Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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1 VICI COMMENCE L'ÉPÎTRE AUX PHILIPPIENS
Paul et Timothée, esclaves du Christ Jésus
Byz TRde Jésus-Christ
à tous les saints dans le Christ Jésus qui sont à Philippes
avec leurs épiscopes et leurs diacres.
1 ...
2 À vous, grâce et paix de la part de Dieu notre Père et du
Sde notre Seigneur Jésus-Christ.
3 Je rends grâce à mon Dieu à chaque fois que je fais mémoire de vous
4 toujours
et en chacune de mes prières pour vous tous
faisant cette supplication dans la joie
4
car en toutes mes prières pour vous
et dans la joie, j'intercède
5 en raison de votre communion dans l’Évangile, depuis le premier jour jusqu’à présent,
6 ayant cette confiance
que celui qui a commencé en vous une œuvre bonne
la parachèvera jusqu’au jour du Christ Jésus.
Sde notre Seigneur Jésus Christ.
7 De même il est juste pour moi de penser cela au sujet de vous tous
parce que je vous porte dans mon cœur, vous, qui dans mes liens
ainsi que Byz V Nesdans la défense et l'affermissement de l’Évangile,
êtes tous associés à ma grâce.
Vjoie.
7 De même il est juste pour moi de penser au sujet de vous tous
parce que dans mon cœur vous êtes établis vous qui, dans mes liens
ainsi que dans ma défense de la vérité de l’Évangile,
êtes associés à ma grâce.
8 Car Dieu m’est témoin
comme je languis après vous tous dans les entrailles du Christ Jésus !
9 Voici donc ce que je demande dans ma prière :
que votre amour
Vcharité surabonde toujours plus en connaissance
Vscience et en toute espèce d'acuité
Stout discernement spirituel
10 pour mettre à l'épreuve les choses qui diffèrent
Vapprécier ce qui est le meilleur
afin d’être purs et irréprochables pour le jour du Christ
11 comblés des fruits
V Nesdu fruit de la justice par Jésus Christ
VJésus-Christ pour la gloire et la louange de Dieu.
12 Or je veux que vous sachiez, frères
que ce qui m’est arrivé a tourné plutôt au progrès de l’Évangile.
12 ...
13 En sorte que mes liens sont devenus manifestes par le Christ dans tout le prétoire et partout ailleurs
13 ...
14 et la plupart des frères, ayant dans le
Snotre Seigneur pris confiance par le fait même de mes chaînes,
ont beaucoup plus d’audace pour dire sans peur la parole V Sde Dieu.
15 Certains, il est vrai, c'est par envie et querelle
Vpar esprit de contention
mais d’autres, c'est par bonne volonté Set par amour qu'ils prêchent le Christ.
16 Ceux-ci
VCertains agissent par
querelle annoncent le Christ sans pureté [d'intention], pensant susciter de l’affliction dans mes liens
V Nescharité sachant que j'ai été préposé pour la défense de l’Évangile ;
16 ...
17 tandis que les autres [agissant] par charité sachant que j'ai été préposé pour la défense de l’évangile
Nesquerelle annoncent le Christ sans pureté [d'intention] pensant susciter de l'affliction dans mes liens.
17 tandis que les autres annoncent le Christ par esprit de contention et non sincèrement,
en prétendant susciter l'affliction dans mes rangs.
18 Quoi donc ? De toute manière
soit prétexte soit vérité le Christ est annoncé
et de cela je me réjouis et je m'en réjouirai encore.
18 ...
19 Car je sais que cela aboutira
Vtournera à mon salut
par votre prière et l’assistance de l’Esprit de Jésus Christ
19 ...
20 selon ma vive
Vmon attente et mon espérance
que je ne serai confondu en rien
mais qu'en toute assurance maintenant comme toujours le Christ sera magnifié dans mon corps
soit par ma vie soit par ma mort.
20 ...
