Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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1 Quant à David, il se leva et s’en alla
et Jonathan entra dans la ville.
1 ...
2 Et David vint
Gvient à Nōb
GNomba
VNobé auprès du prêtre ’Ăḥîmelek
GAbimelech
VAhimélec
et Ahimélek
VAhimélec trembla en rencontrant David
Gfut stupéfait de le rencontrer
Vs'étonna de ce que David était venu et lui dit :
— Pourquoi es-tu seul et n’y a-t-il personne avec toi ?
2 ...
3 Et David dit au prêtre Ahimélek
VAhimélec :
— Le roi m’a ordonné une chose et a dit :
— Que personne ne sache Mrien de la raison pour laquelle je t’envoie
Vje t'ai envoyé
et ce que je t'ai ordonné.
Gen vue de laquelle je t'ai donné un ordre.
Vquels ordres je t'ai donnés.
J’ai indiqué à
Gadjuré
Vconvenu avec mes hommes tel et tel lieu.
G[d'être] dans le lieu appelé Fidélité de Dieu phellani alemôni
Vde tel et tel lieu.
3 ...
4 Et maintenant qu’as-tu sous la main ?
Vsi tu as quelque chose sous la main, donne-moi ou bien cinq pains dans la main
Vcinq pains, par exemple, ou bien ce qui se trouvera.
Vque tu trouveras.
4 Et maintenant as-tu sous la main cinq pains ? Donne-moi dans la main ce que tu as trouvé.
4 ...
5 Et le prêtre répondit
Vrépondant à David et
Vlui dit :
— Je n’ai pas sous la main de pain ordinaire
G Vpains ordinaires mais seulement du pain consacré
à condition Mdu moins que les hommes se soient abstenus de femmes.
Gse soient gardés de la femme, ils en mangeront.
Vsoient purs, surtout en ce qui concerne les femmes.
5 ...
6 David répondit au prêtre et lui dit :
— Certes aucune femme ne nous a arrêtés depuis
Gnous nous sommes abstenus de femme hier et le troisième jour depuis que
Gquand je suis parti
et les vases de mes serviteurs sont saints.
Gpour faire route, tous les serviteurs étaient en état de pureté.
Et ce voyage est profane et pourtant aujourd'hui il est sanctifié dans ce vase.
GEt la route elle-même est-elle profane puisqu'elle sera sanctifiée aujourd'hui par mon équipement ?
6 ...
6 David répondit au prêtre et lui dit :
— Je peux te dire qu'en ce qui concerne les femmes
nous nous sommes abstenus hier et depuis trois jours que nous sommes partis
et mes hommes ont gardé leurs paquetages saints.
La voie dans laquelle nous nous trouvons, quant à elle, est corrompue
mais même elle, en ce jour, sera sanctifiée par [la pureté] de nos paquetages.
7 Et le prêtre GAbimelech lui donna du pain consacré
car il n’y avait là aucun pain, si ce n'est le pain
G Vles pains de proposition
Gde la face
Vprésentation
qui avait été enlevé
Gavaient été enlevés
Vavaient été retirés de devant YHWH
Gle Seigneur
Vla face du Seigneur
pour le remplacer par du pain chaud
Gque soit présenté du pain chaud
Vqu'y soient déposés les pains chauds le jour où on l'avait pris.
Gle jour où on les avait pris.
V[à leur place].
7 ...
8 Or il y avait là un homme, un des serviteurs de Saül, retenu en ce jour devant YHWH
Vqui en ce jour était à l'intérieur, dans le tabernacle du Seigneur
son était nom Dō’ēg
VDoëc l'Édomite
VIduméen
le plus puissant des bergers de Saül.
8 Et là il y avait un des serviteurs de Saül en ce jour-là, retenu comme neessaran devant le Seigneur.
Et il avait nom Dôêk le Syrien
il faisait paître les mules de Saül.
8 ...
9 Et David dit à Ahimelech
VAhimélec :
— Vois si tu as
MN'as-tu pas
VAs-tu là sous la main une lance ou une épée M V?
Parce
Gparce que je n’ai pas pris avec moi
Gdans ma main mon épée ni mes armes
Gmon équipement
car la parole du roi était pressante.
9 ...
10 Et le prêtre dit :
— L’épée de Goliath le Philistin que tu as frappé dans la vallée du Térébinthe
la voilà,
Vest enveloppée dans le manteau derrière l’éphod.
Si tu veux la prendre, prends-la
car il n’y en a pas d’autre ici hormis celle-là.
Et David dit : — Il n'y en a pas comme elle
VIl n'y en a pas d'autre semblable à celle-là, donne-la-moi.
10 Et le prêtre dit :
— Voici l'épée de Goliath l'étranger que tu as frappé dans la vallée d'Éla
et elle [est] enveloppée dans un vêtement
si tu la prends pour toi, prends, car il n'y en a pas d'autre ici à part celle-ci.
