Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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1 David partit de là et se sauva
Gs'en tira sain et sauf et il arrive dans la caverne d’ʿĂdulām
G VOdollam.
Ses frères et M Vtoute la maison de son père l'apprirent
Gl'apprennent
Vl’ayant appris
M Get ils descendirent là vers lui.
1 ...
2 Et s'assembla auprès de lui tout homme qui était dans la détresse
et tout homme qui était dans les dettes et tout homme qui avait de l’amertume
Gsouffrait dans l'âme
et il devint
Gétait leur chef
et ils furent
Gil y avait avec lui environ quatre cents hommes.
2 ...
2 Et s'assemblèrent auprès de lui tous ceux qui étaient établis dans l'insuffisance
et qui étaient accablés par les dettes et par une âme amère
et il devint leur chef.
Et ils furent avec lui environ quatre cents hommes.
3 Et David s’en alla de là à Miçpa
VMaspha de
Vqui est à Moab
et il dit au roi de Moab :
— Je te prie, que
GQue mon père et ma mère se retirent chez vous
Gsoient donc chez toi
Vdemeurent avec vous
jusqu’à ce que je sache ce que Dieu me fera.
3 ...
4 Et il les amena devant le
Gimplora la face du
Vles laissa devant le roi de Moab
et ils demeurèrent
Ghabitaient chez lui tous les jours que David fut
Gétait dans la forteresse.
4 ...
5 Et Gad le prophète dit à David : — Ne reste pas dans la forteresse
va-t’en et rends-toi dans le pays de Juda.
Et David s’en s'en alla et
Vallant vint dans la forêt de Ḥāret
GSarich
VHaret.
5 ...
6 Et Saül apprit que David s'était montré,
Gavait été reconnu, ainsi que les hommes qui étaient avec lui.
Or SaülV, alors qu'il demeurait à Gabaa
Gétait établi sur la colline
sous le tamaris sur la hauteur
Gsous le champ qui est à Rama
Vqu'il était dans un bois qui est à Rama
Vtenant sa lance à la main
et Vque tous ses serviteurs se tenaient auprès de lui
6 ...
7 M Get Saül dit à ses serviteurs qui se tenaient debout auprès de lui Get il leur dit :
— Écoutez, Benjamites,
G Vfils de Jamin,
le fils de Jessé
Vde Jessé vous donnera-t-il Gvraiment à tous des champs et des vignes
et vous fera-t-il
Ginstituera-t-il tous chefs de milliers
Gchefs de cent
Vtribuns et chefs de centaines
Gchefs de mille
Vcenteniers
7 ...
8 parce que vous avez tous conspiré contre moi
et qu’il n’y a personne qui m’ait averti
Gm'ait découvert l'oreille
Vsurtout quand mon fils a fait alliance avec le fils de Jessé
Vde Jessé
et qu'il n'y a personne d'entre vous qui ne s'afflige de mon sort
Gse donne de la peine pour moi
et qui m'ait averti
Gm'ait découvert l'oreille [pour me dire]
que mon fils a soulevé mon serviteur contre moi pour me dresser des embûches
Gpour [en faire] un ennemi
Vme dressant des embûches comme il le fait aujourd’hui
Gcomme [le montre] ce jour
Vjusqu'aujourd’hui ?
8 ...
9 Et Doëg
VDoëc l’Édomite
Vl’Iduméen
Gle Syrien Vrépondit
Vlui qui se tenait debout et qui était le premier des serviteurs de Saül
Gle préposé aux mules de Saül M Grépondit Get il dit :
— J’ai vu Vdit-il, le fils de Jessé
Vde Jessé Mvenir à Nob
VNobé auprès d’Ahimélek
VAhimélec, fils d’Ahitub
VAhitob
9 ...
10 et il
Vqui a consulté
Gconsultait pour lui YHWH
GDieu
Vle Seigneur et il lui a donné des vivres
Gde la nourriture
il lui a aussi donné l’épée de Goliath le Philistin
Gl'étranger.
10 ...
11 Le roi envoya Vdonc appeler le prêtre Ahimélek
VAhimélec fils d’Ahitub
VAhitob
et toute la maison
Gtous les fils de son père, les prêtres qui étaient à Nob
VNobé
et ils vinrent tous vers le roi.
11 ...