21 Car pour moi vivre c'est le Christ et mourir, un gain.
21 ...
22 Mais
VQue si vivre dans la chair c'est pour moi un fruit du labeur
je ne sais que choisir.
22 ...
23 De fait
Byz V NesOr je suis pressé des deux côtés
ayant le désir de partir
Vd'être séparé et d’être avec le Christ
ce qui est Nes| en effet | [en effet ] | de beaucoup le meilleur
23 ...
24 mais que je demeure dans la chair est plus nécessaire
Smon corps me presse pour vous.
25 Et étant persuadé de ceci, je le sais, je resterai et je demeurerai avec vous tous
pour votre progrès et pour la joie de votre foi
25 ...
26 afin que votre fierté
Vvotre action de grâces abonde dans le Christ Jésus en moi
par ma présence auprès de vous.
26 ...
27 Seulement vivez en citoyens
Vconduisez-vous d’une manière digne de l’Évangile du Christ
afin que soit que je vienne et que je vous voie
soit qu'absent, j'entende dire de vous
que vous tenez bon dans un seul Esprit
d’une seule âme
luttant
Byz TR Nestravaillant ensemble pour la foi de l’Évangile
27 ...
28 n’étant nullement effrayés par les
Snos adversaires :
ce qui pour eux est
V Nesest pour eux une démonstration
Vcause de la perte
et pour vous du
Nesde votre
Sde notre salut
Byz V TR Neset cela est de Dieu.
29 Car il vous a été fait la grâce
Vdonné à l'égard du Christ
non seulement de croire en lui
mais aussi de souffrir pour lui
29 et ceci vous a été donné par Dieu,
que non seulement et vraiment vous croyiez en Christ,
mais aussi que pour lui vous souffriez
30 ayant
Sendurant le même combat que vous avez vu en moi,
et dont vous entendez maintenant parler en moi
V Sà mon sujet.
16s Ordre inversé des versets Certains manuscrits, à l'image de ceux du texte byzantin et du Textus Receptus que nous suivons ici, donnent un ordre des versets inverse par rapport à la Vulgate et Nestle Aland (ainsi que la plupart des manuscrits les plus anciens tels que P46, א, A, B, D et la tradition latine) et non attesté avant le VIe siècle.
21 Obsèques musicales
Musikalische Exequien est un ensemble de motets en trois parties, tout d'abord en forme de messe de funérailles allemande luthérienne. Ce premier épisode précède un autre air spirituel extrait du psaume 73. Il est suivi à son tour d'une troisième partie, le Cantique de Siméon (connu dans la liturgie catholique sous le nom de Nunc dimittis). L'ensemble a été composé en 1635 pour les funérailles de Heinrich Posthumus von Reuss, seigneur de Gera, Schleiz et Lobenstein en Thuringe, mort le 16 décembre 1635.
Partie I : Concert in Form einer teutschen Begräbnis-Messe SWV 279 6vv SSATTB — Intonatio: Nacket bin ich von Mutterleibe kommen — Soli: Nacket werde ich wiederum dahinfahren Herr Gott, Vater im Himmel — Soli: Christus ist mein Leben, Sterben ist mein Gewinn Jesu Christe, Gottes Sohn — Soli: Leben wir, so leben wir dem Herren Herr Gott, Heiliger Geist — Intonatio: Also hat Gott die Welt geliebet, daß er seinen eingebornen Sohn gab — Soli: Auf daß alle, die an ihn gläuben, nicht verloren werden Er sprach zu seinem lieben Sohn — Soli: Das Blut Jesu Christi Durch ihn ist uns vergeben — Soli: Unser Wandel ist im Himmel Es ist allhier ein Jammertal — Soli: Wenn eure Sünde gleich blutrot wäre, Sein Wort, sein Tauf, sein Nachtmahl — Solo (Altus): Gehe hin mein Volk Soli: Der Gerechten Seelen sind in Gottes Hand — Solo (Tenor): Herr, wenn ich nur dich habe — Soli: Wenn mir gleich Leib vnd Seele verschmacht Er ist das Heil und selig Licht — Soli: Vnser Leben währet siebenzig Jahr Ach, wie elend ist unser Zeit — Solo (Tenor): Ich weiß, daß mein Erlöser lebt Weil du vom Tod erstanden bist Soli: Herr ich lasse dich nicht du segnest mich denn Er sprach zu mir.
