Ré avec un départ ferme sur la dominante du mode. Toujours dans la ligne d’une pure espérance qui s’épanouit sur le verbe fac en montant jusqu’au Mi pour redescendre graduellement sur mihi qui est tout en légèreté, mais convaincu. Avec et semitas tuas et edoce me s’amorce une grande thésis sans lourdeur. Dans la vocalise de tuas qui se pose sur la sous-tonique Do, la sérénité se laisse deviner et elle dure jusqu’à la fin : edoce me se termine dans une paix confiante avec une retenue toute de douceur pénétrante.
Le texte est le même que celui de l’introït sauf le Domine remis à sa place comme dans le psaume. L’interprétation en diffère quelque peu : la lecture de l’Évangile a laissé une note de gravité, nuancée d'amour filial devant l’annonce de la venue du Christ en gloire.
→Grad.17)
, Offertoire Ad te Domine (Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Elle ne présente pas la joyeuse assurance de l’Introït. L’âme redit à Dieu sa confiance, en dépit de tout ce qui précède l’avènement glorieux du Christ. Le chant des deux premières phrases se fait plus discret, retenu, mais toujours pénétré de confiance aimante. L’âme se livre à la tendre miséricorde du Père comme pour y chercher refuge. La locution d’ouverture Ad te (Vers toi) comporte dix notes, progressant en un crescendo qui s’épanouit sur la clivis allongée du ½ ton descendant. Celui-ci exprime une plainte délicate. L’âme chante avec tendresse et douceur le mot Domine. L'accent de prière intense et pourtant douce et confiante de l'intonation Ad te Domine passera à toute la phrase. La mélodie reprend un petit crescendo à levavi dont l’accent au levé est bien arrondi, jusqu’à l’avant-dernière syllabe de animan. Le meam est légèrement retenue. C'est l'expression de l’élan de l’âme vers le Seigneur.
La confiance devient plus ferme comme si l’âme se ressaisissait. Le Deus qui est syllabique à l’unisson et le te qui suit ne comportant qu’une seule note, sont mis en évidence par leur simplicité et se chantent avec une chaude conviction. Cette proclamation joyeuse se poursuit sur confido et va s’élevant sur non erubescam, affirmé avec netteté. L’insistance sur la corde de Fa et la cadence sur cette même note suggère la certitude inébranlable de l’âme. À neque irridant me, on note le défi et une certaine ironie qui atteint sa force sur l’arsis vigoureux de inimici.
Le calme revient et avec lui une confiance paisible. Il y a même une touche de joie sur universi. La belle descente sur exspectant met en relief la remontée de non confundentur qui achève la pièce sur une note d’espérance joyeuse, bien dans l’esprit de l’Avent.
89,21s J'ai trouvé David mon serviteur CHANT GRÉGORIEN Ce verset inspire des compositions pour trois importants moments de la messe.
, Graduel « Inveni David »
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Alleluia « Inveni David »
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Offertoire « Inveni David »
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118,1.19.21.28.29 Confessez | je confesserai (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Un terme merveilleusement ambivalent En français courant (comme dans celui de fidèles dès le 4e s. : Tradition chrétienne Ps 118,1.29 !), les mots « confession » ou « confesser » évoquent surtout le sentiment de culpabilité, l'auto-accusation, ou le ... confessionnal ! Mais ces significations devenus habituelles ne sont que dérivées.
Dans l'Écriture, et particulièrement dans le psautier latin, le verbe confiteor traduit le verbe grec exomologeô qui signifie « promettre, consentir, avouer, confesser, glorifier, rendre grâce » ; le sens dominant de l'acte de parole désigné par le verbe est celui de la confessio laudis.
Pour évoquer toute la richesse de ce mouvement de l'âme si profond, la traduction gardera autant que possible les mots « confession » ou « confesser ».
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96,8s ; 29,9 CHANT GRÉGORIEN Texte d'une communion et d'un graduel
, Communion - Tollite hostias
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Graduel - Tollite hostias
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
96,2 CHANT GRÉGORIEN Antienne de communion Elle est chantée au Temps pascal :
, Communion - Cantate Domino
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
96,6.1 Confession et beauté en sa présence CHANT GRÉGORIEN Acclamation à Dieu pour la fête d'un saint martyr Ces deux pièces sont chantées pour la fête de saint Laurent le 10 août.