12 Et Saül dit :
— Écoute maintenant
Gdonc, fils d’Ahitub
VAhitob.
Et il répondit : — Me voici
VJe suis prêt, Mmon seigneur.
12 ...
13 Et Saül lui dit :
— Pourquoi avez-vous conspiré
Gdonc t'es-tu entendu contre moi, toi et
Gavec le fils de Jessé
VJessé
et lui as-tu donné
Gpour lui donner du pain
Vdes pains et une épée
et as-tu consulté
Gpour consulter Dieu pour lui
pour qu’il se dresse
Gle disposer contre moi comme un piège
Gen ennemi
Ven traître comme il le fait aujourd’hui
Gcomme [le montre] ce jour
Vpersistant jusqu'à aujourd’hui ?
13 ...
14 Et Ahimélek répondit
Gil répondit
VAhimélec répondant au roi M Get dit :
— Et qui, parmi tous tes serviteurs, [est] comme David, fidèle,
gendre du roi et éloigné de tes audiences
Get chef de tout ordre de toi
Vqui accomplit entièrement ton ordre
et honoré
Vglorieux dans ta maison ?
14 ...
15 Est-ce aujourd'hui que j'ai commencé à consulter Dieu pour lui ?
Que cela s'éloigne de moi !
GAucunement !
VLoin de là !
Que le roi ne mette aucune chose à la charge de
Gdonne aucun motif contre
Vsoupçonne aucune chose de cette sorte contre son serviteur dans
Gni contre toute la maison de mon père
car ton serviteur n'a su aucune chose
Gne savait de tout cela,
Vn'a rien su sur cette affaire, ni petite
G Vpeu ni grande.
G Vbeaucoup.
15 ...
16 Et le roi GSaül dit : — Tu mourras certainement
G Vde mort Ahimélek
VAhimélec, toi et toute la maison de ton père.
16 ...
17 Et le roi dit aux coureurs
Vémissaires qui se tenaient autour de lui :
— Tournez-vous
GAmenez et mettez à mort
Vtuez les prêtres de YHWH
G Vdu Seigneur
parce que leur main est avec David :
et qu'ils ont su
Vsachant qu’il
Gque lui-même fuyait, M Get ils ne m’ont pas informé
Gdécouvert l'oreille.
Mais les serviteurs du roi ne voulurent pas étendre leur main
Gporter leurs mains pour se jeter sur
Gsur eux, pécher contre
Vsur les prêtres de YHWH
G Vdu Seigneur.
17 ...
18 Et le roi dit à Doëg
VDoëc :
— Toi, tourne-toi et jette-toi sur les prêtres.
Et Doëg
VDoëc l’Édomite
Gle Syrien
Vl'Iduméen se tourna
Vtournant,
Met il frappa, lui,
Vse jeta sur M Vles prêtres
et ce jour-là il mit à mort
Vmassacra quatre-vingt-cinq hommes portant en main l’éphod de lin.
Gles prêtres du Seigneur : trois cent cinq hommes portant en main l’ephoud.
18 ...
19 Et Nob
VNobé la ville des prêtres, il la frappa à la pointe de l'épée
Vavec le glaive dévorant
hommes et femmes
Gde l'homme à la femme, petits enfants et nourrissons
Gdu petit enfant au nourrisson
bœuf
Gau veau et Gà l'âne et Gà la brebis à la pointe de l’épée
Vavec le glaive dévorant.
19 ...
20 Un seul fils d’Ahimélek
VAhimélec, fils d’Ahitub
VAhitob,
dont le nom était ’Ebᵉyātār
G VAbiathar se sauva et
Gs'en tira sain et sauf et
Vs'étant sauvé, s'enfuit à la suite
Vauprès de David.
20 ...
21 Et Abiathar
Vil lui annonça M Gà David que Saül avait fait mourir
Vtué Gtous les prêtres de YHWH
G Vdu Seigneur.
21 ...
22 Et David dit à Ébyatar
VAbiathar :
— Je savais en ce jour-là que Doëg
VDoëc l’Édomite étant là,
Vl’Iduméen étant là,
Gle Syrien il informerait certainement
Ginformant, informerait Saül.
C’est moi qui suis responsable de toute la maison de ton père.
Gdes vies de la maison de ton père.
Vde toutes les âmes de [la maison] de ton père.