Partie II : Motette Herr, wenn ich nur dich habe, SWV 280 8vv double choir SATB.SATB
Partie III : Canticum B. Simeonis Herr, nun lässest du deinen Diener in Frieden fahren, SWV 281 8vv double choir SATTB.SSB
1 Oh Seigneur, car je suis ton serviteur
Ce motet, composé sur les paroles du Psaume 116, se trouve éclairé par les paroles de Saint Paul: « Si je plaisais encore aux hommes je ne serais pas serviteur du Christ » (Ga 1,10). Il est composé par Andreas Hammerschmidt, l'un des compositeurs de musique sacrée les plus populaires dans le Saint-Empire du 17e siècle.
O Domine, quia ego servus tuus; ego servus tuus, et filius ancillae tuae. Dirupisti vincula mea, tibi sacrificabo hostiam laudis, et nomen Domini invocabo.
Vota mea Domino reddam in conspectu omnis populi ejus; in atriis domus Domini, in medio tui, Jerusalem.
Oh Seigneur, car je suis ton serviteur; je suis ton serviteur et le fils de ta servante. Tu as rompu mes liens, je te sacrifierai une offrande de louange, et j'invoquerai le nom du Seigneur.
Je rendrai mes louanges au Seigneur devant tout son peuple, à l'entrée de la maison du Seigneur, au milieu de toi, Jérusalem.
1s Envoi et destination de la lettre
Philippe, Thessalonique, Macédoine.
2 grâce à vous et paix Intertextualité biblique 1Co 1,3 ; cf. →La paix dans les textes pauliniens ; Propositions de lecture 1Co 1,3 Formule paulinienne ; Propositions de lecture Rm 1,7b Densité de l'eirênê des salutations apostoliques.
21 (G) En Gr, les deux verbes sont des infinitifs traités comme des substantis avec un article, ce qui donne littéralement : Car pour moi le vivre [c'est] Christ et le mourir un gain.
10a pour apprécier ce qui est le meilleur (V) ut probetis potiora, en Rm 2,18, on trouve une expression semblable : probas utiliora « tu discernes ce qui est plus utile ». Fillion commente : « c'est-à-dire ce qui est meilleur, plus parfait. Le grec peut signifier aussi : les choses qui diffèrent, ou la différence qui existe entre le bien et le mal, ce que Dieu ordonne et ce qu'il défend. » (→, 8,31) ; « Capables de distinguer le vrai du faux, le bien du mal et de pratiquer toujours ce qui est juste et droit [...] » (→ 8,372).
10b purs (G) eilikrinês Hapax paulinien Eilê splendor solis, krinô, ad splendorem solis probatus, purus, candidus, nullo vitio corruptus. (→). Analysis philologicaEilikrinês est un hapax paulinien. Dans le NT, il se trouve seulement en 2P 3,1. Paul utilise le nom eilikrineia en 1Co 5,8 ; 2Co 1,12.2,17 (cf. →; Lexicon →, 2,241). 1959
11 fruit Sens religieux et moral de « fruit »
9ss Une prière transformée en exhortation
9b charité (G) Agapê dans l'éthique chrétienne
→ « L' 1959agapê dont il s'agit n'est déterminée par aucun complément d'objet. On aurait donc tort de préciser qu'il s'agit d'amour envers Dieu ou le prochain. L'Apôtre comprend la charité comme une grandeur autonome, exprimant la vie chrétienne elle-même en ce qu'elle a d'essentiel (cf. 1Co 13), et spécialement comme source d'énergie et de rayonnement dans la vie morale et religieuse. Lorsque saint Paul parle de charité, il évoque moins ses objets que sa source, il pense d'abord à la charité qui vient de Dieu et du Christ, et qui nous ''étreint'' (2Co 5,14). Dans un contexte de prière, cette nuance est certaine. L'Apôtre demande à Dieu de communiquer une participation toujours plus abondante de son amour aux Philippiens.
