Un projet du Programme de Recherches La Bible en ses traditions AISBL
Dirigé par l’École Biblique et Archéologique Française de Jérusalem
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84,1–13 Du maître de chœur. Liturgie juive (rite séphardi) Ce psaume ouvre l'office de l'après-midi (Offrande ou מִנחַה).
94,1s LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 105 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
85,8 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 105 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
81,11 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 105 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
94,14 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 104-31 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
84,5 LITURGIE JUIVE (rite portugais) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 104-31 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
84,5 LITURGIE JUIVE (rite portugais) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 104-31 ainsi que dans celui commençant par Ps 105 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
Il forme, avec Ps 144-15, l'introduction à la récitiation du psaume 145 dans la prière du matin et de l'après-midi.
89,53 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset se lit dans l'office des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin, immédiatement après le Ps 150.
84,13 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 105 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin. Il est également inclus dans Ma nomar, centon constituant une prière d'indulgence lue dans l'office journalier du matin ainsi que lors des fêtes d'expiation.
78,38 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans le centon commençant par Ps 104-31 qui introduit l'office dit des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin.
Il ouvre également le centon vehu raḥum, prière d'indulgence lue dans l'office journalier du matin ainsi que lors des fêtes d'expiation.
79,9 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) C'est par ce verset que se clôt la prière de Abinou Malquenou qui fait partie des rogations des prières du matin et de l'après-midi des jours ouvrés.
86,5 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est inclus dans Ma nomar, un centon constituant une prière d'indulgence lue dans l'office journalier du matin ainsi que lors des fêtes d'expiation. Il est également cité dans la Keduša desidra, prière de sanctification lue dans l'office du matin de la semaine et de l'après-midi du samedi et des fêtes.
86,8 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est dit après Dt 4,39 lors de la rentrée de la loi pendant l'office du matin le lundi et le jeudi, et l'après-midi du samedi et des fêtes.
86,1–17 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume se dit à la fin de l'office journalier du matin, les jours ouvrables où l'on dit les rogations.
72,18s LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ces deux versets se disent dans l'office des zemirot, suite de psaumes formant la seconde partie de l'office journalier du matin, immédiatement après Ps 135,21. Ils se disent aussi dans l'office journalier du matin après le psaume du jour, dans les parties conclusives.
82,1–8 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume se dit dans la partie conclusive de l'office journalier du matin, le mardi, en souvenir du fait que les Lévites chanteaient ce psaume au temple en ce jour.
94,1–23 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume se dit dans la partie conclusive de l'office journalier du matin, le mercredi, en souvenir du fait que les Lévites chanteaient ce psaume au temple en ce jour.
81,1–17 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume se dit dans la partie conclusive de l'office journalier du matin, le jeudi, en souvenir du fait que les Lévites chanteaient ce psaume au temple en ce jour.
93,1–5 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume se dit dans la partie conclusive de l'office journalier du matin, le vendredi, en souvenir du fait que les Lévites chanteaient ce psaume au temple en ce jour. Il se dit également à la fin de l'office de l'après-midi du vendredi à la place du psaume ordinaire (Ps 67). Il se chante aussi le vendredi soir dans l'office d'entrée du sabbat, après le Ps 92 et sur un mode mélodique particulièrement orné. Enfin, il est récité dans l'office des Zemirot du samedi matin après le Ps 92.
67,1–8 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est chanté à la fin de l'office de l'après-midi, tous les jours, sauf le vendredi, le samedi et les fêtes. Entre Pâque et Pentecôte, il est chanté sur un air particulier après le décompte des jours du Gnomer. Il est également chanté le samedi soir avant l'office de clôture du sabbat.
78,30 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est cité dans la Keduša desidra, prière de sanctification lue dans l'office du matin de la semaine et de l'après-midi du samedi et des fêtes. Il est également dit dans les parties introductives de l'office du soir de la semaine.
92,1–16 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume se dit le vendredi soir dans l'office d'entrée du sabbat, avant le Ps 93 et sur un mode mélodique particulièrement orné. Il est aussi récité dans l'office des Zemirot du samedi matin et lors de la rentrée de la Loi le samedi après-midi.
90,1–17 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est chanté dans les Zemirot du samedi matin et des fêtes.
69,14 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est répété deux fois au cours de l'office du samedi après-midi.
71,19 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset se dit à la fin de l'oraison silencieuse (amida) de l'office de l'après-midi du samedi.
75,1–11 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume se chante en introduction à l'office de sortie de sabbat, le samedi soir. Chaque verset est dit tour à tour par un fidèle.
90,13–17 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) La fin de ce psaume se chante en conclusion à l'office de sortie de sabbat, le samedi soir, sauf quand il y a une fête solennelle dans la semaine suivante.
91,1–16 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce psaume est chanté dans les Zemirot du samedi matin et des fêtes. Il est également inclus dans les parties conclusives de l'office du samedi soir après Ps 90,13-17 (sauf quand il y a une fête solennelle dans la semaine suivanteà et dans le service funèbre.
78,42 de sa puissance V littéralement : de sa main (hébraïsme)
78,62 il asservit son peuple par l'épée V cf. Blaise. Littéralement : il enferma son peuple dans le glaive = il livra son peuple au glaive (Vigouroux, Fillion)
78,72 avec des mains prudentes V littéralement : dans la prudence de ses mains
85,5 Fais-nous revenir V littéralement : convertis-nous (hébraïsme)
91,3 de la mort des embuscades V = des embuscades mortelles
94,20 le mal V littéralement : douleur, souffrance, peine, affliction
78,18 selon leurs convoitises V Littéralement : pour soutenir leurs âmes
78,51 le premier de l'enfantement V = l'aîné qui occasionne les premières douleurs de l'enfantement
78,61 parure V beauté, honneur
80,6 de trois manières V = abondamment
83,4 ton trésor V littéralement : secret, mystère. Le mot peut signifier aussi la partie secrète du temple, les richesses cachées dans l'arche, trésor caché, etc. (cf. )
82,2 jugerez-vous l'iniquité V = jugerez-vous injustement, rendrez-vous des jugements iniques
84,3 soupire V Le terme latin desiderare a aussi le sens de : soupirer après (cf. Blaise)
86,14 a cherché mon âme V = en veulent à ma vie
89,20 saints V = fidèles
94,21 âme V = vie
76,9 Le sens de la création : la réalisation de la Tora
89,13 Tabor Repères historiques et géographiques Jg 4,6
39,7 c'est en image que chemine l'homme (G) Importance d'une discipline des images intérieures Origène lit très littéralement la formulation du psaume en grec et l'amplifie : rien de ce qui vient impressionner l'âme n'est sans conséquence.
78,4 qui ont raconté V: variante
Il semble que le pluriel soit préférable.
79,11 fils de la mort V SÉMITISME hébraïsme = condamnés à mort
87,3 Des choses glorieuses ont été dites sur toi = On dit de toi des choses glorieuses
27,1–14 Insurrexerunt
22,20s Puzzle Hierogliphique
78,31 les mieux repus V Littéralement : les gras d'entre eux
89,13 Tabor M : Tābôr | G : Thabôr | V : Thabor
91,1–16 Sainte Thérèse et les anges du Seigneur
En 1927, le projet d’illustration de sainte Thérèse d’Avila de Louis Bertrand (CR 1991) est envisagé et l’artiste compose et expose alors un cycle sur la sainte mystique. Ce grand panneau, dont on ne connait pas de petit format, représente l’illustration de la sentence mystique : « Tu ne parleras plus qu’aux anges », (Garreau, 1942, p. 145).
Louis Bertrand précise la phrase du Christ entendue par la sainte carmélite : « Je ne veux plus que tu converses avec les hommes, mais avec les anges », parole qui effraie tout d’abord la carmélite avant la grande consolation qui l’envahit quand elle avoue : « Jamais plus je n’ai pu me fixer en amitié, ni avoir consolation, ni amour particulier, si ce n’est avec des personnes qui de toute certitude pour moi, ont elles-mêmes l’amour de Dieu et sont zélées pour le servir... » (Bertrand, p. 171-172).
Le peintre, imprégné de la lecture de ce livre depuis qu’il songe à son illustration, compose, dans un camaïeu de lumière, sous les traits de sœur Marie de la Grâce, sa fille Sabine, clarisse, cet émerveillement de la carmélite au milieu des anges qui conversent avec elle. Une reproduction de la scène illustre l’article écrit par le père Couturier en fin d’année 1933, en hommage à son maître, publié dans L’Artisan Liturgique.
34,18 Monde matériel et monde spirituel
Cette cascade de vaisselle courant sur le sol de l’édifice religieux, converti pour l’occasion en espace d’exposition, est l’œuvre du célèbre plasticien hindou Gupta. Peu après le tsunami qui a ravagé l’Inde en 2004, elle manifeste la toute-puissance de la nature qui reprend ses droits quand il lui chante ; laissant une population dévastée, privée de sa culture populaire ritualisée autour du quotidien, d’objets d’usage qui participent à l’exaltation du réel. Car le parfum de Dieu se diffuse jusqu’à la tradition culinaire considérée par Gupta comme hautement spirituelle. C’est pourquoi ce sont des ustensiles de cuisine qu’il choisit de déverser au milieu de l’église pour exprimer un cosmos souverain — matériau qui brille de mille éclats, signifiant que même dans les moments plus sombres d’une existence, le divin n’est jamais loin. L’on peut aussi lire en creux une critique de l’abondance occidentale, de l’accumulation de richesses à laquelle elle se livre quand d’autres meurent de faim.
54,6 Un socle pixelisé
C’est un véritable univers psychédélique qui a élu domicile en 2014 dans l’ancienne église du Sacré Cœur de Casablanca, sous l’impulsion de l’artiste français Miguel Chevalier qui expose ici, une nouvelle fois, les nombreuses facettes de sa palette créative. Sous les pas des visiteurs, son tapis de lumière artificielle s’anime et se métamorphose, réinvestissant la tradition artisanale des broderies et mosaïques orientales à l’heure du numérique. Nous voilà plongés dans une atmosphère virtuelle qui n’est pas sans charme : le sol s’accorde à nos mouvements, évoquant l’idée d’enracinement spirituel, de constant devenir sur le chemin de Dieu. Quant aux murs sobres de l’édifice, ils reçoivent eux aussi un peu de cette lueur magique qui célèbre leur symbolique sacrée et les dote d’une puissance envoûtante. Un bel exemple que nous donne ici Miguel Chevalier, sur ce que peut être le dialogue fécond de l’art contemporain avec l’Eglise.
92,1–16 Les murmures du désert...
C’est un dispositif un peu particulier qui a élu domicile dans le réfectoire du Couvent des Jacobins en hiver 2016, à Toulouse. Le lieu, transformé en un gigantesque désert de sable, évoque les communautés et ermites qui ont choisi de vivre leur foi en Christ de manière radicale — les fameux « Pères du désert » tels Cyrille d’Alexandrie et Grégoire de Naziance qui peuplèrent les dunes d’Egypte. Si ce décor convoque les superbes paroles de sagesse qu’ils nous ont transmises, il incite aussi le spectateur à connaître l’expérience de la traversée contemplative et introspective — en agissant sur nos sens par des procédés auditifs (chuchotements sonores qui envahissent le lieu puis s’évanouissent, laissant derrière eux un silence de plomb) comme olfactifs (odeur du sable chaud et des arbres)…
Au bout du chemin, un campement de fortune est dressé ; il invite à la beauté d’une rencontre avec l’altérité en même temps qu’il donne le sentiment salutaire de ne pas être seul sur le chemin de Dieu. Cet espace méditatif, imaginé par l’artiste belge Hans Op de Beeck, convertit ainsi le vide qu’il expose en une terre habitée par la présence divine, pour qui sait l'éprouver.
89,16 Les trompettes du combat
7,2 Seigneur mon Dieu Alleluia
7,12 Dieu est un juge juste Alleluia
8,2 Seigneur notre souverain maître Graduel
8,2 Que soit béni Introït et Offertoire
Chants de la Messe pour la fête de la Sainte Trinité.
9,2s Je raconterai toutes tes merveilles Communion
9,11ss En toi se confieront Offertoire
25,1ss A toi Seigneur Introït et Offertoire
25,3s Tous ceux qui espèrent en toi Graduel
25,6.22.1ss Souviens-toi Introït
25,8s Doux et droit Graduel
25,17s Les tribulations Graduel
27,1–14 Je crois que je verrai la bonté du Seigneur Antienne
27,1–14 Ils s'avancent contre moi Antienne
27,1ss Le Seigneur est ma lumière Introït
27,14.1 Espère le Seigneur Introït
30,1–13 Seigneur tu m'as relevé Antienne
30,11.2s Le Seigneur a entendu Introït
31,2ss ; 71,3.1s Sois pour moi un protecteur Introït
31,2s En toi Seigneur Alleluia
31,7s Moi j'ai mis mon espoir dans le Seigneur Introït
31,8 J'exulterai et me réjouirai Alleluia
31,15s En toi j'ai espéré Offertoire
32,6 La Parole du Seigneur Alleluia
33,5s.1 La miséricorde du Seigneur Introït
33,11.19.1 Les pensées de son coeur Introït
33,18ss Voici les yeux Introït
33,20s Il est notre secours Introït
34,2 Quand j'aurai manifesté en vous ma sainteté Introït
34,8s Il envoie un Ange Offertoire
34,10s Craignez le Seigneur Graduel
34,18.2 Ils ont crié Introït
34,20s.2 Les nombreuses tribulations Introït
35,1ss Juge, Seigneur Introït
35,13.1s Et moi Graduel
35,23.3 Éveille-toi et lève-toi Graduel
37,24.26 Si le juste tombe Graduel
37,30s La bouche du juste Introït et Graduel
37,39 Le salut vient du Seigneur Introït
38,1–23 Ceux qui en veulent à ma vie tendent des pièges Antienne
40,2ss J'attendais Offertoire
40,7ss Ni sacrifice ni oblation Offertoire
41,5.2 Moi, j'ai dit Graduel
41,8s J'étais comme l'agneau Répons
Nouveau contraste, et très accusé, entre la douceur de l’Agneau immolé et la violence des méchants dans leur complot ; sans aucune transition, ni dans la pensée, ni dans la mélodie, un bond rapide de quinte, en style quasi syllabique, et très animé, aboutissant à la décision violente, quasi brutale, de eradámus eum, si expressif, avec, sur eum, une cascade de neumes descendants, tous appuyés et lourds.
Eram quasi agnus est le quatrième répons pour la Semaine Sainte. Dans ce chant, Notre-Seigneur réfléchit à la manière dont lui, l'incarnation de l'innocence, était entouré d'ennemi, et injustement conduit à sa mort comme un agneau sacrificiel au massacre. Voyant la méchanceté des hommes Notre-Seigneur médite sur la manière dont ses ennemis ont comploté sa mort et proféré des diffamations contre Lui. L'humanité a reçu le véritable Fils de Dieu lui-même avec mépris, trahison, intrigues et mensonges. Les ennemis de Dieu complotent pour la mort de son Fils.
43,1.3 Sépare ma cause Graduel
43,1ss Juge-moi, ô Dieu Introït
44,8s Tu nous as libéré Graduel
44,23–26.2 Éveille-toi Introït
45,2s Plus splendide en beauté Graduel
Chant du commun de la Sainte Vierge Marie.
45,2 Salut, Sainte Mère Introït
Chant du commun de la Sainte Vierge Marie.
45,3.5 La grâce est répandue sur tes lèvres Graduel
Chant du commun de la Sainte Vierge Marie.
45,5.11s En raison de la vérité Graduel
Chant du commun de la Sainte Vierge Marie.
45,5 Dans votre éclat Alleluia et Graduel
Chants du commun de la Sainte Vierge Marie.
45,2 Réjouissons-nous Introït
Chant du commun de la Sainte Vierge Marie.
45,8.2 Tu as aimé la justice Introït
45,13.15s Ton visage Introït
Chant du commun de la Sainte Vierge Marie.
45,15s Elle est conduite Alleluia
45,17s Tu les établiras Graduel, Alleluia et Offertoire
46,9 Le Seigneur règne Alleluia
47,2s Tous les peuples Introït
47,6 Dieu monte parmi les acclamations Alleluia et Offertoire
48,10s Nous avons reçu, Dieu, ta miséricorde Introït
50,2s.5 De Sion Graduel
51,3.6 Tu seras justifié Antienne
Miserere Mei Deus est une interprétation musicale du Psaume 51 à chanter le Jeudi Saint de la Semaine Sainte. Ici, le roi David, reconnaissant son péché, se lamente et pleure son péché. Humble et contrit, le grand roi d'Israël implore le pardon de Dieu, admettant ouvertement sa faute. Dieu aime le pécheur repentant, et c'est le cœur contrit qui trouve le salut.
51,21 Tu accepteras Communion
54,1–9 Des étrangers se sont levés contre moi Antienne
54,1–9 Dieu est mon secours Antienne
54,3s O Dieu écoute ma prière Graduel
55,2ss Dieu, prête l'oreille à ma prière Introït
55,23.17ss Dépose sur le Seigneur ton fardeau Graduel
59,1–18 Contre mes agresseurs protège-moi Antienne
63,2.5 Ô Dieu, tu es mon Dieu Offertoire
66,1ss Poussez vers Dieu des cris de joie Introït
66,8.9.20 Peuples, bénissez notre Dieu Offertoire
68,4 Que les justes se réjouissent Alleluia
68,6s.36 Dieu dans sa sainte demeure Introït
68,8s.2 Ô Dieu, quand tu sortais... Introït
68,18s Le Seigneur vient du Sinaï Alleluia
Dominus in Sina in sancto, ascendens in altum, captivam duxit captivitatem.
Le Seigneur est venu au Sinaï, au lieu saint, montant sur les hauteurs, il a rendu captive la captivité.
68,29s Commande, ô Dieu, à ta puissance Offertoire
68,33 Jouez pour le Seigneur Communion
68,36 Dieu redoutable Alleluia et Offertoire
69,1–37 Tous mes amis Répons
69,2.3.10 Le zèle de ta maison Antienne
"Zelus Domus tuae" est la première antienne de l'Office des Ténèbres du Jeudi Saint. Le Psalmiste, dont Absalom complotait le meurtre, écrit d'une manière prophétique pour prédire la souffrance et l'abandon de Notre-Seigneur pendant son agonie dans le jardin des Oliviers. Ici, Notre Seigneur Jésus-Christ appelle Son Père à l'aide.
69,21 Mon cœur a attendu l’humiliation Offertoire
70,2ss Qu'ils aient honte... Antienne
"Avertantur" est la deuxième antienne de l'Office des Ténèbres du Jeudi Saint. Comme la première, c'est une prédiction prophétique des souffrances à endurer par Notre Seigneur dans Son agonie au Jardin des Oliviers. Il voit les outrages à venir qui seront faits contre Lui et implore l'aide de Dieu.
71,1.2.4 Mon Dieu Antienne
« Deus meus eripe me » est la troisième antienne de l'Office des Ténèbres du Jeudi Saint. Elle se réfère à la période de la vie du roi David où celui-ci a été persécuté par Saul. Au milieu des dangers, il avait une confiance inébranlable en Dieu. Ainsi, Notre Seigneur, même au plus profond de Son angoisse, se confie à l'aide de Son Père.
72,2.12 Il libérera Antienne
Ce psaume prône la gloire de Notre-Seigneur. À première vue, il peut être utilisé pour l'atmosphère sombre de la Semaine Sainte. Cependant, l'Église a choisi ce psaume spécifiquement pour rappeler aux fidèles que notre Seigneur subit ses épreuves pour la délivrance de l'homme. Nous sommes les pauvres et Satan est le puissant, mais c'est notre Seigneur qui est sur le point de nous délivrer et de conquérir Satan à travers la valeur rédemptrice de Sa Passion.
72,10s Les rois de Tharsis Offertoire
73,1.2.8 Les impies ont pensé Antienne
Antienne chantée pour le deuxième psaume du deuxième nocturne du Jeudi Saint : « Les impies ont pensé et ils ont dit le mal : ils ont proféré en haut lieu l’iniquité ». Cette accusation, ici pleine de douceur par sa mélodie, est toute tournée vers la justice finale qui sera rendue au Jugement dernier. Le juste la chante dans la confiance en Dieu, son refuge et son espérance.
73,24.1ss Tu m'as tenu la main droite Graduel
75,2.3.5.6 Je dis aux arrogants Antienne
76,1–13 Dans la paix Antienne
76,2.3.9.10 La terre a tremblé Antienne et Offertoire
Terra Tremuit - 'La Terre a Tremblé' - est une antienne du Jeudi Saint et de l'Offertoire de Pâques. A Pâques, l'Alléluia finale est ajoutée à l'antienne. Il est chanté le Jeudi Saint comme une prévision de ce qui se passera le Vendredi Saint et Pâques. Ce Psaume prédit le tremblement de terre qui s'est produit quand Notre-Seigneur est mort, qui était une préfiguration du Jugement Final. À la fin des temps, quand l'humanité méchante se considérera sûre et ne sera pas consciente de la colère de Dieu, Notre Seigneur reviendra. En ce jour terrible, les fondements mêmes de la terre seront ébranlés, et le Christ, dans la majesté solennelle, jugera la méchanceté des hommes.
77,2s Au jour de la tribulation Antienne
77,15s Tu es Dieu Graduel
77,19 ; 84,2s Les éclairs illuminèrent le monde Introït
78,23ss Les portes du ciel Offertoire
79,9s Sois propice Alleluia et Graduel
80,2s Réveille ta force Seigneur Graduel
80,2s Seigneur, toi qui sièges Graduel
80,20.3 Seigneur Dieu Graduel
81,2–6 Acclamez Dieu Introït
85,7s Dieu, en revenant... Offertoire
86,1–4 Prête l'oreille, Seigneur Introït
86,3.5.1 Aie pitié de moi Introït
86,12.5 Je te louerai Offertoire
88,1–19 Tu as éloigné de moi Antienne
Longe Fecisti est l'un des répons du Vendredi Saint, et médite sur l'abandon de Notre-Seigneur alors qu'il est laissé par ses disciples pour être pris en captivité. Ici Notre-Seigneur réfléchit à sa remise entre les mains de son ennemi. Ayant prié dans le jardin des Oliviers, il se trouve seul en compagnie de ceux qui veulent prendre sa vie. Avec cette souffrance de l'âme, l'agonie de la Passion commence et ne finira que par la mort atroce de la Croix.
88,1–19 Je suis devenu comme un homme sans secours Antienne
88,2s Seigneur, Dieu de mon salut Alleluia et Offertoire
88,5s Je suis compté parmi ceux qui descendent dans la fosse Répons
Aestimatus Sum est le dix-septième Responsorio pour la Semaine Sainte. Ici, le Christ se lamente de sa propre mort. Ayant versé sa dernière goutte de sang, il est enterré et compté parmi les morts. Les principaux prêtres et les pharisiens voulaient enterrer sa mémoire pour toujours dans l'oubli général. Ils se sont trompés parce que la mort honteuse de Christ parmi les criminels sans l'aide de ses disciples serait suivie de sa résurrection la plus glorieuse. Le répons Æstimátus sum est de nouveau un 4e mode, avec peut-être encore une nuance plus accentuée de douceur et d’intériorité. Mis sur les lèvres du Seigneur durant son séjour dans les limbes, il évoque pour la dernière fois dans les répons et de manière émouvante toute la suavité et l’inaltérable paix de son âme, qui l’accompagnèrent jusque dans la tombe.
89,12.15 Les cieux sont à toi Offertoire
90,1s Le Seigneur comme une brebis Antienne
Soupir de tristesse et de solitude devant Notre Seigneur conduit comme une brebis à l'abattoir, cette antienne des Laudes du Jeudi Saint est bouleversante d'intériorité et de compassion.
91,1–7.11–16 Qui habite dans le secret du Très-Haut Trait
91,4s Il te couvrira de ses ailes Offertoire
91,11s Il ordonnera à ses anges Graduel
91,15s.1 Il m'invoquera Introït
92,13s.3 Le juste fleurira comme le palmier Introït, Graduel et Offertoire
95,1 Venez exultons de joie Alleluia
95,3 Car c'est un grand Dieu Alleluia
95,6s Le jour saint Alleluia
Alleluia chanté pour la Messe du jour de Noël.
91,1–16 Reste avec moi, Dieu mon abri
1. Abide with me; fast falls the eventide; the darkness deepens; Lord, with me abide. When other helpers fail and comforts flee, Help of the helpless, O abide with me. 2. Swift to its close ebbs out life's little day; earth's joys grow dim; its glories pass away; change and decay in all around I see; O thou who changest not, abide with me. 3. I need thy presence every passing hour. What but thy grace can foil the tempter's power? Who, like thyself, my guide and stay can be? Through cloud and sunshine, Lord, abide with me. 4. I fear no foe, with thee at hand to bless; ills have no weight, and tears not bitterness. Where is death's sting? Where, grave, thy victory? I triumph still, if thou abide with me. 5. Hold thou thy cross before my closing eyes; shine through the gloom and point me to the skies. Heaven's morning breaks, and earth's vain shadows flee; in life, in death, O Lord, abide with me.
Reste avec moi, le soir tombe vite ; l'obscurité s'épaissit ; Seigneur, reste avec moi. Quand nos autres aides s'évanouissent et que le réconfort nous fuit, Secours de ceux qui sont sans secours, oh reste avec moi. Le petit jour de la vie reflue rapidement vers sa fin ; les joies de la terre deviennent ternes, ses gloires passent. Je vois le changement et la dégradation dans tout ce qui m'entoure. Ô toi qui ne changes pas, reste avec moi. J'ai besoin de ta présence à chaque heure qui passe. Qu'est-ce qui peut contrecarrer le pouvoir du tentateur, si ce n'est ta grâce ? Qui, autant que toi, peut être mon guide et mon abri ? À travers les nuages et le soleil, Seigneur, reste avec moi. Je ne crains aucun ennemi, avec toi près de moi pour me bénir ; les mauvais n'ont aucun poids, et les larmes aucune amertume. Où est l'aiguillon de la mort ? Où est, tombeau, ta victoire ? Je triomphe encore, si tu restes avec moi. Tiens ta croix devant ems yeux qui se ferment ; brille à travers l'obscurité, et montre-moi le ciel. Le matin du paradis se lève, et les ombres vaines de la terre s'enfuient. Dans la vie, dans la mort, ô Seigneur, reste avec moi.
Abide with Me est une hymne chrétienne écrite par l'anglican Henry Francis ; il mourut trois semaines après avoir achevé son chant. L'hymne est utilisée pour des cérémonies religieuses et militaires dans tout le Commonwealth, et par des supporters, notamment dans la Coupe d'Angleterre de football et la Coupe d'Angleterre de rugby à XIII. Elle figure également dans de nombreux films et cérémonies officielles telles que la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques d'été de 2012. Il existe une version française écrite par Jacques-François « Francis » Chaponnière en 1881.
en 1847, et le plus souvent chantée sur la musique d'Eventide par William Henry composée en 1861. a écrit le poème sur son lit de mort, gravement atteint par la tuberculose86,13 Prophétie de la résurrection du Christ
Dans la cathédrale Saint-Étienne de Châlons-sur-Marne (France), le vitrail de la Rédemption→ , un vitrail représentant la crucifixion (première moitié du 12e s.), montre à gauche David tenant un phylactère disant : ERUISTI.ANIMAm meam EX INFERNO INFErioris (Ps 86,13 = V-85,13) et Osée tenant un autre phylactère avec O MORS.ERo mors tua.MORSus.TUus ero inferne :
8,6s Gloire et honneur Offertoire
85,10 ; 118,19 Dona nobis pacem
Solistes: Bryn Terfel (bariton), Yvonne Kenny (soprano), Philip Langridge (ténor)
00:00 - I. 'Agnus Dei' (Lento)
03:59 - II. 'Beat! beat! drums!' (Allegro moderato)
07:55 - III. Reconciliation (Allegro moderato)
15:05 - IV. Dirge for Two Veterans (Moderato alla marcia)
26:42 - V. 'The Angel of Death has been abroad' (L'istesso tempo)
30:10 - VI. 'O man greatly beloved'
Cette œuvre a été commandée à l'occasion du centenaire de la Huddersfield Choral Society. Ses textes ont été extraits de la messe, trois poèmes de
, un discours politique et des passages de la Bible. L'expression Dona nobis pacem (« Donne-nous la paix »), dans différents contextes, ponctue la pièce entière.25,6s Souviens-toi Seigneur
143,1.6–10 ; 31,16 ; 88,2 ; 67,7 ; 34,8 Heureux l'homme
Cette pièce a été commandée en 1977 par le cardinal Karol Wojtyla (futur Jean-Paul II à qui elle est dédiée) afin de célébrer les 900 ans de la mort du martyr catholique polonais Stanislas de Szczepanów, évêque de Cracovie. Elle est composée par
du 2 avril au 19 mai 1979 à Katowice. La première de l'œuvre a eu lieu le 9 juin 1979 à Cracovie sous la baguette du compositeur dirigeant Jerzy Mechlinski et l'orchestre philharmonique de Cracovie à l'occasion de la première visite en Pologne du pape nouvellement élu l'année précédente et en sa présence.33,21s Voici notre Dieu
Samuel Sebastian
(14 août 1810 - 19 avril 1876) était un organiste et compositeur anglais. De son vivant comme organiste et chef de chœur, il composa presque exclusivement pour l'Église d'Angleterre, qui continue de chérir sa mémoire. Ses hymnes mieux connus incluent “Thou wilt keep him in perfect peace” et “Wash me thoroughly”.Is 25,1 O Lord, Thou art my God; I will exalt you, I will praise Thy name;Thy counsels of old are faithfulness and truth. Thou hast done wonderful things, Thy counsels of old are truth. Is 25,4 For Thou hast been a strength to the poor and needy in his distress. O Lord, Thou art my God and I will praise Thy name. Ps 33,21 For our heart shall rejoice in him, because we have trusted in his holy name. Ps 33,22 Let thy mercy, O Lord, be upon us according as we hope in thee. Is 25,8 He will swallow up death in victory; and the Lord God will wipe tears from off all faces; the rebuke of his people shall he take away from off all the earth for the Lord hath spoken it. 1Co 15,53 For this mortal must put on immortality. 1Co 15,34 Awake to righteousness, awake and sin not; for some have not the knowledge of God: Sg 3,9 They that put their trust in him shall understand the truth. 1Co 15,51 We shall not all sleep but we shall all be changed 1Co 15,52 in a moment, in a twinkling of an eye, at the last trumpet. Is 25,9 And in that day it shall be said: this is our God, we have waited for him and he will save us. This is the Lord and he will save us: we will be glad, we will rejoice in his salvation.
55,1–7 Prête l'oreille à ma prière
Hear My Prayer (allemand: Hör 'mein Bitten) est un hymne chrétien pour soprano solo, choeur (SATB) et orgue ou orchestre composé par Felix
en Allemagne en 1844. La première représentation a eu lieu à Crosby Hall, Londres, le 8 janvier. 1845. L'accompagnatrice à cette occasion était l'organiste, compositeur et professeur Ann (1811-1891). Plus tard, elle a épousé le librettiste de l'œuvre, William (1793-1867), qui a également collaboré avec sur son oratorio Elijah (allemand: Elias). L'hymne est particulièrement connu grâce à l'enregistrement réalisé en 1927 par le jeune soprano Ernest .Hear my prayer, O God, incline Thine ear! Thyself from my petition do not hide. Take heed to me! Hear how in prayer I mourn to Thee, Without Thee all is dark, I have no guide. The enemy shouteth, the godless come fast! Iniquity, hatred, upon me they cast! The wicked oppress me, Ah where shall I fly? Perplexed and bewildered, O God, hear my cry! My heart is sorely pained within my breast, my soul with deathly terror is oppressed, trembling and fearfulness upon me fall, with horror overwhelmed, Lord, hear me call! O for the wings, for the wings of a dove! Far away, far away would I rove! In the wilderness build me a nest, and remain there for ever at rest.
