Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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19 Joseph, son époux, qui était juste et ne voulait pas la faire montrer du doigt
Vtraduire [en justice]
se proposa de
Vvoulut la renvoyer secrètement.
20 Comme il était dans cette pensée
Vméditait cela
voici, un ange du Seigneur lui apparut en songe et lui dit :
— Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre chez toi
Vd'accueillir Marie ton épouse
car certes ce qui est engendré
Vné en elle est de l'Esprit Saint.
21 Et elle enfantera un fils et tu l'appelleras du nom de « Jésus »
car lui-même sauvera son peuple de ses péchés.
22 Tout cela arriva
pour que s'accomplît la parole dite
V Sce qui a été dit par le Seigneur à travers le prophète qui disait :
23 « Voici, la Vierge sera enceinte et enfantera un fils, et on l'appellera du nom d'"Emmanuel" »
ce qui se traduit : « Dieu avec nous ».
24 Réveillé de son sommeil, Joseph fit comme l’ange du Seigneur lui avait prescrit
et il reçut
Vaccueillit son épouse.
25 Et il ne la connut pas jusqu’à ce qu’elle eût enfanté un fils
Byz V S TRson fils premier-né
et il
Selle l'appela de son nom « Jésus ».
1,18–2,19 Histoire de la Nativité Une intense poésie se dégage de ce film d'animation russe.
Le film Noël du réalisateur et artiste Mikhail Aldashin cherche à faire toucher au miracle de la naissance du Sauveur parmi les hommes. L'intrigue respecte le texte canonique, en y ajoutant bien des traits naïfs et émouvants tirés des récits apocryphes. Mikhail Aldashin est l'un des principaux réalisateurs du studio Pilot. Ses films ont remporté le succès dans de nombreux pays, dans divers festivals internationaux. Le film Noël, tourné en 1997 la même année, a reçu le prix de la meilleure réalisation et la première place dans une classification professionnelle au Festival panrusse d'animation de Tarus ; au Golden Fish International Film Festival à Moscou et de nombreuses autres récompenses.
La scène de l’appel des trois mages endormis dans le même lit et tirés de leur sommeil par un petit ange qui les touche du doigt vient directement d’un chapiteau du 12e s. de la cathédrale Saint-Lazare d’Autun, sculpté par maître Gislebertus : Arts visuels Mt 2,1s