, Introït - Confessio
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Le même verset est chanté d'une autre manière :
, Offertoire - Confessio
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
96,10 CHANT GRÉGORIEN Une injonction démultipliée en alleluia
, Alleluia - Dicite in gentibus
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
98,1s Chantez pour le Seigneur CHANT GRÉGORIEN
, Introït — Cantate Domino
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Alleluia — Cantate Domino
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
89,2 Tu nous as rachetés par ton sang CHANT GRÉGORIEN
, Introït - Redemisti nos
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux, (enregistrement en direct)
Chant d'entrée pour la Messe de la fête du Précieux Sang.
89,4 J'ai fait une alliance CHANT GRÉGORIEN
, Alleluia « Disposui testamentum »
Dom Jean Claire, Choeur des Moines de l'Abbaye de Solesmes, (Apôtres et Martyrs)
Dans l'ancienne Alliance, les promesses de Dieu envers le peuple élu envers ses chefs, annonçaient de loin les réalisations des temps évangéliques. Le psaume messianique 89 (88) qui chante tout cela a été appliqué à la transmission de la foi sous la loi nouvelle. La mélodie est l'un des timbres classiques, qui prête l'écrin de ses deux phrases symétriques au parallélisme biblique.
Disposui testamentum electis meis, iuravi David servo meo (Avec mon élu, j'ai fait une alliance, je l'ai juré à David, mon serviteur).
89,12.15 Les cieux sont à toi CHANT GRÉGORIEN
, Offertoire - Tui sunt caeli
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
89,20ss.2 J'ai exalté un élu CHANT GRÉGORIEN
, Introït - Extuli
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Extuli electum de populo oleo sancto meo unxi eum ut manus mea sit semper cum eo et brachium meum confirmet eum.
89,25 Ma vérité CHANT GRÉGORIEN
, Offertoire - Veritas mea
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Du psaume 89, le texte de cet offertoire transfère à l'économie nouvelle de l'Église des promesses faites par Dieu à David, le roi prophète, figure du Christ. Promesse d'assistance doctrinale (veritas), de soutien victorieux dans les conflits avec le monde (exaltabitur cornu eius).
89,36ss Je l'ai juré une fois CHANT GRÉGORIEN
, Communion - Semel juravi
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
89,6 Les cieux célèbrent tes merveilles CHANT GRÉGORIEN La mélodie des astres et des anges a inspiré les compositeurs de la musique liturgique latine traditionnelle : ils la déclinent en pièces variées pour diverses messes.
, Graduel - Confitebuntur cæli
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Graduel chanté le 9 juin pour la fête des saints Prime et Félicien.
, Alleluia - Confitebuntur caeli
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
, Offertoire - Confitebuntur
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
95,2 V-IUXTA HEBR.
118,12 JUDAÏSME Ce verset est cité dans les rogations des prières journalières du matin.
95,11c si jamais ils pénétraient (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Comment rendre un sémitisme à l'école des tradcteurs antiques ? Plusieurs phrases hébraïques commençant par im (= si) sous-entendent à la fois l'imprécation (« malheur à moi si... ») et le serment (« je jure que... »). C'est le cas ici :
Pour comprendre la phrase avec im / si, il faut expliciter l'intention au niveau de l'énonciation qui reste implicite en hébreu, et donc supposer quelque chose comme : « — Malheur à moi s'ils entrent un jour dans mon repos ! »
Dans le génie de leurs langues respectives, la Septante et la Vulgate reflètent au plus près les accents d’imprécation transmis par l’original :
Plutôt que de simplifier à l'extrême en ne rendant que le sens, comme dans les traductions modernes (Histoire des traductions Ps 95,11), on imite ici la résignation de saint Jérôme à la traduction latine traditionnelle de la Septante, qui elle-même imitait le plus littéralement possible l'hébreu (cf. Comparaison des versions Ps 95,11), en transposant la menace contenue dans la formulation hébraïque. Cf. Christophe , Le traducteur de Bethléem. Le génie interprétatif de saint Jérôme à l’aune de la linguistique, (Lectio divina), Paris : Cerf, 2016.
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95,3 Car c'est un grand Dieu CHANT GRÉGORIEN Alleluia « Quoniam Deus magnus » Plusieurs versets de ce psaume plein d'entrain ont suscité des compositions alléluiatiques.
, Alleluia - Quoniam Deus magnus
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95,1 Venez exultons de joie CHANT GRÉGORIEN Alleluia « Venite exsultemus » Plusieurs versets de ce psaume plein d'entrain ont suscité plusieurs compositions alléluiatiques, à commencer par le premier.