On savait déjà par Ep 3,17-19, que l'agapê parvenue à un certain degré de croissance donne de la pénétration à l'intelligence ou qu'elle exerce une activité spéculative, elle illumine les yeux du coeur (Ep 1,17s). C'est cette pensée que saint Paul reprend ici, en l'accentuant avec une vigueur exceptionnelle. Si la charité des Philippiens doit grandir, c'est dans un sens très déterminé, en epignôsei kai pasêᵢ aisthêsei. Selon la construction perisseuein en (Rm 15,13 ; 2Co 8,7), en effet, c'est l'amour lui-même qui s'épanche ou s'exerce dans le domaine de la connaissance (Vocabulaire Ph 1,9b). N'est-il pas agapê tês alêtheias (2Th 2,10) ? » (2,235). « À cette connaissance, saint Paul ajoute l'affinement du sens moral » (Vocabulaire Ph 1,9b). On conçoit qu'une telle perception soit affinée par l'agapê. Seul un amour total et exclusif ''sent'' ce qui peut plaire ou déplaire, à l'être aimée : seule l'agapê, issue de Dieu, peut révéler comment correspondre en tout à la volonté de Dieu » (2,237s).
Au v. suivant on comprend que la charité exerce l'office de discernement, d'appréciation et de choix (Vocabulaire Ph 1,10a).
10a pour mettre à l'épreuve ce qui diffèrent (G) Expression énigmatique
10b purs et irréprochables Expression redondante à valeur de superlatif
10b pour le jour du Christ Perspective eschatologique
11 comblés du fruit de justice La fécondité de la charité débordante ne se limite pas à une garantie d'innocence, d'immunité (Propositions de lecture Ph 1,10b). Le v.11 confirme que l'expression « purs et irréprochables » ne s'entend pas dans une acception purement négative. Il ajoute que la vie morale inspirée par l'agapê produit une plénitude de biens, l'authentique perfection.
11 fruit de justice par Jésus Christ
9b acuité Hapax NT Gr : aisthêsei, litt. « perception » ; la capacité à percevoir et estimer une situation précise, le tact. Cf. G-Pr 5,2 ; 14,7 ; 15,7.
Cet hapax néotestamentaire « s'emploie dans l'usage profane soit de l'acte de sentir (sensation), soit de la faculté (sensibilité) ; au sens 1er de perception sensible, il passe à celui de discernement moral, perception spirituelle, que le livre des Proverbes a consacré dans la langue biblique (aisthêsis, 22 fois dans Pr, sur 27 dans l'AT. Cf. les vêtements du grand prêtre confectionnés par des tailleurs habiles, qui ont un pneuma aisthêseôs (Ex 28,3)) [...] » (→, 2,237). 1959
9b connaissance spirituelle Le substantif epignôsis signifie « connaissance » spirituelle : capacité à reconnaître le bien, à discerner. C’est un fruit de l’action de l’Esprit dans le croyant. V traduit par scientia, notitia, cognitio, agnitio, etc.
Vocabulaire Rm 1,28a ; 3,20b ; 10,2b ; Vocabulaire Rm 10,2b ; Vocabulaire Ep 1,17b ; cf. Vocabulaire Ep 4,13a :
9b abonde (G) Perisseuein : Verbe au présent progressif ou « surabonde ». Le verbe grec perisseuein signifie : être dans l'abondance, exceller, surabonder, surpasser, cf.Vocabulaire 2Co 1,5ab ; Vocabulaire 2Co 8,7ad ; Vocabulaire 2Co 2,4c.