Écoute ma prière, ô Dieu, incline ton oreille! Toi-même de ma pétition ne te cache pas. Prends garde à moi! Écoute comment, dans la prière, je me pleure à toi, Sans toi tout est sombre, je n'ai pas de guide. L'ennemi crie, les impies viennent vite! L'iniquité, la haine, ils ont jeté sur moi! Les méchants m'oppressent, Ah, où vais-je voler? Perplexe et désorienté, O Dieu, entends mon cri! Mon coeur est douloureusement peiné dans ma poitrine, mon âme avec la terreur mortelle est opprimée, tremblant et craintif sur moi tombent, avec horreur accablé, Seigneur, écoute-moi! O pour les ailes, pour les ailes d'une colombe! Au loin, au loin, j'irais! Dans le désert, construis-moi un nid, et reste là pour toujours au repos.
69,20 Le Messie
Le Messie (Messiah, HWV 56) est un oratorio composé en 1741 par Georg Friedrich
. C'est une de ses œuvres les plus populaires avec les suites Water Music (Musique sur l'eau) et Music for the Royal Fireworks (Musique pour les feux d'artifice royaux). Messiah est désormais considéré comme le chef-d'œuvre du genre oratorio. L'œuvre est écrite pour orchestre et chœur, avec cinq solistes (soprano, mezzo-soprano, contralto, ténor et basse), elle comprend une ouverture, une sinfonia pastorale et 51 récitatifs, airs et chœurs.Reproach hath broken my heart; and I am full of heaviness: and I looked for some to take pity, but there was none; and for comforters, but I found none.
12,4s Illumine Offertoire
13,6 Mon coeur exultera Graduel
13,6.1 Seigneur, en ta miséricorde Introït
15,1–5 Qui habitera? Antienne
16,7s Je bénirai le Seigneur Offertoire
16,1–11 Ma chair Antienne
17,5ss Soutiens mes pas Offertoire
18,3 Seigneur mon roc Communion
18,7.2s Il entendra ma voix Introït
19,6s Le soleil Graduel
19,5.2 Sur toute la terre Graduel
19,9–12 La justice du Seigneur Offertoire
21,2 Le Seigneur se réjouira dans ta force Alleluia
21,4s Seigneur, tu l'as prévenu de bénédictions Graduel
22,1–32 Ils se partagent mes vêtements Antienne
Diviserunt sibi est le deuxième psaume chanté lors de la cérémonie du vendredi saint. Il est basé sur le Psaume 21. Le premier verset s'ouvre sur les paroles de Notre Seigneur alors qu'il déplore son abandon aux mains des hommes cruels. Élevé dans l'agonie sur la Croix, il semble que Dieu le Père lui-même a abandonné son Fils. Les soldats tirent au sort sur ses vêtements, mais à partir de cette désolation, notre Seigneur s'approche du moment où son sacrifice atteindra la rédemption de toute l'humanité.
22,20.22.2 Seigneur, loin de mon salut Introït
103,10 ; 79,8s Seigneur ne nous traite pas selon nos péchés Trait
98,2ss ; 66,1 Ils ont vu le salut de notre Dieu Graduel
96,1s ; 98,1–5 Cantate Domino
Claudio
, baptisé le 15 mai 1567 à Crémone et mort le 29 novembre 1643 à Venise, est un compositeur italien. Ses œuvres, essentiellement vocales, se situent à la charnière de la Renaissance et de la musique baroque.97:1a Cantate Domino canticum novum, 95:2a Cantate et benedicite nomini ejus: 97:1b Quia mirabilia fecit. 97:4b Cantate et exultate et psallite 97:5b in cythara et voce psalmi: 97:1b Quia mirabilia fecit.
96,1–13 Cantate Domino
John
est né à Londres en 1945 et a étudié la musique au Clare College de Cambridge. Ses compositions embrassent la musique chorale, orchestrale et instrumentale, et il a édité ou co-édité diverses anthologies chorales, y compris quatre volumes de Carols for Choirs avec Sir David Willcocks et la série Oxford Choral Classics. De 1975 à 1979, il a été directeur de la musique au Clare College et, en 1981, il a formé sa propre chorale, les Cambridge Singers. Il partage maintenant son temps entre la composition et la direction et est recherché comme chef invité pour les plus grands chœurs et orchestres du monde.97:1a Cantate Domino canticum novum, 95:2a Cantate et benedicite nomini ejus: 97:1b Quia mirabilia fecit. 97:4b Cantate et exultate et psallite 97:5b in cythara et voce psalmi: 97:1b Quia mirabilia fecit.
19,8.2 La loi du Seigneur
73,28.1 Mais pour moi m'approcher de Dieu est bon
85,9.2 J'écouterai ce que dira le Seigneur
21,2 Ne crains pas
66,1–4 Toute la terre
19,15.2 La méditation de mon coeur
10,1–18 Un type du méchant prospère : le pâtre Gygès
Gygès est un personnage évoqué dans la République de
. Il est un pâtre de Lydie faisant la découverte d'un anneau magique dont la propriété principale est de rendre invisible. Il retire cet anneau des flancs d'un cheval d'airain, et du doigt d'un géant à l'état de squelette, reposant dans le ventre de la bête. Gygès est alors doté d'un pouvoir extrême, le plus terrible sans doute d'après Platon : celui de commettre le mal en toute impunité. Cette idée correspond, à quelques nuances près, aux accents douloureux du psalmiste qui exprime son incompréhension devant la prospérité des méchants.18,5s Le triomphe de la mort ?
18,32–43 Dieu arme son envoyé pour le combat
20,1–7 Geste de bénédiction et de salut
21,1–8 Couronnement et consécration royale
23,1–6 Le Seigneur est mon pasteur La figure du Bon Pasteur
Cette mosaïque aux motifs tardo-antiques, dont la syntaxe picturale dérive du répertoire hellénistique, montre le Bon Pasteur entouré de rochers et de buissons verts. La scène présente des éléments byzantins comme la répartition symétrique, la stylisation des traits et les tracés rigoureux. La représentation du Christ sous l'aspect d'un pasteur donne un aspect très naturaliste ; habillé d'un manteau d'or, il revêt un caractère royal tout en évoquant la pastorale chrétienne.
25,4–22 Voie droite
26,6–12 J'aime la beauté de ta maison, et je la défendrai
27,1ss Remparts et forteresses
29,5 L'arbre comme un roseau au vent
30,12 ma lamentation en danse Danse divine
32,1–11 La grâce du repentir
L'une des deux mains posées sur les épaules du fils est plus fine que l'autre, c'est une main de femme : celle de la mère. Le Père des cieux nous aime comme un père et comme une mère.
33,6–9 Création divine
51,2 Lorsque Nathan le prophète vint le trouver Un roi réprimandé
56,1–14 Un persécuté qui s'en remet à Dieu : la prière de Jacob
91,11ss Marie, reine des anges, piétine le serpent
91,15b je serai avec lui dans la détresse
91,15 Validité de la prière pour soi
91,6 démon Représentations iconographiques des démons Les démons sont souvent représentés comme des êtres monstrueux, cornus, ailés ou même comme de véritables chimères, mélanges d'hommes et d'animaux divers :
90,3–12 Méditer sur la mort, c'est acquérir un cœur de sage
Un tas de crânes s'élève sous la croix du Christ, dans un cercle de tombes près d'un panneau indiquant « apprenez de moi » (Mt 11,29) ; un squelette porte une pancarte sur laquelle il est écrit : « à moi hier, et à toi aujourd'hui » (Si 38,23). Un maître enseigne à un groupe de jeunes étudiants et Jésus enseigne à un groupe d'hommes à l'arrière-plan. L'inscription latine se lit comme suit : « Le summum de la philosophie, [c'est] la méditation sur la mort », et le texte en-dessous de l'image signifie : « Qui enseigne aux arriérés méprisants du monde de les fouler ? Les ossements en décomposition de ceux qui sont enterrés dans des sépultures de rang ».
93,1–5 Le Seigneur est roi : la royauté du Christ
85,12a la vérité germera de la terre Sur le sol
89,20–26 L'onction de David par Samuel Le motif de l'onction de David par Samuel a donné lieu à de très nombreuses représentations iconographiques à travers les âges.
88,1–19 Imploration vers Dieu : Job
86,1–17 L'appel du juste : saint Jérôme en prière
85,1–14 Le retour d'exil
78,18–25 Les Israélites recueillant la manne dans le désert
78,15s Le miracle de l'eau
78,52–72 Le Seigneur conduit son peuple au désert et choisit le jeune berger David comme pasteur de ses brebis
78,44 Les eaux du Nil changées en sang
78,45 La plaie des grenouilles
78,49ss Raid aérien
77,1–21 Méditer sur les actions du Seigneur dans la nuit : la Madeleine pénitente Peinture française du 17e s
Georges de La Tour a peint quatre versions de la « Madeleine pénitente ». Chaste silence de la méditation et clair-obscur mimant le passage progressif des ténèbres à la lumière, ou le renoncement aux vaines lumières de ce monde, ces compositions invitent à la conversion intérieure.
Madeleine se regarde, mais par un jeu de miroir dont La Tour est coutumier, le spectateur ne voit que le reflet du crâne : efficace memento mori.
Marie Madeleine se tient assise devant une table sur laquelle repose un cierge, dont la flamme effilée se reflète dans un miroir au cadre orné de motifs. Le collier de perles placé sous le miroir et les bijoux qui gisent à ses pieds, abandonnés dans l'ombre symbolisent la vanité des plaisirs et de la vie légère à laquelle elle a renoncé. Câlé entre ses genoux et ses mains repose un crâne, élément classique du genre pictural de la vanité. La bougie déjà bien entamée et la flamme vacillante, qu'un souffle peut faire mourir, évoquent la fragilité et l'évanescence de la vie humaine. On entend alors de façon nouvelle les mots de saint Jacques : « Vous êtes une vapeur qui paraît un instant et s'évanouit ensuite » (Jc 4,14). Le regard de la pénitente, dont le visage pénétré et baigné de lumière est tourné de trois quarts, plonge au-dessus du miroir vers un rideau d'ombre, nous invitant nous aussi à contempler des réalités d'un autre ordre. La finesse des plis, le blanc lumineux de la chemise, ainsi que la délicatesse des mains jointes en prière sont remarquables.
63,1–12 Louange de Dieu et de sa création
79,1–13 Destruction de Jérusalem
31,1–25 Le Seigneur est le seul refuge
63,1–12 Une image de l'âme altérée qui cherche l'eau vive : Jean-Baptiste s'abreuvant à la source
66,1–12 La traversée du Jourdain menée par Josué
James Tissot est un peintre et graveur français qui a passé une partie de sa vie en Angleterre où il était apprécié comme peintre de la haute société de l'époque victorienne. À partir de 1888, il vit une révélation religieuse et se consacre dès lors jusqu'à la fin de sa vie à des sujets bibliques, nourrissant son art d'observations effectuées lors de voyages en Palestine et à Jérusalem. L'arche représentée ici est à peu près conforme à la description qu'en fait Dieu à Moïse au livre de l'Exode.
69,1–37 La plainte depuis la citerne boueuse : l'épisode de Jérémie
76,1–13 Le Seigneur trône dans les cieux
83,1ss Un Dieu qui se repose ? La tempête sur le lac de Tibériade
84,1ss L'âme qui soupire après son Dieu : Marie-Madeleine
80,9–20 La vigne du Seigneur : représentations de l'arbre de Jessé
La représentation de la généalogie du Christ par l'arbre de Jessé est un motif récurent dans les vitraux :
Cf. Arts visuels Mt 1,16.
78,45s Puzzle Hiéroglyphique
59,1–18 Les démons, premiers ennemis de l'homme : la tentation de saint Antoine
38,1–23 Un malade qui reconnaît ses fautes : Antiochus Après sa chute de char, le roi Antiochus tombe gravement malade. Des vers grouillent dans ses plaies, il sent abominablement mauvais, et finit par reconnaître ses torts envers le peuple d'Israël. (2M 9)
Ce tableau est la première œuvre que l'on connaisse de cet artiste, issu d'une famille spécialisé dans la peinture d'histoire. il est typique du style néoclassique promu à l'Académie française de Rome où le peintre se trouvait dans ces années-là.
55,4 Puzzle hiéroglyphique
54,3–7 Appel d'un persécuté au milieu des violents : Saint Edmund
52,4ss La langue qui médite des malheurs
L'envie est représentée sous les traits d'une vieille femme laide marchant à tâtons dans un berceau de flammes. Cherchant une proie de sa main droite crispée, elle tient fermement une bourse à sa main gauche. De sa bouche jaillit un serpent tordu en arrière, comme pour lui crever les yeux : la médisance se retourne toujours contre son auteur... La queue du serpent entoure les grandes oreilles de la figure. Ouvertes aux vilenies de tout poil, elles rappellent celles des diablotins. L'envie et la médisance sont intimement liées.
Un homme — le menteur ? — tient dans ses bras un immense coquillage dont jaillit un homme nu. A la fois coupable et victime, ce dernier est aux prises avec un serpent qui l'enlace. Le mensonge échappe à son auteur, impossible à contrôler et à rattraper, et frappe ici un innocent pèlerin. Le piédestal sur lequel il se tient porte le nom du peintre.
Pour une fois, le mensonge n'est pas représenté sous les traits d'une femme !
53,3ss Dieu le Père se penche du haut des cieux sur les hommes
53,7 Le salut d'Israël, arrivant de Sion
Chagall a toujours mis un point d'honneur, dans ses nombreuses crucifixions, à mettre en évidence la judaïté du Christ.
51,18–21 Un cœur brisé : le Sacré-Cœur de Jésus
Le Christ est bien l'exemple même du sacrifice agréable à Dieu, la « Pâque immolée » (1Co 5,7), le cœur brisé, qui débouche sur le relèvement du Temple, c'est-à-dire la résurrection de son corps.
Devant la basilique du Sacré-Cœur, ce Christ couronné d’épines ouvre sa poitrine de ses deux mains pour donner son cœur : il est celui qui offre sa vie pour ses frères. C’est la vision religieuse de la guerre que développa l’artiste par la suite, et qu’il reprit dans ses œuvres suivantes associant le sacrifice du Christ à celui des poilus.
50,1–7 Dieu paraît, entouré de lumière
37,12–15 Le juste aux mains des méchants : saint Edmund
37,1–11 Le juste qui reste silencieux : le Christ devant ses accusateurs
39,1–14 Vanité du monde, silence et brûlure du soupir : la Madeleine pénitente Peinture française du 17e s
Georges de La Tour a peint quatre versions de la « Madeleine pénitente ». Chaste silence de la méditation et clair-obscur mimant le passage progressif des ténèbres à la lumière, ou le renoncement aux vaines lumières de ce monde, ces compositions invitent à la conversion intérieure.
Madeleine se regarde, mais par un jeu de miroir dont La Tour est coutumier, le spectateur ne voit que le reflet du crâne : efficace memento mori.
Marie-Madeleine se tient assise devant une table sur laquelle repose un cierge, dont la flamme effilée se reflète dans un miroir au cadre orné de motifs. Le collier de perles placé sous le miroir et les bijoux qui gisent à ses pieds, abandonnés dans l'ombre symbolisent la vanité des plaisirs et de la vie légère à laquelle elle a renoncé. Câlé entre ses genoux et ses mains repose un crâne, élément classique du genre pictural de la vanité. La bougie déjà bien entamée et la flamme vacillante, qu'un souffle peut faire mourir, évoquent la fragilité et l'évanescence de la vie humaine. On entend alors de façon nouvelle les mots de saint Jacques : « Vous êtes une vapeur qui paraît un instant et s'évanouit ensuite » (Jc 4,14). Le regard de la pénitente, dont le visage pénétré et baigné de lumière est tourné de trois quarts, plonge au-dessus du miroir vers un rideau d'ombre, nous invitant nous aussi à contempler des réalités d'un autre ordre. La finesse des plis, le blanc lumineux de la chemise, ainsi que la délicatesse des mains jointes en prière sont remarquables.
52,10s L'olivier florissant au soleil
41,2ss L'homme qui, comme Dieu, est attentif aux faibles : l'exemple du bon Samaritain
43,3s Chercher la lumière et la vérité : les rois mages suivant l'étoile
44,10–27 Le peuple juif livré au massacre, et l'apparente inaction de Dieu : les artistes et la Shoah
Felix Nussbaum fut formé au temps de la « Nouvelle Objectivité » et au contact des avant-gardes européennes – la peinture métaphysique italienne, le surréalisme international. En 1933, lorsque Hitler accède au pouvoir, il est mis au ban de l’académie des Beaux-Arts de Berlin et forcé à l’exil. Après l’Italie, la Suisse et la France, il se réfugie à Ostende, en Belgique. Interné en 1940 au camp de Saint-Cyprien, dans le sud de la France, après la défaite belge, il s’évade et retourne à Bruxelles, où il demeure caché, avec son épouse Felka Platek, une artiste juive polonaise. Ils furent finalement déportés à Auschwitz, le 31 juillet 1944. Prenant pour maîtres le Douanier Rousseau, Van Gogh, Beckmann, Ensor, Chirico, il est aussi influencé dans son goût pour l’autoportrait et ses allégories de la Mort par les maîtres anciens flamands et allemands. Sa peinture porte toute une réflexion existentialiste sur la condition du juif pourchassé.
Charlotte Salomon, née à Berlin dans une famille juive aisée, dut affronter l’antisémitisme à l’école et à l’Académie des arts de la capitale, ainsi que le suicide de sa mère en 1926 et de sa grand-mère en 1940. Internée avec son grand-père au camp de Gurs, ils en sont libérés quelques mois plus tard en raison du mauvais état de santé du grand-père et parviennent à regagner la Côte d'Azur, où elle se marie. En 1943, le couple est arrêté, transféré à Drancy puis acheminé vers Auschwitz. Le 10 octobre, immédiatement à son arrivée, Charlotte, enceinte de cinq mois, fut envoyée dans les chambres à gaz. Son mari mourut à son tour le 1er janvier suivant. La peinture fut d’abord pour elle un moyen de lutter contre le désespoir. De la fin 1940 à la mi-1942, elle se consacre à son œuvre autobiographique Leben? oder Theater? (Est-ce la vie ou du théâtre ?). En 18 mois, elle peint environ 1 325 gouaches ou aquarelles, dont 800 environ sont terminées, à partir des trois seules couleurs primaires : rouge, jaune et bleu.
45,10–16 La princesse resplendissante introduite chez le roi : la femme du Cantique des cantiques
47,2–10 Les princes des nations et le peuple d'Abraham unis dans l'adoration de Dieu
La Trinité est représentée verticalement. Le Père soutient la croix de son fils, surmonté de la colombe du Saint-Esprit selon l'iconographie du Trône de grâce. Elle est entourée des anges, des saints dont certains portent la palme du martyre, des hommes d’Église et des hommes d’État. Les princes des nations On reconnaît David avec sa lyre, Moïse portant les tables de la loi ... c’est tout le peuple de Jacob qui est assemblé. Sur la gauche est agenouillé le commanditaire, Matthäus Landauer, sur la droite l’artiste Albrecht Dürer, ainsi que Dorothea and Wilhelm Haller. « Les princes des peuples se réunissent avec le peuple d’Abraham » (Ps 47,10) pour louer le Seigneur. Tous sont unis au sein de la cité de Dieu.
46,1–12 Le Seigneur, donateur et garant de la Terre promise à son peuple. Les empires s’ébranlent, mais la terre et les fleuves demeurent.
Le texte latin placé sous la carte est la description suivante :
A: Tota terra a monte Libano per latus occidentale Jordanis vsque Capharnaum et inde per Saphet et Kabul et Toronum redeundo ad Libanum vocatur Yturea et Galilea superior et Galilea gentium et terra Kabul et terra Rob et saltus Libani et fuit pro magna parte de regione Decapoleos
B: Tota terra a Tyberiade per Betsan et montem Effraym vsque Magedo et inde per capud Carmeli et montem Tabor et Betuliam vsque in Tyberiadem redeundo vocatur campus magnus Esdrelon vel campus Fabe, siue Magedo, vel Galilea inferior et planicies Galilee
C: Tota terra a Cesarea Palestine vsque Joppen et inde transeundo per Tampnacsare et redeundo per Caco vsque Cesaream dicitur mons Effraym, licet sit terra campestris, et Saron, de quo dicitur Ysai. Factus est Saron sicut desertum, et est terra fertilis valde et pinguis habens villas multas et loca nemorosa et maxime circa Arsur suntque ibi leones multi et venationes regie
E: Desertum Cades, vnde miserant filii Israel exploratores , qui post XL dies huc redierunt et murmurante populo jussi sunt redire in desertum per viam maris rubri et post XXX annos redierunt ad locum istum, vnde moventes castra contra orientem circuierunt montem Seyr et terram Amon et capta terra Seon, regis Osebon, et Og, regis Basan, venerunt ad Jordanem contra Jerico.
48,2–15 La cité du grand Roi : Jérusalem
Cette peinture murale représente Jérusalem entourée de versets bibliques qui parlent de Jérusalem :
57,8–12 La louange est un pont
Le Pont de Cordes se trouve dans le quartier hiérosolymitain de Kiryat Moshe et est emprunté par le tramway. Conçu par l’architecte espagnol Santiago Calatrava Valls et inauguré lors du 60e anniversaire d’Israël en 2008, sa forme évoque une tente dans le désert ou la harpe de David. Avec son mât de 119 mètres de haut auquel sont accrochés 66 haubans d’acier, c’est la plus haute structure de Jérusalem.
58,2–12 Dieu juge : le Jugement dernier
58,2–10 L'injuste justice des hommes : le martyre de Blandine
Réalisés par les ateliers grenoblois Balmet, les vitraux de cette église lyonnaise dressent un intéressant parallèle entre les fondateurs de l’Église de Lyon (Saint-Irénée, Saint-Polycarpe, Sainte-Blandine et Saint-Pothin) et ceux de l'Église de France (Sainte Geneviève, Sainte-Clotilde). Les saints occupent le collatéral nord, guidés par l’évangéliste Jean, et les saintes le collatéral sud, conduites par la Vierge, gardienne de la cité.
64,2–7 La langue qui médite des malheurs
L'envie est représentée sous les traits d'une vieille femme laide marchant à tâtons dans un berceau de flammes. Cherchant une proie de sa main droite crispée, elle tient fermement une bourse à sa main gauche. De sa bouche jaillit un serpent tordu en arrière, comme pour lui crever les yeux : la médisance se retourne toujours contre son auteur... La queue du serpent entoure les grandes oreilles de la figure. Ouvertes aux vilenies de tout poil, elles rappellent celles des diablotins. L'envie et la médisance sont intimement liées.
Un homme — le menteur ? — tient dans ses bras un immense coquillage dont jaillit un homme nu. A la fois coupable et victime, ce dernier est aux prises avec un serpent qui l'enlace. Le mensonge échappe à son auteur, impossible à contrôler et à rattraper, et frappe ici un innocent pèlerin. Le piédestal sur lequel il se tient porte le nom du peintre.
Pour une fois, le mensonge n'est pas représenté sous les traits d'une femme !
65,10–14 Dieu procure l'abondance
65,8s Dieu apaise le rugissement des mers : la tempête sur le lac de Tibériade
68,2–36 Loué soit le Seigneur qui disperse les ennemis : le triomphe de David
72,1–19 Bénédiction du nouveau roi : la succession de David
45,4ss Le roi, vaillant guerrier : le Verbe de Dieu met les démons en fuite
73,1–28 Le sort des riches orgueilleux et du pauvre tourmenté : la parabole de l'homme riche et du mendiant Lazare
73,1–28 Le sort des méchants : la chute de Babylone
71,1–24 La prière d'un homme vieillissant : le roi David
67,2–8 Bénédiction de Dieu
70,1–6 Appel à l'aide : Daniel dans la fosse aux lions
60,3–14 Dieu rétablit son peuple malgré ses péchés
61,6–9 La louange de David
62,10–13 Dieu traite chaque homme selon ce qu'il a fait : le Jugement dernier Le thème du Jugement dernier, par sa dimension spectaculaire et escatologique, est de nature à frapper l'imagination des artistes... et des fidèles. Il est pour cette raison représenté à de nombreuses reprises sur les tympans des églises.
75,3–11 Représentations du Jugement dernier Le thème du Jugement dernier, par sa dimension spectaculaire et escatologique, est de nature à frapper l'imagination des artistes... et des fidèles. Il est pour cette raison représenté à de nombreuses reprises sur les tympans des églises.
68,33
19,13s Purifie-moi des fautes secrètes Graduel
9,10s.19s Le Seigneur est un refuge opportun au temps de la détresse Graduel
40,10s J'annoncerai la justice Graduel
45,10–16 Écoute, ma fille
Chants du commun de la Sainte Vierge Marie.
17,8.2 Garde-moi Graduel
31,24s Aimez le Seigneur Graduel
Messe des Saints Euspice et Maximin le 17 décembre.
89,21s J'ai trouvé David, mon serviteur
25,17s.1s Tire-moi de ma détresse ! Introït
26,11s.1 Délivre-moi Introït
21,3s Le désir de l'âme Offertoire
72,18.3 Béni soit le Seigneur
46,5s Dieu vient à son secours Graduel
80,2s Aujourd'hui sachez que le Seigneur vient Graduel
Graduel chanté pour la Messe de la Veille de Noël le 24 décembre.
17,3 Tu as éprouvé mon coeur, Seigneur Graduel
74,19–23 Considère l'alliance Introït
83,19.14 Qu'ils sachent que ton nom est Seigneur Graduel
89,13 l’Hermon Géographie Repères historiques et géographiques Dt 3,8
23,1–6 Le Seigneur est mon berger
Howard
est un compositeur, acteur et scénariste britannique né le 26 mai 1958 à Bromley (Royaume-Uni). Il est fait Commandeur de l'Ordre de l'Empire britannique le 31 décembre 2010, pour services rendus à l'éducation musicale.The Lord is my shepherd : therefore can I lack nothing. He shall feed me in a green pasture : and lead me forth beside the waters of comfort. He shall convert my soul : and bring me forth in the paths of righteousness, for his Name's sake. Yea, thou I walk through the valley of the shadow of death, I will fear no evil : for thou art with me; thy rod and thy staff comfort me. Thou shalt prepare a table before me against them that trouble me : thou hast anointed my head with oil, and my cup shall be full. But thy loving-kindness and mercy shall follow me all the days of my life : and I will dwell in the house of the Lord for ever. (Ps 23,1-6)
John
est né à Londres en 1945 et a étudié la musique au Clare College de Cambridge. Ses compositions embrassent la musique chorale, orchestrale et instrumentale. De 1975 à 1979, il a été directeur de la musique au Clare College et, en 1981, il a formé sa propre chorale, les Cambridge Singers. Il partage maintenant son temps entre la composition et la direction et est recherché comme chef invité pour les plus grands chœurs et orchestres du monde.1 The Lord is my shepherd : therefore can I lack nothing. 2 He shall feed me in a green pasture : and lead me forth beside the waters of comfort. 3 He shall convert my soul : and bring me forth in the paths of righteousness, for his Name's sake. 4 Yea, thou I walk through the valley of the shadow of death, I will fear no evil : for thou art with me; thy rod and thy staff comfort me. 5 Thou shalt prepare a table before me against them that trouble me : thou hast anointed my head with oil, and my cup shall be full. 6 But thy loving-kindness and mercy shall follow me all the days of my life : and I will dwell in the house of the Lord for ever. (Ps 23,1-6)
36,10 dans ta lumière nous voyons la lumière Variations de lumière
« Je suis parti de la lumière », c'est ainsi que
, l'inventeur de « l'outre-noir », parle de l'origine des 104 vitraux qu'il conçoit pour l'abbatiale Sainte-Foy de Conques. Il a 12 ans en 1931 lorsqu'il découvre l'édifice. L'art roman le subjugue. Il voit entre l'intérieur et l'extérieur de l’église le dialogue fondamental entre ce qui se dévoile et ce qui se dissimule. A partir de 1979, l'artiste déclare ne plus vouloir peindre le noir mais rechercher la réflexion de la lumière, découvrir ce qui se révèle au-delà de l'obscurité. , qui ne cache pas avoir toujours eu « des problèmes avec Dieu », exige de son maître verrier que la lumière se reflète à l'extérieur comme à l'intérieur de l'édifice. Mais que depuis l'abbatiale rien ne soit visible de ce qui est au dehors. Seule doit être discernable l'architecture sacrée. « Je ne représente pas. Je présente » dira le peintre. (Th. J.)36,2s au milieu de son cœur Mon cœur est contrit Antienne
36,6–11 Bénédictions du Seigneur
73,24 tu tenais ma main droite Take my hand, precious Lord
Chanson originairement composée par Thomas A. Dorsey, le père de la musique gospel, en 1937, le titre fut repris par Elvis Presley vingt ans plus tard. Il s'agit de la chanson préférée de Martin Luther King Jr.
Precious Lord, take my hand / Lead me on, let me stand / I'm tired, I'm weak, I'm lone / Through the storm, through the night / Lead me on to the light / Take my hand precious Lord, lead me home —— In my way grows drear precious Lord linger near / When my light is almost gone / Hear my cry, hear my call / Hold my hand lest I fall / Take my hand precious Lord, lead me home —— When the darkness appears and the night draws near / And the day is past and gone / At the river I stand / Guide my feet, hold my hand / Take my hand precious Lord, lead me home —— Precious Lord, take my hand / Lead me on, let me stand / I'm tired, I'm weak, I'm lone / Through the storm, through the night / Lead me on to the light / Take my hand precious Lord, lead me home.
Ô Seigneur, prends ma main / Montre-moi la voie, aide-moi à tenir bon / Je suis las, je suis faible, je suis seul ; / À travers l'orage, à travers la nuit / Conduis-moi vers la lumière / Prends ma main, ô Seigneur, et ramène-moi chez moi —— Lorsque mon chemin devient monotone, ô Seigneur, demeure auprès de moi / Lorsque ma lumière s'est presque éteinte / Entends mon cri, écoute mon appel / Serre ma main, de peur que je ne tombe / Prends ma main, ô Seigneur, et ramène-moi chez moi —— Lorsque surgit l'obscurité et que la nuit s'approche / Lorsque le jour décline et se finit / Je me tiens au bord du fleuve / Guide mes pas, serre ma main / Prends ma main, ô Seigneur, et ramène-moi chez moi —— Ô Seigneur, prends ma main / Montre-moi la voie, aide-moi à tenir bon / Je suis las, je suis faible, je suis seul ; / À travers l'orage, à travers la nuit / Conduis-moi vers la lumière / Prends ma main, ô Seigneur, et ramène-moi chez moi.
69,13s Ils parlaient contre moi
25,22 Délivre-moi Seigneur
85,2 Tu as béni, Seigneur, ta terre
93,1s Le Seigneur s'est vêtu de gloire
Offertoire chanté pour la Messe de l'aurore de la Nativité du Seigneur.
55,2s Dieu, prête l'oreille à ma prière
51,3 Aie pitié de moi
56,1–10 L'homme poursuivi par les méchants : le personnage d'Oreste dans la mythologie grecque
Après avoir vengé son père Agamemnon assassiné par Clytemnestre, Oreste, devenu le meurtrier de sa mère, est poursuivi par les Érinyes, déesses infernales et persécutrices.
25,10 Tous les chemins du Seigneur sont miséricorde et vérité Universæ viæ Domini, misericordia et veritas : Inscription médiévale
Inscription sur le pourtour : « Universæ viæ Domini, misericordia et veritas » (Ps 25,10), dans le phylactère : « qui vicerit dabo illi edere de ligno vitæ » (Ap 2,7 ). Conservé dans le Trésor de la Collégiale de Notre-Dame de Huy, le médaillon qui pourrait avoir fait partie d’un triptyque.
92,13 Le palmier et le cèdre
80,2 Réveille ta force Seigneur - Alleluia
Alleluia chanté le troisième Dimanche de l'Avent, pour la Messe dite "Gaudete".
81,2s Acclamez Dieu - Alleluia
92,13 Le juste fleurira - Alleluia
23,5s Tu me prépares une table - Alleluia
65,10 Tu visites la terre - Communion
69,2 Sauve-moi, ô Dieu - Alleluia
84,4s Le passereau trouve une maison - Communion
71,8.23.1 ; 31,2 Que ma bouche soit pleine de ta louange - Introït
66,1s.16 Jubilez pour Dieu, toute de la terre - Offertoire
9,5.10 Dieu toi qui sièges - Alleluia
21,4 Tu as mis sur sa tête une couronne - Alleluia
27,6 Je prendrai place au chœur - Communion
31,3 Incline vers moi ton oreille - Communion
21,6 Grande est sa gloire - Communion
35,20ss ; 55,4 Mes ennemis me parlaient de paix - Graduel
89,2 Tu nous as rachetés par ton sang - Introït
Chant d'entrée pour la Messe de la fête du Précieux Sang.