, Alleluia Venite exsultemus
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95,6s Le jour saint CHANT GRÉGORIEN Alleluia « Dies sanctificatus » Plusieurs versets de ce psaume plein d'entrain ont suscité des compositions alléluiatiques,
, Alleluia - Dies sanctificatus
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Alleluia chanté pour la Messe du jour de Noël.
95,2a dans la confession FRANÇAIS BIBLIQUE Faire une confession n'est pas forcément aller à confesse Dans les psaumes, le sens de louange des mots confessio et confiteri est prédominant. En français courant (comme dans celui de fidèles dès le 4e s. : Tradition chrétienne Ps 118,1.19.21.28s !), les mots « confession » ou « confesser » évoquent surtout le sentiment de culpabilité, l'auto-accusation, ou le ... confessionnal ! Mais ces significations devenus habituelles ne sont que dérivées.
Dans l'Écriture, et particulièrement dans le psautier latin, le verbe confiteor traduit le verbe grec exomologeô qui signifie promettre, consentir, avouer, confesser, glorifier, rendre grâce ; le sens dominant de l'acte de parole désigné par le verbe est celui de la confessio laudis.
Pour évoquer toute la richesse de ce mouvement de l'âme si profond, la traduction gardera autant que possible les mots « confession » ou « confesser ».
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95,11 V—IUXTA HEBR. | V— IUXTA LXX En révisant le psautier latin selon la Septante, Jérôme a conservé l'hébraïsme, en modifiant seulement la conjugaison du verbe :
En traduisant pour lui-même à partir de l'hébreu, qui utilise ici une tournure condensant imprécation et serment (Littérature Ps 95,11c), saint Jérôme ne retient pas la solution qui le précédait. Il simplifie la syntaxe calquée sur l'hébreu via le grec par la version latine précédente :
Frontispice de la bible Polyglotte d’Alcalà→ (1514-1517), (gravure sur bois) © Domaine public
80,2s Aujourd'hui sachez que le Seigneur vient CHANT GRÉGORIEN Une joyeuse annonce de l'imminence de Noël Ces versets ne sont rien moins que le Graduel de la messe de la Veille de Noël le 24 décembre.
, Graduel - Hodie scietis
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
72,6 la pluie sur la toison Embrayeur typologique : une allusion à Gédéon ? Cet étonnant détail, propre aux versions grecque et latine, semble bien faire référence intertextuelle à l'épisode étrange du signe accordé par Dieu à Gédéon en Jg 6,36-40. De fait, les imagiers médiévaux chrétiens n'ont pas manqué de relier ce verset du psaume avec la venue du fils de David ultime, véritable roi de la paix qu'est Jésus-Christ.
(continuant ),« La première femme succombe à la séduction du serpent, l'Annonciation, Gédéon et le signe de la toison » (impression xylographique, 1460s, Pays-Bas ou Rhin inférieur), 27,5 x 20,5 cm
Planche A, f.1v de Biblia pauperum seu historiæ Veteris et Novi Testamenti, Bibliothèque nationale de France→,
Les trois scènes représentent des messages provenant de Dieu et de ses anges. L'Annonciation est encadrée par Ève et le serpent, à gauche, et le miracle de Gédéon, à droite. Dans une typologie narrative, la scène d'Ève représente la Chute, tandis que l’Annonciation préfigure le Salut. Dans une analogie typologique, la toison de Gédéon symbolise la conception virginale de Jésus par Marie. La rosée qui descend sur la toison annonce l'action de l'Esprit Saint. De la même manière que Dieu imprègne la toison miraculeusement, la Vierge Marie fut enceinte de la rosée divine.
Dans l'une des homélies consacrées aux gloires de la Vierge mère, Bernard de Clairvaux a décrit ce rapprochement ainsi :
Il ne faut pas manquer le naïf détail d'un petit Jésus, porteur de la Croix, descendant comme sur un toboggan le long des rayons qui tombent de la bouche de Dieu dans sa nuée, en plein centre de la planche. Bien que cette représentation soit problématique d'un point de vue dogmatique, puisqu'elle réunit les trois personnes de la Trinité, il était coutume au Moyen Âge de représenter le Christ en « homoncule » (cf. le très beau détail du Triptyque de l'Annonciation de Arts visuels Lc 1,4–38). Cet « homoncule » illustre une doctrine selon laquelle le Christ n'aurait pas été conçu in utero, mais serait entré tout formé dans le sein de Marie. Cette vieille croyance, dépendante d'une savante négociation entre motifs antiques, médecine et théologie médiévales, fut plus tard condamnée par le concile de Trente, qui finit par interdire les représentations du Christ en homoncule.