22 ...
23 Reste avec moi, ne crains pas
car celui qui cherche ma vie cherche ta vie et avec moi tu seras gardé.
23 Reste avec moi, ne crains pas
car là où je chercherai un endroit pour ma vie, je le chercherai aussi pour ta vie : tu es sous bonne garde, toi, auprès de moi.
23 ...
16,1–31,13 David, héros mythique
De nombreux réalisateurs ont donné à voir l'histoire de David et Goliath : David et Goliath (1908), un film américain de Sidney Olcott ; David et Goliath (1910), un film français de Henri Andréani David et Goliath (1960), un film italien réalisé de Richard Pottier ; David et Goliath (2016), un film de Wallace Brothers. Dans le peplum italo-américain de 1960, elle est sertie dans l'histoire plus complète de l'ascension difficile de David comme successeur du premier roi d'Israël.
8,1–31,13 Saül, héros d'opéra
Georg Friedrich Haendel, né à Halle en 1685, mort à Londres en 1759, montra très tôt des dons exceptionnels pour la musique. Organiste de la cathédrale de sa ville natale, il part pour Hambourg en 1703, où l'on joue ses premiers opéras en 1705. En 1710, il s'installe à Londres où il impose l'opéra italien à un public qui en ignorait presque tout. En 1719, il est nommé directeur de l'Académie Royale de Musique. Trois ans plus tard, il est naturalisé anglais.
Le théâtre a été au centre des activités de Haendel tout au long de sa vie. Des 39 opéras qui nous sont parvenus, tous, sauf trois, furent composés pour Londres. Destinés à un public aristocratique, ils conservent beaucoup des caractéristiques des opéras de cour de l'époque, en particulier l'utilisation de chanteurs virtuoses. Tous appartiennent à la tradition de l'opera seria ; l'œuvre est construite sur le récitatif et l'aria, les rôles masculins principaux sont confiés à des castrats, l'emploi des ensembles et des chœurs est restreint. La plupart des intrigues sont construites sur des thèmes classiques ou historiques, certaines font appel au fantastique et au merveilleux (Alcina, Orlando). Parmi les plus célèbres, citons : Tamerlano, Rodelinda, Orlando, Ariodante, Xerse. Vers la fin de sa vie, Haendel reporta une partie de son génie dramatique sur l'oratorio (Samson, Jephta, le Messie) ; il put s'y libérer de l'emprise de l'aria da capo et proposer une écriture vocale nouvelle.
Charles Jennens (1700-1773) était un riche propriétaire, musicien amateur et homme de lettres qui soutenait la « cause » haendélienne depuis le début. On suppose que c’est en 1735 qu’il soumit au compositeur le livret de Saül. Mais le moment était mal choisi, Haendel n’ayant pas encore renoncé à ses ambitions italiennes, et le livret atterrit probablement dans un tiroir. Il n’en sortit qu’en 1738, après l’échec d’une souscription lancée par Heidegger pour une nouvelle saison d’opéra. Le 23 juillet, Haendel mettait sur papier les premières notes de Saül dont il acheva la première mouture en août. Il interrompit la composition entre le 9 et le 20 septembre et termina l’œuvre – après une révision profonde, surtout de la dernière partie – le 27 septembre. Trois jours plus tard, il en était déjà à esquisser Israël en Egypte…
A 53 ans, il ouvrait une nouvelle époque de sa vie. Saül allait être produit au King’s Theatre, loué à Heidegger, selon le schéma déjà utilisé en 1736, dans le cadre d’une saison construite autour d’œuvres anglaises données en concert. Saül inaugura la série le 16 janvier 1739 et fut donné quatre fois. Le succès ne fait aucun doute, comme le démontrent de nombreux témoignages. Le rôle de David, écrit initialement la mezzo-soprano Marchesini fut repris par un Mr. Russell, probablement un ténor qui dut le transposer ; lors des reprises – cinq à Londres, entre 1740 et 1754, et une, triomphale, à Dublin en 1742 – le rôle traversa tous les registres, depuis sopranos jusqu’aux basses, en passant par le castrat Andreoni pour qui on le traduisit en italien ; à Dublin on le confia naturellement à Mrs Susannah Cibber, premier alto du Messie, et tragédienne de génie. Comme la plupart des drames bibliques de Haendel, Saül ne disparut jamais du répertoire, tant en anglais qu’en traduction allemande, faisant souvent l’objet de productions théâtrales.