33,1 Les peuples racontent leur sagesse - Introït
66,1s Avec des cris de joie, proclamez-le - Introït
Chant d'entrée du cinquième Dimanche après Pâques.
10,17 Tu entends le désir des pauvres - Offertoire
69,10 Nous ne néglierons pas la maison de notre Dieu
« Car le zèle de ta maison me dévore, et l'outrage de ceux qui t’insultent est retombé sur moi ».
33,2 Célébrez le Seigneur sur la harpe
Psalmen Davids (Psaumes de David) est un recueil de 26 œuvres de musique sacrée, sur des traductions en allemand tirées le plus souvent du livre des Psaumes, pour chœurs et instruments, composé par Heinrich Schütz en 1619.
9,2 Seigneur notre Dieu - Communion
85,13 Le Seigneur accordera le bien - Communion
31,17s Fais luire ta face sur ton serviteur - Communion
43,4 Je viendrai vers l'autel - Communion
11,1–7 Car juste est le Seigneur - Communion
78,29s Ils mangèrent et se rassasièrent - Communion
21,4 Tu le préviendras de bénédictions - Communion
91,4s Il te couvrira de ses ailes - Communion
89,36ss Je l'ai juré une fois - Communion
64,11.2 Le juste se réjouira - Introït
19,5 Par toute la terre - Offertoire
21,4s Tu as mis sur sa tête - Offertoire
123,2 ; 148,1–4 ; 51,19 ; 69,8ss Ignatius Cantata
Cette cantate est une synthèse musicale des exercices spirituels d'Ignace de Loyola. Les mouvements I, II, III et IV parcourent les quatre phases des exercices: émerveillement sur la création, suivre le Christ, s'adonner à la croix, ressusciter avec Lui. Ces quatre idées centrales sont explicitées par des citations des exercices (chantées en Sprechstimme par le bariton), qui sont commentés par des versets bibliques illustratifs, chantés par le chœur. Le premier mouvement est précédé par un prologue (la fameuse prière de Thérèse d'Avila), le dernier est suivi par un épilogue qui donne une dernière synthèse.
Dans le premier mouvement, le retraitant s'apprête pour l'émerveillement en se rendant compte de sa propre humilité et de la grandeur de Dieu. Le psaume 123, notamment par l'image de la servante qui regarde la main de sa maîtresse, décrit cette idée. Voir aussi Ps 51,19.
Au milieu de la première phase des exercices, le retraitant éclate en émerveillement et joie sur la création. La musique monte pas à pas, le chœur monte dans des progressions harmoniques qui ouvrent chaque fois un nouveau monde (un nouvel élément énuméré dans le psaume 148), le bariton parle à travers en énumérant plus ou moins les mêmes éléments comme ils apparaissent dans le texte ignacien.
Retour vers la conscience de sa propre humilité. Le verset du psaume 51 (l'offre de mon cœur broyé) rappelle le psaume 123. La mélodie reprend celle du ps 123 en mouvement miroir rétrograde.
La deuxième phase des exercices ignaciennes se concentre sur la volonté de suivre le Christ. Ce concept est illustré musicalement par un basson seul qui joue une mélodie légère, sautante, quasi improvisée, en croches constantes - décrivant quelqu'un qui se met en route. Sur cette mélodie apparaissent de courts fragments avec des citations bibliques sur ce thème. La première expression de la volonté de suivre le Christ, chantée en forme de chorale, est celle de l'Annonciation, où Marie se confie à la promesse de l'ange Gabriel. Voir aussi Lc 9,57-61 et Jn 6,68.
La deuxième expression de la volonté de suivre le Christ est la promesse - pourtant conditionnelle - de divers gens de suivre le Christ. Celui-ci répond en Espagnol (rappellant les exercices ignaciennes) "Sigue me", "Suis-moi". Voir aussi Lc 1,38 et Jn 6,68.
La troisième expression de la volonté de suivre le Christ, citation de l'évangile selon St Jean, est mise de nouveau (comme la première, Lc 1,38) en forme de chorale. Voir aussi Lc 1,38 et Lc 9,57-61.
Dans la troisième phase des exercices ignaciennes, le retraitant réalise que la croix est inévitable en suivant le Christ. Après la citation de la phrase centrale des exercices par le bariton, le début du prologue revient, maintenant joué par la guitare. De cette manière l'auditeur se souvient de la prière de Thérèse d'Avila: "Je suis à vous". La tête de la mélodie de la prière est maintenant jouée par les instruments à vent et tenue longue en point d'orgue. Les versets du psaume 68 (69) sont superposés sur ce tapis harmonique, mêlant ainsi la notion de l'abandon et la notion de la croix. Le bariton chante régulièrement, comme troisième couche, "Sigue me", "Suis-moi", ce qui rappelle le deuxième mouvement, notamment Lc 9,57-61.
La conviction que le Christ ressuscité est apparu tout d'abord à Marie, sa mère, est typiquement jésuite. L'histoire du jeune Jésus qui est retrouvé après trois jours dans le temple, peut être vu comme une justification biblique de ce passage des exercices ignaciens. Deux motifs musicaux sont repris et superposés: la mélodie continue du basson (voir la deuxième phase dans Lc 1,38, Lc 9,57-61 et Jn 6,68) - maintenant jouée par le hautbois - et le chant de l'humble servante (voir ps 123, 2). L'humble servante est comparée à Marie qui s'écrie en retrouvant Jésus.
La quatrième et dernière phase des exercices conclut par une réconciliation: le retraitant se réconcilie avec Jésus et ses émotions ou conflits intérieurs en déclarant son amour pour le Christ ressuscité, illustré par Jn 21,15-17. La mélodie du prologue, où le chœur chantait la prière de Thérèse d'Avila, notamment "Que mandais hacer de mi?" ("Que veux-tu que je fasse?"), sonne maintenant dans les instruments à vent comme une formule répétée pp. C'est sur cette couche que les confessions de Pierre à Jésus sont chantées, en alternance entre ténors (Jésus) et le reste du chœur.
93,1a YWHW règne, il s'est vêtu de majesté Combattre l'orgueil sans cesse
89,53 AMEN Le sens du mot Amen Pourquoi le mot « Amen » est-il identique quelle que soit la langue parlée ? Est-il vraiment universel ? Peut-on trouver son origine et sa signification dans les Écritures ?
Pour cet écalirage, on bat notre record du texte biblique le plus court Ps89,53 pour s’intéresser particulièrement à un seul mot qui traverse tout le corpus biblique.
Le mot Amen fait partie de ces termes que tout le monde connaît, pas besoin d’être croyant pour cela. Pourtant, en connaît-on vraiment le sens ?
Ce mot hébreu vient des Écritures Saintes. Il est passé à travers les âges, les civilisations et les langues différentes. Donc, premier constat : c’est un très très très vieux mot. Dans la Bible en grec et dans la Bible en latin, on dit aussi « amen ». Le choix de ne pas le traduire souligne son importance. Du coup, retour à l’hébreu : de vieux spécialistes passionnants vont éclairer un peu cette interrogation.
La racine hébraïque du mot amen signifie appui. Quand je réponds « amen » à quelqu’un ou à une hymne liturgique, je dis en fait : « Je trouve mon appui en ce qui vient d’être dit ».Dans l’Écriture, ce mot revient forcément au sujet de Dieu. On dit « amen » en réponse à la révélation de réalités divines pour signifier : « Mon appui principal et fondamental est en Dieu ». Comme le dit le théologien canadien Marc Girard, l’aman hébreu d’où vient le mot amen exprime la solidité, la permanence, la stabilité. Si on prend appui en Dieu, c’est parce qu’on peut croire qu’il est une réalité stable en opposition à ce qui est éphémère, provisoire et périssable.Dans la Bible, la racine aman qui a donné amen ressemble à Mammon : Mammon est la richesse matérielle qui devient l’idole des hommes prêts à tout sacrifier pour y parvenir. Ainsi donc, il y a deux voies : l’homme peut aussi dire « amen » aux richesses matérielles décrites comme éphémères et périssables au contraire de Dieu. Elles s'appellent alors Mammon.
Ce terme Amen qui désignait donc la solidité a évolué dans deux directions :
Voilà, vous y penserez la prochaine fois que vous le direz !
91,4 sous ses ailes Motif puissant d'un soutien céleste
Le cinéma populaire a récemment eu recours à un tel motif.
Cette scène réinterprète à la suite de Tolkien le motif biblique des « ailes de l'aigle », symboles tantôt de la persévérance héroïque des croyants dans l'adversité, tantôt de l'intervention divine qui vient les arracher à la tribulation au moment où ils pourraient commencer à désespérer de leurs peines.
Il se trouvait déjà dans le dernier film de la saga de Jackson qui avait adapté The Lord of the Ring, œuvre magistrale de
:Au dernier instant, Frodon est sauvé du gouffre du Mordor par des aigles qui le portent lui et ses compagnons vers des contrées plus paisibles. Le motif est repris à dessein par Tolkien et rendu à l'écran par Peter Jackson.
46,9 Voyez les œuvres du Seigneur
Extrait du Grand Motet Deus noster refugium de Jean-Philippe Rameau, ce mouvement reprend le Psaume 46 pour inviter à contempler les œuvres du Créateur. Il trouve écho dans ce chapitre du livre de la Sagesse contre l'idôlatrie, en particulier dans ce verset: « Si, charmés de leur beauté, ils ont pris ces créatures pour des dieux qu'ils sachent combien leur maître est plus beau car c'est l'auteur même de la beauté qui les a toutes créées » (Sg 13,3).
8,4ss La petitesse de l'homme dans l'ensemble de la création
Cette Cantate est composée pour le premier dimanche du carême sur le thème de la création. Plusieurs textes sont chantés sur la même mélodie, accentuant ainsi leurs sens identiques:
L'idée de la voûte de Tranströmer sert aussi comme plan d'architecture de l'ensemble: de (1) à (3), l'accompagnement s'enrichit de plus en plus, de (3) à (5) il se dissout de nouveau.
18,7 il a entendu Cycle
18,10 est descendu Art contemporaine Cycle Ps 18
18,11 Il est monté sur un chérubin Art contemporain Cycle Ps 18
18,12 Et il a mis la ténèbre [comme] sa cachette Art contemporain Cycle Ps 18
18,17 il me tire Art contemporain Cycle Ps 18
18,20 il m'affranchit Art contemporain Cycle Ps 18
18,29 fait luire ma ténèbre Art contemporain Cycle Ps 18
18,33 me ceint de puissance Art contemporain Cycle Ps 18
18,36 le bouclier de ton salut Art contemporain Cycle Ps 18
18,50 pour ton nom je psalmodie Art contemporain Cycle Ps 18
93,1 Le Seigneur a régné - Alleluia
89,21 J'ai trouvé David mon serviteur - Alleluia
71,16ss Je rappellerai ta justice, Seigneur - Communion
34,9 Goûtez et voyez - Communion
16,10s Tu me feras connaïtre - Communion
Pièce de communion chantée pour les fêtes de Saint Thomas d'Aquin, Sainte Catherine de Sienne et Sainte Marie-Madeleine.
14,7 Qui donnera le salut - Communion
Qui donnera depuis Sion le salut à Israël ? Quand le Seigneur aura ramené la captivité de son peuple, Jacob tressaillira d’allégresse, et Israël se réjouira.
19,7.2 Au sommet du ciel - Graduel
A summo caelo egressio eius, et occursus eius usque ad summum eius.
Au sommet du ciel il prend son départ, et sa course va jusqu’à son sommet.
9,20.4 Lève-toi Seigneur, que l'homme ne triomphe pas - Graduel
Exsurge Domine, non praevaleat homo : iudicentur gentes in conspectu tuo.
Levez-vous, Seigneur, que l’homme ne s’impose pas : que les nations soient jugées en votre présence.
8,6s De gloire et d'honneur - Graduel
Gloria et honore coronasti eum Domine.
Vous l’avez couronné de gloire et d’honneur, Seigneur.
86,2.6 Sauve ton serviteur
Salvum fac servum tuum, Deus meus, sperantem in te. Auribus percipe Domine orationem meam.
Sauvez votre serviteur, mon Dieu, qui met en vous son espérance. Prêtez l’oreille, Seigneur, à ma prière.
48,9ss Nous avons reçu, Dieu, ta miséricorde - Graduel
Pièce chantée pour la Messe de la Présentation au Temple du Seigneur le 2 février.
Suscepimus, Deus, misericordiam tuam in medio templi tui. Secundum nomen tuum, Domine (Deus), ita et laus tua in fines terrae.
Nous avons reçu, Dieu, votre miséricorde, au milieu de votre temple. Comme votre nom, Seigneur (Dieu), telle aussi votre louange jusqu’aux confins de la terre.
72,1 Voici que vient le Seigneur - Introït
Pièce chantée pour la fête de l'Épiphanie et la Présentation du Seigneur.
Ecce advenit dominator Dominus et regnum in manu eius et potestas et imperium.
Voici que vient le Seigneur souverain, et la royauté est en sa main, et la puissance, et le plein pouvoir.
8,2s De la bouche des enfants - Introït
Pièce chantée pour la Messe de la fête des Saints Innocents le 28 décembre.
Ex ore infantium, Deus, et lactentium perfecisti laudem propter inimicos tuos.
De la bouche des tout-petits et des nourrissons vous vous êtes parfait une louange en raison de vos ennemis.
37,39s.28 ; 78,1 Le salut du peuple - Introït
Salus populi ego sum, dicit Dominus: de quacumque tribulatione clamaverint ad me, exaudiam eos: et ero illorum Dominus in perpetuum.
Le salut de mon peuple, c’est moi, dit le Seigneur: de quelque détresse qu’ils crient vers moi, je les exaucerai: et je serai leur Seigneur à jamais.
18,14ss Le Seigneur tonna du ciel - Offertoire
Intonuit de caelo Dominus, et Altissimus dedit vocem suam : et apparuerunt fontes aquarum.
Le Seigneur a tonné du haut du ciel, le Très-Haut a fait retentir sa voix : et des sources d’eau ont apparu.
32,11 Réjouissez-vous - Offertoire
Laetamini in Domino, et exsultate iusti : et gloriamini omnes recti corde.
Réjouissez-vous dans le Seigneur, et tressaillez d’allégresse, vous, les justes ; et entrez dans sa gloire, vous tous dont le cœur est droit.
22,7ss tous ceux qui me voient se moquent de moi PARALITURGIE Adaptation au chemin de croix Dans la volonté contemporaine de refonder les dévotions populaires dans leurs substrats bibliques, ces v. sont parfois proposés durant le chemin de croix, comme pour revivre l'expérience des narrateurs de la passion de Jésus qui la mirent très vite en lien avec le Ps 22. →Le Ps 22(21) dans le récit de la passion. En voici un exemple spectaculaire tiré du →chemin de croix du peintre Jerzy Duda-Gracz (1941–2004) à Jasna Gora.
Jésus tombe pour la deuxième fois : là il traverse un pèlerinage, il traverse la fête des Rameaux, la fête des palmes, avec ces grandes perches et ces fleurs. Et dans cette fête des Rameaux, le Christ est voilé de noir. Cette fête qui rappelle la joie et l’entrée triomphale du Christ à Jérusalem, est la préfiguration de la Passion. Mais lorsque le Christ passe dans la réalité de nos vies, on peut s’en détourner. Ce n’est pas forcément être dans le mal ou dans le bien ; mais c’est une réalité, on peut s’en détourner. Regardez ce couple : ils n’en peuvent plus de regarder, et c’est compréhensible. Et cet enfant qui prie et qui ferme les yeux, cette femme à la croisée des branches de la croix, qui ferme les yeux aussi. Cette vieille femme qui porte un linge et une sorte de cruche ; une autre femme qui porte un sac avec des branches qui bourgeonnent ; et ceux qui regardent, qui évitent de voir et qui recherchent un passage… Mais il y a quelqu’un qui a peut-être compris ce qui se passe : entre les vieilles femmes, la femme avec son cabas, la jeune fille, il y a le chien. Le chien est bien sûr le signe de la fidélité, il est de ce dialogue miséricordieux, avec son seul regard. Le Christ est tombé mais il combat encore, il est encore en vie, alors que nous, nous l’avons déjà enterré et couvert de violettes. Seul le chien regarde vraiment, seul il semble comprendre que Dieu est vivant ! (J.-M. N.)
22,15s PARALITURGIE Adaptation au chemin de croix Dans la volonté contemporaine de refonder les dévotions populaires dans leurs substrats bibliques, ces v. sont parfois proposés durant le chemin de croix, comme pour revivre l'expérience des narrateurs de la passion de Jésus qui la mirent très vite en lien avec le Ps 22. →Le Ps 22(21) dans le récit de la passion. En voici un exemple spectaculaire tiré du →chemin de croix du peintre Jerzy Duda-Gracz (1941–2004) à Jasna Gora.
Jésus tombe pour la troisième fois : c’est la plus douloureuse, je trouve. Car là, il tombe pour qui ? Il traverse quelle station de l’état de vie des êtres ? C’est la station où les femmes précédentes pleuraient sur leurs enfants. Mais voici cette fois que c’est le Christ qui pleure sur les enfants. Ces enfants massacrés, abandonnés, ces enfants tués lors de la guerre. Certains qui jouent innocemment sur une balançoire, la jeune fillette en haut à gauche, ceux qui jouent avec une autre balançoire constituée d’un simple pneu, ceux qui montent sur l’échelle, ces enfants qui jouent dans un parc, mais qui ont vécu la mort, ces enfants qui n’ont jamais grandi. La Passion du Christ passe aussi en eux, et le Christ passe en eux. Ici, c’est la mort des Innocents, car la Passion achève aussi cette dimension du Salut : Jésus va au cœur de l’enfer ; mais l’enfer n’est pas sous terre, l’enfer, ce sont les hommes qui le produisent. (J.-M. N.)
35,26 Qu'ils soient confondus - Communion
Pièce de communion chantée le Lundi Saint.
143,9s ; 18,48s Délivre-moi de mes ennemis Seigneur
30,2s Je t'exalte Seigneur
Pièce chantée le Mercredi de la Passion.
71,2 Digne est l'Agneau - Introït
Introït chanté pour la fête du Christ-Roi.
27,7.9.1 Écoute Seigneur - Introït
18,48s.2s Mon libérateur - Introït
Pièce chantée pour le Mercredi de la Passion.
84,10s.2s Notre protecteur
27,4 J'ai demandé une chose au Seigneur
Pièce de communion chantée le cinquième Dimanche après la Pentecôte.
89,6 Les cieux célèbrent tes merveilles
Graduel chanté le 9 juin pour la fêtes des saints Prime et Félicien.
55,17–23.2s Je crierai vers Dieu
« Ce chant d’entrée est composé de trois phrases musicales. Du point de vue de la modalité, on est en présence d’un 3ème mode assez bien caractérisé, reconnaissable dès l’intonation qui procède de la tonique Mi à la dominante Do en un beau jaillissement. La mélodie s’élève avec vivacité vers les hauteurs, c’est le sens de la prière qui monte au ciel. Le mot Dómine, Seigneur, est ainsi placé de façon expressive au sommet de cette première phrase. D’où on va redescendre, une fois la prière exaucée. Ce premier membre de phrase s’achève sur une cadence en Sol, donc par emprunt au 8ème mode qui est le mode de la plénitude et de la certitude. « J’ai crié vers le Seigneur et il m’a exaucé ». On peut noter la tristropha de exáudivit, cette note sur le Do qui donne de la complaisance à la certitude de l’âme. La mention des ennemis, dans le deuxième membre, avec retenue sur la cadence de Mi, est traitée de façon beaucoup plus sobre, en contraste avec la richesse mélodique du début. Leur action perverse est désignée comme en passant, par l’âme qui ne s’attarde pas à contempler le mal, la geste divine est autrement intéressante, et le début de la deuxième phrase le montre bien.
Humiliávit : il s’agit bien encore des ennemis, mais surtout de la façon dont le Seigneur s’est occupé d’eux. Il les a humiliés. Ce verbe qui exprime l’abaissement des orgueilleux est au contraire exprimé par une élévation mélodique très suggestive (Ré). La chute des grands est souvent spectaculaire et fait beaucoup de bruit. Elle révèle finalement la vraie grandeur qui est celle de Dieu, une grandeur qui ne connaît pas d’éclipse. Et la suite du chant exprime cela de façon magnifique. « Qui est ante saécula ». Les deux distropha de est et de saécula, très fermes, sur la dominante Do, se répondent. L’être de Dieu est éternel.
Et manet, là aussi, c'est tout plein d'une grande fermeté. Il y a de la noblesse sur ce verbe qui est placé tout entier sur le Do et le Ré, au sommet. La force de Dieu, l’être de Dieu est inaccessible aux menées des hommes qui se débattent et se battent sur la terre. Et pourtant Dieu n’est pas insensible à ses enfants, la troisième phrase va le souligner de façon délicieuse.
Tout s'allège L’atmosphère de cette troisième phrase est très différente de ce qui a précédé et c’est une des grâces du 3ème mode de pouvoir jouer ainsi sur les contrastes. Ici la mélodie s’allège. On reprend un bon mouvement. Le texte est une invitation à la confiance Le psalmiste, et à travers lui l’Église, invite l’âme à jeter son fardeau, son souci, dans le Seigneur, ce Seigneur dont on vient d’affirmer l’immuabilité, la solidité, la permanence dans le bien. Alors la fluidité des neumes traduit bien cette insouciance qui résulte de l’acte d’abandon envers lui. Il faut donner ce jacta cogitátum tuum in Dómino en accelerando, notamment sur le court passage syllabique de cogitátum tuum. Le motif mélodique sur Dómino ressemble à un bel épanouissement floral, très léger, très gracieux, très aérien. Enfin, sur et ipse te enútriet, la mélodie redevient puissante, large et ferme. C’est l’assurance du secours divin, ce secours qui prend les traits pourtant d’une mère qui nourrit son petit. Mais qu’y-a-t-il de plus fort que la tendresse du sein maternel pour le petit d’homme qui se laisse ainsi porter par l’amour ? Le texte et la mélodie s’harmonisent admirablement pour manifester qu’envers l’âme qui s’abandonne, Dieu est à la fois père et mère. Dans ce passage deux mots sont soulignés : le petit te qui prend une importance étonnante. C’est l’objet de la tendresse divine (même développement dans le graduel Jacta). Et le second mot c’est enútriet, c’est à dire le verbe qui exprime l’action divine. Il y a beaucoup de complaisance sur ce mot. Les ennemis évoqués au début de la pièce sont loin, ils sont oubliés. Il n’y a plus que l’âme et son Dieu, et cet échange amoureux de confiance et de tendresse dans lequel le chant se termine. C’est une fois encore plus que du grand art, c’est la prière de l’Église tout simplement ».
Rédigé par un moine de Triors le 01 août 2015 dans Culture
54,6s.3 Voici que Dieu est mon secours
« Le mode utilisé pour ce chant d’entrée est le 5ème mode, laetus, un mode plutôt majeur, un mode clair, qui sonne joyeusement. L’introït commence d’emblée sur la dominante du mode, le Do, donc à l’aigu, ce qui souligne l’impression de cri de foi, même si bien sûr le chant grégorien ne nous invite jamais à crier, il est toujours retenu. Ici les deux accents de Ecce et de Deus sont au levé, c'est-à-dire qu’ils doivent être pris en douceur et légèrement arrondis. L’intonation part de la dominante et arrive à la tonique Fa. On pourrait dire que c’est le monde à l’envers, car c’est plutôt l’inverse normalement. Mais là on mentionne Dieu d’emblée, et Dieu qui se penche sur moi pour m’aider, alors la mélodie suit, exprime ce chemin de miséricorde. Le Si de adjuvat me introduit cette nuance d’amour délicat. Et la cadence de adjuvat me avec ses épisèmes établit ce premier membre de la pièce dans une grande certitude, une grande sérénité. Ce qui ne veut pas dire lenteur. Au contraire ce début est joyeux, fier, léger, donc dans un beau mouvement.
Dominus. Le mot est traité en douceur, avec beaucoup d’amour, là aussi, quoique différemment entre la Dominante et la tonique. Susceptor est aussi très expressif. J’ai déjà souligné que le mot protector est souvent revêtu musicalement de porrectus, ces neumes facilement reconnaissables à leur forme de petit drapeau, descendant puis remontant qui donnent l’impression d’un bercement très expressif. Vous pouvez voir l’introït Factus es (8ème dimanche ordinaire ou 2ème dimanche après la Pentecôte) sur protector meus, ou l’introït Esto mihi (6ème dimanche ordinaire ou dimanche de la Quinquagésime) sur protectorem. Ici c’est susceptor, mon refuge, mais c’est la même idée et le même usage neumatique du porrectus, legato, fluidité et bercement, sécurité merveilleuse. L’âme ainsi assurée se sent libre et sur animae meae, la mélodie évoque, par son caractère aérien, la liberté, de dégagement de ses soucis qui lui vient de sa confiance en Dieu. C’est admirable comme expression, vraiment. La finale de meae doit être un peu élargie, avec une belle cadence en la du mode de ré, mode de la paix.
La deuxième phrase commence sur le même degré avec le même intervalle, ce qui souligne qu’on est dans la même atmosphère. Pourtant il ne s’agit plus du lien entre l’âme et son Dieu, mais de la relation tripartite entre Dieu, l’âme et les ennemis qui sont les ennemis de l’un et de l’autre. La cadence en Si qui conclut cette brève deuxième phrase la laisse comme inachevée. Il y a là quelque chose de plus dur. C’est la première partie, le premier acte de l’opération divine qui soulage l’âme fidèle en détournant les maux, avant de les anéantir, ce qui est le deuxième acte qui fait l’objet du début de la troisième phrase : in veritate tua disperde illos. Dans le langage biblique, le mot latin veritas traduit plutôt l’idée de fidélité, la vérité de Dieu. C’est cette permanence de l’être qui fait que Dieu est véridique, c’est-à-dire fidèle à ses engagements. Dieu, parce qu’Il est, sera ce qu’Il a été. Il y a de la légèreté dans le traitement mélodique de cette expression. In veritate tua, c’est donc plein de confiance. Le verbe disperde qui traduit l’action divine (perdre en dispersant) est lui aussi léger. On voit la facilité de Dieu à réduire ses ennemis. Et la finale est merveilleuse : protector meus Domine : tous les possessifs (ici meus) sont développés mais ce dernier l’est spécialement. Le retour du Sib est celui du climat d’amour de la première phrase. Protector meus Domine : chaque mot est mis en valeur. La mélodie monte du Fa au Do, le contraire des ennemis. Dieu est vainqueur, et ce Dieu est mien, c’est mon Dieu, c’est mon protecteur, mon bouclier invincible. Et le possessif meus entre protector, l’attribut, et Domine, le sujet, fait le lien. Il part du Do sur lequel s’est achevé protector et il achemine la mélodie sur le Fa terminal de Domine en donnant à tout ce membre l’allure d’une belle courbe du Fa du début jusqu’au Fa de la fin, en passant par la dominante Do et l’atteinte du Ré sur meus. Les principaux Ré de la pièce (il y en a 3) sont tous placés sur les possessifs animae meae, inimicis meis, protector meus : l’âme est au cœur du combat spirituel. Le dernier mot est à son Dieu protecteur. En résumé, un beau chant de confiance avec son cri initial et son acte d’amour terminal ».
Rédigé par un moine le 16 juillet 2016 dans Culture, L'Homme Nouveau
31,16 Suppliez le visage de Dieu
Membra Jesu nostri (titre complet Membra Jesu nostri patientis sanctissima humissima totius cordis devotione decantata, en français « les membres de notre Jésus »), BuxWV 75, est un cycle de sept cantates composées par Dietrich Buxtehude, sur des poésies spirituelles du Moyen Âge, déplorant l'une après l'autre les plaies du Christ.
VII. Ad faciem
1. Sonata
2. Concerto (SSATB)) Illustra faciem tuam super servum tuum, salvum me fac in misericordia tua
3. Aria (ATB) Salve, caput cruentatum, totum spinis coronatum, conquassatum, vulneratum, arundine verberatum facie sputis illita
4. Aria (Alto) Dum me mori est necesse, noli mihi tunc deesse, intremenda mortis hora veni, Jesu, absque mora, tuere me et libera me
5. Aria (SSATB chorus) Cum me jubes emigrare, Jesu chare, tunc appare, o amator amplectende, temet ipsum tunc ostende in cruce salutifera.
6. Concerto (SSATB) Amen
90,1s Seigneur notre refuge
17,6.8.1 Je t'ai invoqué Communion et Introït
29,10s Le Seigneur siégera - Communion
Communion chantée pour la fête du Christ-Roi.
96,8s ; 29,9 Apportez des offrandes Communion et Graduel
72,8.11 Il dominera de la mer à la mer - Graduel
Graduel chanté pour la solennité du Christ-Roi.
79,10ss.1 Que vienne devant toi - Introït
Introït chanté le samedi des quatre temps de carême.
89,25 Ma vérité Offertoire
Du psaume 89, le texte de cet offertoire transfère à l'économie nouvelles des promesses faites par Dieu à David, le roi prophète, figure du Christ. Promesse d'assistance doctrinale (veritas), de soutien victorieux dans les conflits avec le monde (exaltabitur cornu eius).
20,1–10 Que le Seigneur t'exauce au jour de la détresse
Selichius est né à Wittenberg en 1581 et a succédé à Michael Praetorius comme maître de chapelle de la cour à Wolfenbüttel en 1621-26. Son œuvre comprend les vingt-quatre concertos sacrés de son Opus Novum, les Concertos allemands et les Psaumes de David.
53,1–7 L'insensé dit dans son cœur
56,1–14 Psaume Hongrois
Ce Psaume Hongrois pour ténor, choeur et orchestre, est composé à partir du Psaume 56, en ajoutant des mentions de chagrin et de lamentation inspirées du poète Mihály Vég (16e s.), en écho à l'histoire du peuple hongrois.
58,1–12 Est-ce bien la justice?
62,3 Le Seigneur est ma force Introït
82,1 Nous avons reçu, Dieu, ta miséricorde Introït
47,2 Tous les peuples acclamez Dieu - Alleluia
« Les mélodies grégoriennes, et les alléluias notamment, nous orientent vers une dimension plus contemplative de la louange. Alors que le texte du verset, emprunté au psaume 47, appelle de façon très expressive tous les peuples à applaudir Dieu et même à bondir de joie en sa présence, la mélodie douce et pénétrante de cet alléluia dirige avec réalisme notre regard vers le Ciel, vers l'accomplissement ultime, plénier et tout paisible de la destinée des nations à louer Dieu. Ici-bas, en effet, nous savons trop que les nations ont d'autres occupations, souvent moins innocentes, que celle de s'unir pour danser de joie devant le Seigneur.
L'atmosphère de la pièce est très calme, très paisible, elle exprime à merveille la louange au Ciel. »
Rédigé par un moine de Triors dans l'Homme nouveau→.
89,25 Ma vérité et ma miséricorde
Ce motet à cinq voix est un chant d'offertoire pour la Messe du commun des saints.
Le texte est issu du Psaume 89. Il réconforte le juste resté fidèle à la vérité, comme l'exhorte Saint Jean dans cette troisième lettre: « Nous devons soutenir de tels hommes, afin d'être coopérateurs de la vérité » (3Jn 1,8).
Véritas mea et misericórdia mea cum ipso : et in nómine meo exaltábitur cornu eius.
Ma vérité et ma miséricorde seront avec lui et par mon nom s’élèvera sa puissance.
51,19 Le sacrifice qui plaît à Dieu
Marc-Antoine Charpentier se joint ici au psalmiste pour offrir par sa composition elle-même le sacrifice de louange qui plaît à Dieu. En effet le but de toute son œuvre musicale était de « … guérir, purifier, sanctifier les oreilles des hommes pour qu'ils puissent entendre le concert sacré des anges ! ».
51,9 Ton vêtement, blanc comme la neige - Antienne
Antienne chantée pour la solennité de l'Immaculée Conception le 8 décembre.
Ton vêtement est blanc comme la neige, et ton visage comme le soleil.
45,17s Tu les établiras princes - Répons
Répons bref chanté à l'office de sexte du commun des Apôtres.