présenté en51,18–21 Un cœur brisé : le Sacré-Cœur de Jésus
George
(1861-1950), Le Sacré-Cœur de Notre Seigneur Jésus-Christ, (Huile sur papier marouflé, 1905), 106 x 72 cmCollection particulière, France © photo P.Henriot, succession G. Desvallières→ pour BEST aisbl , Jn 19,34
Le Christ est bien l'exemple même du sacrifice agréable à Dieu, la « Pâque immolée » (1Co 5,7), le cœur brisé, qui débouche sur le relèvement du Temple, c'est-à-dire la résurrection de son corps.
Devant la basilique du Sacré-Cœur, ce Christ couronné d’épines ouvre sa poitrine de ses deux mains pour donner son cœur : il est celui qui offre sa vie pour ses frères. C’est la vision religieuse de la guerre que développa l’artiste par la suite, et qu’il reprit dans ses œuvres suivantes associant le sacrifice du Christ à celui des poilus.
66,4 toute la terre CHANT GRÉGORIEN Introït « Omnis terra » de la 2e semaine du temps ordinaire Ce chant est à la fois très contemplatif et plein d’ardeur dans l’expression de son désir.
Introït - Omnis terra (→Grad. 260)
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Bel exemple d'éclectisme textuel en liturgie, la version de l’introït donne tous les verbes au singulier comme V—iuxta hebr. mais utilise le même vocabulaire que V—iuxta LXX. Elle ajoute Deus et Altissime.
Cet introït était chanté le 2e dimanche après l’Épiphanie avant la réforme liturgique. Actuellement, les 1ers dimanches du temps ordinaire, l’Église continue de célébrer la manifestation du Christ au monde, dans le sillage lumineux de l’Épiphanie. Elle convie toute la terre, tous les hommes, à l’adorer avec les Mages et à le louer pour le don du baptême et pour le miracle de Cana, dans lequel Jésus se manifeste avec un éclat nouveau et qui est l’objet de l’Évangile du jour (Jn 2,1-12, 2e dimanche de l’année C). Ce même évangile était lu le 2e dimanche après l’Épiphanie.
Dans le rit romain, l’hymne des Vêpres Hostis Herodes impie, et les grandes antiennes de Benedictus et de Magnificat des 2e Vêpres de la fête de l’Épiphanie parlent des trois manifestations du Seigneur à l’instar des liturgies orientales : Adoration des mages, baptême du Seigneur, premier miracle aux noces de Cana. La terre entière est conviée à suivre l’Étoile qui est le Christ lui-même (Ap 22,16), à être purifiée dans les eaux du baptême qu’il a sanctifiées, à boire au grand festin nuptial le sang du Christ !
Un parallélisme musical détermine deux phrases mélodiques presque identiques et donne à cette pièce un harmonieux équilibre. Ces deux phrases symétriques comprennent chacune trois incises :
Ce même caractère est répété à la 2e phrase : après l'envolée vers nomini exprimant l’ardeur du désir, la mélodie descend peu à peu, inspirant la vénération fervente et paisible du nom du Très-Haut, Altissime, dont la mélodie se perd graduellement dans le silence d’une louange toute intérieure.
24,1 Au Seigneur la terre et sa plénitude CHANT GRÉGORIEN Lecture typologique : exclamation de triomphe au moment de l'Incarnation rédemptrice Le premier verset de ce psaume, couplé à une exclamation trimphale venue de l'Exode, accompagne l'introït de la messe de la Vigile de la Nativité
, Introït - Hodie scietis
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Pièce chantée pour la Messe de la Vigile de Noël.
Aujourd’hui vous saurez que le Seigneur va venir et il vous sauvera : et au matin vous verrez sa gloire.
24,7.3s Soulevez vos portes, princes CHANT GRÉGORIEN Élever ses portes pour accueillir le Christ : une invitation à Noël... et à Pâques Chanté en graduel, en offertoire, ou en simple antienne, ce verset invite chaque fidèle à ouvrir grand les portes de son cœur pour accueillir la grâce du Christ ; il fait également un pont entre le mystère de la Nativité et celui de la Résurrection.