Inspiré par un livret admirablement construit, dans lequel Jennens parvient à resserrer les épisodes du Premier livre de Samuel, et à en extraire l’essence des conflits humains (il y ajoute celui de Merab, judicieusement emprunté à un autre écrivain), Haendel produit un drame d’une grandeur et d’une force exceptionnelles, littéralement inédites dans la musique de son siècle. La tragédie progresse à grands pas, ignorant l’unité de lieu et de temps, toute entière vouée à l’exaltation des passions humaines et aux leçons profondes qu’il faut tirer du spectacle de leur périlleux empire.
Saul : basse ; David : ténor ; Jonathan : ténor ; Michal : soprano ; Merab : soprano ; Grand’Prêtre : ténor ; Sorcière d’Endor : alto ; Samuel : basse ; Doeg : ténor ; Amalekite : ?
Une ouverture en quatre mouvements et un grand tableau triomphal – l’Epinicion – à la gloire de David, vainqueur de Goliath – plantent le décor (How excellent ! – an infant raised – Along the monster – The youth inspired). Michal, la fille de Saül que David aimera, annonce l’arrivée du « divin adolescent » (Oh, godlike youth). Celui-ci entre en scène tenant la tête ensanglantée de Goliath. Saül l’invite à rester auprès de lui, en lui proposant d’épouser sa fille. David accepte les faveurs, mais refuse l’éloge : Dieu est seul responsable de ses victoires (O King, your favours). Jonathan, fils de Saül, est émerveillé par tant de vertu, alors que Merab, sa sœur, s’en offense (What abject thoughts). Mais Jonathan n’a cure de la basse extraction de David (Birth and fortune). Saül offre à David la main de Merab qui la rejette avec mépris (My soul rejects), à l’étonnement de sa sœur, Michal (See, with what a scornful air). Le temps passe (Sinfonia). Le carillon annonce le retour des deux guerriers, Saül et David, mais les louanges maladroites du peuple (Welcome, welcome) dressent le Roi contre son jeune vassal. La fureur de Saül (With rage I shall burst) n’a semble-t-il étonné personne : sa fille Michal confirme qu’il s’agit d’une vieille maladie (Fell rage and black despair), et que seule la lyre de David peut apaiser les souffrances du Roi ; hélas, la thérapie semble avoir perdu toute efficacité.
Les paroles de David (O Lord, whose mercies) restent sans effet sur Saül qui lance son javelot sur le chanteur (A serpent in my bosom warmed). L’ayant raté, il ordonne à Jonathan de le poursuivre et le tuer. Merab condamne son père fantasque (Capricious man), alors que Jonathan proteste (Oh, filial pietry ! – No, cruel father). Le chœur prie Dieu de préserver David de la fureur meurtrière de Saül (Preserve him) ;
Le chœur déplore la fatale jalousie qui s’est emparée du cœur de Saül (Envy ! eldest born of hell). Jonathan jure son amitié à David (But sooner Jonathan stream) qui aime Michal (Such Haughty beauties). Jonathan tente à nouveau de calmer son père (Sin not, o king) qui feint une guérison (As great Jehovah) à la plus grande joie de Jonathan (From cities stormed) ; Saül accepte de donner Michal à David, en espérant le faire tuer par ses ennemis. Michal et David échangent leur vœux (duo : Of fairest of ten thousand fair), et le peuple approuve leur union (Is there a man). Le temps passe à nouveau (Sinfonia) Saül n’est pas guéri : il a de nouveau lancé son javelot sur David. Michal sauve le jeune homme in extremis (duo : At persecution I can laugh) lorsqu’un messager du roi vient le chercher avec des intentions évidentes. Michal ne tremble pas (No, let the guilty tremble), tandis que David est parvenu à gagner le cœur de sa belle-sœur Merab, horrifiée par la cruauté de Saül (Author of peace). (Sinfonia). Saül ne pouvant atteindre David, lève la main sur son propre fils Jonathan. Le chœur réagit avec horreur et crainte (O fatal consequence). Ouvert et clos par une fresque chorale, le IIe acte a mené la tragédie à son point culminant.