41,12 À ceci j'ai connu - Répons
Répons chanté à l'office de tierce le jour de la solennité de l'Immaculée Conception le 8 décembre.
85,8 Montre-nous Seigneur, ta miséricorde - Répons
Répons chanté au temps de l'Avent.
45,3 La grâce est répandue sur tes lèvres - Alleluia
Alleluia chanté pour le commun de la Bienheureuse Vierge Marie.
La grâce est répandue sur vos lèvres: c’est pourquoi Dieu vous a bénie pour l’éternité.
37,39 De quelque détresse - Alleluia
Alleluia chanté pour la fête de Saint Joseph travailleur, le 1er mai.
De quacumque tribulatione clamaverint ad me, exaudiam eos, et ero protector eorum semper.
De quelque détresse qu’ils crient vers moi, je les exaucerai : et je serai leur protecteur, toujours.
85,8 Montre-nous Seigneur - Alleluia
Alleuia chanté à la Messe du premier Dimanche de l'Avent.
31,25 Ayez courage - Alleluia
90,13 Reviens Seigneur - Antienne
Antienne chantée aux laudes le dernier jeudi de l'Avent.
67,3 Afin que sur terre - Antienne
Antienne chantée le dernier mardi de l'Avent.
6,11 Qu'ils soient confondus - Communion
Pièce de communion chantée pendant le Carême.
19,6s Il exulte tel un époux - Communion
Antienne de communion chantée le quatrième Dimanche de l'Avent.
12,8 Toi Seigneur - Communion
Antienne de communion chantée au temps du Carême.
70,6.3 Toi mon secours - Graduel
Graduel chanté durant le temps de Carême.
57,2.4 Prends pitié de moi - Graduel
Graduel chanté le Mercredi des cendres.
17,15.1 Moi, dans la justice - Introït
Introït chanté durant le temps de Carême.
85,2 Réjouissez-vous dans le Seigneur - Introït
Introït chanté le troisième Dimanche de l'Avent.
38,22s.2 Ne m'abandonne pas Seigneur - Introït
Introït chanté pendant le temps du Carême.
45,15ss Des vierges sont amenées au roi - Offertoire
Offertoire chanté pour l'Assomption et la Nativité de la Bienheureuse Vierge Marie, ainsi que pour les saintes vierges Lucie, Agathe, Agnès et Cécile.
78,45.48 ; 105,30 Les plaies d'Égypte: les grenouilles et la mort des troupeaux
Israël en Égypte est un oratorio en trois parties composé par Händel. Il décrit la sortie d'Égypte du peuple d'Israël, les plaies d'Égypte (les grenouilles, la peste, la grêle, les coups de sabre sur les bébés, etc.), la traversée de la Mer rouge (avec l'engloutissement des armées du Pharaon) et les hymnes de reconnaissance d'Israël envers son Dieu.
Cet extrait évoque la deuxième et la cinquième plaie: les grenouilles et la mort des troupeaux.
Their land brought forth frogs, yea, even in their king's chambers.
He gave their cattle over to the pestilence; blotches and blains broke forth on man and beast.
Leur pays produisit des grenouilles, oui, même dans les chambres de leur roi.
Il a livré leur bétail à la peste; des taches et des plaies éclataient sur l'homme et la bête.
78,49ss ; 105,36 ; 135,8 ; 136,10 La dixième plaie d'Égypte: la mort des premiers-nés.
Israël en Égypte est un oratorio en trois parties composé par Händel. Il décrit la sortie d'Égypte du peuple d'Israël, les plaies d'Égypte (les grenouilles, la peste, la grêle, les coups de sabre sur les bébés, etc.), la traversée de la Mer rouge (avec l'engloutissement des armées du Pharaon) et les hymnes de reconnaissance d'Israël envers son Dieu.
Cet extrait évoque la dixième plaie: la mort des premiers-nés.
He smote all the first-born of Egypt, the chief of all their strength.
Il frappa tous les premiers-nés d'Égypte, le chef de toutes leurs forces.
19,6 Le soleil, tel un époux s'est élancé - Antienne
15,1s Seigneur qui habitera - Communion
33,1 Réjouissez-vous, vous les justes - Communion
Communion chantée pour le commun des apôtres.
27,12 Ne me livrez pas, Seigneur - Communion
10,14.1s C’est à vous, Seigneur - Graduel
25,15s.1s Mes yeux sont constamment vers le Seigneur
« L’introït Oculi du troisième dimanche de Carême est emprunté au septième mode, mais il s’agit ici d’un septième mode recueilli qui n’a pas le flamboiement des grandes pièces. Même quand il s’élève mélodiquement, il garde une certaine réserve et douceur.
L’enseignement spirituel de cet introït est très riche pourtant : il nous parle de la prière assidue qui est élévation de l’âme vers Dieu (« mes yeux sont toujours tournés vers le Seigneur ») ; il nous décrit la confiance que suscite la considération de l’œuvre de Salut accomplie par le Christ (« car c’est Lui qui dégagera mes pieds du filet ») ; il évoque l’attitude fondamentale du chrétien vis-à-vis de ce Salut : l’humilité et la petitesse qui oblige Dieu à déployer sa puissance d’amour (« Regardez-moi, Seigneur, prenez pitié de moi, car je suis pauvre et isolé »)». (L'Homme Nouveau→)
70,2ss Dieu viens à mon aide - Introït et Offertoire
Offertoire chanté durant le temps de carême.
59,2 Délivre-moi - Alleluia et Offertoire
Offertoire chanté durant le temps de carême.
18,19s.2s Le Seigneur s'est fait mon appui - Introït et Offertoire
Offertoire chanté pour la fête de saint Jean Bosco le 31 janvier.
90,14 Nous avons été comblés au matin de ta miséricorde Offertoire
Offertoire chanté pour la fête de saint Matthias, le 14 mai.
65,2 À toi la louange - Alleluia
« Le texte de notre alléluia justifie et le mot même alléluia et la composition mélodique qui est liée à ce mot dans l’art grégorien. En effet, le genre musical de l’alléluia, dans le répertoire grégorien a ceci de particulier qu’il met en valeur, dans ce qu’on appelle à juste titre un jubilus, la dernière syllabe du mot qui signifie Dieu (Ya, forme diminutive de Yahvé). Le sens du mot est déjà une invitation à la louange.
L’invitation à la louange contenue dans ce beau texte exigeait une mélodie qui soit à la hauteur : il ne convenait pas que l’honneur du à Dieu, proclamé bien haut par le psalmiste, soit rabaissé par une mélodie médiocre, sans expression. Cet alléluia splendide et sobre délivre un message essentiel, celui de la louange dans l’Église. C’est tout le message du chant grégorien et il résonne ici avec éloquence, légèreté, fermeté et intériorité ». Cité dans l'Homme Nouveau→
62,12 Dieu parle d'une façon et d'une autre
Ce psaume 62 mis en musique par Heinrich Schütz sur une adaptation de Cornelius Becker reprend cette phrase du psalmiste « Dieu a dit une parole, j'ai entendu ces deux choses » (Ps 62,12) qui fait écho au verset du livre de Job : « Dieu parle d'une façon et d'une autre » (Jb 33,14).
89,4 J'ai fait une alliance - Alleluia
Dans l'ancienne Alliance, les promesses de Dieu envers le peuple élu envers ses chefs, annonçaient de loin les réalisations des temps évangéliques. Le psaume messianique 89 (88) qui chante tout cela a été appliqué à la transmission de la foi sous la loi nouvelle. La mélodie est l'un des timbres classiques, qui prête l'écrin de ses deux phrases symétriques au parallélisme biblique.
Disposui testamentum electis meis, iuravi David servo meo.
Avec mon élu, j'ai fait une alliance, je l'ai juré à David, mon serviteur.
81,8 V— IUXTA HEBR.
Tu as crié dans la détresse et je t’ai délivré | je t’ai répondu caché dans le tonnerre | je t’ai éprouvé aux eaux de la contradiction. | TOUJOURS.
81,6 V— IUXTA HEBR.
81,4 V— IUXTA HEBR.
Sonnez du cor à la néoménie | au milieu du mois, au jour de notre solennité
81,3 V— IUXTA HEBR.
81,2 V— IUXTA HEBR.
81,13 V— IUXTA HEBR.
et je l’ai abandonné à la perversité de son cœur | et ils marcheront dans leurs propres conseils.
81,16 V— IUXTA HEBR.
81,15 V— IUXTA HEBR.
81,14 V— IUXTA HEBR.
84,3 V—IUXTA HEBR.
Mon âme soupire et languit après les parvis du Seigneur | mon cœur et ma chair loueront le Dieu vivant.
84,6 V—IUXTA HEBR.
Heureux l'homme dont la force est en toi | [tes] sentiers sont dans son coeur.
84,7 V—IUXTA HEBR.
84,8 V—IUXTA HEBR.
31,16 en tes mains FRANÇAIS BIBLIQUE
« La main de Dieu » peut aussi symboliser simplement la faculté divine de créer. Plus généralement héritées de la Bible par la langue courante, diverses locutions recourent à un élément du corps humain pour symboliser la manifestation de la puissance et de la volonté de Dieu, sa faculté de réagir et d'intervenir favorablement ou défavorablement dans les affaires humaines : on parle du bras, de la main, ou du doigt de Dieu.
75,9 dans la main du Seigneur FRANÇAIS BIBLIQUE
« La main de Dieu » peut aussi symboliser simplement la faculté divine de créer. Plus généralement héritées de la Bible par la langue courante, diverses locutions recourent à un élément du corps humain pour symboliser la manifestation de la puissance et de la volonté de Dieu, sa faculté de réagir et d'intervenir favorablement ou défavorablement dans les affaires humaines : on parle du bras, de la main, ou du doigt de Dieu.
78,2 V—IUXTA HEBR.
78,3 V—IUXTA HEBR.
78,4 V—IUXTA HEBR.
78,6 V—IUXTA HEBR.
78,11 V—IUXTA HEBR.
78,14 V—IUXTA HEBR.
78,15 V—IUXTA HEBR.
78,16 V—IUXTA HEBR.
Du rocher il fit sortir des ruisseaux | et jaillir les eaux comme des fleuves
78,18 V—IUXTA HEBR.
78,20 V—IUXTA HEBR.
23,5 V — IUXTA HEBR.
23,5 une table Une lecture christique de la table dressée
Essentiellement peintre, Mangu travaille aussi la sculpture, l’estampe, l’installation et l'architecture. Né de parents italiens et espagnols et élevé en France, Roberto Mangú se définit comme européen. Plusieurs dizaines d'expositions personnelles de sa peinture dans des galeries en France, en Espagne, en Belgique et en Italie en ont fait un peintre important de notre époque, caractérisé parfois comme néo-expressionniste, nouveau fauve ou même : trans-avant-gardiste ! Renouvelant sans cesse d'ancestrales traditions picturales, sa thématique est souvent religieuse.
23,1 V — IUXTA HEBR.
23,2 V — IUXTA HEBR.
23,3 V — IUXTA HEBR.
il restaure mon âme | Il m'a conduit par des sentiers de justice | à cause de son nom.
23,4 V — IUXTA HEBR.
Mais si je marche dans une vallée de la mort | je ne craindrai pas le mal car tu es avec moi : |ta houlette et ton bâton me consoleront.
23,6 V — IUXTA HEBR.
Mais encore le bonheur et la miséricorde m’accompagneront |tous les jours de ma vie |et j’habiterai dans la maison du Seigneur |en la longueur des jours.
85,12 V—IUXTA HEBR.
La vérité a germé de la terre et la justice a regardé du haut du ciel
85,14 V—IUXTA HEBR.
La justice marchera devant lui et posera ses pas dans le chemin
80,7 V—IUXTA HEBR.
Tu as fait de nous un objet de lutte pour nos voisins | et nos ennemis se sont moqués de nous.
87,3 PS—IUXTA HEBR.
87,6 PS—IUXTA HEBR.
87,7 PS—IUXTA HEBR.
80,13 V—IUXTA HEBR.
80,14 V—IUXTA HEBR.
80,15 V—IUXTA HEBR.
80,16 V—IUXTA HEBR.
80,18 V—IUXTA HEBR.
84,1–13 Jérusalem céleste
And did those feet in ancient times — Walk upon England’s mountains green? — And was the Holy Lamb of God On England’s pleasant pastures seen? — And did the Countenance Divine —Shine forth upon our clouded hills? — And was Jerusalem builded here — Among those dark Satanic Mills? — Bring me my Bow of Burning Gold; — Bring me my Arrows of Desire; — Bring me my Spear; O clouds Unfold! Bring me my Chariot of Fire! — I will not cease from Mental Fight, — Nor shall my Sword sleep in my hand, — Till we have built Jerusalem — In England’s green and pleasant Land.
Dans les temps anciens, ces pieds ont-ils — Foulé les vertes montagnes d'Angleterre ? — Et le saint Agneau de Dieu a-t-il été — Vu sur les prairies agréables de l'Angleterre ? — Et la Face Divine a-t-elle — Brillé sur nos collines couvertes de nuages ? — Et Jérusalem a-t-elle été bâtie iciParmi ces usines sombres et sataniques ? — Apportez-moi mon arc d'or flamboyant ; — Apportez-moi mes flèches de désir ; — Apportez-moi ma lance ; — O nuées déployées !Apportez-moi mon chariot de feu ! — Je ne cesserai jamais mon combat intérieur, — Et jamais mon épée ne dormira dans ma main, — Jusqu'à ce que que nous ayons bâti Jérusalem — Sur les terres vertes et plaisantes d'Angleterre.
Le compositeur adapte en hymne le poème de
, « And did those feet in ancient time » (extrait de la préface à Milton: A Poem in Two Books, 1804-1811), plus connu sous le simple nom de « Jerusalem ». Il en fit ainsi l'un des plus fameux airs patriotiques anglais, au même titre que Rule Britannia et Land of Hope and Glory. Ce sont les trois chants qui sont entonnés par l'assistance lors de la « Last Night of the Proms » et qui, en certaines occasions, comblent l'absence d'un hymne national officiel.« Cette prose est due au célèbre hymnographe parisien Adam de Saint-Victor (c. 1112 † c. 1192), préchantre de la cathédrale de Paris, principal auteur du répertoire parisien des séquences dont il a renouvelé le genre en leur conférant une ampleur musicale et une richesse spirituelle par les images théologiques abordées. Ce répertoire victorin s’est très vite diffusé dans toute l’Europe Occidentale, on en chantait les séquences dès le XIIIème siècle à Palerme, Zagreb, Aix-la-Chapelle ou Dublin. Les livres parisiens modernes contiennent deux chants pour cette prose, celui d’Adam de Saint-Victor, et celui recomposé au XVIIIème siècle par l’Abbé d’Haudimont, maître de chapelle de la cathédrale de Châlons-sur-Saône puis de Notre-Dame de Paris et de Saint-Germain L’Auxerrois (avant 1790). La mélodie d’Haudimont, quoique récente, est, avouons-le d’une grande réussite musicale et fut immédiatement très populaire à Paris ». (Schola Sainte Cécile→)
Filles de Jérusalem et de Sion, saints habitants des demeures célestes, chantez de concert un cantique de joie. Alléluia.
C’est en ce jour que Jésus-Christ, le modèle de toute justice, prend pour épouse l’Eglise notre mère, qu’il a tirée de l’abîme de misère où elle était plongée.
C’est du côté ouvert de l’Homme-Dieu attaché sur la Croix qu’elle est sortie ; le sang précieux, & l’eau mystérieuse qui coulèrent de cette source sacrée, lui furent donnés alors pour la laver et la sanctifier.
La formation de l’Eglise par Jésus-Christ avait été figurée par celle d’Eve, cette mère commune du genre humain, qui fut tirée d’une des côtes d’Adam notre premier père.
Ève a donné la mort à ses enfants ; mais l’Eglise est une mère qui donne la vie aux siens : elle est pour eux un port de salut : elle est leur asile, et leur solide appui.
Elle est cette barque sur laquelle nous voguons sûrement à travers les écueils du siècle ; cette bergerie où nous sommes à l’abri des attaques de l’ennemi : elle est la colonne de vérité, sur laquelle nous sommes appuyés comme sur un fondement inébranlable.
Quelle doit être notre joie et notre reconnaissance dans cette auguste solennité, où nous célébrons l’union de Jésus-Christ avec son Eglise, union sainte par laquelle s’opère le grand ouvrage de notre salut !
Par cette union mystérieuse les justes entrent en possession des récompenses éternelles, les pécheurs obtiennent le pardon de leurs crimes, les Anges même sentent augmenter leur joie.
Ces merveilles sont l’effet de la sagesse suprême de Dieu, qui par le seul motif de sa miséricorde, en a prévu l’accomplissement de toute éternité.
Que Jésus-Christ notre Sauveur, dont nous devenons les enfants par l’union qu’il contracte avec l’Eglise notre mère, nous fasse goûter les vraies délices, et participer dans le ciel aux joies éternelles des Elus. Amen.
78,22 V—IUXTA HEBR.
78,24 V—IUXTA HEBR.
78,25 V—IUXTA HEBR.
78,33 V—IUXTA HEBR.
44,7 V—IUXTA HEBR.
44,9 V—IUXTA HEBR.
44,12 V—IUXTA HEBR.
44,13 V—IUXTA HEBR.
44,14 V—IUXTA HEBR.
44,15 V—IUXTA HEBR.
44,16 V—IUXTA HEBR.
44,17 V—IUXTA HEBR.
44,6 ventilerons (V) Métaphore agricole ? Il peut s'agir de l'action de soulever en l'air des branches ou des épis, pour en extraire grains et fruits quand elles tombent. Le verbe « ventiler » s'utilise encore en contexte de conflit en français :
Benard Blier évoque dans le langage truculent de Michel Audiard la dispersion, la pulvérisation, la ventilation des ennemis.
44,23 V—IUXTA HEBR.
44,22 V—IUXTA HEBR.
44,24 V—IUXTA HEBR.
44,25 V—IUXTA HEBR.
44,26 V—IUXTA HEBR.
78,43 V—IUXTA HEBR.
78,44 V—IUXTA HEBR.
78,45 V—IUXTA HEBR.
78,46 V—IUXTA HEBR.
78,47 V—IUXTA HEBR.
78,49 V—IUXTA HEBR.
78,50 V—IUXTA HEBR.
78,51 V—IUXTA HEBR.
78,54 V—IUXTA HEBR.
78,55 V—IUXTA HEBR.
78,58 V—IUXTA HEBR.
78,59 V—IUXTA HEBR.
78,60 V—IUXTA HEBR.
78,61 V—IUXTA HEBR.
78,62 V—IUXTA HEBR.
78,63 V—IUXTA HEBR.
78,70 V—IUXTA HEBR.
78,71 V—IUXTA HEBR.
78,72 V—IUXTA HEBR.
78,69 licornes (V) Zoologie antique Le sanctuaire dans la terre de Juda était unique comme la corne d'une licorne est unique sur le front de cet animal.
La corne, en général, est symbole de gloire, de force, de l'empire et d'élévation, qui convienent bien au Temple de Jérusalem. V—IUXTA HEBR. évoque le rhinocéros.
78,45 cynomie (V) Zoologie Nous conservons un calque du latin, qui rend ces mouches plus angoissantes !
78,46 rouille (V) Botanique : une maladie des plantes Les rouilles sont un ensemble de maladies cryptogamiques des plantes vasculaires dont les agents pathogènes responsables sont des champignons basidiomycètes (Fungi) de l'ordre des Pucciniales et plus largement appartenant à la sous-division des Pucciniomycotina.
6,10 V—IUXTA HEBR.
6,11 V—IUXTA HEBR.
9,1 V—IUXTA HEBR.
9,2 V—IUXTA HEBR.
9,4 V—IUXTA HEBR.
9,5 V—IUXTA HEBR.
9,6 V—IUXTA HEBR.
9,7 V—IUXTA HEBR.
9,9 V—IUXTA HEBR.
9,10 V—IUXTA HEBR.
9,8 V—IUXTA HEBR.
9,14 V—IUXTA HEBR.
9,12 V—IUXTA HEBR.
9,15 V—IUXTA HEBR.
9,16 V—IUXTA HEBR.
9,17 V—IUXTA HEBR.
9,18 V—IUXTA HEBR.
9,19 V—IUXTA HEBR.
9,21 V—IUXTA HEBR.
9,20 V—IUXTA HEBR.
10,2 V—IUXTA HEBR.
10,1 V—IUXTA HEBR.
10,3 V—IUXTA HEBR.
10,4 V—IUXTA HEBR.
10,5 V—IUXTA HEBR.
10,6 V—IUXTA HEBR.
10,7 V—IUXTA HEBR.
10,8 V—IUXTA HEBR.
10,9 V—IUXTA HEBR.
88,3 PS—IUXTA HEBR.
que ma prière pénètre en ta présence | prête l’oreille à mon chant de louange
10,10 V—IUXTA HEBR.
10,11 V—IUXTA HEBR.
86,15 V—IUXTA HEBR.
10,17 V—IUXTA HEBR.
10,18 V—IUXTA HEBR.
10,14 V—IUXTA HEBR.
10,16 V—IUXTA HEBR.
31,1 V—IUXTA HEBR.
31,2 V—IUXTA HEBR.
31,4 V—IUXTA HEBR.
31,5 V—IUXTA HEBR.
31,8 V—IUXTA HEBR.
31,11 V—IUXTA HEBR.
31,10 V—IUXTA HEBR.
31,7 V—IUXTA HEBR.
31,12 V—IUXTA HEBR.
31,13 V—IUXTA HEBR.
31,14 V—IUXTA HEBR.
31,17 V—IUXTA HEBR.
31,18 V—IUXTA HEBR.
31,19 V—IUXTA HEBR.
31,20 V—IUXTA HEBR.
31,21 V—IUXTA HEBR.
31,23 V—IUXTA HEBR.
31,25 V—IUXTA HEBR.
31,24 V—IUXTA HEBR.
38,3 V—IUXTA HEBR.
38,4 V—IUXTA HEBR.
38,6 V—IUXTA HEBR.
38,8 V—IUXTA HEBR.
38,9 V—IUXTA HEBR.
38,12 V—IUXTA HEBR.
68,6 V—IUXTA HEBR.
68,9 V—IUXTA HEBR.
68,10 V—IUXTA HEBR.
68,11 V—IUXTA HEBR.
68,16 V—IUXTA HEBR.
68,17 V—IUXTA HEBR.
68,18 V—IUXTA HEBR.
68,20 V—IUXTA HEBR.
68,21 V—IUXTA HEBR.
68,19 V—IUXTA HEBR.
79,8 LITURGIE JUIVE (rite séphardi) Ce verset est cité dans la prière de Abinou Malquenou qui fait partie des rogations des prières du matin et de l'après-midi des jours ouvrés.
Cette prière est chantée durant les dix jours de repentance entre Rosh Hashana et Yom Kippour, incluse dans les prières du matin (Shaharit) et du soir (Minha). Depuis le 17e s., la plupart des communautés ashkénazes orientales le récitent aussi tous les jours de jeûne.
La prière est interprétée à plusieurs voix, selon des arrangements différents selon les traditions, certaines alternant intonation des versets par un soliste et répons par la communauté, par exemple. Dans le rite ashkénaze oriental, l'Arche est ouverte pendant Avinu Malkenu, et refermée à la fin ; dans le rite ashkénaze occidental, l'Arche n'est ouverte que le matin du jour de Roch Hachana et durant toutes les prières de Yom Kippour, mais pas l'après-midi de Roch Hachana ni le reste des dix jours de repentance. Dans la tradition séfarade, l'Arche n'est pas ouverte.
Sur la base de l'anaphore isaïenne, la supplication semble s'être développée librement, jusqu'à des séquences assez longues. Aujourd'hui, la tradition séfarade présente 29 versets ; dans la tradition mizrahi, la version syrienne présente 31 ou 32 versets, la yéménite 27, la salonicienne 53, la tradition ashkénaze a 38 versets, la version polonaise 44, tous avec des séquences différentes. Le rite hashkenaze propose des variantes selon les jours :
(L'Arche est ouverte) Notre Père, notre Roi, nous avons péché devant Toi. Notre Père, notre Roi, nous n'avons de Roi que Toi. Notre Père, notre Roi, agissez [avec bienveillance] avec nous pour l'amour de votre nom. Notre Père, notre Roi, renouvelle pour nous (les jours de jeûne: bénis-nous) une bonne année. Notre Père, notre Roi, une bonne année. Notre Père, notre Roi, retire de nous tous les décrets sévères. Notre Père, notre Roi, annulez les intentions de nos ennemis. Notre Père, notre Roi, déjouent les plans de nos ennemis. Notre Père, notre Roi, éliminez tout oppresseur et adversaire de nous. Notre Père, notre Roi, fermez la bouche de nos adversaires et accusateurs. Notre Père, notre Roi, enlevez la peste, l'épée, la famine, la captivité et la destruction des membres de votre alliance. Notre Père, notre Roi, retiens la plaie de ton héritage. Notre Père, notre Roi, pardonne et pardonne toutes nos iniquités. Notre Père, notre Roi, efface et ôte nos transgressions de devant Tes yeux. Notre Père, notre Roi, effacez dans Votre abondante miséricorde tous les annales de nos dettes [péchés]. Notre Père, notre Roi, ramène-nous à Toi dans une repentance sans réserve. Notre Père, notre Roi, envoie une guérison complète aux malades de ton peuple. Notre Père, notre Roi, déchire le mal [aspect] du verdict décrété contre nous. Notre Père, notre Roi, souvenez-vous de nous avec un souvenir favorable devant vous. —— (Entre Roch Hachana et Yom Kippour) Notre Père, notre Roi, inscrivez-nous dans le livre de la bonne vie. Notre Père, notre Roi, inscrivez-nous dans le livre de la rédemption et de la délivrance. Notre Père, notre Roi, inscrivez-nous dans le livre des moyens de subsistance et de la subsistance. Notre Père, notre Roi, inscrivez-nous dans le livre des mérites. Notre Père, notre Roi, inscrivez-nous dans le livre du pardon et du pardon. —— Un jour de jeûne public (sauf le jeûne de Guedalia ): Notre Père, notre Roi, souvenez-vous de nous pour une bonne vie. Notre Père, notre Roi, souvenez-vous de nous pour la rédemption et la délivrance. Notre Père, notre Roi, souvenez-vous de nous pour gagner sa vie et sa subsistance. Notre Père, notre Roi, souvenez-vous de nous pour nos mérites. Notre Père, notre Roi, souvenez-vous de nous pour le pardon et le pardon. Notre Père, notre Roi, faites bientôt fleurir la délivrance pour nous. Notre Père, notre Roi, exaltez la gloire d' Israël, votre peuple. Notre Père, notre Roi, exaltez la gloire de votre oint. Notre Père, notre Roi, remplissez nos mains de vos bénédictions. Notre Père, notre Roi, remplissez nos entrepôts d'abondance. Notre Père, notre Roi, écoutez notre voix, ayez pitié et compassion de nous. Notre Père, notre Roi, accepte notre prière avec miséricorde et faveur. Notre Père, notre Roi, ouvre les portes du ciel à notre prière. Notre Père, notre Roi, rappelons-nous que nous ne sommes que poussière. Notre Père, notre Roi, nous vous en supplions, ne nous détournez pas de vous les mains vides. Notre Père, notre Roi, que cette heure soit une heure de miséricorde et un temps de faveur devant vous. Notre Père, notre Roi, ayez pitié de nous, de nos nourrissons et de nos enfants. Notre Père, notre Roi, fais-le pour ceux qui ont été tués à cause de ton saint nom. Notre Père, notre Roi, faites-le pour le bien de ceux qui ont été massacrés pour Votre Unicité. Notre Père, notre Roi, fais-le pour ceux qui ont traversé le feu et l'eau pour la sanctification de ton nom. Notre Père, notre Roi, venger le sang répandu de vos serviteurs. Notre Père, notre Roi, faites-le pour vous, sinon pour le nôtre. Notre Père, notre Roi, fais-le pour toi et délivre-nous. Notre Père, notre Roi, fais-le pour tes miséricordes abondantes. Notre Père, notre Roi, faites-le pour l'amour de votre grand, puissant et impressionnant Nom qui est proclamé sur nous. Notre Père, notre Roi, ayez pitié de nous et répondez-nous, car nous n'avons pas d'actes méritoires; agissez avec charité et gentillesse avec nous et délivrez-nous. (L'Arche est fermée) (source→)
On peut citer auss,en 2015, le chanteur populaire juif orthodoxe Gad Gaston Elbaz, qui arrange sa version suivant ce texte :
79,9 Ps—IUXTA HEBR.
85,4 V—IUXTA HEBR.
51,14 V—IUXTA HEBR.
95,3 V-IUXTA HEBR.
95,4 V-IUXTA HEBR.
95,7 V-IUXTA HEBR.
95,8 V-IUXTA HEBR.
Aujourd'hui, si vous entendez sa voix | n’endurcissez pas votre cœur
95,9 V-IUXTA HEBR.
95,10 V-IUXTA HEBR.
Quarante ans cette génération m'a dégoûté | et j'ai dit : — c'est un peuple égaré de cœur
95,11 V-IUXTA HEBR.
et ils ne connaissent pas mes voies | et j'ai juré dans ma colère qu'ils n'entreraient pas dans mon repos.
68,22 V—IUXTA HEBR.
68,23 V—IUXTA HEBR.
68,24 V—IUXTA HEBR.
68,26 V—IUXTA HEBR.
Ils ont vu tes marches, ô Dieu | les marches de mon Dieu, de mon roi, dans le sanctuaire.
68,28 V—IUXTA HEBR.
Voici Benjamin, le plus petit, qui les conduit | les princes de Juda dans leur pourpre | les princes de Zabulon, les princes de Nephthali.
68,29 V—IUXTA HEBR.
Ton Dieu a commandé selon ta force | affermis, Dieu, ce que tu as fait pour nous.
68,30 V—IUXTA HEBR.
De ton temple, qui est dans Jérusalem | les rois t’offriront des présents.
68,31 V—IUXTA HEBR.
Menace la bête des roseaux, la bande des forts parmi les veaux des peuples | de ceux qui regimbent contre les roues d'argent | Disperse les peuples qui veulent la guerre
68,32 V—IUXTA HEBR.
Qu'ils offrent [leurs présents] promptement d'Égypte| que l’Éthiopie s’empresse de tendre les mains vers Dieu.
68,34 V—IUXTA HEBR.
lui qui est monté sur le ciel du ciel depuis le commencement | voici qu'il donnera à sa voix une voix de puissance
68,35 V—IUXTA HEBR.
Rendez gloire à Dieu | Sa magnificence est sur Israël | et sa puissance est dans les cieux.
19,1 V—IUXTA HEBR.
19,2 V—IUXTA HEBR.
Les cieux racontent la gloire de Dieu | et le firmament annonce l’œuvre de sa main.
19,5 V—IUXTA HEBR.
19,6 V—IUXTA HEBR.
En eux il a dressé une tente pour le soleil | et lui, tel un époux sortant de sa chambre nuptiale| s’est élancé joyeux, comme un héros, pour courir sa carrière
19,4 V—IUXTA HEBR.
86,7 V—IUXTA HEBR.
86,14 V—IUXTA HEBR.
68,5 V—IUXTA HEBR.
→Ps. iuxta Hebr. élimine la surcharge introduite par G.
68,7 V—IUXTA HEBR.
68,12 V—IUXTA HEBR.
68,13 V—IUXTA HEBR.
Jérôme semble lire la forme hébraïque nᵉwaṯ (état construit de nuh, « pâturage », qui n'a guère de sens ici), comme une variation textuelle de nʾwh (נאוה, « belle femme »), peut-être dans la logique de Ps 68,11b ?
68,14 V—IUXTA HEBR.
Il est intéressant que Jérôme, tout en corrigeant la traduction de V (il supprime le calque cleros et le remplace par terminos), néanmoins la commente de façon allégorique dans → Tract. Ps.
68,15 V—IUXTA HEBR.
93,3 V—IUXTA HEBR.
91,1 V—IUXTA HEBR.
91,5 V—IUXTA HEBR.
91,6 V—IUXTA HEBR.
de la flèche qui vole le jour | de la peste qui marche dans les ténèbres | de la morsure du furieux à midi.
91,7 V—IUXTA HEBR.
91,8 V—IUXTA HEBR.