Pour le mardi des dernières féries d'avant, entre le 17 et le 24 décembre (feria secunda in ultimis feriis Adventus a die 17 ad diem 24 decembris «Tollite portas»)
→Grad. 25)
, Graduel Tollite portas (Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
→Grad. 40)
, Offertoire Tollite portas (Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
La pièce est est vigoureuse, nerveuse d’un bout à l’autre (Dom Gajard).
On entend comme par anticipation une description du triomphe pascal du Christ.
, Samedi Saint — 2° Nocturne: Antienne « Elevamini » et Psaume 23
(CD, 2005) Dom Jean Claire, chœur des moines de l'abbaye de Solesmes
© Abbaye de Solesmes→, Ps 24
97,1–12 CHANT GRÉGORIEN Un règne d'un tout nouveau genre, inauguré par l'Incarnation
, Introït - Ecce Virgo
Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
Introït chanté pour la fête de la Maternité de la Bienheureuse Vierge Marie.
97,1 Le Seigneur a établi son règne CHANT GRÉGORIEN Alleluia « Dominus regnavit » Voici un paisible chant d'allégresse, dans lequel l'Église dit sa joie de voir régner le Christ.
→Grad. 266)
, Alleluia — Dominus regnavit (Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux
C'est l'Alleluia de la 3e semaine du Temps ordinaire
La même mélodie-type se retrouve :
Les textes diffèrent mais ils concernent tous le Seigneur Jésus. L’expression varie avec les mots, mais la joie est partout présente.
118,1–29 JUDAÏSME Ce chant clôt le Hallel (Liturgie Ps 113,1–9).
L'ensemble a peut-être été utilisé pour la →fête décrite en Ne 8,13-18 ; cf. Esd 3,4 ; Za 14,16. Cf. aussi Esd 3,11.
Ce psaume est le sixième du Hallel, suite de psaumes de louange chantée les matins des fêtes et des néoménies (Ros ḥōdeš) (voir Ps 113). Les quatre premiers versets sont répétés chacun par l'assemblée après le ministre-officiant. 5-29 sont chantés en choeur par l'assemblée sur un air apparenté à celui du Cantique de Moïse.
139,18.5b–6a Je me suis réveillé CHANT GRÉGORIEN L'introït du dimanche de Pâques : une approche musicale du langage intratrinitaire ? Dans cette pièce unique par sa beauté, les interprètes n'hésitent pas à déceler une sorte d' extase de Dieu en Dieu.
→Grad.,196)
, Introit Resurrexi (Ms dans la vidéo : Einsiedeln, Stiftsbibliothek→, Codex 121, 204-206
Marek Klein pour le Graduale Project→, 2013 © Licence YouTube standard, Ps 139,18.5b–6a
Le texte de l’introït ne s'éloigne de V que sur le mot resurrexi au lieu de exsurrexi. L’auteur a réuni des versets sans relation apparente et les a entrecoupés d’alleluia pour les placer dans la bouche du Christ au moment de sa résurrection d’entre les morts.
Comme un chant qui n’est pas de la terre, cette mélodie monte du plus profond de l’âme du Christ s’adressant à son Père à l’instant où son âme glorifiée reprend possession de son corps après en avoir été séparée durant trois jours :
Il n’est pas question de triomphe, de domination universelle sur le cosmos. C’est le merci de l’ineffable filialité de Jésus « en qui habite corporellement toute la plénitude de la divinité » (Col 2,9). C’est l’Homme-Dieu qui, après une lutte terrible, exhale sa gratitude envers le Père qui le reçoit dans son sein, in sinu Patris.
C'est un récitatif orné qui se déroule dans une atmosphère de paix extatique, de tendre reconnaissance, de plénitude et de joie profonde. La musique se meut dans un harmonieux équilibre : trois phrases musicales en progression, d’un ambitus restreint qui sied parfaitement au 4e mode avec leitmotif Ré-Fa et des échappées sur Sol (1re phrase) et La (2e et 3e phrases), une magnifique descente au Do mettant en valeur la 3e phrase en la soulevant dans un ambitus de 6 notes du Do au La. Les cadences de Ré, Fa, Sol et surtout de Mi donnent à l’ensemble un caractère de stabilité, de vie et de repos. L’identité du 1er alleluia et du dernier alleluia et le 2e qui leur ressemble en partie font office de rimes musicales. La répétition fréquente des strophicus sur Fa ajoute à l’impression de calme et de majesté.
Voici une autre interprétation, collective, en mode « live » avec une communauté un peu épuisée par toute la Vigile pascale :
→Grad., 196)
, Introït Resurrexi (Chœur des moines de l’abbaye Sainte-Madeleine du Barroux