Et David dit :
— Voici, il n'y en a pas comme celle-ci, donne-la-moi.
10 ...
11 GEt il la lui donna. Et David se leva et s’enfuit ce jour-là de devant Saül
et GDavid vint chez ’Ākîš
GAnchous
VAchis, roi de Geth
VGeth.
11 ...
12 Et les serviteurs d’Akish
VAchis lui dirent :
— N’est-ce pas David, le roi du pays ?
N’est-ce pas pour lui que l’on chantait dans des danses
Gque les danseuses entonnaient
Vque l'on chantait par des danses G Ven disant :
— Saül a frappé M Gses mille et David M Gses dix mille ?
12 ...
13 Et David mit ces paroles dans son cœur
et il eut très peur devant Akish
VAchis roi de Geth
VGath.
13 ...
13 Et David mit ces paroles dans son cœur
et il eut très peur devant Akish
VAchis roi de Geth
VGeth.
13 ...
13 Et David mit ces paroles dans son cœur
et il eut très peur devant Akish
VAchis roi de Geth
VGeth.
13 ...
14 Et il dissimula sa raison
G Vchangea son visage devant eux
Glui
et fit l’insensé
Gjoua la comédie
Vs'écroulait entre leurs mains
Gen ce jour-là
et frappait contre les battants des portes Gde la ville
Get il faisait des gestes désordonnés avec ses mains et il tombait contre les battants de la porte
et sa salive coulait sur sa barbe.
14 ...
15 Et Achis dit à ses serviteurs :
— Vous
GVoyez, vous voyez Mbien que l'homme est fou
Gépileptique
Vinsensé, pourquoi me l’avez-vous amené ?
15 ...
16 Est-ce que je manque de
VNous manque-t-il des fous
que vous m’ayez amené celui-ci pour qu’il fasse le fou devant moi
Ven ma présence ?
Entrera-t-il dans ma maison ?
16 Est-ce que je manque d'épileptiques moi
pour que vous me l'ayez amené faire une crise d'épilepsie ?
Cet homme n'entrera pas dans la maison.
16 ...
16,1–31,13 David, héros mythique
De nombreux réalisateurs ont donné à voir l'histoire de David et Goliath : David et Goliath (1908), un film américain de Sidney Olcott ; David et Goliath (1910), un film français de Henri Andréani David et Goliath (1960), un film italien réalisé de Richard Pottier ; David et Goliath (2016), un film de Wallace Brothers. Dans le peplum italo-américain de 1960, elle est sertie dans l'histoire plus complète de l'ascension difficile de David comme successeur du premier roi d'Israël.
8,1–31,13 Saül, héros d'opéra
Georg Friedrich Haendel, né à Halle en 1685, mort à Londres en 1759, montra très tôt des dons exceptionnels pour la musique. Organiste de la cathédrale de sa ville natale, il part pour Hambourg en 1703, où l'on joue ses premiers opéras en 1705. En 1710, il s'installe à Londres où il impose l'opéra italien à un public qui en ignorait presque tout. En 1719, il est nommé directeur de l'Académie Royale de Musique. Trois ans plus tard, il est naturalisé anglais.
Le théâtre a été au centre des activités de Haendel tout au long de sa vie. Des 39 opéras qui nous sont parvenus, tous, sauf trois, furent composés pour Londres. Destinés à un public aristocratique, ils conservent beaucoup des caractéristiques des opéras de cour de l'époque, en particulier l'utilisation de chanteurs virtuoses. Tous appartiennent à la tradition de l'opera seria ; l'œuvre est construite sur le récitatif et l'aria, les rôles masculins principaux sont confiés à des castrats, l'emploi des ensembles et des chœurs est restreint. La plupart des intrigues sont construites sur des thèmes classiques ou historiques, certaines font appel au fantastique et au merveilleux (Alcina, Orlando). Parmi les plus célèbres, citons : Tamerlano, Rodelinda, Orlando, Ariodante, Xerse. Vers la fin de sa vie, Haendel reporta une partie de son génie dramatique sur l'oratorio (Samson, Jephta, le Messie) ; il put s'y libérer de l'emprise de l'aria da capo et proposer une écriture vocale nouvelle.