91,10 V—IUXTA HEBR.
91,11 V—IUXTA HEBR.
91,12 V—IUXTA HEBR.
91,15 V—IUXTA HEBR.
91,16 V—IUXTA HEBR.
92,8 V—IUXTA HEBR.
92,13 V—IUXTA HEBR.
92,14 V—IUXTA HEBR.
92,15 V—IUXTA HEBR.
92,16 V—IUXTA HEBR.
93,5 V—IUXTA HEBR. Tes témoignages sont infiniment fidèles | la sainteté convient à ta maison, Seigneur, dans la longue suite des jours.
94,2 V—IUXTA HEBR.
94,4 V—IUXTA HEBR.
94,6 V—IUXTA HEBR.
94,9 V—IUXTA HEBR.
Celui qui a planté l'oreille n'entendra-t-il pas ? | ou celui qui a façonné l'oeil ne verra-t-il pas ?
94,9b ne regarde-t-il pas attentivement (V) Considero Ici dans la V iuxta G , le verbe considero signifie « considérer, regarder attentivement, remarquer », il est employé au présent, alors que le verbe précédent audiet est au futur.
94,10 V—IUXTA HEBR.
94,13 V—IUXTA HEBR.
94,13a pour l'apaiser V—IUXTA G : Mitigo Glaire offre une traduction plus littérale du verbe mitigo « afin que vous lui accordiez quelque douceur ».
94,14 V—IUXTA HEBR.
94,16 V—IUXTA HEBR.
94,19 V—IUXTA HEBR.
94,21 V—IUXTA HEBR.
94,22 V—IUXTA HEBR.
94,23 V—IUXTA HEBR.
91,9 V—IUXTA HEBR.
91,14b connut = connaît V—HEBR. Cognosco Le parfait de ce verbe de sens inchoatif serait mieux traduit pas un présent. Il connut ou il prit connaissance, donc il connaît.
91,6 l'être V—IUXTA G : negotium Negotium connote les sens de « chose, objet, être » en parlant d'une personne, et « créature » (cf. →). Dict.
91,15c V—IUXTA G Le verbe eripio signifie d'abord « tirer brusquement hors, mettre dehors, faire sortir, arracher, retirer, emporter » et par suite « ôter, ravir, enlever, arracher de force » enfin « délivrer de, affranchir, etc. ».
91,1 Louange de cantique V—IUXTA G = louange sous forme de cantique.
92,7 V—IUXTA HEBR.
92,9 V—IUXTA HEBR.
94,11 connaît V—IUXTA HEBR.
94,17 V—IUXTA HEBR.
94,20 V—IUXTA HEBR.
95,9b durant V—IUXTA G La préposition secundum qui régit l'acc. signifie « derrière, après, auprès de, à côté de, durant, pendant, selon, suivant, selon que, conformément à, etc.
95,11c s'ils pénétraient V—IUXTA G Littéralement « S'ils entreront dans mon repos » — c'est la traduction de Glaire — à la place de « ils n'entreront pas dans mon repos ».
95,6 V-IUXTA HEBR.
96,1 Chantez V—IUXTA HEBR. Canite | V—IUXTA G : Cantate Canite est synonyme de Cantate.
91,6 midi FRANÇAIS BIBLIQUE
91,6b négoce (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Négoce→ rend ici negotium latin. Le terme français n'a pas que la signification commerciale usuelle : il peut aussi désigner toute affaire ou occupation, et en particulier les trafics honteux ou suspects, ici personnifiés comme hantant les nuits de ceux qui les perpètrent.
91,2 V—IUXTA HEBR.
83,2 V— IUXTA HEBR
92,4 V—IUXTA HEBR.
92,5 V—IUXTA HEBR.
92,11 V—IUXTA HEBR.
92,10 V—IUXTA HEBR.
92,12 V—IUXTA HEBR.
90,2 V— IUXTA HEBR.
83,3 V— IUXTA HEBR.
Car voici que tes ennemis s’agitent bruyamment et ceux qui te haïssent ont levé la tête.
83,6 V— IUXTA HEBR.
Car ils ont délibéré pareillement | contre toi ils ont conclu une alliance
83,13 V— IUXTA HEBR.
Eux qui ont dit : — Emparons-nous de la beauté de Dieu !
83,19 V— IUXTA HEBR.
83,18 V— IUXTA HEBR.
83,5 V— IUXTA HEBR.
83,2 V— IUXTA HEBR.
95,2a dans la louange V—IUXTA G : in confessione Dans les psaumes, le sens de louange des mots confessio et confiteri est prédominant.
74,19a confesse V—IUXTA G : confitentem Pour les sens du verbe confiteor, voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29. La V—IUXTA HEBR. a donné exceptionnellement un autre verbe, voir Comparaison des versions Ps 74,19.
91,3 V—IUXTA HEBR.
91,14 V—IUXTA HEBR.
7,18a Je rendrai grâces (V) Confitebor Ou : je confesserai. Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
9,2a Je te rendrai grâces (V) Confitebor tibi Ou : Je te confesserai. Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
28,7d je lui rendrai grâces (V) confitebor ei Ou : je le confesserai, je le louerai. Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
30,10c.13b te rendra-t-elle grâces | je te rendrai grâces (V) confitebitur tibi | contifebor tibi Ou : te confessera-t-elle. Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
32,5c je confesserai (V) confitebor Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
33,2a Rendez grâces (V) Confitemini Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
35,18a Je te rendrai grâces (V) Confitebor Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
57,10a Je te rendrai grâces (V) confitebor tibi Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
67,4.6 te rendent grâces (V) confiteantur tibi Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
79,13b nous te confesserons (V) confitebimur tibi Ou : nous te rendrons grâces / nous te louerons. Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
89,6a confesseront (V) confitebuntur Ou : loueront. Pour les sens de confiteor voir Vocabulaire Ps 118,1.19.21.28.29.
7,1 V—IUXTA HEBR.
7,3 V—IUXTA HEBR.
7,2 V—IUXTA HEBR.
7,5 V—IUXTA HEBR.
7,4 V—IUXTA HEBR.
7,6 V—IUXTA HEBR.
7,7 V—IUXTA HEBR.
7,8 V—IUXTA HEBR.
7,9 V—IUXTA HEBR.
7,10 V—IUXTA HEBR.
7,11 V—IUXTA HEBR.
7,12 V—IUXTA HEBR.
7,13 V—IUXTA HEBR.
7,14 V—IUXTA HEBR.
7,15 V—IUXTA HEBR.
7,16 V—IUXTA HEBR.
7,17 V—IUXTA HEBR.
7,18 V—IUXTA HEBR.
8,1 V—IUXTA HEBR.
8,2 V—IUXTA HEBR.
8,3 V—IUXTA HEBR.
8,4 V—IUXTA HEBR.
8,5 V—IUXTA HEBR.
8,6 V—IUXTA HEBR.
8,7 V—IUXTA HEBR.
8,8 V—IUXTA HEBR.
8,9 V—IUXTA HEBR.
8,10 V—IUXTA HEBR.
11,1 V—IUXTA HEBR.
11,2 V—IUXTA HEBR.
11,3 V—IUXTA HEBR.
11,4 V—IUXTA HEBR.
11,5 V—IUXTA HEBR.
11,6 V—IUXTA HEBR.
11,7 V—IUXTA HEBR.
12,1 V—IUXTA HEBR.
12,2 V—IUXTA HEBR.
12,3 V—IUXTA HEBR.
12,4 V—IUXTA HEBR.
12,5 V—IUXTA HEBR.
12,6 V—IUXTA HEBR.
12,7 V—IUXTA HEBR.
12,8 V—IUXTA HEBR.
12,9 V—IUXTA HEBR.
13,1 V—IUXTA HEBR.
13,2 V—IUXTA HEBR.
13,3 V—IUXTA HEBR.
13,4 V—IUXTA HEBR.
13,5 V—IUXTA HEBR.
13,6 V—IUXTA HEBR.
14,1 V—IUXTA HEBR.
14,2 V—IUXTA HEBR.
14,3 V—IUXTA HEBR.
14,4 V—IUXTA HEBR.
14,5 V—IUXTA HEBR.
14,6 V—IUXTA HEBR.
14,7 V—IUXTA HEBR.
15,1 V—IUXTA HEBR.
15,2 V—IUXTA HEBR.
15,3 V—IUXTA HEBR.
15,4 V—IUXTA HEBR.
15,5 V—IUXTA HEBR.
16,1 V—IUXTA HEBR.
16,2 V—IUXTA HEBR.
16,3 V—IUXTA HEBR.
16,4 V—IUXTA HEBR.
16,5 V—IUXTA HEBR.
16,6 V—IUXTA HEBR.
16,7 V—IUXTA HEBR.
16,8 V—IUXTA HEBR.
16,9 V—IUXTA HEBR.
16,10 V—IUXTA HEBR.
16,11 V—IUXTA HEBR.
17,14b des mortels ─ Hors de l'univers : [telle soit] leur part dans la vie Texte incertain On peut également comprendre :
L'ambiguïté est peut-être voulue.
22,30c son âme n'a pas vécu : M | mss hébr., G : mon âme vit pour lui Retouche apportée en fonction de la croyance en la résurrection.
89,3 V—IUXTA HEBR.
89,4 V—IUXTA HEBR.
89,7 V—IUXTA HEBR.
89,10 V—IUXTA HEBR.
89,13 V—IUXTA HEBR.
89,14 V—IUXTA HEBR.
89,15 V—IUXTA HEBR
89,16 V—IUXTA HEBR
89,18 V—IUXTA HEBR
89,19 V—IUXTA HEBR.
89,22 V—IUXTA HEBR.
89,23 V—IUXTA HEBR.
89,24 V—IUXTA HEBR.
89,27 V—IUXTA HEBR.
89,28 V—IUXTA HEBR.
89,29 V—IUXTA HEBR.
89,30 V—IUXTA HEBR.
89,31 V—IUXTA HEBR.
89,32 V—IUXTA HEBR.
89,33 V—IUXTA HEBR.
89,34 V—IUXTA HEBR.
89,35 V—IUXTA HEBR.
89,37 V—IUXTA HEBR.
89,39 V—IUXTA HEBR.
89,40 V—IUXTA HEBR.
89,41 V—IUXTA HEBR.
89,43 V—IUXTA HEBR.
89,44 V—IUXTA HEBR.
89,45 V—IUXTA HEBR.
89,46 V—IUXTA HEBR.
89,52 V—IUXTA HEBR
89,53 V—IUXTA HEBR
89,8 V—IUXTA HEBR.
89,9 V—IUXTA HEBR.
89,11 V—IUXTA HEBR.
89,50 V—IUXTA HEBR.
89,51 V—IUXTA HEBR.
88,1 V—IUXTA HEBR.
88,2 V—IUXTA HEBR.
88,5 V—IUXTA HEBR.
88,7 V—IUXTA HEBR.
88,10 V—IUXTA HEBR.
88,13 V—IUXTA HEBR.
88,12 V—IUXTA HEBR.
88,14 V—IUXTA HEBR.
88,18 V—IUXTA HEBR.
88,6 V—IUXTA HEBR.
88,9 V—IUXTA HEBR.
88,16 V—IUXTA HEBR.
88,15 V—IUXTA HEBR.
88,17 V—IUXTA HEBR.
88,19 V—IUXTA HEBR.
87,4 PS—IUXTA HEBR.
87,6 (V) Variante
87,4 (V) Variante
88,8 V—IUXTA HEBR.
88,11 V—IUXTA HEBR.
89,38 V—IUXTA HEBR.
89,49 V—IUXTA HEBR.
17,1 V—IUXTA HEBR.
17,2 V—IUXTA HEBR.
17,4 V—IUXTA HEBR.
17,3 V—IUXTA HEBR.
17,5 V—IUXTA HEBR.
17,6 V—IUXTA HEBR.
17,7 V—IUXTA HEBR.
17,8 V—IUXTA HEBR.
17,9 V—IUXTA HEBR.
17,10 V—IUXTA HEBR.
17,11 V—IUXTA HEBR.
17,12 V—IUXTA HEBR.
17,13 V—IUXTA HEBR.
17,14 V—IUXTA HEBR.
17,15 V—IUXTA HEBR.
18,1 V—IUXTA HEBR.
18,2 V—IUXTA HEBR.
18,3 V—IUXTA HEBR.
18,4 V—IUXTA HEBR.
18,5 V—IUXTA HEBR.
18,6 V—IUXTA HEBR.
18,7 V—IUXTA HEBR.
18,8 V—IUXTA HEBR.
18,9 V—IUXTA HEBR.
18,10 V—IUXTA HEBR.
18,11 V—IUXTA HEBR.
18,12 V—IUXTA HEBR.
18,13 V—IUXTA HEBR.
18,14 V—IUXTA HEBR.
18,15 V—IUXTA HEBR.
18,16 V—IUXTA HEBR.
90,3 V— IUXTA HEBR.
90,4 V—IUXTA HEBR.
90,5 V—IUXTA HEBR.
90,7 V—IUXTA HEBR.
90,8 V—IUXTA HEBR.
90,9 V—IUXTA HEBR.
90,11 V—IUXTA HEBR.
90,14 V—IUXTA HEBR.
90,15 V—IUXTA HEBR.
90,16 V—IUXTA HEBR.
90,6 V—IUXTA HEBR.
90,12 V—IUXTA HEBR.
86,6 V—IUXTA HEBR.
86,11 V—IUXTA HEBR.
85,6 V—IUXTA HEBR.
85,3 V—IUXTA HEBR.
85,2 V—IUXTA HEBR.
85,1 V—IUXTA HEBR.
85,13 V—IUXTA HEBR.
84,4 V—IUXTA HEBR.
84,10 V—IUXTA HEBR.
84,11 V—IUXTA HEBR.
84,13 V—IUXTA HEBR.
84,9 V—IUXTA HEBR.
82,1 V—IUXTA HEBR.
82,2 V—IUXTA HEBR.
82,3 V—IUXTA HEBR.
82,7 V—IUXTA HEBR.
82,6 V—IUXTA HEBR.
18,17 V—IUXTA HEBR.
18,18 V—IUXTA HEBR.
18,19 V—IUXTA HEBR.
18,20 V—IUXTA HEBR.
18,21 V—IUXTA HEBR.
18,22 V—IUXTA HEBR.
18,23 V—IUXTA HEBR.
18,24 V—IUXTA HEBR.
18,25 V—IUXTA HEBR.
18,26 V—IUXTA HEBR.
18,27 V—IUXTA HEBR.
18,28 V—IUXTA HEBR.
18,29 V—IUXTA HEBR.
18,30 V—IUXTA HEBR.
18,31 V—IUXTA HEBR.
18,32 V—IUXTA HEBR.
18,33 V—IUXTA HEBR.
18,34 V—IUXTA HEBR.
18,35 V—IUXTA HEBR.
18,36 V—IUXTA HEBR.
18,37 V—IUXTA HEBR.
18,38 V—IUXTA HEBR.
18,39 V—IUXTA HEBR.
18,40 V—IUXTA HEBR.
18,41 V—IUXTA HEBR.
18,42 V—IUXTA HEBR.
18,43 V—IUXTA HEBR.
18,44 V—IUXTA HEBR.
18,45 V—IUXTA HEBR.
18,46 V—IUXTA HEBR.
18,47 V—IUXTA HEBR.
18,48 V—IUXTA HEBR.
18,49 V—IUXTA HEBR.
18,50 V—IUXTA HEBR.
19,8 V—IUXTA HEBR.
19,9 V—IUXTA HEBR.
19,11 V—IUXTA HEBR.
19,10 V—IUXTA HEBR.
19,12 V—IUXTA HEBR.
19,13 V—IUXTA HEBR.
19,14 V—IUXTA HEBR.
19,15 V—IUXTA HEBR.
81,1 V— IUXTA HEBR.
81,6 V— IUXTA HEBR.
81,7 V— IUXTA HEBR.
— J’ai déchargé son épaule du fardeau | et ses mains ont quitté la corbeille.
81,9 V— IUXTA HEBR.
Écoute, mon peuple et je te prends à témoin | Israël, si tu pouvais m’écouter
81,10 V— IUXTA HEBR.
Qu’il n’y ait pas chez toi de dieu étranger | et n’adore pas un dieu emprunté.
81,11 V— IUXTA HEBR.
Je suis le Seigneur, ton Dieu qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte. | Ouvre large ta bouche et je la remplirai.
81,12 V— IUXTA HEBR.
Mais mon peuple n’a pas écouté ma voix | Israël ne m’a pas fait confiance
81,15 V— IUXTA HEBR.
80,2 V—IUXTA HEBR.
80,5 V—IUXTA HEBR.
80,10 V—IUXTA HEBR.
80,12 V—IUXTA HEBR.
80,17 V—IUXTA HEBR.
20,1 V—IUXTA HEBR.
20,2 V—IUXTA HEBR.
20,3 V—IUXTA HEBR.
20,4 V—IUXTA HEBR.
20,5 V—IUXTA HEBR.
20,6 V—IUXTA HEBR.
20,7 V—IUXTA HEBR.
20,8 V—IUXTA HEBR.
20,9 V—IUXTA HEBR.
20,10 V—IUXTA HEBR.
21,1 V—IUXTA HEBR.
21,2 V—IUXTA HEBR.
21,3 V—IUXTA HEBR.
21,4 V—IUXTA HEBR.
21,5 V—IUXTA HEBR.
21,6 V—IUXTA HEBR.
21,7 V—IUXTA HEBR.
21,8 V—IUXTA HEBR.
21,9 V—IUXTA HEBR.
21,10 V—IUXTA HEBR.
21,11 V—IUXTA HEBR.
21,12 V—IUXTA HEBR.
21,13 V—IUXTA HEBR.
21,14 V—IUXTA HEBR.
22,1 V—IUXTA HEBR.
22,2 V—IUXTA HEBR.
22,3 V—IUXTA HEBR.
22,4 V—IUXTA HEBR.
22,5 V—IUXTA HEBR.
22,6 V—IUXTA HEBR.
22,7 V—IUXTA HEBR.
22,8 V—IUXTA HEBR.
22,9 V—IUXTA HEBR.
22,10 V—IUXTA HEBR.
22,11 V—IUXTA HEBR.
22,12 V—IUXTA HEBR.
22,13 V—IUXTA HEBR.
22,14 V—IUXTA HEBR.
22,15 V—IUXTA HEBR.
22,16 V—IUXTA HEBR.
22,17 V—IUXTA HEBR.
22,18 V—IUXTA HEBR.
22,19 V—IUXTA HEBR.
22,20 V—IUXTA HEBR.
22,21 V—IUXTA HEBR.
22,22 V—IUXTA HEBR.
22,23 V—IUXTA HEBR.
22,24 V—IUXTA HEBR.
22,25 V—IUXTA HEBR.
22,26 V—IUXTA HEBR.
22,27 V—IUXTA HEBR.
22,28 V—IUXTA HEBR.
22,29 V—IUXTA HEBR.
22,30 V—IUXTA HEBR.
22,31 V—IUXTA HEBR.
22,32 V—IUXTA HEBR.
79,1 V—IUXTA HEBR.
79,6 V—IUXTA HEBR.
79,7 V—IUXTA HEBR.
79,8
79,11 V—IUXTA HEBR.
79,13 V—IUXTA HEBR.
79,10 V—IUXTA HEBR.
24,1 V—IUXTA HEBR.
24,2 V—IUXTA HEBR.
24,3 V—IUXTA HEBR.
24,4 V—IUXTA HEBR.
24,5 V—IUXTA HEBR.
24,6 V—IUXTA HEBR.
24,7 V—IUXTA HEBR.
24,8 V—IUXTA HEBR.
24,9 V—IUXTA HEBR.
24,10 V—IUXTA HEBR.
25,1 V—IUXTA HEBR.
25,2 V—IUXTA HEBR.
25,3 V—IUXTA HEBR.
78,38 il détournera facilement Albert Blaise dans une note propose cette traduction pour abundavit ut averteret iram suam de la version de la Vulgate Sixto-Clémentine : « il a détourné facilement sa colère ». (→BlaiseVoc. T.L. 178 note 2).
78,5 V—IUXTA HEBR.
78,7 V—IUXTA HEBR.
78,9 V—IUXTA HEBR.
78,10 V—IUXTA HEBR.
78,12 V—IUXTA HEBR.
78,17 V—IUXTA HEBR.
78,20 V—IUXTA HEBR.
78,30 V—IUXTA HEBR.
78,31 V—IUXTA HEBR.
78,34 V—IUXTA HEBR.
78,36 V—IUXTA HEBR.
78,37 V—IUXTA HEBR.
78,40 V—IUXTA HEBR.
78,48 V—IUXTA HEBR.
78,52 V—IUXTA HEBR.
78,57 V—IUXTA HEBR.
78,64 V—IUXTA HEBR.
78,69 V—IUXTA HEBR.
77,1 V—IUXTA HEBR.
77,5 V—IUXTA HEBR.
77,7 V—IUXTA HEBR.
77,10 V—IUXTA HEBR.
77,16 V—IUXTA HEBR.
77,17 V—IUXTA HEBR.
77,18 V—IUXTA HEBR.
77,19 V—IUXTA HEBR.
77,21 V—IUXTA HEBR.
77,2 V—IUXTA HEBR.
77,3 V—IUXTA HEBR.
77,4 V—IUXTA HEBR.
77,9 V—IUXTA HEBR.
77,11 V—IUXTA HEBR.
77,12
77,13 V—IUXTA HEBR.
77,15 V—IUXTA HEBR.
76,1 V—IUXTA HEBR.
76,2 V—IUXTA HEBR.
76,3 V—IUXTA HEBR.
76,7 V—IUXTA HEBR
76,9 V—IUXTA HEBR
76,10 V—IUXTA HEBR
76,4 V—IUXTA HEBR.
76,5 V—IUXTA HEBR.
76,6 V—IUXTA HEBR
76,13 V—IUXTA HEBR
76,11 V—IUXTA HEBR
75,1 V—IUXTA HEBR.
75,2 V—IUXTA HEBR.
75,4 V—IUXTA HEBR.
75,8 V—IUXTA HEBR.
75,11 V—IUXTA HEBR.
75,5 V—IUXTA HEBR.
75,6 V—IUXTA HEBR.
75,7 V—IUXTA HEBR.
74,7 V—IUXTA HEBR.
74,9 V—IUXTA HEBR.
74,10 V—IUXTA HEBR.
74,11 V—IUXTA HEBR.
74,13 V—IUXTA HEBR.
74,15 V—IUXTA HEBR.
74,17 V—IUXTA HEBR.
74,21 V—IUXTA HEBR.
74,22 V—IUXTA HEBR.
74,23 V—IUXTA HEBR.
74,3 V—IUXTA HEBR.
74,4 V—IUXTA HEBR.
74,5 V—IUXTA HEBR.
74,12 V—IUXTA HEBR.
74,16
74,19 V—IUXTA HEBR.
74,1 V—IUXTA HEBR.
73,28c actions dignes d'être connues V—IUXTA G Le mot latin employé ici est praedicatio, terme classique signifiant une action de crier en public : publication, proclamation et par suite action de vanter ou de se vanter, pompeux éloge, apologie. En latin postclassique il prend les sens de : prédiction, prophétie ; action de vanter (cl.) et par métonymie action digne d'être connue, merveille. Il pourra avoir encore les sens d'affirmation solennelle d'une vérité, affirmation d'une opinion, doctrine affirmée, enseignement, etc. (Cf. →) Dict.
73,1 V—IUXTA HEBR.
73,2 V—IUXTA HEBR.
73,3 V—IUXTA HEBR.
73,6 V—IUXTA HEBR.
73,7 V—IUXTA HEBR.
73,8 V—IUXTA HEBR.
73,15 V—IUXTA HEBR.
73,19 V—IUXTA HEBR.
73,20 V—IUXTA HEBR.
73,21 V—IUXTA HEBR.
73,22 V—IUXTA HEBR.
73,24 V—IUXTA HEBR.
73,25 V—IUXTA HEBR.
73,26 V—IUXTA HEBR.
73,10 V—IUXTA HEBR.
73,12 V—IUXTA HEBR.
73,13 V—IUXTA HEBR.
73,14 V—IUXTA HEBR.
73,16 V—IUXTA HEBR.
73,17 V—IUXTA HEBR.
73,18 V—IUXTA HEBR.
73,28 V—IUXTA HEBR.
72,1 V—IUXTA HEBR.
72,4 V—IUXTA HEBR.
72,5 V—IUXTA HEBR.
72,7 V—IUXTA HEBR.
51,7 V—IUXTA HEBR.
51,9 V—IUXTA HEBR.
51,12 V—IUXTA HEBR.
51,15 V—IUXTA HEBR.
51,17 V—IUXTA HEBR.
51,18 V—IUXTA HEBR.
51,21 V—IUXTA HEBR.
72,10 V—IUXTA HEBR.
72,14 V—IUXTA HEBR.
72,15 V—IUXTA HEBR.
72,17 V—IUXTA HEBR.
72,19 V—IUXTA HEBR.
72,2 V—IUXTA HEBR.
72,3 V—IUXTA HEBR.
72,6 V—IUXTA HEBR.
72,8 V—IUXTA HEBR.
72,9 V—IUXTA HEBR.
72,12 V—IUXTA HEBR.
72,16 V—IUXTA HEBR.
72,20 V—IUXTA HEBR.
63,1–12 Hypothèse sur l’histoire de la rédaction Ce Ps a été appliqué à David errant au désert. Le texte a peut-être été retouché en fonction de cette relecture davidique.
63,2a je te cherche : M | Vrs : je suis matinal auprès de toi
67,1–8 Prière collective après la récolte annuelle. Milieux de vie Ps 6,1–8
25,4 V—IUXTA HEBR.
25,5 V—IUXTA HEBR.
25,6 V—IUXTA HEBR.
25,7 V—IUXTA HEBR.
25,8 V—IUXTA HEBR.
25,9 V—IUXTA HEBR.
25,10 V—IUXTA HEBR.
25,11 V—IUXTA HEBR.
25,12 V—IUXTA HEBR.
25,13 V—IUXTA HEBR.
25,14 V—IUXTA HEBR.
25,15 V—IUXTA HEBR.
25,16 V—IUXTA HEBR.
25,17 V—IUXTA HEBR.
25,18 V—IUXTA HEBR.
25,19 V—IUXTA HEBR.
25,20 V—IUXTA HEBR.
25,21 V—IUXTA HEBR.
25,22 V—IUXTA HEBR.
78,11–31 ÉPISODES Rappel exodal
78,32–39 THÈME L’inconstance d’Israël et de la patience divine
81,1–17 Psaume pour la fête des Tentes La fête des Tentes commémorait le séjour au désert et la Loi reçue au Sinaï. C'était la fête par excellence : →Fêtes religieuses.
63,2 V—IUXTA HEBR.
63,3 V—IUXTA HEBR.
63,4 V—IUXTA HEBR.
63,6 V—IUXTA HEBR.
87,4a Rahab = l’Égypte
63,8 V—IUXTA HEBR.
63,9 V—IUXTA HEBR.
63,3b je me mis à à ton service (V) Sens spécial V dit ici apparui tibi; en contexte cultuel, apparere + {nom de personne au datif} signifie : « apparaître comme servant, servir. »
87,7 Toutes mes sources [sont] en toi : M | G : l'habitation de tous [est] en toi M semble mal vocalisé.
87,1–7 Parallèle : Sion, mère des peuples Le Ps s'inspire d'Isaïe et de Zacharie. Isaïe annonçait déjà ce rôle maternel de Sion, épouse féconde de YHWH.
87,1–7 Ecclésiologie Par son rôle maternel, Sion figure l'→Église.
87,5a Et l’on dira de Sion : Celui-ci et celui-là y est né Messianisme juif Les païens sont adoptés par Sion, qui devient leur vraie patrie. →Parousie et restauration messianique
88,6a parmi les morts, libre Métaphore négative équivoque On peut comprendre « libéré » dans la tombe (cf. Jb 3,19) ou également « congédié chez les morts ». Ainsi en va-t-il du pauvre affligé : il n'a plus de relations avec Dieu.
89,1–53 Composition
90,1–17 Prière d'un sage pénétré des Écritures (allusions à Gn, Jb, Dt), qui médite sur la faiblesse humaine et la brièveté de la vie écourtée par le péché.
90,1a de Moïse, homme de Dieu Hapax Ce Ps est le seul qui soit attribué à Moïse, peut-être à cause de ses contacts avec Gn et Dt 32.
90,17bc sur nous + affermis l’œuvre de nos mains : M | Conjecture ? : suppression Doublet.
90,13b tes serviteurs Focalisation : généralisation Les v.14-17 vont étendre à tout Israël la méditation et la prière dont l'objet était l'homme seul.
26,1 V—IUXTA HEBR.
26,2 V—IUXTA HEBR.
26,3 V—IUXTA HEBR.
26,4 V—IUXTA HEBR.
26,6 V—IUXTA HEBR.
26,5 V—IUXTA HEBR.
26,7 V—IUXTA HEBR.
26,8 V—IUXTA HEBR.
26,9 V—IUXTA HEBR.
26,10 V—IUXTA HEBR.
26,11 V—IUXTA HEBR.
26,12 V—IUXTA HEBR.
90,1b refuge : mss hébr., G | M : demeure
90,9c soupir : M | G V S : araignée
90,12 Prière sapientielle De la connaissance de la fragilité humaine procède la sagesse, qui est crainte de Dieu : →Crainte.
27,1 V—IUXTA HEBR.
27,2 V—IUXTA HEBR.
27,3 V—IUXTA HEBR.
27,4 V—IUXTA HEBR.
27,5 V—IUXTA HEBR.
27,6 V—IUXTA HEBR.
27,7 V—IUXTA HEBR.
27,8 V—IUXTA HEBR.
27,9 V—IUXTA HEBR.
27,10 V—IUXTA HEBR.
27,11 V—IUXTA HEBR.
27,12 V—IUXTA HEBR.
27,13 V—IUXTA HEBR.
27,14 V—IUXTA HEBR.
28,1 V—IUXTA HEBR.
28,2 V—IUXTA HEBR.
28,3 V—IUXTA HEBR.
28,4 V—IUXTA HEBR.
28,5 V—IUXTA HEBR.
28,6 V—IUXTA HEBR.
28,7 V—IUXTA HEBR.
28,8 V—IUXTA HEBR.
28,9 V—IUXTA HEBR.
95,2 V-IUXTA HEBR.
29,1 V—IUXTA HEBR.
29,2 V—IUXTA HEBR.
29,3 V—IUXTA HEBR.
29,4 V—IUXTA HEBR.
29,5 V—IUXTA HEBR.
29,6 V—IUXTA HEBR.
29,7 V—IUXTA HEBR.
29,8 V—IUXTA HEBR.
29,9 V—IUXTA HEBR.
29,10 V—IUXTA HEBR.
29,11 V—IUXTA HEBR.
94,3 V—IUXTA HEBR.
94,1 V—IUXTA HEBR.
94,5 V—IUXTA HEBR.
94,7 V—IUXTA HEBR.
94,12 V—IUXTA HEBR.
94,13 V—IUXTA HEBR.
94,15 V—IUXTA HEBR.
94,18 V—IUXTA HEBR.
94,8 V—IUXTA HEBR.
30,1 V—IUXTA HEBR.
30,2 V—IUXTA HEBR.
30,3 V—IUXTA HEBR.
30,4 V—IUXTA HEBR.
30,5 V—IUXTA HEBR.
30,6 V—IUXTA HEBR.
30,7 V—IUXTA HEBR.
30,8 V—IUXTA HEBR.
30,9 V—IUXTA HEBR.
30,10 V—IUXTA HEBR.
30,11 V—IUXTA HEBR.
30,12 V—IUXTA HEBR.
30,13 V—IUXTA HEBR.
93,1 V—IUXTA HEBR.
93,2 V—IUXTA HEBR.
93,4 V—IUXTA HEBR.
92,3 V—IUXTA HEBR.
91,13 V—IUXTA HEBR.
90,10 V—IUXTA HEBR.
90,17 V—IUXTA HEBR.
89,1 V— IUXTA HEBR.
89,5 V—IUXTA HEBR.
89,20 V—IUXTA HEBR.
89,40 V—IUXTA HEBR.
89,47 V—IUXTA HEBR.
89,48 V—IUXTA HEBR.
32,1 V—IUXTA HEBR.
32,2 V—IUXTA HEBR.