Saül visite la grotte de la Sorcière d’Endor, et sollicite l’oracle (accompagnato : Wretch that I am). La Sorcière invoque l’esprit du prophète Samuel (infernal spirits). De sa bouche, Saül reçoit l’impitoyable verdict : il sera tué avec son fils Jonathan. (Sinfonia). Après la bataille, un Amalécite en informe David. (Marche funèbre). En symétrie avec la cérémonie triomphale du début, la tragédie s’achève sur un tableau funèbre auquel participent David, Michal, Merab et le Grand prêtre, hommage idéalisé au roi défunt et à son fils (Mourn Israel – From This unhappy day – Brave Jonathan – Eagles were not so swift – In Sweetest harmony – O fatal day – Gird on thy sword).
Bibliographie : Piotr ; Programme Opéra national de Paris, Jules César, saison 2010-2011, p.19.
Mille et un opéras (Les Indispensables de la musique), Paris: Fayard, 200416,1–31,33 Le Roi David, héros symphonique
Ce psaume symphonique en trois parties pour narrateur, trois solistes (SAT), deux chœurs et orchestre est une œuvre de Arthur 1S 16,1-31,13). La deuxième partie célèbre le couronnement de David, sa danse devant l'arche (2S 6,1-23), et la prédiction de la naissance de Solomon par l'ange (2S 7,1-29). Elle se conclue par un chœur d'anges chantant « Alleluia ». La troisième partie raconte les histoires tragiques de David et Bethsabée (2S 11,1-12,31) et la mort d'Absalon (2S 18,1-19,44) ; elle se termine avec la repentance de David (Ps 51,1-21), l'expression de sa piété (Ps 121,1-8), de sa loyauté (Ps 18,1-51) et sa mort paisible (1R 2,1-46), suivie d'un chœur d'Alleluia sereins suggérant l'ascension de l'âme de David au ciel. On retient de nombreux chants de cet oratorio comme le « Cantique du berger David » inspiré du Ps 23,1-6, la lamentation pour soprano « Ah ! si j'avais des ailes de colombe » (Ps 55,6), et l'incantation dramatique de la Sorcière d'Endor (1S 28,1-25), où la sorcière appelle Samuel, d'abord en sifflant puis par un crescendo jusqu'à un rugissement. Des parties instrumentales sont également restées célèbres comme la « Marche des Hébreux », la « Marche des Philistins » ou encore le « Couronnement de Salomon ».
basée sur l'histoire de David. Elle combine des textes des Psaumes, de Job, d'Isaïe et d'un Psaume non biblique de la Renaissance du poète Clément Marot. La première partie raconte l'histoire de la jeunesse de David et se concentre sur la jalousie de Saul, culminant dans sa défaite et sa mort à Gilboa (Part I : 1. 0:01 Introduction 2. 2:07 Cantique du berger David 3. 3:55 Psaume : Loué soit le Seigneur 4. 5:23 Chant de victoire 5. 6:16 Cortège 6. 8:13 Psaume : Ne crains rien 7. 10:15 Psaume : Ah! Si j'avais des ailes de colombe 8. 13:42 Psaume : Cantique des Prophètes 9. 15:27 Psaume : Pitié de moi, mon Dieu 10. 17:59 Le camp de Saül 11. 20:04 Psaume : l'Éternel est ma lumière infinie 12. 21:49 Incantation : La Pythonisse 13. 24:18 Marche des Philistins 14. 25:57 Lamentations de Guilboa. Part II : 15. 31:00 Cantique de fête 16. 32:23 La danse devant l'arche. Part III : 17. 43:09 Cantique : De mon cœur jaillit un cantique 18. 44:45 Chant de servante 19. 46:38 Psaume de pénitence 20. 49:00 Psaume : Je fus conçu dans le péché 21. 52:54 Psaume : Je lève mes regards vers la montagne 22. 54:29 La chanson d'Ephraïm 23. 55:45 Marche des hébreux 24. 58:22 Psaume : Je t'aimerai, Seigneur, d'un amour tendre 25. 1:00:57 Psaume : Dans cet effroi 26. 1:02:23 Couronnement de Salomon 27. 1:04:15 Mort de David.
19 glaive dévorant FRANÇAIS BIBLIQUE L’expression latine « in ore gladii », traduit l’expression hébraïque lepî-hereb.