Charles Jennens (1700-1773) était un riche propriétaire, musicien amateur et homme de lettres qui soutenait la « cause » haendélienne depuis le début. On suppose que c’est en 1735 qu’il soumit au compositeur le livret de Saül. Mais le moment était mal choisi, Haendel n’ayant pas encore renoncé à ses ambitions italiennes, et le livret atterrit probablement dans un tiroir. Il n’en sortit qu’en 1738, après l’échec d’une souscription lancée par Heidegger pour une nouvelle saison d’opéra. Le 23 juillet, Haendel mettait sur papier les premières notes de Saül dont il acheva la première mouture en août. Il interrompit la composition entre le 9 et le 20 septembre et termina l’œuvre – après une révision profonde, surtout de la dernière partie – le 27 septembre. Trois jours plus tard, il en était déjà à esquisser Israël en Egypte…
A 53 ans, il ouvrait une nouvelle époque de sa vie. Saül allait être produit au King’s Theatre, loué à Heidegger, selon le schéma déjà utilisé en 1736, dans le cadre d’une saison construite autour d’œuvres anglaises données en concert. Saül inaugura la série le 16 janvier 1739 et fut donné quatre fois. Le succès ne fait aucun doute, comme le démontrent de nombreux témoignages. Le rôle de David, écrit initialement la mezzo-soprano Marchesini fut repris par un Mr. Russell, probablement un ténor qui dut le transposer ; lors des reprises – cinq à Londres, entre 1740 et 1754, et une, triomphale, à Dublin en 1742 – le rôle traversa tous les registres, depuis sopranos jusqu’aux basses, en passant par le castrat Andreoni pour qui on le traduisit en italien ; à Dublin on le confia naturellement à Mrs Susannah Cibber, premier alto du Messie, et tragédienne de génie. Comme la plupart des drames bibliques de Haendel, Saül ne disparut jamais du répertoire, tant en anglais qu’en traduction allemande, faisant souvent l’objet de productions théâtrales.
Inspiré par un livret admirablement construit, dans lequel Jennens parvient à resserrer les épisodes du Premier livre de Samuel, et à en extraire l’essence des conflits humains (il y ajoute celui de Merab, judicieusement emprunté à un autre écrivain), Haendel produit un drame d’une grandeur et d’une force exceptionnelles, littéralement inédites dans la musique de son siècle. La tragédie progresse à grands pas, ignorant l’unité de lieu et de temps, toute entière vouée à l’exaltation des passions humaines et aux leçons profondes qu’il faut tirer du spectacle de leur périlleux empire.
Saul : basse ; David : ténor ; Jonathan : ténor ; Michal : soprano ; Merab : soprano ; Grand’Prêtre : ténor ; Sorcière d’Endor : alto ; Samuel : basse ; Doeg : ténor ; Amalekite : ?
Une ouverture en quatre mouvements et un grand tableau triomphal – l’Epinicion – à la gloire de David, vainqueur de Goliath – plantent le décor (How excellent ! – an infant raised – Along the monster – The youth inspired). Michal, la fille de Saül que David aimera, annonce l’arrivée du « divin adolescent » (Oh, godlike youth). Celui-ci entre en scène tenant la tête ensanglantée de Goliath. Saül l’invite à rester auprès de lui, en lui proposant d’épouser sa fille. David accepte les faveurs, mais refuse l’éloge : Dieu est seul responsable de ses victoires (O King, your favours). Jonathan, fils de Saül, est émerveillé par tant de vertu, alors que Merab, sa sœur, s’en offense (What abject thoughts). Mais Jonathan n’a cure de la basse extraction de David (Birth and fortune). Saül offre à David la main de Merab qui la rejette avec mépris (My soul rejects), à l’étonnement de sa sœur, Michal (See, with what a scornful air). Le temps passe (Sinfonia). Le carillon annonce le retour des deux guerriers, Saül et David, mais les louanges maladroites du peuple (Welcome, welcome) dressent le Roi contre son jeune vassal. La fureur de Saül (With rage I shall burst) n’a semble-t-il étonné personne : sa fille Michal confirme qu’il s’agit d’une vieille maladie (Fell rage and black despair), et que seule la lyre de David peut apaiser les souffrances du Roi ; hélas, la thérapie semble avoir perdu toute efficacité.
Les paroles de David (O Lord, whose mercies) restent sans effet sur Saül qui lance son javelot sur le chanteur (A serpent in my bosom warmed). L’ayant raté, il ordonne à Jonathan de le poursuivre et le tuer. Merab condamne son père fantasque (Capricious man), alors que Jonathan proteste (Oh, filial pietry ! – No, cruel father). Le chœur prie Dieu de préserver David de la fureur meurtrière de Saül (Preserve him) ;
Le chœur déplore la fatale jalousie qui s’est emparée du cœur de Saül (Envy ! eldest born of hell). Jonathan jure son amitié à David (But sooner Jonathan stream) qui aime Michal (Such Haughty beauties). Jonathan tente à nouveau de calmer son père (Sin not, o king) qui feint une guérison (As great Jehovah) à la plus grande joie de Jonathan (From cities stormed) ; Saül accepte de donner Michal à David, en espérant le faire tuer par ses ennemis. Michal et David échangent leur vœux (duo : Of fairest of ten thousand fair), et le peuple approuve leur union (Is there a man). Le temps passe à nouveau (Sinfonia) Saül n’est pas guéri : il a de nouveau lancé son javelot sur David. Michal sauve le jeune homme in extremis (duo : At persecution I can laugh) lorsqu’un messager du roi vient le chercher avec des intentions évidentes. Michal ne tremble pas (No, let the guilty tremble), tandis que David est parvenu à gagner le cœur de sa belle-sœur Merab, horrifiée par la cruauté de Saül (Author of peace). (Sinfonia). Saül ne pouvant atteindre David, lève la main sur son propre fils Jonathan. Le chœur réagit avec horreur et crainte (O fatal consequence). Ouvert et clos par une fresque chorale, le IIe acte a mené la tragédie à son point culminant.