32,3 V—IUXTA HEBR.
32,4 V—IUXTA HEBR.
32,5 V—IUXTA HEBR.
32,6 V—IUXTA HEBR.
88,4 PS—IUXTA HEBR.
87,1 PS—IUXTA HEBR.
87,5 PS—IUXTA HEBR.
Et l’on dira auprès de Sion : — Un homme et un homme est né en elle | c’est Lui, le Très-Haut, qui l’a fondée.
86,1 V—IUXTA HEBR.
86,2 V—IUXTA HEBR.
86,5 V—IUXTA HEBR.
85,7 V—IUXTA HEBR.
85,5 V—IUXTA HEBR.
85,8 V—IUXTA HEBR.
85,9 V—IUXTA HEBR.
85,11 V—IUXTA HEBR.
Miséricorde et vérité se sont rencontrées | justice et paix se sont embrassées
32,7 V—IUXTA HEBR.
32,8 V—IUXTA HEBR.
32,9 V—IUXTA HEBR.
32,10 V—IUXTA HEBR.
32,11 V—IUXTA HEBR.
84,1 V—IUXTA HEBR.
84,5 V—IUXTA HEBR.
Heureux ceux qui habitent ta maison. Ils te loueront encore. | TOUJOURS.
84,12 V—IUXTA HEBR.
83,4 V— IUXTA HEBR.
83,8 V— IUXTA HEBR.
Gébal, Ammon et Amalec | la Palestine avec les habitants de Tyr
83,9 V— IUXTA HEBR.
83,15 V— IUXTA HEBR.
83,16 V— IUXTA HEBR.
33,1 V—IUXTA HEBR.
33,2 V—IUXTA HEBR.
33,3 V—IUXTA HEBR.
33,4 V—IUXTA HEBR.
33,5 V—IUXTA HEBR.
33,6 V—IUXTA HEBR.
33,7 V—IUXTA HEBR.
33,8 V—IUXTA HEBR.
33,9 V—IUXTA HEBR.
33,10 V—IUXTA HEBR.
33,11 V—IUXTA HEBR.
33,12 V—IUXTA HEBR.
33,13 V—IUXTA HEBR.
33,14 V—IUXTA HEBR.
33,15 V—IUXTA HEBR.
33,16 V—IUXTA HEBR.
33,17 V—IUXTA HEBR.
33,18 V—IUXTA HEBR.
33,19 V—IUXTA HEBR.
33,20 V—IUXTA HEBR.
33,21 V—IUXTA HEBR.
33,22 V—IUXTA HEBR.
82,4 V—IUXTA HEBR.
82,5 V—IUXTA HEBR.
82,8 V—IUXTA HEBR.
81,5 V— IUXTA HEBR.
Car c’est une loi rituelle pour Israël et une ordonnance du Dieu de Jacob.
80,1 V—IUXTA HEBR.
80,6 V—IUXTA HEBR.
78,26a Auster V Auster est le vent du midi. Auster et africus sont des expressions synonymes.
78,1 V—IUXTA HEBR.
78,8 V—IUXTA HEBR.
78,13 V—IUXTA HEBR.
78,19 V—IUXTA HEBR.
78,21 V—IUXTA HEBR.
78,26 V—IUXTA HEBR.
78,35 V—IUXTA HEBR.
78,38 V—IUXTA HEBR.
78,53 V—IUXTA HEBR.
78,59 V—IUXTA HEBR.
77,6 V—IUXTA HEBR.
77,14 V—IUXTA HEBR.
76,8 V—IUXTA HEBR
75,9 V—IUXTA HEBR.
74,6 V—IUXTA HEBR.
74,8 V—IUXTA HEBR.
74,18 V—IUXTA HEBR.
74,20 V—IUXTA HEBR.
73,4 V—IUXTA HEBR.
73,22 V—IUXTA HEBR.
73,27 V—IUXTA HEBR.
71,2 V—IUXTA HEBR.
71,3 V—IUXTA HEBR.
71,4 V—IUXTA HEBR.
71,6 V—IUXTA HEBR.
71,8 V—IUXTA HEBR.
71,9 V—IUXTA HEBR.
71,12 V—IUXTA HEBR.
71,13 V—IUXTA HEBR.
71,14 V—IUXTA HEBR.
71,16 V—IUXTA HEBR.
71,17 V—IUXTA HEBR.
71,19 V—IUXTA HEBR.
71,24 V—IUXTA HEBR.
71,1 V—IUXTA HEBR.
71,5 V—IUXTA HEBR.
71,7 V—IUXTA HEBR.
71,10 V—IUXTA HEBR.
71,15 V—IUXTA HEBR.
71,18 V—IUXTA HEBR.
71,20 V—IUXTA HEBR.
71,21 V—IUXTA HEBR.
71,23 V—IUXTA HEBR.
71,22 V—IUXTA HEBR.
70,2 V—IUXTA HEBR.
70,4 V—IUXTA HEBR.
70,3 V—IUXTA HEBR.
70,1 V—IUXTA HEBR.
70,5 V—IUXTA HEBR.
70,6 V—IUXTA HEBR.
69,1 V—IUXTA HEBR.
69,2 V—IUXTA HEBR.
69,3 V—IUXTA HEBR.
69,4 V—IUXTA HEBR.
69,5 V—IUXTA HEBR.
69,6 V—IUXTA HEBR.
69,7 V—IUXTA HEBR.
69,11 V—IUXTA HEBR.
69,12 V—IUXTA HEBR.
69,13 V—IUXTA HEBR.
69,14 V—IUXTA HEBR.
69,15 V—IUXTA HEBR.
69,16 V—IUXTA HEBR.
69,17 V—IUXTA HEBR.
69,18 V—IUXTA HEBR.
69,19 V—IUXTA HEBR.
69,20 V—IUXTA HEBR.
69,21 V—IUXTA HEBR.
69,24 V—IUXTA HEBR.
69,25 V—IUXTA HEBR.
69,27 V—IUXTA HEBR.
69,28 V—IUXTA HEBR.
69,30 V—IUXTA HEBR.
69,31 V—IUXTA HEBR.
69,32 V—IUXTA HEBR.
69,36 V—IUXTA HEBR.
69,37 V—IUXTA HEBR.
69,23 V—IUXTA HEBR.
69,8 Seigneur, Dieu des armées
69,33 V—IUXTA HEBR.
68,1 V—IUXTA HEBR.
68,3 V—IUXTA HEBR.
68,8 V—IUXTA HEBR.
68,27 V—IUXTA HEBR.
Dans les assemblées bénissez Dieu, le Seigneur | [vous qui êtes issus] des sources d’Israël.
68,36 V—IUXTA HEBR.
Redoutable est Dieu depuis son sanctuaire | Lui, le Dieu d’Israël, donnera à son peuple force et puissance. Béni soit Dieu !
67,1 V—IUXTA HEBR.
67,2 V—IUXTA HEBR.
67,3 V—IUXTA HEBR.
67,5 V—IUXTA HEBR.
66,1 V—IUXTA HEBR.
66,2 V—IUXTA HEBR.
66,3 V—IUXTA HEBR.
66,4 V—IUXTA HEBR.
66,5 V—IUXTA HEBR.
66,7 V—IUXTA HEBR.
66,8 V—IUXTA HEBR.
66,9 V—IUXTA HEBR.
66,10 V—IUXTA HEBR.
66,11 V—IUXTA HEBR.
66,14 V—IUXTA HEBR.
66,15 V—IUXTA HEBR.
66,17 V—IUXTA HEBR.
66,16 V—IUXTA HEBR.
65,1 V—IUXTA HEBR.
65,4 V—IUXTA HEBR.
65,7 V—IUXTA HEBR.
65,8 V—IUXTA HEBR.
65,12 V—IUXTA HEBR.
65,13 V—IUXTA HEBR.
65,14 V—IUXTA HEBR.
9,7a framées (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Emprunté au latin framea « sorte de lance des Germains », mot d'origine germanique, d'après (De origine et situ Germanorum→), le mot « framée » désigne au départ une lance à fer très long. Du fait de la forme de la pointe, le terme latin finit par désigner aussi l'épée ou la hache. Le mot français se lit encore sous la plume de Louis Aragon→.
65,6 Dieu notre sauveur V—IUXTA G Cf. Vocabulaire Ps 95,1c.
65,2 V—IUXTA HEBR.
65,3 V—IUXTA HEBR.
65,5 V—IUXTA HEBR.
65,6 V—IUXTA HEBR.
65,9
65,10 V—IUXTA HEBR.
65,11 V—IUXTA HEBR.
64,1 V—IUXTA HEBR
64,3 V—IUXTA HEBR
64,4 V—IUXTA HEBR
64,5 V—IUXTA HEBR
64,9 V—IUXTA HEBR.
37,2 V—IUXTA HEBR.
64,2 V—IUXTA HEBR
64,7 V—IUXTA HEBR.
64,8 V—IUXTA HEBR.
64,6 V—IUXTA HEBR
64,10 V—IUXTA HEBR.
64,11 V—IUXTA HEBR.
63,1 V—IUXTA HEBR.
63,7 V—IUXTA HEBR.
63,10 V—IUXTA HEBR.
63,11 V—IUXTA HEBR.
63,12 V—IUXTA HEBR.
62,1 V—IUXTA HEBR.
62,2 V—IUXTA HEBR.
62,3 V—IUXTA HEBR.
62,4 V—IUXTA HEBR.
62,7 V—IUXTA HEBR.
62,9 V—IUXTA HEBR.
62,11 V—IUXTA HEBR.
62,12 V—IUXTA HEBR.
62,13 V—IUXTA HEBR.
62,5 V—IUXTA HEBR.
62,6 V—IUXTA HEBR.
62,8 V—IUXTA HEBR.
62,10 V—IUXTA HEBR.
61,1 V—IUXTA HEBR.
61,2 V—IUXTA HEBR.
61,3 V—IUXTA HEBR.
61,6 V—IUXTA HEBR.
61,8 V—IUXTA HEBR.
61,9 V—IUXTA HEBR.
61,5 V—IUXTA HEBR.
61,4 V—IUXTA HEBR.
61,7 V—IUXTA HEBR.
60,14 V—IUXTA HEBR.
60,13 V—IUXTA HEBR.
60,12 V—IUXTA HEBR.
60,9 V—IUXTA HEBR.
60,8 V—IUXTA HEBR.
60,5 V—IUXTA HEBR.
60,4 V—IUXTA HEBR.
60,3 V—IUXTA HEBR.
60,2 V—IUXTA HEBR.
60,1 V—IUXTA HEBR.
60,6 V—IUXTA HEBR.
60,10 V—IUXTA HEBR.
59,1 V—IUXTA HEBR.
59,3 V—IUXTA HEBR.
59,4 V—IUXTA HEBR.
59,5 V—IUXTA HEBR.
59,7 V—IUXTA HEBR.
59,8 V—IUXTA HEBR.
59,10 V—IUXTA HEBR.
59,11 V—IUXTA HEBR.
59,13 V—IUXTA HEBR.
59,14 V—IUXTA HEBR.
59,15 V—IUXTA HEBR.
59,16 V—IUXTA HEBR.
59,17 V—IUXTA HEBR.
59,6 V—IUXTA HEBR.
59,9 V—IUXTA HEBR.
59,12 V—IUXTA HEBR.
59,18 V—IUXTA HEBR.
59,2 V—IUXTA HEBR.
58,1 V—IUXTA HEBR.
58,2 V—IUXTA HEBR.
58,7 V—IUXTA HEBR.
58,9 V—IUXTA HEBR.
58,10 V—IUXTA HEBR.
58,11 V—IUXTA HEBR.
58,3 V—IUXTA HEBR.
58,4 V—IUXTA HEBR.
58,6 V—IUXTA HEBR.
58,8 V—IUXTA HEBR.
58,12 V—IUXTA HEBR.
58,5 V—IUXTA HEBR.
57,1 V—IUXTA HEBR.
57,2 V—IUXTA HEBR. Aie pitié de moi, Dieu, aie pitié de moi | puisqu'en toi mon âme espère | à l'ombre de tes ailes j'espérerai jusqu'à ce que les embûches soient passées.
57,4 V—IUXTA HEBR.
57,5 V—IUXTA HEBR.
57,7 V—IUXTA HEBR.
57,9 V—IUXTA HEBR.
57,10 V—IUXTA HEBR.
57,11 V—IUXTA HEBR.
57,3 V—IUXTA HEBR.
57,8 V—IUXTA HEBR.
57,6 V—IUXTA HEBR.
57,12 V—IUXTA HEBR.
56,2 V—IUXTA HEBR.
56,4 V—IUXTA HEBR.
56,5 V—IUXTA HEBR.
56,6 V—IUXTA HEBR.
56,8 V—IUXTA HEBR.
56,9 V—IUXTA HEBR.
56,10 V—IUXTA HEBR.
56,11 V—IUXTA HEBR.
56,12 V—IUXTA HEBR.
56,13 V—IUXTA HEBR.
56,1 V—IUXTA HEBR.
56,3 V—IUXTA HEBR.
56,7 V—IUXTA HEBR.
55,1 V—IUXTA HEBR.
55,2 V—IUXTA HEBR.
55,3 V—IUXTA HEBR.
55,5 V—IUXTA HEBR.
55,6 V—IUXTA HEBR.
55,7 V—IUXTA HEBR.
55,8 V—IUXTA HEBR.
55,10 V—IUXTA HEBR.
55,14 V—IUXTA HEBR.
55,15 V—IUXTA HEBR.
55,17 V—IUXTA HEBR.
55,18 V—IUXTA HEBR.
55,19 V—IUXTA HEBR.
55,20 V—IUXTA HEBR.
55,21 V—IUXTA HEBR.
55,22 V—IUXTA HEBR.
55,24 V—IUXTA HEBR.
55,4 V—IUXTA HEBR.
55,9 V—IUXTA HEBR.
55,11 V—IUXTA HEBR.
55,12 V—IUXTA HEBR.
34,1 V—IUXTA HEBR.
34,2 V—IUXTA HEBR.
34,3 V—IUXTA HEBR.
34,4 V—IUXTA HEBR.
34,5 V—IUXTA HEBR.
34,6 V—IUXTA HEBR.
34,7 V—IUXTA HEBR.
34,8 V—IUXTA HEBR.
34,9 V—IUXTA HEBR.
34,10 V—IUXTA HEBR.
34,11 V—IUXTA HEBR.
34,12 V—IUXTA HEBR.
34,13 V—IUXTA HEBR.
34,14 V—IUXTA HEBR.
34,15 V—IUXTA HEBR.
34,16 V—IUXTA HEBR.
34,17 V—IUXTA HEBR.
34,18 V—IUXTA HEBR.
34,19 V—IUXTA HEBR.
34,20 V—IUXTA HEBR.
34,21 V—IUXTA HEBR.
34,22 V—IUXTA HEBR.
34,23 V—IUXTA HEBR.
55,13 V—IUXTA HEBR.
55,16 V—IUXTA HEBR.
55,23 V—IUXTA HEBR.
54,1 V—IUXTA HEBR.
54,3 V—IUXTA HEBR.
54,6 V—IUXTA HEBR.
54,7 V—IUXTA HEBR.
54,9 V—IUXTA HEBR.
35,1 V—IUXTA HEBR.
35,2 V—IUXTA HEBR.
35,3 V—IUXTA HEBR.
35,4 V—IUXTA HEBR.
35,5 V—IUXTA HEBR.
35,6 V—IUXTA HEBR.
54,2 V—IUXTA HEBR.
35,7 V—IUXTA HEBR.
35,8 V—IUXTA HEBR.
35,9 V—IUXTA HEBR.
35,10 V—IUXTA HEBR.
35,11 V—IUXTA HEBR.
35,12 V—IUXTA HEBR.
35,13 V—IUXTA HEBR.
35,14 V—IUXTA HEBR.
35,15 V—IUXTA HEBR.
35,16 V—IUXTA HEBR.
53,2 V—IUXTA HEBR.
53,5 V—IUXTA HEBR.
53,7 V—IUXTA HEBR.
53,1 V—IUXTA HEBR.
53,6 V—IUXTA HEBR.
92,13 FLORE Palmier
Il existe 2600 espèces de palmiers. Parmi elles, à Ein Guedi pousse le palmier-dattier.
Le nom hébreu du palmier est Tamar.
Selon un dicton arabe il y aurait autant d'usages du palmier que de jours dans l'année.
Le palmier est considéré comme l’archétype de l’arbre de vie :
Brandir des palmes était un signe d’allégresse et de victoire :
Le palmier est parfois associé à la Vierge Marie : en raison des symboles précédemment cités (beauté, féminité, sainteté, fécondité, arbre donnant le fruit de vie) et de récits anciens :
53,3 V—IUXTA HEBR.
53,4 V—IUXTA HEBR.
52,1 V—IUXTA HEBR.
52,2 V—IUXTA HEBR.
52,3 V—IUXTA HEBR.
52,4 V—IUXTA HEBR.
52,6 V—IUXTA HEBR.
52,7 V—IUXTA HEBR.
52,5 V—IUXTA HEBR.
52,10 V—IUXTA HEBR.
52,8 V—IUXTA HEBR.
52,9 V—IUXTA HEBR.
51,6c tu es jugé : V—IUXTA G | tu auras jugé : V—IUXTA HEB R. V—IUXTA G lit iudicaris tandis que V—IUXTA HEBR. lit iudicaveris. Iudicaris est un présent passif, iudicaveris est un futur antérieur ou un subjonctif parfait de la voix active. Lemaîstre de Sacy a bien vu le passif en traduisant iudicaris « lorsqu'on jugera de votre conduite », de même Glaire et Vigouroux « victorieux lorsqu'on vous jugera », suivi par Fillion.
51,1 V—IUXTA HEBR.
51,2 V—IUXTA HEBR.
51,3 V—IUXTA HEBR.
51,4 V—IUXTA HEBR.
51,5 V—IUXTA HEBR.
51,6 V—IUXTA HEBR.
51,8 V—IUXTA HEBR.
51,10 V—IUXTA HEBR.
51,11 V—IUXTA HEBR.
51,13 V—IUXTA HEBR.
51,16 V—IUXTA HEBR.
51,19 V—IUXTA HEBR.
Voir Vocabulaire Ps 55,2b.
51,20 V—IUXTA HEBR.
50,1 V—IUXTA HEBR.
50,2 V—IUXTA HEBR.
50,3 V—IUXTA HEBR.
50,4 V—IUXTA HEBR.
50,5 V—IUXTA HEBR.
50,7 V—IUXTA HEBR.
50,8 V—IUXTA HEBR.
50,9 V—IUXTA HEBR.
50,10 V—IUXTA HEBR.
50,13 V—IUXTA HEBR.
50,14 V—IUXTA HEBR.
50,15 V—IUXTA HEBR.
50,17 V—IUXTA HEBR.
50,16 V—IUXTA HEBR.
50,18 V—IUXTA HEBR.
50,19 V—IUXTA HEBR.
50,21 V—IUXTA HEBR.
50,22 V—IUXTA HEBR.
50,6 V—IUXTA HEBR.
50,11 V—IUXTA HEBR.
50,20 V—IUXTA HEBR.
50,23 V—IUXTA HEBR.
49,1 V—IUXTA HEBR.
49,3 V—IUXTA HEBR.
49,5 V—IUXTA HEBR.
49,6 V—IUXTA HEBR.
49,7 V—IUXTA HEBR.
49,8 V—IUXTA HEBR.
49,10 V—IUXTA HEBR.
49,11 V—IUXTA HEBR.
49,12 V—IUXTA HEBR.
49,14 V—IUXTA HEBR.
49,15 V—IUXTA HEBR.
49,16 V—IUXTA HEBR.
49,17 V—IUXTA HEBR.
49,18 V—IUXTA HEBR.
49,19 V—IUXTA HEBR.
49,20 V—IUXTA HEBR.
49,21 V—IUXTA HEBR.
49,2 V—IUXTA HEBR.
49,9 V—IUXTA HEBR.
49,13 V—IUXTA HEBR.
48,1 V—IUXTA HEBR.
48,3 V—IUXTA HEBR.
48,5 V—IUXTA HEBR.
48,6 V—IUXTA HEBR.
48,8 V—IUXTA HEBR.
48,10 V—IUXTA HEBR.
48,11 V—IUXTA HEBR.
48,12 V—IUXTA HEBR.
48,13 V—IUXTA HEBR.
48,15 V—IUXTA HEBR.
48,4 V—IUXTA HEBR.
48,7 V—IUXTA HEBR.
48,9 V—IUXTA HEBR.
48,14 V—IUXTA HEBR.
47,1 V—IUXTA HEBR.
47,2 V—IUXTA HEBR.
47,7 V—IUXTA HEBR.
47,8 V—IUXTA HEBR.
47,5 V—IUXTA HEBR.
47,9 V—IUXTA HEBR.
47,4 V—IUXTA HEBR.
47,6 V—IUXTA HEBR.
47,10 V—IUXTA HEBR.
19,6 courir sa carrière (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Le terme français peut désigner un « terrain entouré de barrières et aménagé pour des courses de chars, des courses à pied, des passes d'armes », mais aussi la trajectoire d'un astre : CNRTL→.
46,1 V—IUXTA HEBR.
46,2 V—IUXTA HEBR.
46,5 V—IUXTA HEBR.
46,6 V—IUXTA HEBR.
46,10 V—IUXTA HEBR.
46,11 V—IUXTA HEBR.
46,12 V—IUXTA HEBR.
46,3 V—IUXTA HEBR.
46,4 V—IUXTA HEBR.
46,7 V—IUXTA HEBR.
46,8 V—IUXTA HEBR.
46,9 V—IUXTA HEBR.
45,1 V—IUXTA HEBR.
45,3 V—IUXTA HEBR.
45,7 V—IUXTA HEBR.
35,17 V—IUXTA HEBR.
35,18 V—IUXTA HEBR.
35,19 V—IUXTA HEBR.
35,20 V—IUXTA HEBR.
8,2 Maintenant que ta magnificence a été élevée au-dessus des cieux (V) Allusion à l'Ascension(-résurrection) comme nouvelle création
Les imagiers antiques et médiévaux font des allusions à la lecture typologique incrustée dans la version latine en établissant des correspondances visuelles entre représentations de la création et représentations de l'Ascension :
En son Ascension le Fils de l'homme rejoint le bleu et les anges du Ciel d'où il contemple l'orbe de la terre à ses pieds :
Il rentre même dans l'orbe de la gloire divine, dans l'icône liturgique :
Le Nouveau Testament décrit simplement le Christ « enlevé » dans les cieux et disparaissant derrière une nuée. Très ancienne (cf. Ascension des Évangiles Rabbula, Syrie, 6e s.), l'icône de l'événement montre le Christ en gloire : entouré d'une mandorle (ou cercle) de lumière, flanqué d'anges et vêtu de robes d'or brillantes.
C'était son statut depuis le commencement, comme le comprit génialement Giusto de
en représentant le Créateur de tout par le Verbe comme le Christ lui-même :73,25s Obsèques musicales
Musikalische Exequien, Op.7, SWV 279-281, est un ensemble de motets en trois parties, tout d'abord en forme de messe de funérailles allemande luthérienne. Ce premier épisode précède un autre motet (ou air spirituel) extrait du Psaume 73. Il est suivi à son tour d'une troisième partie, le Cantique de Siméon (connu dans la liturgie catholique sous le nom de Nunc dimittis). L'ensemble a été composé en 1635 pour les funérailles de Heinrich Posthumus von Reuss, seigneur de Gera, Schleiz et Lobenstein en Thuringe, mort le 16 décembre 1635.
Part I: Concert in Form einer teutschen Begräbnis-Messe SWV 279 6vv SSATTB – Intonatio: Nacket bin ich von Mutterleibe kommen – Soli: Nacket werde ich wiederum dahinfahren Herr Gott, Vater im Himmel – Soli: Christus ist mein Leben, Sterben ist mein Gewinn Jesu Christe, Gottes Sohn – Soli: Leben wir, so leben wir dem Herren Herr Gott, Heiliger Geist Intonatio: Also hat Gott die Welt geliebet, daß er seinen eingebornen Sohn gab -- Soli: Auf daß alle, die an ihn gläuben, nicht verloren werden Er sprach zu seinem lieben Sohn – Soli: Das Blut Jesu Christi Durch ihn ist uns vergeben – Soli: Unser Wandel ist im Himmel Es ist allhier ein Jammertal – Soli: Wenn eure Sünde gleich blutrot wäre, Sein Wort, sein Tauf, sein Nachtmahl – Solo (Altus): Gehe hin mein Volk – Soli: Der Gerechten Seelen sind in Gottes Hand – Solo (Tenor): Herr, wenn ich nur dich habe Soli: Wenn mir gleich Leib vnd Seele verschmacht Er ist das Heil und selig Licht – Soli: Vnser Leben währet siebenzig Jahr Ach, wie elend ist unser Zeit – Solo (Tenor): Ich weiß, daß mein Erlöser lebt Weil du vom Tod erstanden bist – Soli: Herr ich lasse dich nicht du segnest mich denn Er sprach zu mir
Part II: Motette Herr, wenn ich nur dich habe, SWV 280 8vv double choir SATB.SATB
Part III: Canticum B. Simeonis Herr, nun lässest du deinen Diener in Frieden fahren, SWV 281 8vv double choir SATTB.SSB
40,1 V — IUXTA HEBR.
40,2 V—IUXTA HEBR.
45,9 V—IUXTA HEBR.
45,13 V—IUXTA HEBR.
45,14 V—IUXTA HEBR.
45,15 V—IUXTA HEBR.
45,16 V—IUXTA HEBR.
45,17 V—IUXTA HEBR.
45,18 V—IUXTA HEBR.
45,5 V—IUXTA HEBR.
45,2 V—IUXTA HEBR.
45,12 V—IUXTA HEBR.
40,8 V—IUXTA HEBR.
40,11 V— IUXTA HEBR.
40,10 V—IUXTA HEBR.
40,15 V— IUXTA HEBR.
40,14 V—IUXTA HEBR.
40,16 V—IUXTA HEBR.
40,3 fèces (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Le latin emploie ici le terme assez rade faex, cis, d'où dérive directement le terme rare français fèces qui désigne le sédiment au fond d'un liquide trouble qui a reposé : CNRTL→.
44,1 V—IUXTA HEBR.
44,3 V—IUXTA HEBR.
44,4 V—IUXTA HEBR.
44,5 V—IUXTA HEBR.
44,6 V—IUXTA HEBR.
44,10 V—IUXTA HEBR.
44,11 V—IUXTA HEBR.
44,19 V—IUXTA HEBR.
44,20 V—IUXTA HEBR.
43,2 V—IUXTA HEBR.
43,3 V—IUXTA HEBR.
43,4 V—IUXTA HEBR.
43,1 V—IUXTA HEBR.
40,2s il me retira d'un lac de misères Le Seigneur retire du puits infernal L'icône traditionnelle de la résurrection représente le Christ descendu aux Enfers et en faisant remonter les justes des temps anciens.
40,7ss en tête du livre il est écrit de moi (V) ... à la voix du Verbe, dès « avant » son incarnation ... Dans les mots de David, depuis He 10,5-7, se fait entendre la voix de Jésus lui-même, c'est-à-dire celle du Verbe, peut-être même dès avant son incarnation, au conseil divin où le Père, le Fils et l'Esprit saint projettent le salut de l'humanité — conseil reflété dans le Livre des Écritures.
On appelle ce type d'images « Trinité du Psautier » car elle illustre le premier verset Ps 109 : « Le Seigneur a dit à mon Seigneur : siège à ma droite »… Elle place les Personnes sur deux trônes identiques et proches l’un de l’autre, pour le Père et le Fils, ou sur le même trône. complète similitude entre le Père et le Fils : Mêmes visages, mêmes vêtements, mêmes gestes. La personne du Dieu Père est invisible : elle n'a pour visibilité que les traits de la nature humaine de son Verbe incarné.
Dans sa célébrissime icône, Roublev
Le jeu des regards, des mains et des postures des trois Anges aux lèvres pourtant closes disent quelque chose de l'ineffable langage dans lequel chacune communique aux autres sa substance toute entière.
40,12–18 (V)... en passant par la voix de Jésus-Christ lui-même. Dans les mots de David, depuis He 10,5-7, se fait entendre la voix de Jésus lui-même. Les imagiers chrétiens ont illustré les nombreux moments où le Christ s'adresse à son Père, tant dans le temps de l'Évangile que dans l'éternité que celui-ci présuppose.
Jésus en prière, au pied de la Montagne sainte est tourné vers le Père, représenté en Vieillard chenu. Pierre le montre aux autres apôtres comme le maître de la prière chrétienne (cf. Lc 11,1).
Tissot remarque dans ses notes la préférence de Jésus pour les lieux élevés qui le rapprochent symboliquement de son Père, lors des moments de répit qu'il se donne au milieu de son ministère.
Accompagnant ses souffrances d'une prière constante à son Père, Jésus assume et repromulgue dans le paradoxe de son agonie de nombreuses plaintes exhalées par le psalmiste. Par exemple, la triple supplication à Gethsémani n'a cessé d'inspirer les peintres. Ici Le Gréco figure bien le dialogue de Jésus et de son Père, qui l'invite à accepter son calice :
16,2 mon Seigneur c'est toi puisque tu n'as pas besoin de mes biens (V) Voix de Jésus-Christ lui-même ? Dans les mots de David se fait entendre la voix de Jésus lui-même :
Les imagiers chrétiens ont illustré les nombreux moments où le Christ s'adresse à son Père, tant dans le temps de l'Évangile que dans l'éternité que celui-ci présuppose.
Jésus en prière, au pied de la Montagne sainte est tourné vers le Père, représenté en Vieillard chenu. Pierre le montre aux autres apôtres comme le maître de la prière chrétienne (cf. Lc 11,1).
Tissot remarque dans ses notes la préférence de Jésus pour les lieux élevés qui le rapprochent symboliquement de son Père, lors des moments de répit qu'il se donne au milieu de son ministère.
Accompagnant ses souffrances d'une prière constante à son Père, Jésus assume et repromulgue dans le paradoxe de son agonie de nombreuses plaintes exhalées par le psalmiste. Par exemple, la triple supplication à Gethsémani n'a cessé d'inspirer les peintres. Ici Le Gréco figure bien le dialogue de Jésus et de son Père, qui l'invite à accepter son calice :
91,5ss Résister aux flèches du mal Saint Antoine est resté le type même de l'ascète fidèle à Dieu à travers les tentations.
42,10b me disant Dum avec indicatif peut signifier « quand » (= « en » et participe présent). (→). Dict.
42,3 V—IUXTA HEBR.
42,5 V—IUXTA HEBR.
42,7 V—IUXTA HEBR.
42,12 V—IUXTA HEBR.
42,1 V—IUXTA HEBR.
42,2 V—IUXTA HEBR.
42,4 V—IUXTA HEBR.
42,6 V—IUXTA HEBR.
42,8 V—IUXTA HEBR.
42,11 V—IUXTA HEBR.
43,5 V—IUXTA HEBR.
42,9 V—IUXTA HEBR.
42,10 V—IUXTA HEBR.
41,1 V—IUXTA HEBR.
41,2 V—IUXTA HEBR.
41,3 V—IUXTA HEBR.
41,6 V—IUXTA HEBR.
41,8 V—IUXTA HEBR.
41,9 V—IUXTA HEBR.
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41,14 V—IUXTA HEBR.
41,4 V—IUXTA HEBR.
40,3 V—IUXTA HEBR.
40,4 V—IUXTA HEBR.
40,5 V — IUXTA HEBR.
40,6 V—IUXTA HEBR.
40,7 V—IUXTA HEBR.
40,9 V—IUXTA HEBR.
40,10 V—IUXTA HEBR.
40,12 V— IUXTA HEBR.
40,13 V—IUXTA HEBR.
40,17 V— IUXTA HEBR.
40,18 V— IUXTA HEBR.
35,21 V—IUXTA HEBR.
35,22 V—IUXTA HEBR.
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35,28 V—IUXTA HEBR.
92,15b ils seront bien patients (V)
92,9 in aeternum (V) peut se traduire encore « à jamais, pour toujours ».
cf. →La conception du temps prolongé (siècle, éternité) dans le Psautier grec et latin.