9b toute acuité Signification de la précision « toute »
10a pour mettre à l'épreuve (G) Dokimazein → « Si le verbe 1959dokimazô, en effet, a le sens de prouver (2Co 8,8), (Vocabulaire 2Co 8,8b) et d'approuver (Rm 14,22), (Vocabulaire Rm 14,22c), il a d'abord celui d'examiner, se livrer à une enquête ou faire une épreuve, en vue d'apprécier et de juger, et finalement retenir ce qui est valable.
La dokimasia est l'examen ou l'épreuve par lequel on vérifie la qualité d'une monnaie ou les aptitudes d'un candidat à une charge.
On est donc en droit de voir dans dokimazein la délibération et le jugement propres à la vertu de prudence. L'intérêt de ce texte est d'attribuer à l'agapê cet office de discernement, d'appréciation et de choix » (2,238).
10a les choses qui diffèrent (G) ta diapheronta
10b irréprochables (G) Aproskopos
5.7d communion + êtes associés (G) koinôniaᵢ + sugkoinônous
→Voc. de Paul « Il semble que ce soit l'emploi de cette famille de mots [le verbe koinôneô, le substantif koinônia et d'adjectif koinônos, formé à partir de koinos « commun »] dans les Philippiens qui en éclaire le mieux le sens ; en effet, les 6 emplois de koinônia et de ses composés structurent la lettre : Ph 1,5.7.4,14-15 encadrant Ph 2,1 et Ph 3,10. Or le 1er emploi désigne clairement une ''part active prise à'' l'annonce de l'évangile. Elle est explicitée par une participation des Philippiens aux épreuves de l'apôtre (Ph 1,7 et Ph 4,14), qui s'est concrétisée en une aide financière (Ph 4,15). Si Paul accepte des Philippiens seuls cette forme de koinônia, c'est qu'elle est le signe de la part qu'ils prennent à sa ''grâce'' d'évangélisateur, dans la défense et l'affermissement de l'évangile (Ph 1,7). En quoi consiste donc cette ''grâce de l'apôtre ? Elle passe par la ''conformation'' de sa propre vie à celle du Christ et par la participation à ses souffrances (Ph 3,10) dans l'attente de la résurrection ; la koinônia aux souffrances du Christ, c'est ce mouvement de don de soi et d'humiliation jusqu'à la mort sur la croix qui fut celui du Christ. À la suite de l'apôtre, c'est toute la communauté qui est appelée à conformer son ''corps d'humiliation'' pour devenir ''corps de gloire''. Se conformer au mouvement du Christ, c'est vivre en lui, en une unité où chacun reconnaît l'autre comme supérieur à soi ; c'est participer à l'Esprit (koinônia Pneumatos, Ph 2,1) qui donne à chacun des charismes différents.
On comprend mieux alors, à la fois les emplois de Rm 12,13 (Vocabulaire Rm 12,13a) et Rm 15,26 (Vocabulaire Rm 15,26b.27b), visant la collecte, celui de Ga 2,9 où le signe des ''mains de communion'' fonde l'unité des évangélisateurs, et les expressions ramassées de 1Co 1,9 Vocabulaire 1Co 1,9 et surtout 1Co 10,16-17, où il s'agit de participer [sacramentellement au corps et au sang du Christ] pour vivre réellement de sa vie. Peut-être rejoint-on ainsi Ac 2,42 ? La koinônia, part prise à l'Esprit, fait de la vie de la communauté comme de celle de l'apôtre, un évangile vivant » (Roselyne , Communion, Avoir part (koinônia, koinônos), 16). Cf. →Communion, koinônia.
1–30 Bénédiction
À terre, les chaînes de saint Paul, prisonnier pour l'évangile. Dans le ciel, la bénédiction de la croix du Christ, qui rappelle les adresses pleines de souhaits de grâces de saint Paul à ses destinaires.