Saül visite la grotte de la Sorcière d’Endor, et sollicite l’oracle (accompagnato : Wretch that I am). La Sorcière invoque l’esprit du prophète Samuel (infernal spirits). De sa bouche, Saül reçoit l’impitoyable verdict : il sera tué avec son fils Jonathan. (Sinfonia). Après la bataille, un Amalécite en informe David. (Marche funèbre). En symétrie avec la cérémonie triomphale du début, la tragédie s’achève sur un tableau funèbre auquel participent David, Michal, Merab et le Grand prêtre, hommage idéalisé au roi défunt et à son fils (Mourn Israel – From This unhappy day – Brave Jonathan – Eagles were not so swift – In Sweetest harmony – O fatal day – Gird on thy sword).
Bibliographie : Piotr ; Programme Opéra national de Paris, Jules César, saison 2010-2011, p.19.
Mille et un opéras (Les Indispensables de la musique), Paris: Fayard, 200416,1–31,33 Le Roi David, héros symphonique
Ce psaume symphonique en trois parties pour narrateur, trois solistes (SAT), deux chœurs et orchestre est une œuvre de Arthur 1S 16,1-31,13). La deuxième partie célèbre le couronnement de David, sa danse devant l'arche (2S 6,1-23), et la prédiction de la naissance de Solomon par l'ange (2S 7,1-29). Elle se conclue par un chœur d'anges chantant « Alleluia ». La troisième partie raconte les histoires tragiques de David et Bethsabée (2S 11,1-12,31) et la mort d'Absalon (2S 18,1-19,44) ; elle se termine avec la repentance de David (Ps 51,1-21), l'expression de sa piété (Ps 121,1-8), de sa loyauté (Ps 18,1-51) et sa mort paisible (1R 2,1-46), suivie d'un chœur d'Alleluia sereins suggérant l'ascension de l'âme de David au ciel. On retient de nombreux chants de cet oratorio comme le « Cantique du berger David » inspiré du Ps 23,1-6, la lamentation pour soprano « Ah ! si j'avais des ailes de colombe » (Ps 55,6), et l'incantation dramatique de la Sorcière d'Endor (1S 28,1-25), où la sorcière appelle Samuel, d'abord en sifflant puis par un crescendo jusqu'à un rugissement. Des parties instrumentales sont également restées célèbres comme la « Marche des Hébreux », la « Marche des Philistins » ou encore le « Couronnement de Salomon ».
basée sur l'histoire de David. Elle combine des textes des Psaumes, de Job, d'Isaïe et d'un Psaume non biblique de la Renaissance du poète Clément Marot. La première partie raconte l'histoire de la jeunesse de David et se concentre sur la jalousie de Saul, culminant dans sa défaite et sa mort à Gilboa (Part I : 1. 0:01 Introduction 2. 2:07 Cantique du berger David 3. 3:55 Psaume : Loué soit le Seigneur 4. 5:23 Chant de victoire 5. 6:16 Cortège 6. 8:13 Psaume : Ne crains rien 7. 10:15 Psaume : Ah! Si j'avais des ailes de colombe 8. 13:42 Psaume : Cantique des Prophètes 9. 15:27 Psaume : Pitié de moi, mon Dieu 10. 17:59 Le camp de Saül 11. 20:04 Psaume : l'Éternel est ma lumière infinie 12. 21:49 Incantation : La Pythonisse 13. 24:18 Marche des Philistins 14. 25:57 Lamentations de Guilboa. Part II : 15. 31:00 Cantique de fête 16. 32:23 La danse devant l'arche. Part III : 17. 43:09 Cantique : De mon cœur jaillit un cantique 18. 44:45 Chant de servante 19. 46:38 Psaume de pénitence 20. 49:00 Psaume : Je fus conçu dans le péché 21. 52:54 Psaume : Je lève mes regards vers la montagne 22. 54:29 La chanson d'Ephraïm 23. 55:45 Marche des hébreux 24. 58:22 Psaume : Je t'aimerai, Seigneur, d'un amour tendre 25. 1:00:57 Psaume : Dans cet effroi 26. 1:02:23 Couronnement de Salomon 27. 1:04:15 Mort de David.