92,1 Psaume de cantique pour le jour du sabbat (V) Psalmus cantici peut se comprendre comme un « psaume sous forme de cantique ». Le titre indique la destination liturgique de ce psaume : devant être chanté le jour du sabbat.
92,5 façon (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Vocabulaire de la création comme artisanat On traduit ainsi le terme latin factura, qui désigne la facture d'un ouvrage, la manière dont une œuvre d'art est composée sur le plan technique (CNRTL→). Le terme « façon » prête à moins de contresens que celui de « facture », et peut avoir le même sens (CNRTL→).
36,1 V—IUXTA HEBR.
36,2 V—IUXTA HEBR.
36,3 V—IUXTA HEBR.
36,4 V—IUXTA HEBR.
36,5 V—IUXTA HEBR.
36,6 V—IUXTA HEBR.
36,7 V—IUXTA HEBR.
36,8 V—IUXTA HEBR.
36,9 V—IUXTA HEBR.
36,10 V—IUXTA HEBR.
36,11 V—IUXTA HEBR.
36,12 V—IUXTA HEBR.
36,13 V—IUXTA HEBR.
39,2 V—IUXTA HEBR.
39,3 V—IUXTA HEBR.
39,4 V—IUXTA HEBR.
39,6 V—IUXTA HEBR.
39,7 V—IUXTA HEBR.
39,8 V—IUXTA HEBR.
39,10 V—IUXTA HEBR.
39,11 V—IUXTA HEBR.
39,13 V—IUXTA HEBR.
39,14 V—IUXTA HEBR.
39,5 V—IUXTA HEBR.
39,9 V—IUXTA HEBR.
39,12 V—IUXTA HEBR.
38,1 V—IUXTA HEBR.
38,7 V—IUXTA HEBR.
38,13 V—IUXTA HEBR.
38,14 V—IUXTA HEBR.
38,16 V—IUXTA HEBR.
38,19 V—IUXTA HEBR.
38,20 V—IUXTA HEBR.
38,21 V—IUXTA HEBR.
87,1 Ses fondements (V) L'entame sur un pronom, qui présuppose du lecteur la connaissance de son antécédent, invite les commentateurs latins à l'allégorie
il s'agit donc de la nouvelle Jérusalem
Selon cette interprétation, il n'y a pas une, mais plusieurs montagnes saintes, en particulier le Thabor où le Législateur et le Prophète confirment le Christ comme pierre angulaire de la nouvelle Jérusalem :
87,4ss Tous les peuples réunis dans la Jérusalem céleste Les enlumineurs de l'Apocalypse permettent d'imaginer le rassemblement ordonné de tous les peuples dans la Jérusalem à venir...
87,1–7 De Sion Graduel
De Sion resplendit sa beauté parfaite. Dieu vient en plein jour. Il convoque devant lui la nation consacrée qui a fait alliance avec lui par le sacrifice.
86,17.1 Fais pour moi un signe Introït
Fais à travers moi un signal pour le bien : qu’ils ouvrent les yeux, ceux qui me haïssent,et qu’ils soient confondus car c’est toi, Seigneur, qui m'as secouru et qui m'as consolé.
89,21 justices (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Pour conserver la répétition du même terme latin en Ps 89,15.17.21, on reprend l'usage, un peu veilli, du nom « justices » au pluriel pour désigner les ordonnances, arrêts ou sentences pris par un juge : CNRTL→, C.
89,45 explosé (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Le verbe collido (con-lido), employé ici par V est extrêmement rare en latin (moins de 50 occurrences dans la base de Logeion→). On transpose cette rareté par un petit saut de niveau de langue, grâce au verbe « exploser » dont l'usage transitif, familier (cf. Larousse→), veut bien dire ce qu'il veut dire !
89,18 corne (V) sémitisme = force
89,45 état de pureté (V) Terme technique Le nom latin (e-)mundatio,nis, employé ici par V est extrêmement rare en latin (moins de 50 occurrences dans la base de Logeion→). Il désigne l'état de →pureté rituelle atteint au terme des rites de purification prescrits dans le Lévitique : Lv 13,35 ; 14,32 ; 15,13 ; 16,30 ; Mc 1,44 ; Lc 5,14 ; He 9,13.
78,1 Recueillez la joie de votre gloire - Introït
Introït chanté durant le Temps Pascal et pour la fête de l'Apôtre Saint Marc.
« Recueillez la joie de votre gloire, alléluia : en rendant grâce à Dieu, alleluia ; qui vous a appelés aux royaumes des cieux. »
89,20ss.2 J'ai exalté un élu - Introït
Extuli electum de populo oleo sancto meo unxi eum ut manus mea sit semper cum eo et brachium meum confirmet eum.
96,6.1 Acclamation et beauté en sa présence - Introït
Pièces chantées pour la fête de Saint Laurent le 10 août.
Confessio et pulchritudo in conspectu eius : sanctitas et magnificentia in sanctificatione eius.
Acclamation et beauté en sa présence : sainteté et magnificence en son action sainte !
21,3s Tu as mis sur sa tête une couronne - Graduel et Répons
Graduel chanté pour la fête du Couronnement de la Vierge Marie le 22 août.
Posuisti, Domine, super caput eius coronam de lapide pretioso.
Vous avez posé, Seigneur, sur sa tête une couronne de pierres précieuses.
86,9s Toutes les nations - Communion
Pièce de communion chantée pour la fête du Saint Nom de Jésus.
21,2ss Dans ta puissance le roi se réjouira - Introït
Introït chanté pour les fêtes des saints rois (Saint Henri, Saint Etienne de Hongrie, Saint Louis, Saint Wenceslas).
45,3 La grâce est répandue sur tes lèvres - Offertoire
Offertoire chanté pour les fêtes de la Vierge Marie.
34,12.6 Venez, fils Graduel et Offertoire
Venite filii, audite me : timorem Domini docebo vos.
Venez, mes fils, écoutez-moi : je vous enseignerai la crainte du Seigneur.
56,9.2 Dieu, ma vie... Graduel
Graduel chanté pour la fête de Notre-Dame des douleurs, le 15 septembre.
Deus, vitam meam nuntiavi tibi : posui lacrimas meas in conspectu tuo.
Dieu, ma vie, je vous l’ai exposée : j'ai mis mes larmes sous votre regard.
88,2s Que ma prière entre en ta présence - Introït
Introït chanté pendant le temps du Carême.
Intret oratio mea in conspectu tuo: inclina aurem tuam ad precem meam Domine.
Que mon oraison soit introduite en votre présence: prêtez l’oreille à ma prière, Seigneur.
37,5 V—JUXTA HEBR.
37,7 V—JUXTA HEBR.
37,8 V—JUXTA HEBR.
37,9 V—JUXTA HEBR.
37,10 V—JUXTA HEBR.
89,44 repoussé l'aide de son glaive + pas assisté dans la guerre (V) Motifs christiques ? Les deux expressions évoquent deux motifs combinés dans le récit de la Passion.
37,12 V—JUXTA HEBR.
37,13 V—JUXTA HEBR.
37,15 V—JUXTA HEBR.
37,16 V—JUXTA HEBR.
37,17 V—JUXTA HEBR.
37,21 V—JUXTA HEBR.
37,22 V—JUXTA HEBR.
37,23 V—JUXTA HEBR.
37,25 V—JUXTA HEBR.
37,26 V—JUXTA HEBR.
37,27 V—JUXTA HEBR.
37,28 V—JUXTA HEBR.
37,29 V—JUXTA HEBR.
37,30 V—JUXTA HEBR.
37,32 V—JUXTA HEBR.
37,33 V—JUXTA HEBR.
37,34 V—JUXTA HEBR.
37,35 V—JUXTA HEBR.
37,38 V—JUXTA HEBR.
37,39 V—JUXTA HEBR.
37,40 V—JUXTA HEBR.
89,2 miséricordes (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Des œuvres, pas seulement un sentiment En français, le nom miséricorde désigne :
Pour ne pas alourdir la traduction et surtout pour conserver les variations du même terme au singulier et au pluriel, on emploie le terme par métonymie pour désigner les œuvres et les réalisations inspirées par la miséricorde :
89,9 Vertus (V) : Allusion à l'un des chœurs angéliques du deuxième rang ? On pourrait traduire Deus virtutum par « Dieu des armées », équivalent de « Seigneur Sabaoth ». Mais le contexte céleste et angélique n'invite-t-il pas aussi à déjà identifier ici un des chœurs angéliques du deuxième cercle ? Les voici représentés au-dessous d'un triangle lumineux marqué du Tétragramme, symbole de la Trinité :
L'ensemble des Écritures évoque 9 catégories différentes de créatures angéliques. Selon leur systématisation chrétienne, due en particulier au →, elles présentent Hiérarchie céleste
89,6–9 cieux + fils de Dieu + conseil des saints + Vertus (V) : Allusion au conseil divin ? Bien attesté dans les panthéons archaïques (sumérien, akkadien, babylonien, égyptien, babylonien, cananéen, israélite, celtique, grec, romain et nordique), le rassemblement des êtres célestes autour du Dieu dominant a laissé des traces dans l'Écriture, ne fût-ce que dans les elohim énigmatiques du Ps 82,1.6, et plus encore dans la hiérachie céleste des anges mise en place au fil des livres, de l'Ancien au Nouveau testament.
Au conseil divin qui apparaît ici, les « fils de Dieu » sont assimilés aux anges, dont la Tradition a identifié la hiérarchie
La miniature présente en 9 cercles concentriques les 9 chœurs des « anges » (c’est-à-dire des créatures spirituelles envoyés par Dieu comme médiatrices entre lui et la création), réunis en une parfaite unité (« Einheit »), autour du centre blanc symbolisant l’irreprésentable simplicité (perfection et pureté) divine (dans l’iconographie postérieure, on montrera le chef du Christ).
montrent Anges et Archanges, symbolisant l’aide surnaturelle apportée au corps et à l’âme humains :
figurent les 5 légions d’anges (Vertus, les Puissances, les Principautés, les Dominations et les Trônes). Ces 5 légions soutiennent les 5 sens de l’homme : les Vertus aident aux bonnes œuvres, les Puissances à la clarté resplendissante, les Principautés qui sont les Princes des hommes dans le siècle, les Dominations casquées, les Trônes qui n’ont pas forme humaine, mais qui symbolisent la divinité s’abaissant vers l’humanité.
Incandescents, Chérubins et Séraphins, figurent le rayonnement double de l’Amour, pour Dieu et pour le prochain. Les Chérubins, remplis d’yeux et d’ailes, figurent la science et la sagesse divines. Les yeux sont le symbole de la connaissance divine. Les séraphins, dont le nom signifie « le brûlant », sont les plus proches du rayonnement divin. Ils ont six ailes : deux pour voler, deux pour se voiler la face devant l’Eternel, deux pour se couvrir les pieds, afin d’adoucir le feu d’amour qui les dévore :
Les Postilles de Nicolas de Lyre sont des commentaires de la Bible. Ce manuscrit a été enluminé par le maître du missel de Troyes vers 1460. Le Paradis est représenté au centre de la page sous la forme conventionnelle d’un jardin peuplé d’animaux dans lequel se trouvent Adam, Ève et les quatre fleuves. Cette vision paradisiaque est entourée d’une série de cercles concentriques représentant le ciel et l’univers. Au-dessus, dans la sphère du divin, sont disposés les neuf chœurs angéliques, dominés par Dieu le Père, sortant de l’image et esquissant un geste de bénédiction.
La représentation de l'univers comme somme de toutes les choses, représentée par une série de sphères au centre desquelles se trouve la Terre entourée d'eau, correspond à la tradition aristotélicienne. La place des anges dans l'image est conforme à leur rôle d'instruments du pouvoir divin : le grec aggelos signifie « messager ». « Vicaires » de Dieu, ils sont envoyés en mission et participent à la Révélation du Verbe aussi bien dans l'Ancien que dans le Nouveau Testament. La source de la hiérarchie angélique dans les images médiévales se trouve essentiellement dans l’œuvre du →, qui décrit les neuf chœurs angéliques divisés en trois degrés. Dans cette image les chœurs des anges forment une assemblée. Ils sont peu différenciés, mais leur disposition en rangs permet de rendre compte de la hiérarchie. Hiérarchie céleste.
Tous participent de la diffusion de la lumière en tant qu'instrument du pouvoir divin. Plus ils sont proches de Dieu, plus ils sont représentés de manière abstraite ; plus ils s'en éloignent, plus ils sont incarnés, et donc proches des hommes. On observe aussi un parallèle entre la structure chromatique des chœurs et celle du cosmos. Cette image montre l'organisation du pouvoir divin, et insiste sur son ordonnancement rigoureux. Elle met en avant les principes d'ordre et de cohésion au sein de l'univers chrétien, servant à l'expression de l'autorité divine en dehors de toute temporalité.
37,11 V—JUXTA HEBR.
37,1 V—IUXTA HEBR.
37,3 V—JUXTA HEBR.
37,14 V—JUXTA HEBR.
37,18 V—JUXTA HEBR.
37,20 V—JUXTA HEBR.
37,24 V—JUXTA HEBR.
80,17 déchaussée (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Le latin dIt suffossa, part passé passif de suffodire, verbe très rare signifiant « creuser par en-dessous, saper ».
Le terme propre en agriculture et en viticulture est « déchausser » au sens de « dénuder à la base, dégager le pied d'un arbre ou d'une vigne de la terre recouvrant ses racines » (CNRTL→). Il est peu connu, mais sa rareté correspond à celle du mot latin (moins de 50 occurrences dans la base de Logeion→), et la connotation anthropomorphique qu'il apporte, en français, convient bien au contexte poétique : le motif de la vigne est entrelacé à celui du « fils [de l'homme] » établi par Dieu !
37,36 V—JUXTA HEBR.
65,1 on rendra son vœu (V) FRANÇAIS BIBLIQUE L'expression « rendre ses vœux » est attestée dans le dictionnaire→ de . C'est à la fois se rendre au lieu où pourra être formulé un vœu et rendre à ce lieu la promesse qui fut faite s'il est exaucé ; une sorte de contrat relie ainsi la prière à un sanctuaire précis où le fidèle reconnaît la puissance de Dieu invoqué dans le besoin ou la détresse.
89,51ss commutation de ton christ (V) Désignation technique du mystère pascal ?
Deux détails du célèbre →Retable d’Issenheim suffisent à se représenter la mutation subie par le Messie durant sa Passion :
18,2ss Citadelle imprenable ?
Sur la base des ruines des citadelles auxquelles se confièrent les royaumes qui se succédèrent au Levant, les artistes permettent de ressentir le sentiment de sécurité qu'elles purent susciter au temps de leur splendeur...
6,2–11 Le thème du pénitent. En art, le thème du pénitent a été élargi à d'autres figures bibliques que David, y compris des figures de justes persécutés, comme celle de Job.
Dans le tableau de Léon
, le corps nu et décharné tranche sur le fond sombre : Job est en état de supplication, comme David dans ce psaume.6,2–11 FRANÇAIS BIBLIQUE Le premier des sept « psaumes pénitentiels » Depuis ce psaume est considéré traditionnellement comme le premier d'une série de sept psaumes dits « pénitentiels » (Ps 6 ; 32 ; 38 ; 51 ; 102 ; 130 ; 143). Ce groupement de psaumes exprime la tristesse du péché, même si les Ps 6 ; 102 ; 143 n'en parlent pas explicitement. On établissait naturellement dans les sociétés antiques entre péché et maladie ou malheur, même si notre époque attribuerait plus immédiatement l'affaiblissement et les larmes à une cause extérieure (épreuve infligée par des adversaires) plutôt qu'intérieure (le péché). Le regroupement des sept psaumes a inspiré nombre d'œuvres musicales ou littéraires, par exemple les admirables Sept psaumes pénitentiaux→ par Pierre en 1670 (traduction, et amplification).
89,53 fiat (V) FRANÇAIS BIBLIQUE En français, « fiat » est un substantif masculin invariable (cf. Larousse→). Dérivé de Gn 1,3 il désigne la volonté divine qui crée par la parole, mais aussi en philosophie la volonté humaine délibérée (en écho à Lc 1,38). Fiat s'emploie aussi comme synonyme de « soit », p. ex. :
72,20 fiat (V) FRANÇAIS BIBLIQUE En français, « fiat » est un substantif masculin invariable (cf. Larousse→). Dérivé de Gn 1,3 il désigne la volonté divine qui crée par la parole, mais aussi en philosophie la volonté humaine délibérée (en écho à Lc 1,38). Fiat s'emploie aussi comme synonyme de « soit », p. ex. :
72,16 firmament (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Dérivé de firmare « rendre ferme, solide », le nom « firmament » désigne la voûte céleste à laquelle les astres semblent fixés. En latin classique le mot avait le sens de « soutien, appui » (au propre et au figuré). Cf. CNRTL→.
89,41 firmament FRANÇAIS BIBLIQUE Dérivé de firmare « rendre ferme, solide », le nom « firmament » désigne la voûte céleste à laquelle les astres semblent fixés. En latin classique le mot avait le sens de « soutien, appui » (au propre et au figuré). Cf. CNRTL→. Doit-on voir dans cette mutation du firmament en épouvante une allusion à l'agonie de Jésus (cf. Mt 26,14 //) ?
8,2–10 O Lord our governor
8,2–10 La Sagesse dirige toutes les œuvres du Créateur
Cette composition polyphonique à quatre voix de l'anglais Henry Purcell reprend le texte du Psaume 8. Ce texte exalte le règne du Seigneur sur toute sa création et insiste sur la Sagesse créatrice qui dirige toutes ses œuvres.
8,1–10 Ton nom est admirable. La puissance du Nom de Dieu En peignant le Nom divin sur une voûte, Goya pousse le fidèle qui entre dans l'église et qui lève les yeux à s'associer aux anges qui l'adorent.
→Tétragramme inséré dans un triangle équilatéral éclatant. La construction de la fresque (emplacement, jeux de regard des anges, répartition des couleurs, lignes de force) associe le spectateur aux anges, dans le simple mouvement de lever les yeux vers elle !
reprend la symbolisation traditionnelle du Nom de Dieu, sous la forme du41,9.11 ressuscite (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Vocabulaire christologisant V emploie deux fois le verbe resurgo, qui signifie « se relever, renaitre, ressusciter ». Le verbe français ressusciter a lui-même plusieurs sens (cf CNRTL→) : outre ses emplois intransitifs, en emploie transitif il signifie non seulement « faire passer de la mort à la vie » au sens théologique dérivé de la Bible, mais aussi « ré-animer » (en médecine), « donner une nouvelle vigieur » (en littérature), « rendre la joie de vivre » ou « faire revivre une expérience » (en psychologie), etc. On le conserve ici, même si ses connotations christologiques sont sans doute plus prégnantes en français qu'en latin.
41,10 Le copain qui trahit Du fait de sa reprise par la bouche de Jésus en Jn 13,18, ce v. évoque immanquablement la trahison de Judas. Le lien avec la pain partage est souvent retenu dans l'iconographie de la dernière Cène, par exemple chez cet imitateur ancien de Vinci :
Remarquez le détail pathétique de Judas, au milieu du groupe à la droite de Jésus, bourse en main droite et main gauche tendue vers le pain partagé avec son ami ...
11,6s Une pluie de pièges, feu et souffre et vents d'ouragans (V). Le châtiment des impies. Dans l'Ancien Testament et l'Apocalypse, Dieu se sert parfois des éléments naturels, et en particulier du feu, pour punir les impies (notamment dans Gn 19,24 ; Dt 29,22 ; Is 30,33 ; Ez 38,22 ; Ap 14,10 ; Ap 20,10).
Également intitulée Le jour de sa colère, cette huile sur toile est directement inspirée de la description du sixième sceau de l'Apocalypse (Ap 6,12-14). La terre se fend et laisse apparaître un gouffre au centre du tableau. La foule d'humains pressés de part et d'autre de la faille finit par sombrer dans les profondeurs de la terre. Au premier plan, seuls les corps qui tombent se détachent visuellement des deux masses noires. Des éléments rocheux et urbains se décrochent et sont prêts à fondre sur les hommes : la mort est inévitable. La nature dramatique de cette scène est accentuée par le contraste entre les couleurs chaudes des étangs et des boules de feu et la froideur des rochers, du ciel et du gouffre.
19,4b dont les voix ne puissent être entendues (V) Sémitisme ? La tournure française bizarre rend une étrangeté de V : quorum non audiantur voces eorum, « dont leurs voix ne s'entendent »
Est-ce un effet de « style biblique » (mal à propos) ? Y aurait-il eu une autre version hébraïque perdue ?
19,2 Les cieux racontent la gloire de Dieu Quand l'artiste prend le relai des cieux
C’est sur le ciel magnifié de Chalonnes-sur-Loire que donnent les vitraux colorés de l’église Saint-Maurille, réalisés sur commande publique par Pierre Mabille. L’artiste, qui s’est donné comme ligne directrice de toujours travailler avec la même forme ovale, écarte ainsi les surfaces saturées de signes au profit de la seule chromatique — faisant selon ses mots « jouer les possibles de la couleur »
Ici, ce sont des variations de rouge, jaune et bleu qui, frappées par la lumière du jour, pénètrent l’enceinte sacrée et se répandent sur ses murs, son sol :
Par le truchement de l'artiste, le verbe des cieux envahit l'espace de l'église en un tourbillon de couleur.
19,3.5 verbe + verbes (V) : FRANÇAIS BIBLIQUE Du Verbe aux verbes et réciproquement Le psalmiste observe une continuité
En V, le mot verbum symbolise au mieux cette continuité.
Le nom verbum, omniprésent dans les Écritures, signifie « mot, énoncé, parole(s) » et beaucoup plus encore. Il assume les significations de dabar et de →logos, cristallisant la méditation sur la présence d'un « langage » transcendant avec le Créateur, participé dans la création. Cet usage culmine dans le Nouveau Testament pour désigner le mystère personnel de Jésus-Christ (cf. V—Jn 1,1.14.17).
L'expression verbum Domini, en particulier, crée donc un fil continu de révélation christique, de livre en livre. Pour les scribes latins : elle dénote non seulement les paroles attribuées à Dieu, mais aussi Jésus-Christ comme ce Verbe ultime ; elle connote donc aussi sa prééxistence, dans des proportions et selon des participations difficilement déterminables. De fait, les Pères (Jérôme, Augustin) lisent dans ce psaume tout le mystère du Verbe incarné :
Autant que possible, nous traduisons donc verbum par « verbe », le plus souvent sans majuscule, parfois avec.
19,3–15 verbe + verbes + dires (V) Du Verbe divin aux mots du psalmiste en passant par la Loi Les artistes visuels peuvent aider à se représenter les diverses participations au v/Verbe évoquées dans ce psaume.
Le psalmiste est saisi par la présence océanique d'un « Verbe » transcendant tout mot au cœur d'un cosmos qui semble « empli par la sonorité d'une phrase non prononcée » (Paul Ps 19,3).
, L'œil écoute) (Il discerne dans les signes naturels autant de « verbes » (Ps 19,4) qui proclament la gloire du Créateur comparé au soleil source de toute lumière, avant d'en rapprocher la Loi elle-même (Ps 19,8), éblouissante et fécondante comme l'astre du jour : en la gardant, le poète peut à son tour prononcer des mots pleins de grâce (Ps 19,15).
est représenté dans nombre de cycles anciens sur récits de création, sous les traits du Verbe créateur (incarné en Jésus) dominant l'univers qu'il a créé et qu'il maintient dans l'existence en le bénissant.
Son « langage » est ici symbolisé dans le compas d'architecte : Dieu a créé l'univers selon des principes géométriques et harmoniques ; découvrir a posteriori ces principes, par la contemplation artistique autant que par la science, c'est se réjouir d'entendre Dieu.
Inscription en ancien français : « Ici crie Dex ciel et terre, soleil et lune et toz elemenz ».
La composition de Pietro di Pucci da Orvieto représente la « création continuée » : à la fois l'origine de l'univers et sa dépendance constante à l'égard du Verbe créateur tout-puissant. Une figure colossale de la Divinité avec traits du Christ, Verbe incarné, tient un cosmos circulaire, le tout inscrit dans un cadre carré.
Les deux penseurs qui se tiennent sous l'univers, Augustin à g. et Thomas d'Aquin à dr. représentent, d'une certaine façon, tous ceux qui ont prolongé à travers les âges l'admiration du psalmiste pour l'œuvre du Verbe. Avant même Col 1,17, → 188 enseignait que « Le Logos du Dieu vivant est le lien de toute chose, qui maintient toutes choses ensemble et lie toutes les parties, et les empêche de se dissoudre et de se séparer… le Logos, qui relie et attache chaque chose, est particulièrement particulier. se remplit de lui-même, n’ayant besoin d’aucune chose au-delà. » Quis rerum divinarum heres sit
Retrouvant l'inspiration du psalmiste qui rapproche la Loi écrite et le Verbe manifesté dans le cosmos, des imagiers contemporain (chrétiens littéralistes ?), se plaisent à représenter le Livre lui-même
50,11 Puzzle Hieroglyphique
18,50 je te confesserai (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Un terme merveilleusement ambivalent En français courant (comme dans celui de fidèles dès le 4e s. à en croire saint Augustin : Tradition chrétienne Ps 118,1.29 !), les mots « confession » ou « confesser » évoquent trop souvent le sentiment de culpabilité, l'auto-accusation, ou le ... confessionnal ! Mais ces significations devenues habituelles ne sont que dérivées. Dans l'Écriture, et particulièrement dans le psautier latin, le verbe confiteor traduit le verbe grec exomologeô qui signifie « promettre, consentir, avouer, confesser, glorifier, rendre grâce » ; le sens dominant de l'acte de parole désigné par le verbe est celui de la confessio laudis.
Pour évoquer toute la richesse de ce mouvement de l'âme si profond, la traduction gardera autant que possible les mots « confession » ou « confesser ».
49,8–12 Memento mori
L’homme accumule, ne voyant pas qu’il va vers sa fin. Cette nature morte, à laquelle se mêlent ironiquement un squelette et des crânes, nous interroge : ne sont-ils pas déjà morts, ceux qui placent leur espoir dans les choses de ce monde ?
50,17 comme des vieilleries (V)
Le verbe projicio a un sens assez fort (« lancer, projeter ») ; l'adverbe retrorsum signifie « dans une direction rétrograde, en arrière ». Ainsi peut se comprendre notre traduction.
51,3–21 ; 23,1–6 ; 121,1–8 ; 18,1–51 ; 55,6 Le Roi David, héros symphonique
Ce psaume symphonique en trois parties pour narrateur, trois solistes (SAT), deux chœurs et orchestre est une œuvre de Arthur 1S 16,1-31,13). La deuxième partie célèbre le couronnement de David, sa danse devant l'arche (2S 6,1-23), et la prédiction de la naissance de Solomon par l'ange (2S 7,1-29). Elle se conclue par un chœur d'anges chantant « Alleluia ». La troisième partie raconte les histoires tragiques de David et Bethsabée (2S 11,1-12,31) et la mort d'Absalon (2S 18,1-19,44) ; elle se termine avec la repentance de David (Ps 51,1-21), l'expression de sa piété (Ps 121,1-8), de sa loyauté (Ps 18,1-51) et sa mort paisible (1R 2,1-46), suivie d'un chœur d'Alleluia sereins suggérant l'ascension de l'âme de David au ciel. On retient de nombreux chants de cet oratorio comme le « Cantique du berger David » inspiré du Ps 23,1-6, la lamentation pour soprano « Ah ! si j'avais des ailes de colombe » (Ps 55,6), et l'incantation dramatique de la Sorcière d'Endor (1S 28,1-25), où la sorcière appelle Samuel, d'abord en sifflant puis par un crescendo jusqu'à un rugissement. Des parties instrumentales sont également restées célèbres comme la « Marche des Hébreux », la « Marche des Philistins » ou encore le « Couronnement de Salomon ».
basée sur l'histoire de David. Elle combine des textes des Psaumes, de Job, d'Isaïe et d'un Psaume non biblique de la Renaissance du poète Clément Marot. La première partie raconte l'histoire de la jeunesse de David et se concentre sur la jalousie de Saul, culminant dans sa défaite et sa mort à Gilboa (Part I : 1. 0:01 Introduction 2. 2:07 Cantique du berger David 3. 3:55 Psaume : Loué soit le Seigneur 4. 5:23 Chant de victoire 5. 6:16 Cortège 6. 8:13 Psaume : Ne crains rien 7. 10:15 Psaume : Ah! Si j'avais des ailes de colombe 8. 13:42 Psaume : Cantique des Prophètes 9. 15:27 Psaume : Pitié de moi, mon Dieu 10. 17:59 Le camp de Saül 11. 20:04 Psaume : l'Éternel est ma lumière infinie 12. 21:49 Incantation : La Pythonisse 13. 24:18 Marche des Philistins 14. 25:57 Lamentations de Guilboa. Part II : 15. 31:00 Cantique de fête 16. 32:23 La danse devant l'arche. Part III : 17. 43:09 Cantique : De mon cœur jaillit un cantique 18. 44:45 Chant de servante 19. 46:38 Psaume de pénitence 20. 49:00 Psaume : Je fus conçu dans le péché 21. 52:54 Psaume : Je lève mes regards vers la montagne 22. 54:29 La chanson d'Ephraïm 23. 55:45 Marche des hébreux 24. 58:22 Psaume : Je t'aimerai, Seigneur, d'un amour tendre 25. 1:00:57 Psaume : Dans cet effroi 26. 1:02:23 Couronnement de Salomon 27. 1:04:15 Mort de David.
55,2b ne regarde pas avec distraction V—IUXTA HEBR. Pour la traduction de Jérôme selon l'hébreu, V—Gryson propose dispicias (du verbe dispicio qui signifie voir autour de soi, ouvrir les yeux, bien voir, distinguer, prendre en considération, considérer, examiner).
Est-ce une erreur d'une voyelle ? Il semble qu'on aurait dû utiliser le verbe despicio, regarder de haut, regarder ailleurs, être distrait, mépriser, dédaigner, regarder avec mépris », etc.
55,3 exercice (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Dans la Bible latine, exercitatio signifie aussi bien :
En français le substantif « exercice » peut signifier de même l'action de s'exercer ou de pratiquer, l'entraînement y compris ce qu'il a de pénible, ainsi que l'ascèse en vue d'un perfectionnement spirituel, avec sa part de méditation, comme en témoignent les célèbres →Exercices spirituels de saint
55,2–12 Appel à l'aide de l'homme environné de ténèbres et tenté de fuir : le Christ au jardin des oliviers « Mon Père, si c’est possible, que passe loin de moi cette coupe ... » (Mt 26,39)
57,9 Mon cœur est prêt
95,1 V—IUXTA HEBR.
95,1c Dieu notre sauveur (V) Ambiguïté : salut ou sauveur ? Plutôt que par un substantif clair, les versions latines de l'Écriture rendent souvent, un peu étrangement, les substantifs grec (sôter) ou hébreu (yēša) désignant le salut par l'adjectif substantivé salutaris,e « salutaire »
15,1–5 Qui habitera dans ton tabernacle ? ... Celui qui ne donna son argent à l'usure, ni n'accepta de cadeaux sur le dos des innocents ! Zachée : le chemin d'un repenti.
Le psalmiste énonce ici les conditions qui définissent un homme juste et apte à entrer dans le sanctuaire de Dieu. L'intégrité devant la Loi et la probité en font partie.
Dans le Nouveau Testament, la venue du Christ permet au repenti d'accéder à la sainteté, à l'exemple de Zachée qui n'est pas un modèle de vertu : ses voisins connaissent ses malversations lors des collectes d'impôts. Le Christ, pourtant, le visite lorsqu'il est encore pécheur, ce qui amène l'homme à la repentance et au renoncement à la malhonnêteté (Lc 19,1-10).
À genoux, les yeux levés au ciel, la main droite posée sur le cœur, Zachée pointe des sacs remplis d'argent de sa main gauche, conscient de ce qui l'éloignait de Dieu. Un poème de pénitence de six vers écrit par Petrus Scriverius accompagne la gravure.
Willem van Swanenburg crée en 1611 une série de six gravures sur les pécheurs de l'Ancien et du Nouveau Testament. On y trouve trois paires de deux pécheurs, repentis ou non : Pierre et Paul, Marie-Madeleine et Zachée, Saül et Judas Iscariot. Certains commentateurs y voient une défense du sacrement de la pénitence et de la Contre-Réforme aux Pays-Bas.
16,1–11 (V) Énonciation : dialogue du Christ et de son Père Au-dedans de la voix du messie David en prière, c'est celle du Messie ultime que la tradition latine a entendue dans ce psaume :
Au début du Psaume 15, l'imagier médiéval entend bien la voix pleine d'espérance du roi-poète David s'adressant à son Dieu symbolisé par les rayons de la lumière d'en haut. Les mains levées à la hauteur de la poitrine et tournées vers l'extérieur sont un signe d'écoute et d'humilité devant la présence de Dieu.
19,2–15 Les cieux racontent la gloire de Dieu Quand science, art et théologie dialoguent ... Jean Kepler, astronome du début du 17e s., est souvent associé au Psaume 19 en raison de ses profondes croyances religieuses et de sa passion pour l'astronomie. Le Psaume 19, qui commence par « Les cieux racontent la gloire de Dieu; et l'étendue manifeste l'œuvre de ses mains », a une résonance particulière dans le travail de Kepler, qui voyait dans l'ordre et la beauté de l'univers une expression de la divine providence.
Dans son œuvre Le Mystère du Monde (Mysterium Cosmographicum en latin), publiée en 1596, Kepler tente d'expliquer la structure harmonieuse de l'univers à travers des principes géométriques et mathématiques. Il y expose sa célèbre théorie des polyèdres, selon laquelle les orbites des planètes connues à son époque pourraient être inscrites et circonscrites par des solides géométriques réguliers. Kepler voyait cette harmonie comme une preuve de la conception divine, reflétant les idées exprimées dans le Psaume 19 sur la manifestation de la gloire de Dieu dans l'ordre naturel de l'univers.
Bien que les idées de Kepler dans le Mysterium Cosmographicum aient été ultérieurement remplacées par ses lois du mouvement planétaire, l'ouvrage reste significatif pour son mélange de rigueur scientifique et de contemplation théologique, incarnant la conviction de Kepler que la science était un moyen de comprendre et d'apprécier l'œuvre de Dieu. Pour Kepler, l'étude de l'astronomie n'était pas seulement une enquête scientifique, mais aussi une forme de vénération religieuse.
42,4 Mes larmes Tristesse devant Dieu
42,2 soupire après les sources d'eau Une âme de désir par excellence : le Précurseur s'abreuvant à la source
12,3ss disperse toutes les lèvres trompeuses et la langue fanfaronne Allusion à la tour de Babel Le psalmiste supplie Dieu de lui accorder la délivrance par la dispersion des « langues trompeuses et [de] la langue fanfaronne » (V). Ce châtiment imploré fait écho à l'épisode de la tour de Babel (Gn 11), emblème de la démesure et de l'orgueil des hommes. On y trouve, d'ailleurs, les premières occurrences des termes « langues » et « lèvres » de la Bible.
Pour interrompre leurs fanfaronnades, Dieu attribue plusieurs langues aux êtres humains qui ne parviennent plus à communiquer entre eux. La discorde et la dispersion s'ensuivent...
Les gestes désespérés du groupe au premier plan de la gravure intitulée La confusion des langues traduisent l'incompréhension et le désemparement des hommes lorsque leurs plans sont contrecarrés par Dieu.
14,1–7 Il n'en est pas un qui fasse le bien, pas même un seul. Une conclusion divine ? Le psalmiste fait un triste constat : l'humanité entière a été pervertie. Selon les Écritures, Dieu est arrivé plusieurs fois à la même conclusion.
Lorsque Dieu plonge ses regards sur la Terre en Gn 6,5-6, il déplore la méchanceté de l'homme, sa propre création. Il prévoit de détruire tous les êtres vivants, animaux compris, avant de se raviser en voyant Noé qu'il juge intègre (Gn 6,8-14). Noé est donc le seul juste de sa génération par qui la race humaine est conservée : il préfigure ainsi le Christ.
L'artiste dépeint la détresse des hommes lors du déluge, chacun cherche un secours. Certains tentent même de s'agripper à l'arche qui a des allures de châsse reliquaire. Cadenassée, l'arche et les saints qu'elle transporte, leur sont inaccessibles. Il est trop tard pour le salut des insensés qui ont rejetté Dieu.
Dieu avait promis à Abraham qu'il ne détruirait pas Sodome et Gomorrhe s'il y avait dix justes parmi leurs habitants, mais quelques temps après c'est à la destruction de ces villes que le patriarche assiste.
Les bras levés vers le ciel, rappelant la prière qu'il fit en Gn18,20-33, Abraham, de dos, contemple de loin Sodome et Gomorrhe en flammes.
11,3 les pécheurs ont bandé leur arc V HAGIOGRAPHIE Le martyre des flèches : la sagittation de saint Sébastien. Dans l'iconographie hagiographique, la mort par sagittation (sous le coup des flèches) est associée à saint Sébastien. Les flèches constituent alors l'attribut d'identification du saint.
17,8 à l'ombre de tes ailes Les ailes d'un dieu
50,14 rends tes vœux (V) FRANÇAIS BIBLIQUE L'expression « rendre ses vœux » est attestée dans le dictionnaire→ de . C'est à la fois
56,12 tes vœux que je te rendrai en louanges (V) FRANÇAIS BIBLIQUE L'expression « rendre ses vœux » est attestée dans le dictionnaire→ de . C'est à la fois
Dans l'usage qui en est fait ici, le « lieu » où sont rendus les vœux semble le psalmiste lui-même, considérée comme un « espace » où la reddition des vœux se fait en louanges. De fait, le Dieu des Écritures n'habite-t-il pas dans les louanges d'Israël (M-Ps 22,4) ?
56,11s.2 En Dieu, je louerai le verbe Introït chanté pendant le temps du Carême
In Deo laudabo verbum, in Domino laudabo sermonem : in Deo speravi, non timebo quid faciat mihi homo. (Ps 56,11-12.2)
En Dieu, je louerai sa parole ; dans le Seigneur, je louerai ce qu’il dit : c’est en Dieu que j’ai mis mon espérance, je ne craindrai pas ce que pourrait me faire l’homme.
13,4s Illumine mes yeux. (V) Le Psautier d'Utrecht et sa réception : modèle iconographique et textuel au Moyen Âge.
Pour chaque psaume, le Psautier d'Utrecht est paré d'un grand décor à l'encre qui se déploie sur une demi-page. Probablement produit dans l'entourage de la cour carolingienne à Reims vers 820-845, le manuscrit arrive vers 1000 en Angleterre, à Canterbury, où il sert de modèle pour la décoration de plusieurs psautiers dont le Psautier Harley (11e), le Psautier d'Eadwine (12e) et le Psautier anglo-catalan (12e).
L'illustration du psaume 13 repose essentiellement sur les versets 4 et 5 : dans le coin supérieur gauche, le Christ, nimbé et imberbe, tient un livre dans sa main gauche. Il est de dos, mais se retourne pour pointer les rayons de sa torche vers les yeux du psalmiste qui se trouve sous un arbre, dans le coin inférieur droit. Le psalmiste a les yeux rivés sur un groupe de douze hommes armés de lances et de boucliers. L'un d'eux tend des flèches à un homme placé en avant qui dirige son arc vers le psalmiste. Un sarcophage ouvert et un monticule de terre agrémenté d'un arbre séparent le psalmiste du groupe d'hommes. C'est l'intervention divine qui pourra sauver le chantre.
Ainsi surnommé en hommage à un copiste représenté à la fin du manuscrit, le Psautier d'Eadwine tire directement ses illustrations du Psautier d'Utrecht. Un rapide coup d'oeil permet de saisir ce que doit ce manuscrit au précédent : la composition est identique, du placement des protagonistes à leur gestuelle.
La première différence est d'ordre technique : les contours du dessin à la plume sont rehaussés de couleur. Ce n'est plus tant la vigueur du trait que les encres de couleur qui donnent vie à cette illustration littérale du psaume. Autre distinction, le décor naturel est réduit, de manière à mettre en valeur le monticule et les arbres. Le Christ est quant à lui placé au centre d'un espace formé par le haut du cadre et un demi-cercle au contour ondulé, le séparant ainsi des actions des humains.
Cependant, seules les illustrations sont copiées du Psautier d'Utrecht, puisque le contenu textuel diffère d'avec le précédent manuscrit. Le Psautier d'Utrecht donne uniquement le texte du psautier gallican, c'est-à-dire de la traduction latine de la Septante (celle que l'on traduit ici), tandis que le Psautier d'Eadwine est divisé en trois colonnes de textes distincts :
Ce manuscrit est commencé vers 1200 à Canterbury avant d'être complété à Barcelonne vers 1340. L'illustration du psaume 13 est réalisée au cours de la première période de production, à Canterbury, et s'inscrit dans la tradition iconographique des deux psautiers évoqués. Les textes ont directement été copiés du Psautier d'Eadwine.
La composition de cette enluminure ressemble beaucoup aux décors à la plume des deux autres manuscrits, mais le traitement des personnages et la technique picturale varient.
On trouve, toutefois, quelques ajouts notables qui mettent en valeur l'évolution des codes iconographiques.
Le Psautier d'Utrecht a donc servi de modèle pour les décors d'autres manuscrits, parfois plusieurs siècles après sa confection. Cependant, le décor et le contenu textuel de chaque manuscrit sont adaptés au contexte et aux goûts de l'époque de production. L'étude de ces quelques manuscrits met donc en exergue les tensions entre traditions et renouvellements dans les manuscrits d'une même famille iconographique.
90,17a YHWH notre Dieu : M | Conjecture ? : YHWH
9,1–10,18 M | G-V Disposition du texte et numérotation des psaumes La tradition hébraïque (M), dont on suit ici la numérotation, a séparé les Ps 9 et Ps 10 qui ne formaient à l'origine qu'un seul poème (ainsi que G et V l'ont maintenu ) :
Dans le texte finalement inclus dans la Bible, qui semble abîmé, plusieurs lettres n'ont pas de strophe qui leur corresponde.
30,4 lac (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Le latin lacus, us qui signifie lac, étang, marée, finit aussi par désigner la cavité, la profondeur, le creux, et, dans le contexte biblique inculturé au monde gréco-romain, la fosse de l'enfer. La présente traduction maintient le mot « lac » chaque fois qu'elle peut expliciter le sens d'une chute ou d'une noyade dans la profondeur, ce qui est le cas ici : « salvasti me a descendentibus in lacu ».
94,5ss ton peuple Image du peuple opprimé
Un célèbre illustrateur allemand propose sa vision de l'oppression du peuple avant la révolte des Maccabées.
24,1 Au Seigneur la terre et sa plénitude TYPOLOGIE Exclamation de triomphe au moment de l'Incarnation rédemptrice Le premier verset de ce psaume, couplé à une exclamation trimphale venue de l'Exode, accompagne l'introït de la messe de la Vigile de la Nativité
Pièce chantée pour la Messe de la Vigile de Noël.
Hodie scietis, quia veniet Dominus, et salvabit vos : et mane videbitis gloriam eius.
Aujourd’hui vous saurez que le Seigneur va venir et il vous sauvera : et au matin vous verrez sa gloire.
24,7–10 Soyez élevées TYPOLOGIE Description du triomphe pascal du Christ
Elevamini portae aeternalis — Levez-vous, ô portes éternelles — est l'un des répons du samedi saint. Il est basé sur le Psaume 23 (24) et se concentre sur l'entrée victorieuse de Notre-Seigneur dans le ciel après sa résurrection. Après avoir été enterré dans le sommeil de la tombe, le roi de la gloire se lève d'entre les morts. Il entre par les portes de son royaume céleste. Le monde et toutes les choses créées appartiennent à Lui, notre Dieu qui a triomphé de la mort et du péché.
24,10 Le Seigneur des puissances ou le Dieu des armées, en simple antienne de communion
24,7 soyez élevée, portes TROPOLOGIE Offertoire et Graduel Chanté en graduel ou en offertoire, ce verset invite chaque fidèle à ouvrir grand les portes de son cœur pour accueillir la grâce du Christ.
23,1s Le Seigneur va me diriger Confiance et communion En antienne de communion, les deux premiers versets du psaume invitent le fidèle qui s'approche de la table eucharistique à se laisser nourrir et guérir par le bon Pasteur.
23,4 même si j'ai à marcher Actualisation de la confession de foi, en graduel et en communion Par ce verset, le fidèle confesse sa totale confiance en un Dieu protecteur et consolateur.
28,1s silence Évocation picturale
28,8s Le Seigneur est la force de son peuple Chant grégorien
28,7 c'est en lui qu'a espéré mon cœur Chant grégorien
28,9 Sauve ton peuple Chant grégorien
25,14 firmament (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Dérivé de firmare « rendre ferme, solide », le nom « firmament » désigne la voûte céleste à laquelle les astres semblent fixés. En latin classique le mot avait le sens de « soutien, appui » (au propre et au figuré). Cf. CNRTL→
78,26a Auster V Auster est le vent du midi. Auster et africus sont des expressions synonymes.
Je regrette mais ce n'est pas exact.
89,53 Amen
Mort prématurément à 26 ans en 1967, inspirateur des plus grands (des Rolling Stones et Aretha Franklin à Jay-Z et Kanye West en passant par Johnny Hallyday), il interprète Amen.
30,8–13 Vers toi Seigneur je crierai. Illustration de l'homme abandonné : le pauvre Lazare
49,1–21 Vous les peuples entendez
Cette cantate de Telemann, peu connue, a été composée pour la fête de l'Épiphanie sur le texte du Psaume 49.
Prince For I est un toaster et producteur de reggae et dub jamaïcain. En 1975, il compose son premier album, Psalms For I pour Lloydie Slim, dont les paroles sont des sermons, comme toutes les paroles qu'il composa par la suite. Cet album mettait en place le style de Prince Far I, lui donnant sa véritable identité.
95,1s Venez, exultons Interprétations baroques
John Informator choristarum (1610-1641). Il a reçu son baccalauréat en musique d'Oxford avec le soutien du comte de Bath en 1613, et aussi de Cambridge en 1640. Il a été employé à la fois comme organiste et ecclésiastique à la cathédrale après avoir obtenu son premier diplôme. Il a ensuite été ordonné au diaconat, devenant plus tard vicarius (canon mineur).
(1579-1641) est un compositeur anglais de la Renaissance. Compositeur d'œuvres sacrées, naquit à Ely et fut étroitement associé à la cathédrale d'Ely, avant même d'y être employé commeCome let's rejoice unto the Lord: let us make joy to God our Saviour. Let us approach to his presence in confession: and in psalms let us make joy to him. Alleluia.
Les Chandos Anthems sont onze antiennes composées par Georg Friedrich
en 1717-1718 alors qu'il résidait à Cannons chez le duc de Chandos, James Brydges. La distribution est variée, les œuvres sont écrites pour solistes, chœur, cordes et quelques vents solistes. Elles amalgament des éléments d'origine éclectique : choral germanique, musique religieuse vénitienne, antienne dans la tradition de Purcell, sonate italienne. y emprunte à ses ouvrages antérieurs, et elles serviront à leur tour pour alimenter d'autres compositions. Certaines furent remaniées pour les musiciens de la Chapelle Royale.O come, let us sing unto the Lord; let us heartily rejoice in the strength of our salvation. Let us come before his presence with thanksgiving and show ourselves glad in him with psalms. For the Lord is a great God, and a great King above all gods. O come, let us worship and fall down, and kneel before the Lord our Maker. For he is the Lord our God, and we are the people of his pasture and the sheep of his hand. Glory and worship are before him, power and honour are in his sanctuary Tell it out among the heathen that the Lord is King and that he made the world so fast it can’t be moved. O magnify the Lord and worship him upon his holy hill for the Lord our God is holy. The Lord preserveth the souls of the saints, He shall deliver them from the hand of the ungodly. For look, as high as the heaven is, in comparison of the earth, so great is his mercy towards them that fear him. There is sprung a light for the righteous, rejoice, and joyful gladness for such are true hearted.
92,2s Il est bon de louer le Seigneur Graduel et Offertoire
47,6 ; 103,19 Dieu est monté Ascendit Deus in jubilatione
Ascendit Deus in jubilatione, et Dominus in voce tubae. Dedit dona hominibus. Alleluia. Dominus in caelo paravit sedem suam. Alleluia.
Peter
est un prêtre catholique, compositeur et organiste anglo-flamand. Grâce à lui, l'Europe continentale a pu se familiariser avec la musique anglaise. On compte plusieurs centaines de morceaux. Il ne les publie qu'au sommet de sa carrière, vers 1612 et jusqu'à 1628. Seul son contemporain le grand William en composa plus que lui.Viri Galilaei, quid admiramini aspicientes in caelum? Alleluia. Quemadmodum vidistis eum ascendentem in caelum, ita veniet, Alleluia. (Ac 1,11)
Giovanni Pierluigi
est un compositeur italien de la Renaissance, reconnu et immensément admiré par tous les musiciens de son temps. Il a su appliquer les réformes du Concile de Trente à la musique sacrée voulant obtenir l'intelligibilité des paroles et une musique en rapport intime avec le texte sacré. Ce motet à 6 voix est issu de la Messe de l'Ascension.69,4 Je me suis fatigué en criant Laboravi clamans
Jean-Philippe
, né le 25 septembre 1683 à Dijon et mort le 12 septembre 1764 à Paris (paroisse Saint-Eustache), est un compositeur français et théoricien de la musique. L'œuvre lyrique de forme la plus grande partie de sa contribution musicale et marque l'apogée du classicisme français, dont les canons s'opposèrent avec force à ceux de la musique italienne jusque tard au cours du XVIIIe siècle.Laboravi clamans, raucæ factæ sunt fauces meæ: defecerunt oculi mei, dum spero in Deum meum.
84,2ss Que tes demeures sont aimables, Seigneur
Ein deutsches Requiem, nach Worten der heiligen Schrift für Soli, Chor und Orchester (Orgel ad lib.), op. 45 – « Un Requiem allemand, sur des textes de l'Écriture sainte, pour solistes, chœur et orchestre (avec orgue ad libitum) » – est une œuvre sacrée (mais pas liturgique) en sept parties (ou mouvements) composée par Johannes
et achevée en 1868. Elle dure de 70 à 80 minutes, ce qui en fait la plus longue composition de Brahms. Les deux solistes n'interviennent qu'exceptionnellement, le baryton pour faire entendre l'appel angoissé de l'homme face à son destin, la soprano pour annoncer le caractère maternel des consolations futures. L'orchestre reste toujours d'une clarté exemplaire, même lorsqu'il passe au second plan. La conclusion résume la promesse du sermon sur la montagne. Les épisodes centraux du sixième morceau pourraient être considérés comme une version protestante du Dies iræ. L'œuvre, de conception humaniste, que l'auteur aurait désiré rendre œcuménique, lui assura la célébrité.Wie lieblich sind deine Wohnungen, Herr Zebaoth! Meine Seele verlanget und sehnet sich nach den Vorhöfen des Herrn; mein Leib und Seele freuen sich in dem lebendigen Gott. Wohl denen, die in deinem Hause wohnen, die loben dich immerdar.
96,1–6 Chantez au Seigneur O sing unto the Lord
Henry
est un musicien et compositeur anglais, né et mort à Londres dans le quartier de Westminster. compte parmi les plus grands compositeurs anglais. Il a incorporé à sa musique des éléments des styles baroques français et italien, mais a développé un style anglais particulier.Symphonia O sing unto the Lord a new song. Alleluia. Sing unto the Lord, all the whole earth. Alleluia. Symphonia Sing unto the Lord, sing unto the Lord and praise his name: Sing unto the Lord, sing unto the Lord and praise his name: be telling of his salvation from day to day. Solo Bass: Declare his honour unto the heathen: and his wonders unto all people. Glory and worship are before him : power and honour are in his sanctuary. The Lord is great, and cannot worthily be praised: he is more to be feared than all gods. As for the gods of the heathen, they are but idols: but it is the Lord that made the heavens. Ritornelli O worship the Lord in the beauty of holiness: let the whole earth stand in awe of him. Tell it out among the heathen that the Lord is King: The Lord is King, The Lord is King, is King, the Lord is King And that t'is He who hath made the round world so sure that it cannot be moved; 'Tis He, 'tis He, 'tis He who hath made the round world so sure that it cannot be moved; And how that he shall judge the people righteously. And how that he shall judge the people righteously. Alleluia.
74,5 presque à la sortie sur un endroit en hauteur (et ils n'ont pas compris !) V : allusion à la crucifixion de Jésus ? Même si saint Jérôme lui-même dans sa traduction sur l'hébreu, ne retient pas cette allusion, elle est peut-être présente dans la lettre latine selon la Septante de ce psaume.
Jésus en croix, étendard de dérision pour ses ennemis, étendard royal pour ses amis, à la sortie de Jérusalem, sur la hauteur du Golgotha, contemplé, à sa droite par le grand saint Jérôme.
74,3–11 leurs insolences dans le lieu saint : destructions du Temple au fil de l'histoire d'Israël
74,2.22 Pourquoi, Dieu CHANT GRÉGORIEN Interprétation christique : appel au secours divin au moment de la Passion
Dernière antienne du deuxième nocturne du Jeudi Saint. Cri d'appel au Dieu fort et vengeur de son peuple, ce psaume tente d'exciter la violence divine devant l'ennemi qui outrage son nom et celui de son serviteur.
81,17 lui nourrit ceux-là de la moëlle du froment CHANT GRÉGORIEN
81,6 Louange de Dieu Bien qu'il ne s'agisse pas expressément d'un « psaume de David », l'exhortation à une joyeuse fanfare évoque l'exemple d'enthousiasme du pieux roi (cf. Musique 2S 6,12–15).
Avec son grand ange trompettste dominant la scène, le peintre baroque hollandais, sur ce panneau en mal de restauration, met ici l'accent sur la joie au Ciel qui accompagne l'entrée de l'arche dans la Jérusalem terrestre.
Remarquez comme la femme de David, Mikhal, fille de Saül, observe l'entrée depuis la fenêtre du palais royal : elle est vraiment au spectacle ! À la suite de son séjour à Rome (1633-1640), continuant en quelque sorte l'inculturation romaine si présente dans la Vulgate de saint Jérôme, Van Lint représenta à plusieurs reprises des triomphes et des entrées mythologiques, allégoriques et bibliques. Elles se trouvent aujourd'hui à Madrid, au Musée du Prado (Triomphe de Cupidon ; Triomphe de Cybèle) et à Munich, à la Bayerische Staatsgemäldesammlungen (Entrée du Christ à Jérusalem).
89,2 Les miséricordes du Seigneur
Wolfgang Amadeus
laisse une œuvre impressionnante (626 œuvres sont répertoriées dans le catalogue Köchel), qui embrasse tous les genres musicaux de son époque. Selon le témoignage de ses contemporains, il était, au piano comme au violon, un virtuose. On reconnaît généralement qu'il a porté à un point de perfection le concerto, la symphonie, et la sonate, qui devinrent après lui les principales formes de la musique classique, et qu'il fut l'un des plus grands maîtres de l'opéra. Son succès ne s'est jamais démenti. Son nom est passé dans le langage courant comme synonyme de génie, de virtuosité et de maîtrise parfaite.Misericordias Domini in aeternum cantabo: in generationem et generationem, annuntiabo veritatem tuam in ore meo.
89,20–30 Dieu a parlé en visions
John
est un organiste et compositeur anglais de musique baroque, né en février 1649 et mort le 1er octobre 1708. L'oeuvre ici interprétée fut écrite à l'occasion du couronnement du Roi d'Angleterre James II.God spake sometime in visions and said: I have laid help upon one that is mighty. I have found David my servant, My hand shall hold him fast and my arm shall strengthen him. The enemy shall not be able to do him violence, the son of wickedness shall not hurt him But my faithfulness and my mercy shall be with him and in my name shall his horn be exalted. I will set his dominion also in the sea, and his right hand in the floods. He shall cry unto me: “Thou art my father, my God, and my strong salvation” and I will make him my firstborn, higher than the kings of the earth. My mercy will I keep for him for ever more and my cov'nant shall stand fast with him. His seed also will I make to endure for ever, and his throne as the days of heav'n. Amen, allelujah.
90,1s.15 ; 144,3s ; 102,12 Seigneur notre refuge
Lord, thou hast been our refuge from one generation to another, Before the mountains were brought forth, or ever the earth and the world were made, thou art God from everlasting, and world without end. Again thou sayest Come again, ye children of men, seeing that is past as a watch in the night. And fade away, way suddenly like the grass. But in the Ev'ning it is cut down, dried up, and withered. Thou hast set our misdeeds before thee and our secret sins in thy light of the countenance. The days of our age are threescore years and ten, and tho' men be so strong that they come to fourscore years, yet is their strength then but labor and sorrow, so soon passeth it away, and we are gone. So teach us to number our days, that we may apply our hearts, unto wisdom. Glory be to the Father, and to the Son, and to the Holy Ghost; As it was in the beginning, is now and ever shall be, world without end, Amen.
Sir Edward Cuthbert
est né à Huddersfield le 22 août 1874. Il était organiste et compositeur anglais dans la tradition musicale de l'église anglicane.87,5 Même cet homme est né en elle (V) ... Qui ? Le texte latin est très énigmatique :
Très littéralement, on pourrait traduire le deuxième →comma comme : un humain et un [autre] humain est en elle.
La répétition de homo, cependant, invite à penser qu'il y a homme et homme. Notre traduction suit la lecture des Pères qui comprennent
Logiquement, suivant cette ligne interprétative, c'est la figure de Marie, nouvelle (fille de) Sion, qui est évoquée : ce verset (ou →colon) désignerait donc en énigme la maternité de Marie comprise comme nouveau Temple, non fait de main d'homme, au cœur de la Jérusalem céleste :
Une image célèbre décrit Marie comme nouvelle Arche d'alliance contenant la Présence de Celui qui est en définitive le seul Temple de la Sion céleste (Ap 21,22).
Monterchi était la ville natale de la mère du peintre, cela explique sans doute la charge émotionnelle et théologale de l'œuvre, où la Vierge apparaît sous une figure presque paysanne, tranchant sur modèles à longs cheveux blonds L'images est un exemple parfait de Virgo paritura (Vierge parturiente), type précédant chronologiquement la Vierge à l'Enfant et aussi sujet pictural bien moins répandu dans les arts. Debout et face au spectateur dans une attitude hiératique à la manière des représentations byzantines, Marie pose la main gauche sur la hanche, la droite soutient son ventre proéminent qu'elle montre par l'échancrure. Elle est entourée de deux anges parfaitement symétriques réalisés à partir d'un même carton et de couleurs complémentaires, qui écartent délicatement les pans du rideau du baldaquin (draperies rouges signalant l'intérieur du Temple, dans l'iconographie byzaintine), brodé de grenades symbolisant à la fois la Tora et la Passion du Christ. Le tableau joue un rôle important dans le film Nostalghia→ d'Andreï Tarkovski (1983).
9,16 lacs (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Dérivé du latin laqueus, (« lacet, nœud coulant; filet, lacs; liens, chaînes; piège »), et délicieusement ambigü, le mot français lacs, encore attesté chez André ou Paul désigne un « cordon, ou une attache servant à retenir quelque chose », en particulier les pièges de cordes ou de ficelles tendus par les oiseleurs. CNRTL→
Prise à Boven Volta, Burkina Faso, Haute Volta, cette vue montre l'oiseleur disposant son piège, souvent constitués d'une cage, d'un filet à fermeture rapide ou d'un simple nœud coulant déclenchés par l'animal appâté.
Le piège vise à capturer l'oiseau chanteur vivant.
Le mécanisme du piège fait d'un filet peut être non mortel comme un nœud ou un fil qui s'entortille autour de la patte ; mais si le lacs ne se déchire pas, la mort lente survient ...
30,4 tu m'as sauvé de ceux qui coulent au fond du lac (V) Images aquatiques des supplices de l'enfer Le latin lacus, us qui signifie lac, étang, marée, finit aussi par désigner la cavité, la profondeur, le creux, et, dans le contexte biblique inculturé au monde gréco-romain, la fosse de l'enfer. La présente traduction maintient le mot « lac » chaque fois qu'elle peut expliciter le sens d'une chute ou d'une noyade dans la profondeur, ce qui est le cas ici : « salvasti me a descendentibus in lacu ».
Les peintres de l'enfer ont été sensibles au symbolisme de la noyade dans l'eau ou de l'étouffement dans la boue repris par Dante à l'Écriture et aux mythologies antiques. En voici deux exemples.
Sur ce tableau précoce qui contribua à révéler le génie de Delacroix, la scène représente la visite aux Enfers de Dante Alighieri accompagné de Virgile, leur passage sur le Styx dans la barque menée par Phlégias, roi des Lapithes. Il s'agit précisément du cinquième cercle de l'Enfer, celui des coléreux condamnés à demeurer dans les eaux boueuses du Styx. Sous le ciel sombre et la ville en feu sur la gauche qui entourent les deux poètes bien éclairés au centre, dans les eaux tumultueuses, les corps des damnés qui cherchent à s'accrocher à la barque font écho cauchemardesque à ce verset du psaume.
78,22.38 sauveur + « propitiation » : V | M G : Discrète christologisation ? Le substantif (ou adjectif substantivé) neutre salutare,is employé au v.22 signifie tout moyen de salut : « remède, préparation, prospérité, confort, salut, délivrance », mais aussi : « délivreur, sauveur ».
Au v.38 :
Francisco de Zurbaran est un peintre espagnol du siècle d'or. Il se distingue dans les peintures religieuses où son art révèle une grande force visuelle et un profond mysticisme. Il a réalisé six versions de ce sujet qui diffèrent peu les unes de autres. L'agneau est traité avec un grand réalisme, ses pattes sont liées pour le sacrifice, et la toile porte l'inscription : « Comme une brebis, il fut conduit à l’abattoir ; comme un agneau muet devant le tondeur, il n’ouvre pas la bouche » (Ac 8,32). Cf. Lv 22,17-30.
8,10 Seigneur notre Seigneur, comme ton nom est admirable sur toute la terre ! Psaume 8
Enlumineur depuis 2016, É. M. s’inspire de textes bibliques et chrétiens et de la spiritualité scoute pour élaborer des compositions dans la tradition de l’enluminure occidentale, avec une préférence pour le style irlandais « insulaire » (Livre de Kells, Évangiles de Lindisfarne) et pour le gothique du 13e s.
Calligraphié à la main, É. M. retranscrit le Ps 8 suivant le style du XIIIe siècle.
91,11 puisqu'à ses anges il commanderaqu'ils te gardent dans toutes tes voies Psaume 90
Enlumineur depuis 2016, É. M. s’inspire de textes bibliques et chrétiens et de la spiritualité scoute pour élaborer des compositions dans la tradition de l’enluminure occidentale, avec une préférence pour le style irlandais « insulaire » (Livre de Kells, Évangiles de Lindisfarne) et pour le gothique du 13e s.
Reprenant le Ps 90 (texte ajouté sur la photo à l'ordinateur), É. M. a réalisé cette enluminure dans l'esprit d'un Évangile arménien du XVIIe siècle.
40,4 charme (V) FRANÇAIS BIBLIQUE Il s'agit de beaucoup plus qu'un poème.
On le rend par « charme » qui peut avoir également le sens de « formule incantatoire » en français (cf. Charme2→), et connote une conception du langage comme puissance autant que comme représentation que nous avons hélas souvent oubliée, mais qui était celle de (elle explique sa prudence, dans le cas de ce mot : Milieux de vie Ps 40,4).
90,12s par la sagesse convertis-les ! Bendita Sabedoria
Heitor
est un compositeur brésilien. Il a composé environ 1 300 œuvres de tous styles, avec 12 symphonies, 17 quatuors à cordes, des opéras, des ballets, des suites, des poèmes symphoniques, des concertos, des œuvres vocales, des pièces pour piano, de la musique religieuse et des musiques de film. , au-delà d'être un grand compositeur, est également un pédagogue musical pour son pays. Il a conçu un système d'apprentissage de la musique pour des générations de Brésiliens, basé sur la riche culture musicale brésilienne, et prenant ses racines dans un patriotisme profond et toujours explicite.Cette oeuvre contient six parties: I. Sapientia foris praedicat (Adagio) II. Vas pretiosum labia scientiae (Andantino) III. Principium sapientiae (Quasi allegretto) IV. Vir sapiens fortis est (Allegro) V. Beatus homo qui invenit sapientiam (Andante) VI. Dexteram tuam (Largo)